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Aimer trois fois par jour
Jean-Luc Defromont (traduit par)
Date de parution : 12/05/2016
Éditeurs :
12-21

Aimer trois fois par jour

Jean-Luc Defromont (traduit par)
Date de parution : 12/05/2016
 
Il existe une différence fondamentale entre aimer quelqu’un et le rendre heureux.
À plus de quarante ans, un mariage conjugué au passé, des enfants distants et une dépression à son actif,...
 
Il existe une différence fondamentale entre aimer quelqu’un et le rendre heureux.
À plus de quarante ans, un mariage conjugué au passé, des enfants distants et une dépression à son actif, Diego Anastasi l’ignore encore.
Comme sa vie ne ressemble désormais guère à une partie de plaisir, il cherche du réconfort auprès...
 
Il existe une différence fondamentale entre aimer quelqu’un et le rendre heureux.
À plus de quarante ans, un mariage conjugué au passé, des enfants distants et une dépression à son actif, Diego Anastasi l’ignore encore.
Comme sa vie ne ressemble désormais guère à une partie de plaisir, il cherche du réconfort auprès de ses proches et fait une découverte inattendue : peu nombreux sont ceux qui désirent de prendre réellement soin de lui. Or, Diego aussi était souvent aux abonnés absents pour apporter du soutien à autrui…
Alors qu’il peine à voir la lumière au bout du tunnel, la rencontre avec un inconnu va changer la donne : et si le bien-être personnel passait par le bien-être des autres ?
Convaincu de tenir la clé de sa rédemption, Diego se lance corps et âme dans sa nouvelle mission : créer le bonheur de ses proches.
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EAN : 9782823843507
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823843507
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • scrambledspirit 10/04/2018
    Et voilà j'en ai lu un de ces livres qui font du bien. Et franchement ça m'a plu. Rien de très extraordinaire, une lecture sans prise de tête et qui fait effectivement du bien surtout quand ça ne va pas fort. Sans pour autant me transporter. Ce livre ne m'a rien appris j'avais déjà fait depuis un moment le constat que si personne ne prend soin de vous, il ne faut pas s'étonner, c'est sans doute parce que vous ne prenez soin de personne et que vous ne pensez qu'à vos propres malheurs sans vous soucier de ceux des autres et c'est là qu'on perd ! Après, la façon dont Diego s'occupe des autres n'est pas celle que j'aurais choisi... le mensonge n'amène que d'autres mensonges et on fini par s'empêtrer dedans ...
  • LectriceArmoricaine 19/07/2016
    Mon avis détaillé : C’est en touchant le fond que notre personnage principal Diego, va prendre conscience qu’il a le pouvoir de changer les choses et qu’il n’est pas trop tard pour profiter de sa vie et de ses proches. C’est parfois au détour d’une rencontre inattendue ou lors d’une conversation profonde avec un inconnu que l’on ouvre les yeux. Le déclic survient souvent lorsque l’on s’écarte du chemin habituel. Je dois dire que j’ai vraiment beaucoup aimé ce livre. Pour moi il y a clairement deux parties distinctes dans ce roman. La première partie traite du mal être de Diego et de sa descente aux enfers. Nous le suivons lors de plusieurs séances chez son psychiatre lors desquelles il va se livrer sur son enfance et remonter le fil de son passé afin de mieux comprendre l’homme qu’il est maintenant. Le ton qu’il utilise est tantôt ironique tantôt émouvant. Et c’est ce qui fait que tout cette première partie sur la dépression en elle-même est très poignante. On a un homme qui tombe en dépression et se retrouve en totale solitude, ses amis et sa famille semblent l’ignorer et minimiser ses problèmes. Lui qui ne pensait que ça ne lui arriverait jamais il se retrouve en séances à parler de son enfance avec un psychiatre. Son psychiatre qu’il désigne de façon très flatteuse « le rat géant », « le petit castor », « le rongeur ». Comme beaucoup, Diego a des préjugés sur la dépression et les personnes qui en souffrent, jusqu’au jour où ça lui tombe dessus, il utilise la moquerie et le ton ironique comme moyen de défense. C’est donc avec pas mal d’autodérision que le personnage commence sa propre analyse avec son