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Journal d'une apprentie chamane
Date de parution : 08/01/2004
Éditeurs :
Pocket

Journal d'une apprentie chamane

Date de parution : 08/01/2004

« Ça y est. Je pars demain pour l’Amazonie. Je veux te retrouver. C’est tout. » Voilà le journal de bord d’une jeune femme, musicienne à Londres qui, sous le...

« Ça y est. Je pars demain pour l’Amazonie. Je veux te retrouver. C’est tout. » Voilà le journal de bord d’une jeune femme, musicienne à Londres qui, sous le coup d’un deuil inconsolable, décide de suivre l’enseignement d’un chamane péruvien. Au travers de ses aventures aussi drôles qu’émouvantes, Corine...

« Ça y est. Je pars demain pour l’Amazonie. Je veux te retrouver. C’est tout. » Voilà le journal de bord d’une jeune femme, musicienne à Londres qui, sous le coup d’un deuil inconsolable, décide de suivre l’enseignement d’un chamane péruvien. Au travers de ses aventures aussi drôles qu’émouvantes, Corine Sombrun nous conduit sur la piste d’un rendez-vous hors du temps qui doit l’amener à retrouver cet amour plus fort que la mort.

« [Corine Sombrun] nous livre avec humour son incroyable expérience. » Femina Hebdo

 

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EAN : 9782266129503
Code sériel : 11829
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 160
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266129503
Code sériel : 11829
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 160
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« [Corine Sombrun] nous livre avec humour son incroyable expérience. » Femina Hebdo

« (…) un récit initiatique qui mêle humour, autodérision, recherche spirituelle et connaissance de l’Autre… » Le populaire du Centre

