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À couteaux tirés
Sophie Dupont (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 10/03/2016
Éditeurs :
Presses de la cité

À couteaux tirés

Sophie Dupont (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 10/03/2016
Entrée, plat, et règlement de comptes.         
Henry se rend en Californie et revoit à cette occasion l’amour de sa vie, Celia. Tous deux ont travaillé pour une cellule de la CIA à Vienne et ne se... Henry se rend en Californie et revoit à cette occasion l’amour de sa vie, Celia. Tous deux ont travaillé pour une cellule de la CIA à Vienne et ne se sont pas revus depuis l’attentat tragique qui a coûté la vie à cent vingt personnes dans un avion, cinq ans... Henry se rend en Californie et revoit à cette occasion l’amour de sa vie, Celia. Tous deux ont travaillé pour une cellule de la CIA à Vienne et ne se sont pas revus depuis l’attentat tragique qui a coûté la vie à cent vingt personnes dans un avion, cinq ans plus tôt. Celia a quitté la CIA et a fondé une famille. Malgré l’affection qu’il lui porte, Henry a une mission à remplir : découvrir si elle est la taupe à l’origine de la mort des otages... 
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EAN : 9782258135475
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258135475
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • GeorgesSmiley 06/03/2018
    Quand deux espions se mettent à table… Ces deux-là vont finir par parler, sans menaces, sans violences, sans tortures, tout simplement en tête à tête au restaurant, et la vérité surgira, peut-être, au dessert. Ils se sont aimés à Vienne et, après la tuerie de l’aéroport, elle est partie, brusquement, brutalement. Il ne s’en est toujours pas remis. Elle a refait sa vie, comme on dit, et lui fait toujours partie de la maison qu’elle a quittée. La maison c’est la CIA. Cinq ans plus tard, l’interrogatoire d’un terroriste capturé en Afghanistan laisse à penser que les pirates responsables du massacre de Vienne étaient renseignés par l’un des membres de leur équipe. Vérité ou intoxication ? Il est chargé de trouver la réponse avant que l’enquête ne soit prise en main directement par Langley. Quelle belle occasion de renouer le contact avec son ancienne partenaire ! Il l’invite au restaurant après s’être inventé une réunion secrète à proximité de la charmante ville de Carmel où elle demeure à présent. La braise couve encore sous le feu de sa passion trop brutalement éteinte ; malgré les mises en garde, ne risque-t-il pas de se brûler à nouveau ? La cuisine de l’espionnage n’est pas très digeste, alors, quand les aigreurs de l’amour déçu s’en mêlent, c’est encore plus difficile à digérer. La seconde partie du roman est haletante et, à mesure que la vérité semble poindre, les pages tournent de plus en plus vite dans l’attente du dénouement. Le lecteur est impatient de savoir qui paiera l’addition. Quatre étoiles pour le roman, un peu moins au Michelin sans doute. Quand deux espions se mettent à table… Ces deux-là vont finir par parler, sans menaces, sans violences, sans tortures, tout simplement en tête à tête au restaurant, et la vérité surgira, peut-être, au dessert. Ils se sont aimés à Vienne et, après la tuerie de l’aéroport, elle est partie, brusquement, brutalement. Il ne s’en est toujours pas remis. Elle a refait sa vie, comme on dit, et lui fait toujours partie de la maison qu’elle a quittée. La maison c’est la CIA. Cinq ans plus tard, l’interrogatoire d’un terroriste capturé en Afghanistan laisse à penser que les pirates responsables du massacre de Vienne étaient renseignés par l’un des membres de leur équipe. Vérité ou intoxication ? Il est chargé de trouver la réponse avant que l’enquête ne soit prise en main directement par Langley. Quelle belle occasion de renouer le contact avec son ancienne partenaire ! Il l’invite au restaurant après s’être inventé une réunion secrète à proximité de la charmante ville de Carmel où elle demeure à présent. La braise couve encore sous le feu de sa passion trop brutalement éteinte ; malgré les mises en garde, ne risque-t-il pas de se brûler à nouveau ? La cuisine de l’espionnage n’est pas très...