psychiatre. [D’ailleurs petite remarque personnelle : je ne sais pas si c’est une erreur de traduction ou un choix de l’auteur mais pendant tout le roman le personnage va parler de lui comme « déprimé », jamais n’est utilisé le terme « dépressif ». Or ces deux termes sont à nuancer fortement selon moi, après je ne sais pas si cette nuance existe en italien mais j’avoue quand même que ça m’a énervé de lire ce terme « déprimé » au lieu de « dépressif ». Est-ce un choix de l’auteur et dans ce cas-là il minimise lui aussi la dépression ou bien est-ce que c’est son personnage qui use encore une fois de dérision vis-à-vis de lui-même et qui n’accepte pas finalement la maladie dont il souffre ? Je ne sais pas c’est bizarre, éclairez-moi si vous avez un avis sur le sujet ) Lors de son analyse, Diego revient sur des passages importants de son enfance avec son recul d’adulte, il nous livre par exemple une déclaration d’amour posthume à son grand-père, ce passage est vraiment très émouvant. J’ai trouvé toute cette première partie qui traite de la dépression intéressante. L’auteur utilise des chiffres, on a du factuel sur cette maladie, il nomme aussi des personnes célèbres qui ont souffert de ce « mal de vivre ». Bref j’ai trouvé que c’était bien fait. A la fin de la première partie Diego est au plus bas, il fait face à l’incompréhension totale de ses proches qui frôle parfois avec de l’indifférence. Au plus bas moment de sa dépression il va envisager le suicide. A partir de cet évènement, nous entrons dans ce que j’appelle la deuxième partie du roman. Diego rencontre Massimiliano. Ce personnage est d’une importance capitale car il va presque remplacer le rôle du psychiatre de Diego. Massimiliano va lui ouvrir les yeux et le forcer à regarder la vérité en face. Qu’a-t-il fait de bien pour ses proches récemment ? A-t-il été suffisamment présent pour eux ? Il va l’amener à le faire réfléchir et lui montrer que la démarche du pardon est essentielle dans l’optique d’aller de l’avant. Diego reproche à ses proches de ne pas avoir été là pour lui mais lui, était-il là pour eux ? Diego va tenter d’apporter du bonheur à son entourage. Il va s’y prendre de façon extrêmement maladroite et ne va pas forcément utiliser les bons moyens pour y arriver. Via des mises en scène, des trucages, et des mensonges, tous ses efforts pour régler les petits problèmes de ses proches vont lui retomber dessus. Cette partie m’a moins plu que la première car je n’ai pas compris pourquoi Diego employait ses moyens là. Apporter du bonheur va devenir comme une thérapie. Diego a l’esprit occupé et de ce fait il n’a plus le temps de penser à son propre malheur. En effet dans cette deuxième partie, on ne parle plus du tout de la dépression et de la psychanalyse. J’ai eu l’impression que sa dépression disparaissait comme par magie et du coup j’ai trouvé que le traitement de la maladie et surtout de la guérison manquait de nuances. J’ai tout de même beaucoup aimé ma lecture et la fin du roman. On a un joli message de fin, un peu idéaliste mais c’est le genre de fin qui fait du bien et qui fait réfléchir sur les priorités de la vie. Souvent on cherche le bonheur trop loin alors qu’il est juste sous nos yeux, mais c’est bien de s’en rendre compte soi-même, ça fait avancer. Nous avons également un beau discours sur l’amitié. Pour conclure, l’auteur arrive à parler de la dépression de façon très juste avec le thème de la solitude, de l’incompréhension des proches vis-à-vis de la maladie, des préjugés que l’on avant que ça nous arrive. Attention ce n’est pas un livre « médical » même si l’auteur s’est bien renseigné sur la dépression, le traitement de la guérison reste cependant selon moi trop idéalisée et manquant de nuances. C’est un livre positif dans lequel on passe de l’ombre àla lumière, du noir au blanc. J’ai vraiment beaucoup aimé ma lecture, ça se lit très bien, la plume de l’auteur est géniale, à la fois juste, émouvante, il arrive aussi à mettre des petites touches d’humour. L’auteur nous embarque dans une histoire formidable, très bien écrite. Ce livre ne m’a pas laissé indifférente et je ne peux que vous le recommander. Par contre encore une fois on a un titre traduit en français qui