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Arrête ton cirque ! Prix San-Antonio
Date de parution : 08/07/2021
Éditeurs :
12-21

Arrête ton cirque ! Prix San-Antonio

Date de parution : 08/07/2021
Retrouvez la gagnante du Prix San-Antonio !
Laure est égocentrique, charmeuse et déjantée, tout l’opposé de son compagnon, Pascal, tolérant, bienveillant et définitivement amoureux. Au point même d’accepter ses infidélités. Un matin, une funeste nouvelle fait tanguer... Laure est égocentrique, charmeuse et déjantée, tout l’opposé de son compagnon, Pascal, tolérant, bienveillant et définitivement amoureux. Au point même d’accepter ses infidélités. Un matin, une funeste nouvelle fait tanguer l’improbable harmonie de leur couple : François, l’amant de Laure, s’est tranché la gorge. Et la jeune femme va avoir une... Laure est égocentrique, charmeuse et déjantée, tout l’opposé de son compagnon, Pascal, tolérant, bienveillant et définitivement amoureux. Au point même d’accepter ses infidélités. Un matin, une funeste nouvelle fait tanguer l’improbable harmonie de leur couple : François, l’amant de Laure, s’est tranché la gorge. Et la jeune femme va avoir une manière bien à elle de vivre son chagrin, plutôt avec une bûche qu’avec des larmes…
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EAN : 9782823885477
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782823885477
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • fredbologsen 09/08/2024
    Je ne savais pas que ce prix existait, mais s'il est discerné parce que l'écriture, le style et le fond de l'histoire n'est pas sans rappeler ceux de Frédéric Dard, alors, Odile Baltar le mérite. Ensuite, on peut discuter de tout. Quelques répétitions dans les états d'âme de l'héroïne, peu de personnages donc on "tourne un peu en rond", et on sait que l'explication ne peut être que parmi l'un d'eux. Quelques rebondissements et à la San Antonio, encore une fois. Un humour certain voire un certain humour, ce qui en manque pas de charme. Pour ceux et celles qui ont lu du San Antonio et les autres polars de Frédéric Dard sous ses différents pseudos, on sait bien qu'ils sont inégaux en qualité , et que les classiques du genre "A tue et à toi", "Des dragées sans baptême", "La rate au court-bouillon", sont bien meilleurs et aboutis que els derniers de l'auteur ( et ne parlons pas de ceux de Patrice Dard; toujours très dur d'être "le fils de son père", dans certains domaines). Donc, en conclusion, ce "Arrête ton cirque" mérite son prix San Antonio, même s'il n'est pas un des ...meilleurs.
  • GigiFro 20/07/2022
    Le prix San Antonio a été crée en 2021 par Fleuve éditions pour fêter le centenaire de Frédéric Dard et récompenser un polar inédit. Ce lauréat est certainement quelque chose d'inédit dans tout le sens du terme ! Inédit et atypique pour un polar. Et vous savez quoi? Tant mieux ! Sortons des carcans et des codes vus et revus, place à la versatilité de la langue française pour raconter avec un rythme trépidant et hystérique cette histoire dingue, dingue, dingue. Et noire. Laure est folle, névrosée, égoïste et nymphomane. Dans sa tête il y a un micmac pas possible. Lorsque nous plongeons avec elle dans ses pensées, elle nous entraîne dans des tergiversations extrêmes et dans sa paranoïa. Au moins, elle assume sa personnalité. Notre héroïne apprend le suicide de François, son amant, et se rend chez lui avec Pascal, son compagnon. À partir de là s'ensuit une panoplie de péripéties les plus dingues les unes que les autres. Le tout avec un style unique, plaisant, nerveux, fou. Quelle fine lame cette Odile Baltar qui manie la plume comme Zorro son épée. Enfin un roman écrit à la première personne comme ça me plaît (lol, comme il faudrait). On veut voir le bordel dans la tête du narrateur ! Ici c'est mission réussie.Le prix San Antonio a été crée en 2021 par Fleuve éditions pour fêter le centenaire de Frédéric Dard et récompenser un polar inédit. Ce lauréat est certainement quelque chose d'inédit dans tout le sens du terme ! Inédit et atypique pour un polar. Et vous savez quoi? Tant mieux ! Sortons des carcans et des codes vus et revus, place à la versatilité de la langue française pour raconter avec un rythme trépidant et hystérique cette histoire dingue, dingue, dingue. Et noire. Laure est folle, névrosée, égoïste et nymphomane. Dans sa tête il y a un micmac pas possible. Lorsque nous plongeons avec elle dans ses pensées, elle nous entraîne dans des tergiversations extrêmes et dans sa paranoïa. Au moins, elle assume sa personnalité. Notre héroïne apprend le suicide de François, son amant, et se rend chez lui avec Pascal, son compagnon. À partir de là s'ensuit une panoplie de péripéties les plus dingues les unes que les autres. Le tout avec un style unique, plaisant, nerveux, fou. Quelle fine lame cette Odile Baltar qui manie la plume comme Zorro son épée. Enfin un roman écrit à la première personne comme ça me plaît (lol, comme il faudrait). On veut...