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LasyaVanani 11/05/2023
    Intriguant, bouleversant... Une immersion en Amazonie et dans le chamanisme tout en douceur et presque en pudeur. La plume par contre est très hachée, j'avais l'impression de lire un télégramme. Mais une fois cette impression passée, on se plonge dans le témoignage et on veut en apprendre plus, on veut comprendre. Comme une envie de suivre ses traces.
  • oree 17/07/2022
    Un témoignage de Corinne Sombrun qui a vécu en Amazonie auprès de chamanes péruviens une initiation aux méthodes rudes pour une occidentale, notamment par l'usage encadré de jeûnes, de plantes glanées dans la jungle, de tabac et de la célèbre drogue hallucinatoire l'ayahuasca. Elle tient ici sans fioritures une sorte de journal de tout ce qui lui arrive au cours de cette extraordinaire aventure où elle cherche avant tout à se sortir d'un deuil. Elle manie beaucoup l'humour pour mettre à distance ses peurs bien compréhensibles dans les conditions de vie qui lui sont imposées. Je lirai le suivant où elle part en Mongolie ; un film récent relate ses recherches sur la transe menées avec des scientifiques en France ainsi que sa rencontre avec les Mongols qui la considèrent comme une véritable chamane. On a encore beaucoup à apprendre des civilisations premières, du pouvoir des plantes dont peu ont été étudiées pour leurs vertus médicinales et des liens étonnants qui peuvent se créer entre l'homme et la nature.
  • Tatooa 12/03/2021
    Pour une fois qu'une "vraie" chaman ne tire aucun profit (hormis ses bouquins) des connaissances qu'elle a acquises des chamans traditionnels, qu'ils soient sud américains ou mongols, voilà que son premier livre n'est pas bien noté pour "cause de style". Il ne faut pas se tromper : il n'a pas vocation d'oeuvre littéraire, en fait, contrairement à ce que certains ici semblent croire. Elle témoigne simplement de ce qu'elle a vécu. Dans un style qui est ce qu'il est, peut-être, mais en attendant, tout sonne vrai. Et pour connaître la difficulté qu'il y a à mettre en mots ce genre d'expériences, et bien moi, je salue l'effort de "mise en mots". Car elle arrive quand même pas si mal à nous faire toucher du doigt son vécu de "simple humaine" face à des choses qu'on ne peut pas forcément conceptualiser, sa trouille, sa souffrance. Elle est tellement émouvante, Corine, dans ce livre... Et dire tout cela, c'est quelque chose que de mon côté, je ne tenterai même pas... Quand on lit ce genre de bouquin, c'est pas pour le style, c'est pas pour "l'histoire". C'est pour le fond. C'est à lire avec les sensations, pas avec le cerveau. Bref, un certain nombre de gens ici n'ont rien entendu/senti/vu, tant pis pour eux. Je vous le dis, si vous écoutez/sentez/voyez "ailleurs", vous entendrez ce qu'il y a dans ce bouquin. Moi, j'ai entendu, par une sorte d'effet "ricochet". Mais comme je n'ai pas de mots, ben je ne peux pas en parler, et de toute façon je ne dois pas en parler. Pour l'instant... Bref, à lire avec d'autres yeux.Pour une fois qu'une "vraie" chaman ne tire aucun profit (hormis ses bouquins) des connaissances qu'elle a acquises des chamans traditionnels, qu'ils soient sud américains ou mongols, voilà que son premier livre n'est pas bien noté pour "cause de style". Il ne faut pas se tromper : il n'a pas vocation d'oeuvre littéraire, en fait, contrairement à ce que certains ici semblent croire. Elle témoigne simplement de ce qu'elle a vécu. Dans un style qui est ce qu'il est, peut-être, mais en attendant, tout sonne vrai. Et pour connaître la difficulté qu'il y a à mettre en mots ce genre d'expériences, et bien moi, je salue l'effort de "mise en mots". Car elle arrive quand même pas si mal à nous faire toucher du doigt son vécu de "simple humaine" face à des choses qu'on ne peut pas forcément conceptualiser, sa trouille, sa souffrance. Elle est tellement émouvante, Corine, dans ce livre... Et dire tout cela, c'est quelque chose que de mon côté, je ne tenterai même pas... Quand on lit ce genre de bouquin, c'est pas pour le style, c'est pas pour "l'histoire". C'est pour le fond. C'est à lire avec les sensations, pas avec le cerveau. Bref, un certain...
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  • Apoapo 08/04/2020
    Bien qu'il constitue le premier volume des journaux d'apprentissage du chamanisme de Corine Sombrun, j'ai lu ce livre après Mon initiation chez les les chamanes, qui étrangement n'en fait pratiquement par référence. Dans ce premier volume, il est question d'une « initiation » au chamanisme d'une durée d'un mois dans l'Amazonie péruvienne ; dans le suivant, d'une année sur une période de trois ans auprès d'une chamane en Mongolie. La comparaison s'impose qui, me semble-t-il, joue un peu en défaveur de ce livre. L'auteure, submergée par les tourments d'un deuil encore plus récent, part en Amazonie suite à la rencontre du peintre-chaman Francisco, dans une exposition de tableaux londonienne, qui lui lance le défi énigmatique de découvrir son propre son qui la guérira. Bien que chargée d'une mission musico-documentariste par la BBC, il est évident que ni elle ni le lecteur ne sommes dupes de la démarche de Francisco, qui consiste à attirer un certain public occidental, principalement féminin, en quête d'expériences « particulières », dans un stage de chamanisme à base de consommation intensive de la plante hallucinogène nommée « ayahuasca » assortie d'une diète de jeûne et de décoctions végétales diverses, dans les conditions de vie les plus spartiates imaginables au sein d'un village de huttes en construction, sans murs