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  • MissG 23/04/2016
    Il y a un peu plus de cinq ans, Henry Pelham et Celia Favreau travaillaient ensemble à Vienne en tant qu'agents secrets, et étaient également amants. Puis il y a eu un attentat terroriste qui a coûté la vie à cent vingt personnes dans un avion, Celia a quitté la CIA, a fondé une famille et vit désormais aux Etats-Unis tandis que Henry a continué d'exercer son métier. Aujourd'hui, Henry vient visiter Celia en partie avec l'espoir de ranimer la flamme entre eux mais surtout pour accomplir sa mission : obtenir des réponses et savoir ce qui s'est exactement passé ce jour fatidique où cent vingt personnes ont perdu la vie. Cette histoire est un huis-clos se déroulant sur un laps de temps assez court, un dîner entre Celia et Henry, mais va permettre alternativement à chaque personnage d'évoquer le passé et de se replonger un peu plus de cinq ans en arrière à Vienne en livrant leurs points de vue et leurs impressions sur les événements qui s'y sont déroulés. Celia est une femme différente, elle est aujourd'hui mariée et mère de deux enfants et pourtant elle accepte de revoir son ancien amant : "Je suis assise en face du meilleur amant que j'aie jamais eu et nous discutons de choses qui n'existent plus pour moi. C'est un peu comme si je parlais de mes rêves.". A-t-elle véritablement changé et a-t-elle baissé sa garde ou bien joue-t-elle un double jeu comme Henry, qui est venu avec une idée bien précise derrière la tête concernant Celia : "Je pense à ce que je m'apprête à lui faire, et je me demande si je serai capable de vivre avec ce poids sur les épaules, alors même que toute mon entreprise a pour but d'assurer ma survie, justement." ? L'intrigue de ce roman est très prenante et fonctionne bien, une fois commencé il est difficile de le lâcher, d'autant que l'histoire se déroule toute seule et que l'alternance entre les points de vue de Henry et de Celia offre au lecteur un double éclairage sur les événements passés à Vienne et la perception de chacun. Si Henry apparaît comme un homme perdu dans le sens où sa vie se résume à son travail d'agent secret, Celia elle a su évoluer sans perdre les réflexes de sa vie passée, ce qui l'amène d'ailleurs à s'interroger sur l'affectation que son travail passé a sur sa vie actuelle : "Est-ce que cette spirale infernale du pouvoir risque de nous jouer des tours, à nous aussi ?". Peut-être est-ce parce que je suis une femme j'ai ressenti plus d'empathie pour le personnage de Celia et l'évolution qu'elle a connue, le personnage de Henry a su moins me toucher, en tout cas je comprenais la démarche que Celia a pu avoir à l'époque de Vienne et le choix radical qu'elle a fait de changer de vie. Difficile de vous en dire plus sans dévoiler l'histoire mais il y a de nombreux rebondissements et je ne m'attendais pas tout à fait à cette fin, preuve que l'auteur a su endormir ma méfiance sur certains aspects de l'histoire pour me faire partir sur une autre piste. Je ne connaissais pas Olen Steinhauer mais j'ai beaucoup apprécié cette lecture, l'intrigue policière fonctionne et il a distillé beaucoup de suspens dans son scénario. D'ailleurs j'imagine assez bien cette histoire en version cinématographique. Mon léger regret est que j'ai été attirée par ce livre car une partie de l'intrigue se passe à Vienne or au final je n'ai pas vraiment retrouvé cette ville que je connais, les personnages ne font que citer des noms de rues ou de boîtes de nuit, je m'attendais à ce que des monuments ou des lieux emblématiques soient évoqués, à part la Gloriette dans le parc du château de Schönbrunn je n'ai pas été servie pour des retrouvailles littéraires avec Vienne. Enfin, c'est un coïncidence avec le contexte actuel mais c'est le deuxième roman que je lis en l'espace de quelques mois où il est question d'un attentat terroriste majeur, je préfère bien entendu que ce genre d'événement reste du domaine de la fiction plutôt que du réel mais je trouve toujours intéressant de lire ce type d'histoire pour voir la façon dont l'auteur le traite. "A couteaux tirés" porte bien son nom car d'un simple dîner de retrouvailles ce roman se transforme en joutes verbales entre les deux protagonistes jusqu'à ce que la vérité éclate, ne pas hésiter à consommer si vous êtes curieux de voir les coulisses des services secrets et de la lutte antiterroriste. Il y a un peu plus de cinq ans, Henry Pelham et Celia Favreau travaillaient ensemble à Vienne en tant qu'agents secrets, et étaient également amants. Puis il y a eu un attentat terroriste qui a coûté la vie à cent vingt personnes dans un avion, Celia a quitté la CIA, a fondé une famille et vit désormais aux Etats-Unis tandis que Henry a continué d'exercer son métier. Aujourd'hui, Henry vient visiter Celia en partie avec l'espoir de ranimer la flamme entre eux mais surtout pour accomplir sa mission : obtenir des réponses et savoir ce qui s'est exactement passé ce jour fatidique où cent vingt personnes ont perdu la vie. Cette histoire est un huis-clos se déroulant sur un laps de temps assez court, un dîner entre Celia et Henry, mais va permettre alternativement à chaque personnage d'évoquer le passé et de se replonger un peu plus de cinq ans en arrière à Vienne en livrant leurs points de vue et leurs impressions sur les événements qui s'y sont déroulés. Celia est une femme différente, elle est aujourd'hui mariée et mère de deux enfants et pourtant elle accepte de revoir son ancien amant : "Je suis assise en face du meilleur amant que...