n’a rien à voir avec le titre VO puisque que le titre en italien donne : « Si vous m’aimez ». J’aimerais bien savoir comment on est passé de « Si vous m’aimez » à « Aimer trois fois par jour ».Mon avis détaillé : C’est en touchant le fond que notre personnage principal Diego, va prendre conscience qu’il a le pouvoir de changer les choses et qu’il n’est pas trop tard pour profiter de sa vie et de ses proches. C’est parfois au détour d’une rencontre inattendue ou lors d’une conversation profonde avec un inconnu que l’on ouvre les yeux. Le déclic survient souvent lorsque l’on s’écarte du chemin habituel. Je dois dire que j’ai vraiment beaucoup aimé ce livre. Pour moi il y a clairement deux parties distinctes dans ce roman. La première partie traite du mal être de Diego et de sa descente aux enfers. Nous le suivons lors de plusieurs séances chez son psychiatre lors desquelles il va se livrer sur son enfance et remonter le fil de son passé afin de mieux comprendre l’homme qu’il est maintenant. Le ton qu’il utilise est tantôt ironique tantôt émouvant. Et c’est ce qui fait que tout cette première partie sur la dépression en elle-même est très poignante. On a un homme qui tombe en dépression et se retrouve en totale solitude, ses amis et sa famille semblent l’ignorer et minimiser ses problèmes. Lui qui ne pensait que ça ne...
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  • seriephile 15/05/2016
    Fausto Brizzi fait partie de ces auteurs qui écrivent des romans qui font du bien. J’ai eu la chance de pouvoir lire son premier roman, Les beignets d’Oscar, que j’avais beaucoup apprécié, il était donc clair que si l’opportunité de lire son second roman se présentait je la saisirait. J’ai tout de suite retrouvé les qualités de l’auteur italien qui m’avait tant séduite lors de la lecture de son premier roman.Cette fois-ci il nous propose une histoire sur l’amitié. Diego est un homme sociable, ayant de nombreux amis sur qui compter, du moins c’est ce qu’il croit, jusqu’au jour où il ressent le besoin d’être épaulé et que les choses ne se déroulent pas comme il l’avait prévu. Le sujet est universel, il nous concerne tous. De qui sommes nous proches? Est-ce que ceux que nous considérons comme nos amis le pensent également de nous? Comment entretenir les liens amicaux pour qu’ils puissent être de qualité et perdurer sans anicroches? Et surtout, suis-je un bon ami? Autant de questions que nous force à nous poser Fausto Brizzi après la lecture de son roman plein de tendresse et de bons sentiments (à ne pas prendre comme un commentaire niais ou péjoratif, il s’agit réellement d’une grande qualité). J’aurais toutefois une petite critique à faire. J’ai trouvé la mise en place de l’intrigue un peu longue. Mais c’est surement parce que je souhaitais voir les choses évoluer positivement pour le personnage principal, retrouver un peu d’optimisme. En résumé, j’ai passé un agréable moment en compagnie des personnages très attachants de Fausto Brizzi. Fausto Brizzi fait partie de ces auteurs qui écrivent des romans qui font du bien. J’ai eu la chance de pouvoir lire son premier roman, Les beignets d’Oscar, que j’avais beaucoup apprécié, il était donc clair que si l’opportunité de lire son second roman se présentait je la saisirait. J’ai tout de suite retrouvé les qualités de l’auteur italien qui m’avait tant séduite lors de la lecture de son premier roman.Cette fois-ci il nous propose une histoire sur l’amitié. Diego est un homme sociable, ayant de nombreux amis sur qui compter, du moins c’est ce qu’il croit, jusqu’au jour où il ressent le besoin d’être épaulé et que les choses ne se déroulent pas comme il l’avait prévu. Le sujet est universel, il nous concerne tous. De qui sommes nous proches? Est-ce que ceux que nous considérons comme nos amis le pensent également de nous? Comment entretenir les liens amicaux pour qu’ils puissent être de qualité et perdurer sans anicroches? Et surtout, suis-je un bon ami? Autant de questions que nous force à nous poser Fausto Brizzi après la lecture de son roman plein de tendresse et de bons sentiments (à ne pas prendre comme un commentaire niais ou péjoratif, il...
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