ni sanitaires, en pleine forêt tropicale, afin de sensibiliser ledit public aux richesses précieuses et fragiles de la flore amazonienne ainsi que de lui transmettre le savoir ancestral afférent. Ce savoir peut se définir chamanique, certes, parce qu'il possède d'abord des fins thérapeutiques, parce qu'il est organisé par une culture et une mythologie où les végétaux ont ou sont des esprits avec lesquels l'impétrant entre en communication, dont il retire des pouvoirs d'herméneutique des maladies et de leur guérison, à commencer par celle de soi, enfin parce que les substances absorbées provoquent la transe et des hallucinations. Mais il est évident, ne serait-ce qu'à cause de la durée brève et de la perspective transitoire de l'expérience, que cette « initiation » est, j'ose dire, « touristique » : l'intéressée en apprend relativement peu sur ce savoir ancestral, elle ne « diète » que trois plantes, n'apprend qu'un nombre infime de leurs chants, et ses soirées ayahuasca, presque dépourvues du cadre et des attributs des rites, se résument aux pénibles effets physiques du toxique (vomissements, coliques, tachycardies, tremblements), autant qu'à la féerie des visions induites, dont l'interprétation se réduit à un minimum folklorique. Corine Sombrun, naturellement, est plus inexpérimentée face à cette première expérience, son don chamanique ne lui ayant pas encore été révélé (ou à peine, par Francisco, et de façon peu crédible) ; plus vulnérable sans doute, dans sa quête de communication avec le défunt aimé ; plus encline à se remémorer son enfance dans la brousse africaine pour en puiser quelques analogies. De plus, dans ce premier livre, et notamment dans la fantasmagorie de ses magnifiques descriptions de son expérience de la transe, qui font le principal charme de ce volume ainsi que du suivant, on ressent davantage l'attention prêtée à la musique, comme si la fibre de compositrice de l'auteure prévalait sur celle de chamane encore inconnue. À moins que ce ne soit la foison des bruits de la forêt amazonienne et des chants arboricoles des chamans américains qui surpassent le paysage sonore mongole, se résumant au tambour et à la guimbarde, seuls appâts sonores des esprits des steppes... Enfin, ce récit est beaucoup plus centré sur les ressentis de l'auteure, avec quelques descriptions principalement effrayantes d'une jungle inconfortable – pour se laver, pour faire ses besoins... – et à la faune terrifiante et dangereuse : tarentule, serpent nakanaka, moustiques porteurs du paludisme ; il manque complètement l'intimité de la cohabitation avec d'autres personnages, que l'on trouve dans l'opus suivant. De ce fait, Francisco, Ruperto et les trois autres impétrantes occidentales rencontrées sur place sont des personnages très secondaires et plutôt insaisissables. En contrepartie, l'ironie et l'auto-dérisions sont beaucoup plus développées dans ce livre. Les particularités stylistiques tellement originales – entrées du journal avec « Extérieur » et « Intérieur (de moi) », phrases minimalistes, sauts de registres linguistiques, ponctuation surabondante à usage désinvolte et totalement rythmique – qui peuvent plaire ou déplaire mais sont indiscutablement un trait efficace pour la narration, sont peut-être encore plus marquées dans ce premier ouvrage. Dans le style comme dans la trame (le rêve du chant diphonique), on sent ici une œuvre et une biographie se déployer.Bien qu'il constitue le premier volume des journaux d'apprentissage du chamanisme de Corine Sombrun, j'ai lu ce livre après Mon initiation chez les les chamanes, qui étrangement n'en fait pratiquement par référence. Dans ce premier volume, il est question d'une « initiation » au chamanisme d'une durée d'un mois dans l'Amazonie péruvienne ; dans le suivant, d'une année sur une période de trois ans auprès d'une chamane en Mongolie. La comparaison s'impose qui, me semble-t-il, joue un peu en défaveur de ce livre. L'auteure, submergée par les tourments d'un deuil encore plus récent, part en Amazonie suite à la rencontre du peintre-chaman Francisco, dans une exposition de tableaux londonienne, qui lui lance le défi énigmatique de découvrir son propre son qui la guérira. Bien que chargée d'une mission musico-documentariste par la BBC, il est évident que ni elle ni le lecteur ne sommes dupes de la démarche de Francisco, qui consiste à attirer un certain public occidental, principalement féminin, en quête d'expériences « particulières », dans un stage de chamanisme à base de consommation intensive de la plante hallucinogène nommée « ayahuasca » assortie d'une diète de jeûne et de décoctions végétales diverses, dans les conditions de vie les plus spartiates imaginables au sein d'un village de huttes...
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  • Famourya 08/01/2020
    On ne lit pas ce livre pour ses qualités littéraires mais plutôt comme une porte d'entrée dans l'anthropologie du chamanisme
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    Mon initiation chez les chamanes

    Ethnomusicienne et réalisatrice de documentaires pour la BBC, Corine Sombrun est partie au Pérou, en Mongolie et en Amazonie à la rencontre des plus grands chamanes. Le livre qui retrace ses aventures, Mon initiation chez les chamanes est porté à l’écran le 30 octobre 2019, avec Cécile de France en tête d’affiche dans Un monde plus grand. Une initiation extraordinaire et surtout inédite pour une occidentale. Pocket vous en dit plus !

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    Rêver, c'est tout un art !

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