Lisez! icon: Search engine
À pile ou face
Oscar Perrin (traduit par)
Date de parution : 06/06/2019
Éditeurs :
Les Escales
En savoir plus

À pile ou face

Oscar Perrin (traduit par)
Date de parution : 06/06/2019
Le retour de Jeffrey Archer, véritable « conteur de la trempe d’Alexandre Dumas. » (The New York Times). Un nouveau coup de maître !
 
 
Leningrad, 1968. Alexandre Karpenko est, depuis sa plus tendre enfance, destiné à de grandes choses. Mais lorsque son père est assassiné par le KGB pour avoir défié l’État, lui et... Leningrad, 1968. Alexandre Karpenko est, depuis sa plus tendre enfance, destiné à de grandes choses. Mais lorsque son père est assassiné par le KGB pour avoir défié l’État, lui et sa mère vont devoir fuir l’URSS. Sur les quais d’un port, une décision irrévocable les attend : faut-il embarquer pour... Leningrad, 1968. Alexandre Karpenko est, depuis sa plus tendre enfance, destiné à de grandes choses. Mais lorsque son père est assassiné par le KGB pour avoir défié l’État, lui et sa mère vont devoir fuir l’URSS. Sur les quais d’un port, une décision irrévocable les attend : faut-il embarquer pour les États-Unis ou pour la Grande-Bretagne ? Alexandre joue son destin à pile ou face…
Deux vies parallèles s’offrent alors à lui. À Londres, la poursuite de brillantes études. À New York, il se lance dans les affaires.
Une formidable épopée de plus de trente ans entre deux continents, deux mondes parsemés d’embûches qu’Alexandre va devoir conquérir.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782365694681
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
Les Escales
En savoir plus
EAN : 9782365694681
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

« Archer sait exactement comment alimenter le suspense jusqu’à la toute dernière page... celle qui clôt le livre dans un retournement de situation impressionnant. »
 
The Washington Post
« S’il y avait un prix Nobel des conteurs, Archer en serait incontestablement le lauréat. »
 
The Daily Telegraph
« L’un des dix meilleurs écrivains du monde. »
 