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  • arebours 04/04/2022
    Ah que j'ai ri ! La narratrice est totalement folle. L'est-elle vraiment ? C'est un livre d'une sincérité inconcevable: les pensées de cette nana en deuil sont partagées à un rythme effréné. Comme le dit le dos de couverture, elle a "une manière bien à elle de vivre son chagrin" : elle dérape totalement ! Pour certains, ce ton d'une liberté absolue doit être insupportable. Moi, j'ai apprécié la générosité de cette impudeur, vomi, pipi, règles et diarrhées, rien ne nous est épargné, suicide, viol, jalousie et le reste. Et pourtant, oui, j'ai beaucoup ri. Et j'ai apprécié cette écriture vive et sans fioritures.
  • galyalain 28/11/2021
    Je n'ai mis "que" trois étoiles et demie, cependant j'ai beaucoup aimé le livre, avec son côté déjanté. Cependant, nous sommes bien loin de la crédibilité, donc je ne me suis pas trop investi dans l'histoire, et n'ai pas éprouvé d'empathie pour le personnage principal. A lire, pour passer un (court) moment bien agréable !
  • Lisaaron 24/10/2021
    Une jeune femme apprend le suicide de son amant, c’est son compagnon officiel qui lui annonce, c’est évidemment un sacré choc. Et c’est aussi le début de ce petit roman qui se dévore à toute allure. La narratrice nous emmène avec elle pour trois ou quatre jours de deuil intense. Un deuil qu’elle traverse avec fracas. C’est le moins qu’on puisse dire. Au-delà du langage cru et de l’humour mordant, bien décalé, c’est un livre très noir qui touche à des questions essentielles : les deuils, les liens mère-fille, les rivalités amoureuses et trahisons diverses, le goût de la vie lui-même. De chapitre en chapitre, on suit Laure en se disant : « Non, pas ça, allez, arrête ». Pourtant, je n’ai pas réussi à lâcher ce texte avant d’avoir le fin mot de l’histoire. Bien plus qu’égocentrique ou nymphomane, Laure m’a semblé d’une sincérité déconcertante, elle est peut-être un peu « dingo » (un mot qu’elle aime utiliser), mais peut-être pas tant que ça. Peut-être même qu’elle nous ressemble plus nous n’oserions l’admettre. Ce livre a gagné le premier prix San-Antonio. Même si je ne suis pas certaine que les amateurs du légendaire commissaire apprécieront tous les délires de la narratrice, je trouve ça audacieux de la part des Éditions Fleuve d’avoir récompensé un livre aussi décalé. Bref si vous voulez du bien noir un peu déjanté, foncez.Une jeune femme apprend le suicide de son amant, c’est son compagnon officiel qui lui annonce, c’est évidemment un sacré choc. Et c’est aussi le début de ce petit roman qui se dévore à toute allure. La narratrice nous emmène avec elle pour trois ou quatre jours de deuil intense. Un deuil qu’elle traverse avec fracas. C’est le moins qu’on puisse dire. Au-delà du langage cru et de l’humour mordant, bien décalé, c’est un livre très noir qui touche à des questions essentielles : les deuils, les liens mère-fille, les rivalités amoureuses et trahisons diverses, le goût de la vie lui-même. De chapitre en chapitre, on suit Laure en se disant : « Non, pas ça, allez, arrête ». Pourtant, je n’ai pas réussi à lâcher ce texte avant d’avoir le fin mot de l’histoire. Bien plus qu’égocentrique ou nymphomane, Laure m’a semblé d’une sincérité déconcertante, elle est peut-être un peu « dingo » (un mot qu’elle aime utiliser), mais peut-être pas tant que ça. Peut-être même qu’elle nous ressemble plus nous n’oserions l’admettre. Ce livre a gagné le premier prix San-Antonio. Même si je ne suis pas certaine que les amateurs du légendaire commissaire apprécieront tous les délires de la narratrice, je trouve ça audacieux de la part des Éditions...
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