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1792, La femme rouge
Date de parution : 07/10/2021
Éditeurs :
12-21
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1792, La femme rouge

Date de parution : 07/10/2021
Une nouvelle aventure inédite d'Augustin Duroch, dont le premier volet est lauréat du Prix Historia 2019 !
1792. Les armées austro-prussiennes sont aux portes de Metz. Il règne dans la ville une atmosphère de suspicion générale.
Le ci-devant chanoine de Ficquelmont, accusé d’opinions royalistes, est sauvagement assassiné dans...
1792. Les armées austro-prussiennes sont aux portes de Metz. Il règne dans la ville une atmosphère de suspicion générale.
Le ci-devant chanoine de Ficquelmont, accusé d’opinions royalistes, est sauvagement assassiné dans une rue de Metz par une foule en colère, excitée par une certaine Marie Larue, belle activiste sans-culotte.
Le commandant de...
1792. Les armées austro-prussiennes sont aux portes de Metz. Il règne dans la ville une atmosphère de suspicion générale.
Le ci-devant chanoine de Ficquelmont, accusé d’opinions royalistes, est sauvagement assassiné dans une rue de Metz par une foule en colère, excitée par une certaine Marie Larue, belle activiste sans-culotte.
Le commandant de la place, le général Favart désire confier l’enquête au vétérinaire Augustin Duroch. Mais le jour même, Duroch est arrêté par la garde nationale. Certains souhaitent-ils que l’on n’aille pas fouiller les cendres de cet abbé mondain et brillant ?
L’entourage d’Augustin tente de l’aider à se tirer de ce mauvais pas, et découvre que bien des puissants de l’heure ont eu affaire avec l’abbé. Augustin réussit à s’évader.
Est-ce grâce au général Kellermann, rencontré à Valmy, qu’il trouvera enfin la clé de cette mystérieuse affaire ?

PRESSE
« D’aventure en aventure, Anne Villemin-Sicherman renouvelle le genre du polar historique avec talent. » Le Républicain lorrain
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EAN : 9782823883374
Code sériel : 5699
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
12-21
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Code sériel : 5699
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JPLaporte 16/06/2022
    Bof!!! Après avoir lu « la rumeur » qui ne m’avait pas plus emballé que ça, j’avais décidé de relire un autre roman d’Anne-Sicherman. Si l’aspect sociétal est bien traité ( on peut effectivement penser que les choses se sont réellement passées comme décrites dans le livre, à savoir que le pouvoir a changé de mains mais pour le peuple, rien n’a effectivement changé), l’aspect policier, lui, laisse encore à désirer. Tout au plus, est-on plus captivé et l’on a vraiment envie d’en savoir toujours plus. Reprendrai-je un nouveau livre d’Anne Sicherman? Rien n’est sûr!!
  • ckdkrk169 09/11/2021
    Je découvre cette auteure et je vais la suivre dorénavant. Ce polar historique est passionnant par son histoire ancrée dans la réalité historique. Un contexte tres documenté comme en témoignent les sources listées en fin de livre, le plan de la ville de Metz et la liste des personnages historiques beaucoup plus nombreux que les fictifs. J’ai beaucoup apprécié l’immersion totale dans cette période de mai à octobre 1792 à Metz au moment où les armées austro-prussiennes sont aux portes de la ville. Dans ce climat déjà lourd de menaces de siège, les « sans-culottes » attaquent un ecclésiastique noble. La femme rouge, La Grande Mayotte, meneuse dans cette attaque est-elle responsable de la mort du prêtre ? Pourquoi le héros, Augustin, chargé d’enquêter est-il arrêté ? L’enquête est menée par son fils et son amie Eléonore. L’intrigue est bien ficelée, le décor brillamment présenté notamment la bataille de Valmy. J’ai passé un bon moment de lecture dans ce dix-huitième siècle. Ce roman se lit indépendamment des autres enquêtes déjà parues même si quelques références à ce passé parsèment le récit.