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  • Fapifap 10/04/2016
    Henry Pelham et Célia Favreau sont deux espions Américains. Le premier est un homme de terrain, fait de réseaux et de contacts en tout genre. La seconde est chargée de la coordination des opérations. Espions le jour, amants la nuit. Un équilibre fragile s’installe jusqu’à ce qu’un attentat fasse des centaines de mort à l’aéroport de Vienne. Plusieurs bombes explosent et c’est un couple fragile qui va voler en éclat avec le départ précipité de Célia. Plusieurs années ont passé et un mail d’Henry à destination de Célia va rompre le silence. En effet, Henry indique qu’il compte prendre l’avion vers la côte Ouest des Etats Unis et souhaite revoir Célia. Une question s’impose à nous : Que se cache-t-il derrière ses émouvantes retrouvailles ? Un duel tout en complaisance va se mettre en place… Un dîner comme colonne vertébrale à ce roman. Un dîner ou les convenances vont rapidement se déliter et laisser place aux questions essentielles : Pourquoi faire 2000 km pour revoir une ancienne amante ? Pourquoi partir de manière si précipitée alors qu’un terrible attentat vient d’être commit ? Olen Steinhauer, qui n’en est pas à son premier coup d’essai dans le genre espionnage, signe ici un livre court (à peine 250 pages) ou toute l’efficacité réside dans cette tension grandissante entre les deux personnages principaux. L’intrigue s’articule autour d’un dîner et les flash-backs autour de l’attentat permettent de changer de rythme et d’introduire les personnages secondaires. On aurait aimé plus de détails mais l’histoire s’avère consistante malgré un nombre limité de pages. L'auteur alterne les points de vue de Célia et Henry pour finalement les confronter dans la dernière partie du roman ce qui a pour effet de ressentir de l'empathie pour les deux. Rien n'est uniquement blanc ou uniquement noir et chacun apporte sa nuance de gris en pensant agir, en bien ou en mal, dans l’intérêt de l'autre d'autant plus lorsque l'univers professionnel et privé sont entremêlés. En résumé un livre qui se lit vite avec lequel on ne s’ennuie pas mais qui risque d'être rapidement oublié. La trame est relativement simple et pour peu que l’on soit des lecteurs avides de ce type de romans on ne tarde pas à prédire le dénouement. Un livre à voir comme un premier pied à l’étrier des romans d’espionnage. Un grand merci à Babelio ainsi qu’à la maison d’édition Presses de la cité pour l’envoi de ce livre qui nous permet à nous lecteurs de se confronter à des auteurs et donc des univers méconnus. Henry Pelham et Célia Favreau sont deux espions Américains. Le premier est un homme de terrain, fait de réseaux et de contacts en tout genre. La seconde est chargée de la coordination des opérations. Espions le jour, amants la nuit. Un équilibre fragile s’installe jusqu’à ce qu’un attentat fasse des centaines de mort à l’aéroport de Vienne. Plusieurs bombes explosent et c’est un couple fragile qui va voler en éclat avec le départ précipité de Célia. Plusieurs années ont passé et un mail d’Henry à destination de Célia va rompre le silence. En effet, Henry indique qu’il compte prendre l’avion vers la côte Ouest des Etats Unis et souhaite revoir Célia. Une question s’impose à nous : Que se cache-t-il derrière ses émouvantes retrouvailles ? Un duel tout en complaisance va se mettre en place… Un dîner comme colonne vertébrale à ce roman. Un dîner ou les convenances vont rapidement se déliter et laisser place aux questions essentielles : Pourquoi faire 2000 km pour revoir une ancienne amante ? Pourquoi partir de manière si précipitée alors qu’un terrible attentat vient d’être commit ? Olen Steinhauer, qui n’en est pas à son premier coup d’essai dans le genre espionnage, signe ici un...
