Massimo Gramellini a commencé par écrire des chroniques sportives dans divers journaux, notamment Il Giorno et La Stampa. En 1991, il devient journaliste politique et couvre en tant qu’envoyé spécial le siège de Sarajevo. En 1995, il est nommé vice-président de La Stampa à Turin.
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Massimo ne parvient pas à surmonter la perte de sa mère, morte d’un arrêt cardiaque quand il avait neuf ans. Chaque épreuve de la vie ranime ses angoisses et son sentiment d’abandon, sous le regard malveillant de « Belphégor », son double intérieur.
Jetant un regard sans concession ni apitoiement sur sa vie, Massimo Gramellini nous raconte son parcours chaotique depuis...