  • Thrillarhist 25/10/2021
    C'est encore un super tome de la série Duroch pour moi ! Entre la fuite du roi à Varennes et la Terreur, on découvre un Metz en proie à la violence révolutionnaire… Et lorsque notre artiste vétérinaire est chargé d'enquêter sur le meurtre par la foule d'un ci-devant chanoine, il est mystérieusement enfermé par la garde nationale… Que de tension dans ce tome ! Il a été vraiment très bon à lire, et a apporté de grand renouveaux dans la série ! Avec un Augustin enfermé, on découvre de nouveaux personnages très secondaires jusque là, qui viennent mener l'enquête… On n'abandonne pas les personnages récurrents de la série pour autant ! Et j'ai trouvé un bon équilibre entre la découverte des nouveaux protagonistes et le suivi des anciens. L'ambiance historique était aussi terriblement pesante et présente ! Là où les précédents meurtres étaient plus ou moins éloignés du contexte politique, ici on est en plein dedans, dans la violence révolutionnaire et la peur des dénonciations. C'était vraiment prenant ! Même si les quarante premières pages allaient un peu trop vite, j'ai ensuite parfaitement embarqué dans l'affaire politique du meurtre du ci-devant chanoine. C'était pour moi encore un très très bon tome de la série Duroch, que j'ai vraiment hâte de retrouver dans le prochain opus !C'est encore un super tome de la série Duroch pour moi ! Entre la fuite du roi à Varennes et la Terreur, on découvre un Metz en proie à la violence révolutionnaire… Et lorsque notre artiste vétérinaire est chargé d'enquêter sur le meurtre par la foule d'un ci-devant chanoine, il est mystérieusement enfermé par la garde nationale… Que de tension dans ce tome ! Il a été vraiment très bon à lire, et a apporté de grand renouveaux dans la série ! Avec un Augustin enfermé, on découvre de nouveaux personnages très secondaires jusque là, qui viennent mener l'enquête… On n'abandonne pas les personnages récurrents de la série pour autant ! Et j'ai trouvé un bon équilibre entre la découverte des nouveaux protagonistes et le suivi des anciens. L'ambiance historique était aussi terriblement pesante et présente ! Là où les précédents meurtres étaient plus ou moins éloignés du contexte politique, ici on est en plein dedans, dans la violence révolutionnaire et la peur des dénonciations. C'était vraiment prenant ! Même si les quarante premières pages allaient un peu trop vite, j'ai ensuite parfaitement embarqué dans l'affaire politique du meurtre du ci-devant chanoine. C'était pour moi encore un très très bon tome de la série Duroch, que...
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  • Bigmammy 20/10/2021
    Cette nouvelle aventure du vétérinaire Augustin Duroch se déroule du 15 mai au 21 octobre 1792, période cruciale de la Révolution française puisqu'elle va se prolonger par la mise à mort du roi et la Terreur : la France a déclaré la guerre à l'Autriche et la Prusse s'est jointe à son alliée. Les armées étrangères, grossies des bataillons d'émigrés sont en passe de déferler sur Paris : Verdun est tombée, mais Thionville résiste. Metz se prépare à un siège … Dans cette ambiance survoltée, les vieux démons des dénonciations prospèrent d'autant plus qu'il y a une prime à la clé. Chargé d'une mission d'investigation sur le lynchage d'un ci-devant chanoine en pleine rue par la foule (je repense au destin d'Axel de Fersen en 1810, similaire, dans son pays natal), Augustin Duroch se voit arrêté et incarcéré par décision du Conseil communal, émanation des Jacobins où le maire François Anthoine exerce le pouvoir d'une poigne de fer. Visiblement, son enquête dérange. Mais son talent va lui permettre, comme toujours et avec la collaboration de son épouse Celia, de son amie Eléonore et de son fils Julien (entre autres), de résoudre l'énigme. Parmi les personnages qui « percent l'écran » de cette histoire, une jeune femme à la chevelure flamboyante – elle me fait penser à Audrey Fleurot qui serait parfaite dans le rôle – Marie Larue, une passionaria capable d'enflammer les foules et de les mener là où elle veut … ou là où on lui suggère d'aller. On imagine l'ambiance de suspicion qui étreint la population : comment, du jour au lendemain, adopter les nouveaux codes révolutionnaires : abandonner le voussoiement, s'habiller différemment (pantalons, cocarde obligatoire, couleurs nationales), parler autrement … Toute personne ne se conformant pas avec ardeur à ces attitudes est suspecte de royalisme – un crime contre la Nation – aussitôt dénoncée, emprisonnée. On apprend avec horreur en province les exactions commises à Paris le 10 août aux Tuileries puis lors des massacres de septembre. La peur de la défaite des jeunes armées révolutionnaires, juste avant le retournement de Valmy, rend les populations hystériques, la justice, malgré l'affirmation des Droits de l'Homme, est bafouée. Car même parmi les plus ardents sans-culottes, la spéculation et la recherche du profit est présente. Il y a aussi de l'Edmond Dantès dans cette affaire et le suspens ne quitte pas le lecteur. J'ai lu ce livre pratiquement en une journée, sans pouvoir m'en départir. Il m'a causé des frissons en pensant à d'autres contrées où sévit l'intolérance, ou à d'autres temps – comme cette visite au musée de la Résistance et de la déportation de la Citadelle de Besançon où l'on peut lire des centaines de lettres de dénonciations adressées à l'Occupant. Cela fait froid dans le dos.Cette nouvelle aventure du vétérinaire Augustin Duroch se déroule du 15 mai au 21 octobre 1792, période cruciale de la Révolution française puisqu'elle va se prolonger par la mise à mort du roi et la Terreur : la France a déclaré la guerre à l'Autriche et la Prusse s'est jointe à son alliée. Les armées étrangères, grossies des bataillons d'émigrés sont en passe de déferler sur Paris : Verdun est tombée, mais Thionville résiste. Metz se prépare à un siège … Dans cette ambiance survoltée, les vieux démons des dénonciations prospèrent d'autant plus qu'il y a une prime à la clé. Chargé d'une mission d'investigation sur le lynchage d'un ci-devant chanoine en pleine rue par la foule (je repense au destin d'Axel de Fersen en 1810, similaire, dans son pays natal), Augustin Duroch se voit arrêté et incarcéré par décision du Conseil communal, émanation des Jacobins où le maire François Anthoine exerce le pouvoir d'une poigne de fer. Visiblement, son enquête dérange. Mais son talent va lui permettre, comme toujours et avec la collaboration de son épouse Celia, de son amie Eléonore et de son fils Julien (entre autres), de résoudre l'énigme. Parmi les personnages qui « percent l'écran » de cette histoire, une...