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  • Syl 04/04/2016
    Henry Pelham, agent de la CIA en poste en Autriche, doit rencontrer dans un restaurant de Carmel (Californie), Célia Favreau qu’il n’a pas revue depuis cinq ans. Ancienne maîtresse et agent lorsqu’ils étaient en poste à l’ambassade de Vienne, elle est à présent une femme « rangée », photographe pour le journal local, mariée et mère de deux enfants. S’il veut lui parler, ce n’est pas pour lui rappeler le bon vieux temps, mais pour l’interroger sur un dossier sensible, non classé ; Frankler. En 2006 à l’aéroport de Vienne, un attentat islamiste avait fait cent vingt victimes. Suite à cette tragédie, leur cellule à l’ambassade avait été disloquée. Le chef Bill Compton avait pris sa retraite, et Célia qui travaillait sous ses ordres directs, avait demandé à retourner en Amérique, mettant subitement fin à sa relation avec Henry. Mais cinq ans plus tard, l’affaire refait surface avec le témoignage d’un détenu de Guantanamo qui a avoué qu’un agent de l’ambassade aurait été complice. La sulfureuse révélation met en joue les cinq personnes présentes lors de l’attentat ; Henry, Célia, Bill, Vick et Gene. Frankler est une mission délicate qu’il ne faut surtout pas faire remonter à Langley. Henry et Vick se concertent et s’entendent sur ce fait… l’enquête doit être officieuse et deux sur les cinq sont désignées suspectes. « – Tu sais ce qu’il en est, Henry. On ne peut pas se permettre un procès, et il n’est pas question d’un échange de prisonniers avec les djihadistes. En fait, je préfèrerais que Langley n’en entende jamais parler. – Si je comprends bien, tu voudrais que j’exécute le traître. -… Je n’ai jamais dit ça… » Après avoir interrogé Bill, Henry se prépare à retrouver Célia. Dans le restaurant, il l’attend avec impatience, fantasmant sur cette femme qu’il aime toujours. Différente, plus voluptueuse, moins sûre d’elle, la métamorphose le saisit sur l’instant. Elle lui plaît. Les premiers échanges sont guindés, il perd ses moyens, mais très vite leur professionnalisme rétablit les codes. La joute s’engage. A tour de rôle, ils prennent le pouvoir l’un sur l’autre. Attitudes policées, sourires complices, chaud, froid, ce pas de deux sera fatal. Henry appuie sur l’enregistreur et la laisse parler. Le huis-clos s’étend hors du restaurant et retrouve Vienne… Est-ce Célia le traître ? A l’extérieur, Treble, l’exécuteur des basses besognes se tient prêt. Sur un simple mot, il fait feu. « – Allô ? – Piccolo ? – Euh… oui. (…) – Bon, je la vois. Elle est là, devant moi. Elle marche dans la rue. Très lentement. (…) Si vous voulez que j’agisse, c’est le moment. Je ne sais pas quand se présentera une nouvelle occasion. – Je comprends. – A vous de décider, Piccolo. Il n’y aura aucune trace. Je peux faire ça proprement… » Ce roman d’espionnage nous remet en mémoire certains évènements de l’actualité qui se sont passés dans les années 2002-2003. Les attentats commis par les rebelles Tchétchènes, la répression russe, les assassinats. Par la suite, avec les attentats islamistes de l’histoire, c’est notre présent qui nous saute à la gorge. La partie géo-politique est abordée pour la toile de fond car en premier plan, l’auteur a voulu mettre à l’honneur l’échange verbeux entre Henry et Célia ; ambiance froide où la passe d’armes est toute en introspections, en analyses, en couperets, « à couteaux tirés ». L’étrange face à face, inquiétant, des deux amants est tout l’intérêt du livre. Le suspense n’étant pas étoffé, nous nous rabattons sur la psychologie des deux personnages et l’angoisse qui grimpe les échelons… Nous partageons alors leur nervosité, les nerfs sont pincés. J’ai apprécié ma lecture et je la proposerai certainement à une amie pour ses vacances.Henry Pelham, agent de la CIA en poste en Autriche, doit rencontrer dans un restaurant de Carmel (Californie), Célia Favreau qu’il n’a pas revue depuis cinq ans. Ancienne maîtresse et agent lorsqu’ils étaient en poste à l’ambassade de Vienne, elle est à présent une femme « rangée », photographe pour le journal local, mariée et mère de deux enfants. S’il veut lui parler, ce n’est pas pour lui rappeler le bon vieux temps, mais pour l’interroger sur un dossier sensible, non classé ; Frankler. En 2006 à l’aéroport de Vienne, un attentat islamiste avait fait cent vingt victimes. Suite à cette tragédie, leur cellule à l’ambassade avait été disloquée. Le chef Bill Compton avait pris sa retraite, et Célia qui travaillait sous ses ordres directs, avait demandé à retourner en Amérique, mettant subitement fin à sa relation avec Henry. Mais cinq ans plus tard, l’affaire refait surface avec le témoignage d’un détenu de Guantanamo qui a avoué qu’un agent de l’ambassade aurait été complice. La sulfureuse révélation met en joue les cinq personnes présentes lors de l’attentat ; Henry, Célia, Bill, Vick et Gene. Frankler est une mission délicate qu’il ne faut surtout pas faire remonter à Langley. Henry et Vick se...
