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A-fou-rismes
Collection : Bibliothèque du dessinateur
Date de parution : 12/03/2015
Éditeurs :
le cherche midi

A-fou-rismes

Collection : Bibliothèque du dessinateur
Date de parution : 12/03/2015

Retrouvez tout l’humour de Morez dans ses A-Fou-rismes, jeux de mots et mots d’esprit, en savourant un livre antidote contre la morosité, illustré par l'auteur.

Henri Morez a publié des milliers de dessins humoristiques dans des titres aussi prestigieux que Paris Match, Elle, Jours de France, Le Figaro littéraire, Lui, Ici Paris, Bizarre, Le Pèlerin,...

Henri Morez a publié des milliers de dessins humoristiques dans des titres aussi prestigieux que Paris Match, Elle, Jours de France, Le Figaro littéraire, Lui, Ici Paris, Bizarre, Le Pèlerin, Notre Temps, mais aussi dans Punch en Angleterre et Panorama en Italie.

Depuis 1985, il se consacre à la peinture et...

Henri Morez a publié des milliers de dessins humoristiques dans des titres aussi prestigieux que Paris Match, Elle, Jours de France, Le Figaro littéraire, Lui, Ici Paris, Bizarre, Le Pèlerin, Notre Temps, mais aussi dans Punch en Angleterre et Panorama en Italie.

Depuis 1985, il se consacre à la peinture et à l'écriture.

 

Ses "afourismes", accompagnés de quelques-uns de ses dessins, témoignent que l'humour est l'antidote essentiel à la morosité de la vie et au désespoir de chacun. Henri Morez a aujourd'hui 92 ans.

 

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EAN : 9782749135403
Façonnage normé : EFL3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782749135403
Façonnage normé : EFL3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • outofzebra 13/12/2013
    Emmanuel Mané-Katz -dit «Morez»- a connu son heure de gloire dans l’après-guerre, quand les plus célèbres titres de la presse magazine publiaient encore plusieurs pleines pages de dessins humoristiques. Morez collabora à des titres aussi différents que «Krokodil», journal humoristique soviétique, «Lui», «Paris-Match», «Le Pèlerin», «Punch». Il est vrai que les humoristes s’encombrent rarement d’idéologie. Prolifique, Morez a donc rarement été publié sous forme de recueil. «Afourismes», au «Cherche-midi», comble cette lacune. S’il n’est pas aussi subversif qu’Alphonse Allais, dynamiteur subtil de cette religion de l’homme moderne qu’est le « progrès », reculant à mesure qu’on s’approche de lui, Morez polit des aphorismes ou des bons mots, et les intercale entre ses dessins, évocateurs des saillies du maître normand. Voyez plutôt : « Le maroquinier a licencié l’apprenti, il l’a surpris la main dans le sac. » ; « Elle ne va plus à la selle quand elle monte à cheval. » ; « Un type trop « raide » pour se payer une boîte de viagra » ; « Ils s’entendent à merveille : il est peintre, sa femme est cadre. » ; ces facéties nous rappellent que l’art populaire a toujours comporté une part de raillerie ou de désinvolture vis-à-vis du langage, sacré en revanche du point de vue de l’élite et de ses rhéteurs. Morez a aussi en commun avec certains artistes du «Chat Noir» une opportune reconversion de peintre en dessinateur humoristique, en des temps où la peinture de chevalet ne sert plus guère qu’à épater le chaland ou à l’art-thérapie. Comme il ne traînait pas de «Paris-Match», de «Lui» ou de «Pèlerin» dans le grenier de mon grand-père, qui préférait les quotidiens plus adéquats pour allumer le feu ou dégraisser la vaisselle, je dois avouer que Morez (nonagénaire) est pour moi une heureuse découverte. Son trait évoque un peu celui de Sempé, en plus franc.Emmanuel Mané-Katz -dit «Morez»- a connu son heure de gloire dans l’après-guerre, quand les plus célèbres titres de la presse magazine publiaient encore plusieurs pleines pages de dessins humoristiques. Morez collabora à des titres aussi différents que «Krokodil», journal humoristique soviétique, «Lui», «Paris-Match», «Le Pèlerin», «Punch». Il est vrai que les humoristes s’encombrent rarement d’idéologie. Prolifique, Morez a donc rarement été publié sous forme de recueil. «Afourismes», au «Cherche-midi», comble cette lacune. S’il n’est pas aussi subversif qu’Alphonse Allais, dynamiteur subtil de cette religion de l’homme moderne qu’est le « progrès », reculant à mesure qu’on s’approche de lui, Morez polit des aphorismes ou des bons mots, et les intercale entre ses dessins, évocateurs des saillies du maître normand. Voyez plutôt : « Le maroquinier a licencié l’apprenti, il l’a surpris la main dans le sac. » ; « Elle ne va plus à la selle quand elle monte à cheval. » ; « Un type trop « raide » pour se payer une boîte de viagra » ; « Ils s’entendent à merveille : il est peintre, sa femme est cadre. » ; ces facéties nous rappellent que l’art populaire a toujours comporté une part de raillerie ou de désinvolture vis-à-vis du langage, sacré en...
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