Los Angeles Times

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • PdGvins 06/08/2023
    1968, un jeune homme s'enfuit d'URSS avec sa mère. Deux bateaux quittent le port, il faut choisir, Etats-Unis ou Grande-Bretagne? Evidemment la vie ne sera pas la même. Alors, Jeffrey Archer ne choisit pas et nous décrit deux destins qui, curieusement se croiseront. Peut-être. Pour le meilleur et pour le pire, surtout avec un meilleur ennemi comme Wladimir. Distrayant et efficace.
  • clairemarquez75 15/11/2021
    "Ce premier chapitre ne fait pas partie du livre. Les mots étaient déjà là, à cette place exacte sur la pile des pages blanches. Le papier libre n'existe pas, il est occupé, sous le joug d'une armée de fourmis noires, indomptables, increvables, elles roulettes sous le talon comme de la grenaille, elles percent la page et reviennent s'y vautrer et vous dénoncent. C'est de la mémoire morte, du vent monté du centre de la terre, de ses rejets de cendre. De lourdes cicatrices de blessures anciennes. Ce ne sont pas des fourmis noires, de la mémoire morte, non, ce sont des fourmis rouges, de la mémoire vive, elles grouillent sur mes mains depuis le soir où mon père a dépendu le mort, le suicidé de l'avenue. Cela aussi, je voudrais l'effacer." La chambre de Stella m'a choisie, dans le lot d'une recyclerie. Sa photo ancienne de deux enfants sur fond sépia m'a tendu la page, et Jean-Baptiste Harang a fait le reste, jouant le rôle d'un agent immobilier familial. Doué d'une poésie du quotidien, l'auteur nous invite à la table de sa famille pour l'aider à révéler le secret de sa famille, dans ce petit village de la Creuse. Je viens de passer un moment délicieux, de nature à m'attirer dans les filets de ce nouvel auteur, également journaliste."Ce premier chapitre ne fait pas partie du livre. Les mots étaient déjà là, à cette place exacte sur la pile des pages blanches. Le papier libre n'existe pas, il est occupé, sous le joug d'une armée de fourmis noires, indomptables, increvables, elles roulettes sous le talon comme de la grenaille, elles percent la page et reviennent s'y vautrer et vous dénoncent. C'est de la mémoire morte, du vent monté du centre de la terre, de ses rejets de cendre. De lourdes cicatrices de blessures anciennes. Ce ne sont pas des fourmis noires, de la mémoire morte, non, ce sont des fourmis rouges, de la mémoire vive, elles grouillent sur mes mains depuis le soir où mon père a dépendu le mort, le suicidé de l'avenue. Cela aussi, je voudrais l'effacer." La chambre de Stella m'a choisie, dans le lot d'une recyclerie. Sa photo ancienne de deux enfants sur fond sépia m'a tendu la page, et Jean-Baptiste Harang a fait le reste, jouant le rôle d'un agent immobilier familial. Doué d'une poésie du quotidien, l'auteur nous invite à la table de sa famille pour l'aider à révéler le secret de sa famille, dans ce petit village de la Creuse. Je viens de passer...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Marech20 20/10/2020
    Je l'ai dévoré. Le fait de passer d'une histoire à l'autre, d'une possibilité à l'autre ne m'a pas gêné. Tout n'est pas crédible... mais on se laisse prendre. Et alors, cette chute....!!!
  • cbondeelle 28/07/2020
    Lecture toujours agréable. un bon livre pour l'été. Quelques petits clins d'oeil aux Clifton.
  • Delphine-Olympe 26/01/2020
    « L’auteur aux 270 millions de lecteurs » ? Et moi qui ne connaissais même pas son nom ! Bon, ce n’est pas forcément l’argument auquel je suis le plus sensible, mais à la veille du pont de l’Ascension je cherchais un bouquin facile et captivant, un roman à la Dumas en somme. Une référence justement évoquée par le New York Times et opportunément rappelée par l’éditeur en quatrième de couverture... Aucune hésitation ! Pour ce long week-end de quatre jours, j’allais donc prendre un billet pour l’URSS, fin des années 60. Aleksandr Karpenko, jeune garçon brillant, rêve de se procurer une place pour la demi-finale de foot qui va bientôt opposer sa ville natale, Leningrad, à Moscou. Mais sauf à être un apparatchik, aucune chance d’en obtenir une, comme le lui rappelle son père au moment de partir pour les docks où il travaille et où il s’attache surtout, dans la clandestinité, à fonder un syndicat de travailleurs. Ces paroles sont les dernières qu’il adressera à son fils puisque quelques heures plus tard une lourde charge lui tombe malencontreusement dessus, le tuant sur le coup... Aleksandr et sa mère Elena décident de fuir le pays. Grâce à la complicité du frère de cette dernière et au prix d’un risque démesuré, ils vont pouvoir se dissimuler dans le chargement d’un cargo pour gagner un pays de l’ouest. Deux bateaux sont à quai, deux possibilités s’offrent à eux : l’Angleterre ou l’Amérique. Un dilemme que les personnages vont résoudre à pile ou face. Un dilemme que l’auteur va quant à lui choisir de ne pas trancher, puisqu’il va imaginer leur histoire dans chacun des deux pays par le simple jeu de l’alternance des chapitres. Passé la légère perplexité produite par une relecture de la traversée maritime des personnages avec de légères variantes, on s’attache rapidement à en connaître l’issue. Moyennant l'attribution au héros de deux diminutifs différents pour les deux versants de l'histoire, on prend très vite ses repères et on n’a aucun mal à suivre les aventures des personnages dans chacun des deux pays. Deux aventures qui, tout en se faisant écho, vont progressivement s’éloigner l’une de l’autre en fonction du contexte socio-historique propre aux deux Etats. Drôle d’idée, me direz-vous, que de faire cohabiter deux formes possibles de l’intrigue ? Oui, mais cela fonctionne étonnamment bien. D’abord parce que c’est une expérience peu commune que de pouvoir entrer dans la cuisine d’un auteur et de voir ainsi comment d’une situation donnée peuvent découler différents récits. Ensuite parce que Jeffrey Archer a un incontestable talent de conteur, et on tourne très rapidement les pages du livre pour connaître la manière dont Alex-Sasha va accomplir le destin auquel il semble promis. Rebondissements, revers de fortune, personnages aussi perfides que Milady sont les savoureux ingrédients de ce roman. Et même si certains coups de théâtre apparaissent parfois un peu cousus de fil blanc, je n’ai pas boudé mon plaisir, jusqu’au twist final qui m’a cueillie par surprise et fait largement sourire ! En ce qui me concerne, ce roman a donc parfaitement rempli son office. Peut-être sera-t-il de votre côté le candidat idéal au fameux pavé de l'été… « L’auteur aux 270 millions de lecteurs » ? Et moi qui ne connaissais même pas son nom ! Bon, ce n’est pas forcément l’argument auquel je suis le plus sensible, mais à la veille du pont de l’Ascension je cherchais un bouquin facile et captivant, un roman à la Dumas en somme. Une référence justement évoquée par le New York Times et opportunément rappelée par l’éditeur en quatrième de couverture... Aucune hésitation ! Pour ce long week-end de quatre jours, j’allais donc prendre un billet pour l’URSS, fin des années 60. Aleksandr Karpenko, jeune garçon brillant, rêve de se procurer une place pour la demi-finale de foot qui va bientôt opposer sa ville natale, Leningrad, à Moscou. Mais sauf à être un apparatchik, aucune chance d’en obtenir une, comme le lui rappelle son père au moment de partir pour les docks où il travaille et où il s’attache surtout, dans la clandestinité, à fonder un syndicat de travailleurs. Ces paroles sont les dernières qu’il adressera à son fils puisque quelques heures plus tard une lourde charge lui tombe malencontreusement dessus, le tuant sur le coup... Aleksandr et sa mère Elena décident de fuir le pays. Grâce à la complicité du frère...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la newsletter Les Escales
Découvrez la prochaine Escale de votre voyage littéraire !