Portrait de Muriel Imbert

Quel est votre parcours professionnel ?

Un amour qui dure depuis plus de 30 ans… Etudes hôtelières classiques, un passage à Paris dans un 4 Etoiles puis un 3 Etoiles. 5 ans dans une société d’édition de PMS (logiciel professionnel pour l’hôtellerie/restauration) avec des séjours à travers la France, aux Antilles et autres. Puis retour en Auvergne en 2004 avec achat d’un restaurant avec mon ex-mari. Puis passage en résidence hôtelière chez ADAGIO et arrivée dans les murs du Vialatte en 2018.

Quelle est la spécificité des hôtels littéraires et celle du Vialatte en particulier ?

Chacun des hôtels se rapporte à un auteur, car le propriétaire, M. Letertre, est un passionné de littérature et souhaite partager cette passion avec ses hôtes. Notre hôtel est consacré à Alexandre Vialatte avec une décoration personnalisée, chaque chambre porte un nom qui se rapporte à Vialatte, soit son entourage, ses romans, sa période chroniqueur.

Nous recevons des rencontres littéraires, des expositions, des prix... Dont le prix Jean Anglade !

Le Vialatte, écrin de deux prix littéraires, vos impressions ?

Avec ces deux prix, le prix Jean Anglade et le prix Alexandre Vialatte, nous avons l’opportunité de rencontrer les auteurs et de participer à petite échelle à ces moments d’échanges et de convivialité autour de nos auteurs locaux.

Muriel, la lectrice. Le roman fondateur que vous gardez en mémoire ?

Il y en a tellement : Nous rêvions tous de liberté de Henri Loevenbruck, Ensemble c’est tout d’Anna Gavalda, et j’adore Baudelaire dans un autre registre. Et aussi Michel Bussi, et Dolores Redondo Meira que j’ai découvert aux dernière vacances. Et je m’arrête là !