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Amok
Olivier Mannoni (traduit par)
Date de parution : 21/02/2013
Éditeurs :
Bouquins
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Amok

Olivier Mannoni (traduit par)
Date de parution : 21/02/2013

Dans cette nouvelle publiée en 1922, il est question de la folie, de la mort, de la dégradation que subit l’être humain dans son esprit et dans sa chair lorsqu’il...

Dans cette nouvelle publiée en 1922, il est question de la folie, de la mort, de la dégradation que subit l’être humain dans son esprit et dans sa chair lorsqu’il est emporté par ses passions. Le cadre du récit est celui d’une colonie néerlandaise des tropiques, un lieu moite, malsain...

Dans cette nouvelle publiée en 1922, il est question de la folie, de la mort, de la dégradation que subit l’être humain dans son esprit et dans sa chair lorsqu’il est emporté par ses passions. Le cadre du récit est celui d’une colonie néerlandaise des tropiques, un lieu moite, malsain et brutal. Le personnage principal, un médecin éconduit par une belle Européenne, se lance à sa recherche dans une course insensée, comme l’un de ces fous qui, en Malaisie, dévalent parfois subitement les rues, armés de leur kriss, et poignardent tous ceux qui se trouvent sur leur chemin.

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EAN : 9782221136539
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • michelblaise 11/04/2024
    "Le seul moyen de se débarrasser d'une tentation est d'y céder',(Oscar Wilde) Publiée pour la première fois en 1920 à Berlin, "La Peur " est une nouvelle qui incarne avec brio la maîtrise psychologique de Stefan Zweig. Traduite par Alzir Hella et éditée par Grasset en 1935, cette oeuvre est un joyau de la littérature qui explore les abysses de l'anxiété humaine avec une précision chirurgicale. La nouvelle nous plonge dans le quotidien d'Irène, une femme de la bourgeoisie viennoise, qui se trouve piégée dans les filets de l'infidélité et du chantage. Zweig, avec une acuité psychologique inégalée, dépeint la descente aux enfers d'Irène, où chaque battement de coeur est un écho de sa peur grandissante. La citation en exergue attribuée à Oscar Wilde, résonne parfaitement avec le dilemme d'Irène. Cette phrase illustre la lutte intérieure entre la morale et le désir, un thème central de la nouvelle. Zweig, connu pour son habileté à disséquer l'âme humaine, excelle dans l'art de capturer l'essence des 'petites choses', ces détails infimes qui composent la psyché. 'La Peur' est un exemple éclatant de sa capacité à étudier l'être humain, révélant les nuances de la psychologie avec une finesse rare. Bonne lecture. Michel
  • Desmotspourtoujours 10/04/2024
    Découvrir Stefan Zweig, c’est accepter d’entrer dans les méandres de la psychologie, de naviguer dans les eaux troubles et de tenter de voir la lumière dans de multiples infinités. Découvrir Stefan Zweig, c’est ouvrir une porte qu’il est bien difficile de fermer. Un écrivain de génie qui, en quelques lignes, capte votre attention et vous retient prisonnier sans aucun remord. Je suis fascinée par cette capacité à faire d’un simple sujet/intrigue, un récit d’une juste complexité. Il effeuille, lignes après lignes, il décortique le moindre geste, la simple attitude, le comportement avec magnanimité, justesse. Un regard transperçant, honnête qui dévoile l’intimité, l’incongru, l’invisible. Il joue avec les codes du roman noir et de l’érotisme. Une lecture à la fois déconcertante, magique, captivante qui m’a enchaîné à l’indicible. Une expérience vivifiante, bouleversante et unique. Six nouvelles, six histoires qui nous plongent dans la manipulation, la sournoiserie, la beauté, le souvenir, l’invisible et l’amour. « La peur » ou « Angoisses » retrace l’emprise de la peur d’une femme infidèle découverte. « Révélation inattendue d’un métier » nous décrit la vie d’un pickpocket aux abois. « Leporella » nous plonge dans la vie d’une domestique qui voue une admiration sans borne au maître de la maison. Un amour pur confronté à la folie. « La femme et le paysage » met en scène jeune homme pris au piège d’un séjour suffocant au cœur de la campagne. « Le bouquiniste Mendel » confronte le savoir, la connaissance à la barbarie. « La collection invisible » nous plonge dans l’amour puissant d’un homme envers sa collection de tableaux. Je suis tombée amoureuse de Stefan Zweig. Sa manière d’écrire, de magnifier, de décrire la moindre imperfection et perfection, m’a subjuguée. Lu dans le cadre de la lecture commune #balancetonclassique de @soraya_lettrice_ et de @lepinguoinquilit.Découvrir Stefan Zweig, c’est accepter d’entrer dans les méandres de la psychologie, de naviguer dans les eaux troubles et de tenter de voir la lumière dans de multiples infinités. Découvrir Stefan Zweig, c’est ouvrir une porte qu’il est bien