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Deux ans après la parution de son roman Les Loups, final explosif de sa trilogie best-seller Ragdoll, Daniel Cole signe son grand retour avec Pietà ! Embarquement immédiat pour la capitale anglaise, dans ce qu’elle a de plus sombre à offrir… Non, vous n’y croiserez pas Jack l’éventreur, mais peut-être une mort plus cruelle encore ! Quoi que plus esthétisée, car dans Pietà, les victimes se transforment en véritables œuvres d’art.
Saviez-vous que par le passé, Daniel Cole avait été ambulancier ? Qu’il a également été un membre actif de la Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals, l'équivalent anglais de notre SPA ? Avant de s’engager plus récemment pour la Royal National Lifeboat Institution, une association dédiée au sauvetage en mer le long des côtes britanniques. Ce besoin irrépressible de sauver les êtres, serait-il la manifestation de sa mauvaise conscience quant au nombre de personnes qu'il assassine dans ses écrits ? Mystère ! En tout cas, dans son dernier roman, Daniel Cole n’y va pas de main morte. Plutôt de main de maître !
Pietà nous plonge en effet en plein hiver 1989, dans une ville qui peu à peu se transforme en un atroce musée macabre. Londres est devenu le terrain de jeu abominable d’un psychopathe esthète. Des victimes sont retrouvées assassinées et disposées dans des positions de chefs d’œuvre de l’histoire de l’art.
Premier cadavre : Hyde Park. La Metropolitan Police y découvre un corps dans la position du Penseur de Rodin. Puis, un cran au-dessus dans l’horreur, une mère et son fils sont retrouvés en une terrifiante réplique de la célèbre Pietà de Michel-Ange. Et ce n’est que le début.
Le Figaro Magazine avait dit de Daniel Cole qu’il « prend le lecteur au collet. » Cette fois encore, Daniel Cole réussit le pari de nous immerger dans une enquête palpitante, déconcertante, addictive, tout en nous offrant ce mordant et cet humour typiquement anglais dont nous raffolons tant.
Tuer est son art, vous serez son chef-d'œuvre...
Londres, hiver 1989.
Un corps est retrouvé dans Hyde Park par la Metropolitan Police. La victime a gelé dans une position pour le moins inattendue : celle du Penseur de Rodin. Mais quelque chose cloche dans son regard : ce bleu intense, perçant...
Quelques jours plus tard, nouveau crime. Cette fois, ce sont les corps d’une mère et de son fils que l’on découvre, réplique exacte de la Pietà de Michel-Ange.
Londres va bientôt se transformer en musée macabre, mais personne ne le sait encore…
« Daniel Cole prend le lecteur au collet. » Le Figaro Magazine
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