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  • Ladoryquilit 28/03/2016
    Célia et Henry ont été amants et collègues de travail en tant qu'agents secrets à Vienne il y a de cela quelques années. Maintenant Célia a complètement changé de vie, elle vit en Californie et a fondé une famille tandis qu'Henry lui est toujours agent secret. Ils se retrouvent le temps d'un dîner en Californie, un dîner pendant lequel Henry doit découvrir ce que Célia sait sur un terrible attentat qui avait coûté la vie de 120 personnes cinq ans plus tôt. C'est dans un huis-clos autour d'une table de restaurant dans lequel nous plongeons avec A couteaux tirés. Henry et Célia se retrouvent donc cinq ans après une terrible affaire qui les a tous les deux marqués. Les deux personnages ont chacun des choses à cacher, on le ressent dès les premières pages. Les deux sont, ou ont été, agents secrets et ils jouent rapidement tous les deux leur rôle à merveille. Entre Henry qui veut faire parler Célia et Célia qui arrive à le détourner toujours de son but, le lecteur est pris dans une véritable joute verbale. Le temps du dîner on découvrira alors le lien qui les unit, un lien très fort puisqu'ils ont été amants il y a quelques années et d'ailleurs Henry a toujours des sentiments pour elle. Les deux en joueront dans leur conversation, n'hésitant pas à se lancer chacun des piques à ce propos. Nous replongerons avec eux dans une affaire particulière, un attentat terroriste dans un avion qui avait coûté la vie a 120 personnes et nous comprendront rapidement que quelque chose cloche dans cette histoire et c'est là où réside une part du suspens de ce roman. Nous découvrons alors une vraie histoire d'espionnage digne de ce nom ! L'alternance du récit entre Célia et Henry va nous permettre de découvrir bien des éléments aussi bien sur leur relation mais surtout sur ce fameux attentat qui cache bien des secrets. Les deux personnages ne sont pas prêts à lâcher quoi que ce soit et le lecteur est littéralement emmener dans cette affaire. L'écriture d'Olen Steinhauer permet au roman de garder toujours un très bon rythme, il ne s'essouffle jamais et même si on peut se douter de l'issue de l'histoire à quelques chapitres de la fin, au fil des pages il nous est de plus en plus difficile de reposer le livre car on finit par être pris au jeu et à essayer de découvrir de nous-même ce qui a bien pu se passer ce jour-là... A couteaux tirés est une jolie découverte , il y avait longtemps que je ne m'étais pas plongée dans une affaire d'espionnage et la façon dont celle-ci est amenée m'a beaucoup plu. Les deux personnages principaux sont forts et ici finalement on a du mal à s'attacher à eux. Se prenant au jeu de découvrir ce qui s'est passé on finit par les placer tous les deux dans la case "suspects" sans vraiment finalement s'attendre réellement à la tournure que prend la fin du livre. Je découvre une fois de plus grâce à une opération Masse Critique Babelio un roman sur lequel je ne me serais pas particulièrement arrêtée de moi même.Célia et Henry ont été amants et collègues de travail en tant qu'agents secrets à Vienne il y a de cela quelques années. Maintenant Célia a complètement changé de vie, elle vit en Californie et a fondé une famille tandis qu'Henry lui est toujours agent secret. Ils se retrouvent le temps d'un dîner en Californie, un dîner pendant lequel Henry doit découvrir ce que Célia sait sur un terrible attentat qui avait coûté la vie de 120 personnes cinq ans plus tôt. C'est dans un huis-clos autour d'une table de restaurant dans lequel nous plongeons avec A couteaux tirés. Henry et Célia se retrouvent donc cinq ans après une terrible affaire qui les a tous les deux marqués. Les deux personnages ont chacun des choses à cacher, on le ressent dès les premières pages. Les deux sont, ou ont été, agents secrets et ils jouent rapidement tous les deux leur rôle à merveille. Entre Henry qui veut faire parler Célia et Célia qui arrive à le détourner toujours de son but, le lecteur est pris dans une véritable joute verbale. Le temps du dîner on découvrira alors le lien qui les unit, un lien très fort puisqu'ils ont été amants il y...
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