Bienvenue à Paradise Lodge

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• MAPATOU 07/04/2018

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  « Bienvenue à Paradise Lodge » c’est ce que la jeune Lizzie, 15 ans, a envie de dire à toutes les personnes âgées qui se présenteraient à la porte de la maison de retraite où elle est aide-soignante à mi-temps. Mais Lizzie ne prononcera pas très souvent cette phrase d’accueil. En effet, la grande bâtisse de maître, transformée en lieu d’accueil, part à la dérive depuis que l’épouse du propriétaire a quitté les lieux pour ouvrir sa propre maison de retraite, bien plus moderne et où des activités sont proposées aux résidents. La jeune adolescente, qui par le biais de cet emploi à mi-temps cherche à fuir le collège, s’attache aux personnes âgées, affronte la décrépitude physique et la mort. Si ce roman offre des tranches de vie de personnages hauts en couleur, voire loufoques, je dois avouer être restée un peu en dehors de l’histoire, même si j’apprécie particulièrement l’humour anglais. Je ne connais aucune des célébrités anglaises (acteurs ou chanteurs) auxquelles il est fait abondamment référence et j’ai eu l’impression de passer à côté de quelque chose. Et puis, ce style de roman m’a fait penser à « Funny Girl » de Nick Horby mais en beaucoup moins bon. J’ai quand même passé un agréable moment de lecture malgré une petite déception.Bienvenue à Paradise Lodge« Bienvenue à Paradise Lodge » c’est ce que la jeune Lizzie, 15 ans, a envie de dire à toutes les personnes âgées qui se présenteraient à la porte de la maison de retraite où elle est aide-soignante à mi-temps. Mais Lizzie ne prononcera pas très souvent cette phrase d’accueil. En effet, la grande bâtisse de maître, transformée en lieu d’accueil, part à la dérive depuis que l’épouse du propriétaire a quitté les lieux pour ouvrir sa propre maison de retraite, bien plus moderne et où des activités sont proposées aux résidents. La jeune adolescente, qui par le biais de cet emploi à mi-temps cherche à fuir le collège, s’attache aux personnes âgées, affronte la décrépitude physique et la mort. Si ce roman offre des tranches de vie de personnages hauts en couleur, voire loufoques, je dois avouer être restée un peu en dehors de l’histoire, même si j’apprécie particulièrement l’humour anglais. Je ne connais aucune des célébrités anglaises (acteurs ou chanteurs) auxquelles il est fait abondamment référence et j’ai eu l’impression de passer à côté de quelque chose. Et puis, ce style de roman m’a fait penser à « Funny Girl » de Nick Horby mais en beaucoup moins bon. J’ai quand même passé...

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