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  • Bimach 16/10/2021
    Voilà une nouvelle aventure de l'"artiste vétérinaire" Augustin Duroch qui va combler ceux qui s'étaient déjà laissés subjuguer par les précédents épisodes. Les nouveaux lecteurs, eux peuvent parfaitement aborder la série par ce volume sans rien perdre à une lecture postérieure des précédents, chaque tome pouvant se lire indépendamment des autres. Une nouvelle fois, l'auteur, Anne Villemin Sicherman, nous fait vivre comme si nous y étions, à travers ses personnages, les évènements qui constituent le contexte historique de son roman. Nous assistons, médusés, au lynchage (le mot n'est évidemment pas utilisé, il n'existait pas à l'époque, contrairement à la chose qu'il désigne) d'un "ci-devant" chanoine par une foule sans doute manipulée, mais par qui? Nous nous préparons fébrilement, avec les autorités militaires, et tous les citoyens de Metz, à un éventuel assaut sur la ville de l'armée de Prussiens et d'émigrés qui fait le siège de Thionville, à deux heures de cheval seulement ; et nous suivons avec anxiété les infortunes d'Augustin, que certains souhaitent visiblement empêcher de mener l'enquête qui lui a été confiée. Quel est le rôle exact, dans la mort du chanoine, de la volcanique "femme rouge" qui semble mener le jeu au sein de sa section jacobine? Et quid d'autres personnages, pour certains haut placés, qui semblent avoir été en relation avec ce malheureux ecclésiastique d'ancien régime. Cette intrigue angoissante nous est contée avec ce beau style auquel l'auteur nous avait habitués, et qui tout en restant parfaitement simple et accessible, nous plonge lui aussi dans cette époque troublée. Enfin, en nous confrontant, à travers les personnages de cette histoire prenante, à la pesanteur croissante des comportements attitudes et pensées imposés, nous nous surprenons à faire quelques débuts de comparaisons avec certaines situations actuelles. Bref, un roman à ne manquer sous aucun prétexte.Voilà une nouvelle aventure de l'"artiste vétérinaire" Augustin Duroch qui va combler ceux qui s'étaient déjà laissés subjuguer par les précédents épisodes. Les nouveaux lecteurs, eux peuvent parfaitement aborder la série par ce volume sans rien perdre à une lecture postérieure des précédents, chaque tome pouvant se lire indépendamment des autres. Une nouvelle fois, l'auteur, Anne Villemin Sicherman, nous fait vivre comme si nous y étions, à travers ses personnages, les évènements qui constituent le contexte historique de son roman. Nous assistons, médusés, au lynchage (le mot n'est évidemment pas utilisé, il n'existait pas à l'époque, contrairement à la chose qu'il désigne) d'un "ci-devant" chanoine par une foule sans doute manipulée, mais par qui? Nous nous préparons fébrilement, avec les autorités militaires, et tous les citoyens de Metz, à un éventuel assaut sur la ville de l'armée de Prussiens et d'émigrés qui fait le siège de Thionville, à deux heures de cheval seulement ; et nous suivons avec anxiété les infortunes d'Augustin, que certains souhaitent visiblement empêcher de mener l'enquête qui lui a été confiée. Quel est le rôle exact, dans la mort du chanoine, de la volcanique "femme rouge" qui semble mener le jeu au sein de sa section...
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