difficile de fermer. Un écrivain de génie qui, en quelques lignes, capte votre attention et vous retient prisonnier sans aucun remord. Je suis fascinée par cette capacité à faire d’un simple sujet/intrigue, un récit d’une juste complexité. Il effeuille, lignes après lignes, il décortique le moindre geste, la simple attitude, le comportement avec magnanimité, justesse. Un regard transperçant, honnête qui dévoile l’intimité, l’incongru, l’invisible. Il joue avec les codes du roman noir et de l’érotisme. Une lecture à la fois déconcertante, magique, captivante qui m’a enchaîné à l’indicible. Une expérience vivifiante, bouleversante et unique. Six nouvelles, six histoires qui nous plongent dans la manipulation, la sournoiserie, la beauté, le souvenir, l’invisible et l’amour. « La peur » ou « Angoisses » retrace l’emprise de la peur d’une femme infidèle découverte. « Révélation inattendue d’un métier » nous décrit la vie d’un pickpocket aux abois. « Leporella » nous plonge dans la vie d’une domestique qui voue une admiration sans borne au...
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  • Aupaysbleu 09/04/2024
    Un texte très court, un sujet très ordinaire somme toute et longuement exploité en littérature, mais aussi et surtout l'occasion de retrouver Stefan Zweig. Cette nouvelle que je qualifierai volontiers de terrible (je n'ai pas d'autre mot) nous montre à quel point cet auteur excelle pour ce qui est d'explorer l'âme humaine. La peur nous tient tout au long de ces quelques cent pages, et l'issue est .... terrible. Voilà, c'est le mot.
  • elanor_bookworm 03/04/2024
    Trois nouvelles dans lesquelles Stefan Zweig explore avec talent et finesse les tourments et passions de l’âme humaine, que ce soit à travers un coup de folie passager ou d’une obsession au long cours. Il parvient avec brio à nous faire ressentir de la compassion pour ces personnages proches de la folie, en mettant l’accent sur leur côté terriblement humain et universel, avec toujours cette écriture ciselée magnifiquement traduite. Un maître dans l’analyse des sentiments!
  • Priscilla14 01/04/2024
    C'est une collègue qui m'a fait découvrir Stefan Zweig avec "Le joueur d'échecs" que j'avais beaucoup apprécié. Ici, le narrateur rencontre sur un navire de croisière un homme étrange qui reste caché dans la nuit...Il va lui raconter ses déboires. Médecin, il s'était retrouvé en Malaisie coloniale à cause d'une incartade amoureuse peu glorieuse en Allemagne. Là-bas, une fière anglaise vient le trouver pour lui demander secours: elle est enceinte (pas de son mari) et sollicite une aide pour avorter. C'est une question d'honneur. Le médecin, séduit, va réclamer un prix en nature pour ce service.... Et va s'en suivre un bras de fer psychologique entre lui et la dame adultère mais digne. Mais au fait, qu'est ce que l'amok? c'est une forme de folie homicide observée en Malaisie, conséquence pathologique de frustrations et d'humiliations... #x1f44dOn est sur un roman court mais puissant. La tension psychologique est palpable tout du long du roman, depuis la rencontre entre le narrateur et ce médecin, jusque dans l'histoire de folie humaine qu'il va lui livrer. L'écriture est fluide, atemporelle. C'est un récit très bien construit, profond. J'ai beaucoup aimé le style. #x1f44eCe format court pourrait parfois me laisser un peu sur ma faim En bref, j'ai beaucoup aimé ce roman (même si j'ai préféré "Le Joueur d'échecs") et je vais très certainement continuer à découvrir cet auteur. C'est une collègue qui m'a fait découvrir Stefan Zweig avec "Le joueur d'échecs" que j'avais beaucoup apprécié. Ici, le narrateur rencontre sur un navire de croisière un homme étrange qui reste caché dans la nuit...Il va lui raconter ses déboires. Médecin, il s'était retrouvé en Malaisie coloniale à cause d'une incartade amoureuse peu glorieuse en Allemagne. Là-bas, une fière anglaise vient le trouver pour lui demander secours: elle est enceinte (pas de son mari) et sollicite une aide pour avorter. C'est une question d'honneur. Le médecin, séduit, va réclamer un prix en nature pour ce service.... Et va s'en suivre un bras de fer psychologique entre lui et la dame adultère mais digne. Mais au fait, qu'est ce que l'amok? c'est une forme de folie homicide observée en Malaisie, conséquence pathologique de frustrations et d'humiliations... #x1f44dOn est sur un roman court mais puissant. La tension psychologique est palpable tout du long du roman, depuis la rencontre entre le narrateur et ce médecin, jusque dans l'histoire de folie humaine qu'il va lui livrer. L'écriture est fluide, atemporelle. C'est un récit très bien construit, profond. J'ai beaucoup aimé le style. #x1f44eCe format court pourrait parfois me laisser un peu sur ma faim En bref, j'ai beaucoup aimé ce roman (même...
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