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Bas les pattes !
Date de parution : 27/01/2011
Éditeurs :
12-21

Bas les pattes !

Date de parution : 27/01/2011

Vous me croirez si vous voudrez, comme dit mon éternel Bérurier, mais à Chicago, un flic français en mission officielle a beaucoup plus de problèmes avec la police locale qu'avec...

Vous me croirez si vous voudrez, comme dit mon éternel Bérurier, mais à Chicago, un flic français en mission officielle a beaucoup plus de problèmes avec la police locale qu'avec les gangsters ! Nulle part au monde, les poulets n'aiment qu'on vienne marcher sur leurs plates-bandes, mais aux Etats-Unis, c'est...

Vous me croirez si vous voudrez, comme dit mon éternel Bérurier, mais à Chicago, un flic français en mission officielle a beaucoup plus de problèmes avec la police locale qu'avec les gangsters ! Nulle part au monde, les poulets n'aiment qu'on vienne marcher sur leurs plates-bandes, mais aux Etats-Unis, c'est pire qu'ailleurs... Peut-être qu'ils craignent qu'on leur pique leur " enveloppe " au passage ! Halte-làl... Pas touche !... Bas les pattes !... C'est notre affaire... BAS LES PATTES ! ils disent, les poulagas, et les durs répliquent " hands up ! ", ce qui prouve que ce pays est bien celui des contradictions. Il n'y a que les gonzesses qui soient comme chez nous... Surtout les taxi-girls à qui j'ai eu affaire tout au cours de ma mission... Leur devise, à elles, ce serait plutôt " legs up ", " jambes en l'air " si vous préférez.

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EAN : 9782265091177
Code sériel : 12
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091177
Code sériel : 12
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DR_Cloq 05/06/2023
    Et de 12 ! Une nouvelle aventure de San Antonio (et Bérurier n’est toujours pas revenu, il n’a fait que quelques brèves apparitions dans les récits précédents !) Alors, j’avais parlé des propos homophobes dans mon billet du numéro précédent dont faisait les frais un homosexuel et on retrouve dans ce douzième roman des propos qui peuvent (doivent) choquer aujourd’hui : on y parle de « nègres ». « Le nègre dit », « je croise un nègre ». Je me suis demandais Frédéric Dard était homophobe ou si c’est le personnage, San Antonio, qui l’est. Ou tout simplement si c’est l’époque (n’oublions pas que nous sommes dans les années 50) qui fait que l’on s’exprime ainsi. Je connais d’ailleurs personnellement une dame née en 1940 qui ne dit jamais « un noir », (encore moins « une personne de couleur » !) Quand elle s’exprime. Elle dit « un nègre » mais il n’y a absolument aucune connotation raciste dans sa bouche, c’est juste sa façon de s’exprimer. Certainement que c’est avec le temps que ce terme est devenu péjoratif. Bref, passé cela ce douzième roman est bien agréable. Il se passe « aux states » et SA a bien du mal à s’exprimer là-bas, il est bien plus à l’aise à Paname avec sa verve argotique ! Heureusement il est bien rentré à Paris à la fin de son aventure ! SON Paris et SA petite maman Félicie. Une petite touche de douceur dans son monde de brutes ! Ah ! Si Félicie savait tout ce que « son petit » fait ! Et de 12 ! Une nouvelle aventure de San Antonio (et Bérurier n’est toujours pas revenu, il n’a fait que quelques brèves apparitions dans les récits précédents !) Alors, j’avais parlé des propos homophobes dans mon billet du numéro précédent dont faisait les frais un homosexuel et on retrouve dans ce douzième roman des propos qui peuvent (doivent) choquer aujourd’hui : on y parle de « nègres ». « Le nègre dit », « je croise un nègre ». Je me suis demandais Frédéric Dard était homophobe ou si c’est le personnage, San Antonio, qui l’est. Ou tout simplement si c’est l’époque (n’oublions pas que nous sommes dans les années 50) qui fait que l’on s’exprime ainsi. Je connais d’ailleurs personnellement une dame née en 1940 qui ne dit jamais « un noir », (encore moins « une personne de couleur » !) Quand elle s’exprime. Elle dit « un nègre » mais il n’y a absolument aucune connotation raciste dans sa bouche, c’est juste sa façon de s’exprimer. Certainement que c’est avec le temps que ce terme est devenu péjoratif. Bref, passé cela ce douzième roman est bien agréable. Il se passe « aux states » et SA a bien du mal à s’exprimer là-bas, il est bien plus à l’aise à Paname avec sa verve...
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  • galyalain 29/03/2023
    Des filles sont assassinées en masse. Et à qui fait-on appel pour que cela cesse ? A un commissaire français ! Au meilleur, cela va de soi, à SAN-A. - J'ai bien aimé l'histoire, mais encore une fois, j'ai davantage été attiré par "l'environnement" : Dorothy Lamour, Rigoulot, Brummel, le maître des élégance, Rigoulot, Jean Nohain, déjà vieux quand je l'ai connu...
  • MrVladdy 19/05/2022
    Douzième enquête de notre Commissaire San Antonio et cette fois-ci, le voilà en terre américaine. Le choc des cultures et de la langue est bien présent mais j’avoue que cela m’avait davantage amusé dans « Sérénade pour une souris défunte » que je trouvais plus efficace. Cela ne m’as pas empêché pour autant de trouvé cette intrigue divertissante. L’ambiance américaine à la sauce Al Capone fait son petit effet et une fois l’enquête résolue, on a juste envie d’aller trinquer avec San Antonio au troquet du coin et manger un bout.
  • MrVladdy 19/05/2022
    Douzième enquête de notre Commissaire San Antonio et cette fois-ci, le voilà en terre américaine. Le choc des cultures et de la langue est bien présent mais j’avoue que cela m’avait davantage amusé dans « Sérénade pour une souris défunte » que je trouvais plus efficace. Cela ne m’as pas empêché pour autant de trouvé cette intrigue divertissante. L’ambiance américaine à la sauce Al Capone fait son petit effet et une fois l’enquête résolue, on a juste envie d’aller trinquer avec San Antonio au troquet du coin et manger un bout.
  • AlexandreAllamanche 30/12/2021
    Ce 12e épisode de San-Antonio sera sans doute ma dernière lecture de cette année 2021, et c'est toujours sur cette même note mêlant les marrons, les jolies "pépées" , les doubles whisky et les gangsters chevronnés, le tout à Chicago, que je boucle mon année littéraire. Cette fois, notre commissaire charismatique et sans complexe traverse l'Atlantique pour rejoindre les rives du lac Michigan, où des jeunes filles sont retrouvées mortes dans des établissements nocturnes plus ou moins douteux et aux mains de la pègre. D'étranges indices n'ont pas manqué de faire tiquer la police locale, dont San-Antonio comprend vite qu'il na pas grand chose à espérer, les flics du coin ne semblant pas vraiment faire la loi face à la mafia... Bref, une nouvelle enquête/aventure à ne pas rater, je dirais même une de mes préférées de la série jusqu'ici, l'ambiance américaine dépaysante aidant sans doute.
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