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Ces lieux sont morts
Date de parution : 15/05/2014
Éditeurs :
12-21

Ces lieux sont morts

Date de parution : 15/05/2014
Le docteur Eric Searl du Good Samaritan Hospital de Los Angeles ne vit que pour les « endormis ». Ceux qu’un accident ou qu’une maladie a plongés dans un coma... Le docteur Eric Searl du Good Samaritan Hospital de Los Angeles ne vit que pour les « endormis ». Ceux qu’un accident ou qu’une maladie a plongés dans un coma profond et qu’il faut accompagner vers le réveil… ou la mort. Searl serait un pur héros s’il s’occupait aussi bien... Le docteur Eric Searl du Good Samaritan Hospital de Los Angeles ne vit que pour les « endormis ». Ceux qu’un accident ou qu’une maladie a plongés dans un coma profond et qu’il faut accompagner vers le réveil… ou la mort. Searl serait un pur héros s’il s’occupait aussi bien des « éveillés », et en particulier de sa propre famille.
C’est bien pour cela que Rebecca, sa nouvelle compagne, le maudit lorsqu’il rate leur avion à la veille de Noël et qu’elle se retrouve à conduire les trois enfants de Searl dans le chalet familial. Un lieu totalement isolé en plein coeur des Rocheuses. Malgré une tempête de neige épouvantable, Rebecca arrive tant bien que mal à bon port.
Sa seule erreur de parcours aura été de vouloir sauver un jeune autostoppeur du froid. Un auto-stoppeur bègue qui lui a menti sur sa destination. Lorsque Searl prend la peine d’appeler Rebecca, ce qu’il entend à l’autre bout du fil, ce sont des portes qui claquent, les hurlements des siens, et L’Enlèvement au Sérail . Puis cette voix, glaçante : « Àààà votre plaaace, je deviendrais complètement fffou, doc. » La voix de celui qui a agressé sa famille et enlevé sa petite fille. Pour Searl, le compte à rebours a commencé…
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EAN : 9782823812169
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782823812169
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Tatooa 02/08/2023
    Quand on connait Patrick Graham, on est exigeant. Forcément, son "L'évangile selon Satan" frôle le génie, ainsi que son "Des fauves et des hommes". "Retour à Rédemption" est plutôt pas mal aussi. On est assez loin du compte ici. Mon avis est très proche de celui de Verdorie. Outre que le Dr Searl est parfait et sait tout faire, j'appelle ça un Dirk Pitt (l'autre héros qui m'énerve parce que justement il se prend jamais les pieds dans le tapis), j'ai vu venir le truc à des kilomètres à partir du moment où on est avec Kirsten dans l'antre de "Liam". C'était beaucoup trop évident. Je sais bien que de nombreux lecteurs adorent deviner ce qu'il se passe dans les thrillers, Moi, ça me gonfle. Je préfère pas avoir autant d'indices et être surprise à la fin qu'en avoir trop comme ça qui dévoilent tout avant l'heure. Je ne trouve pas ça amusant, je préfère me perdre en conjectures plutôt que de tout deviner à la moitié du livre, qui perd ainsi beaucoup de saveur. Bref, c'est pas mal, mais que dalle par rapport à son premier livre, que, si vous ne le connaissez pas, il vous faut découvrir urgemment ! C'est méritoire de changer de héros, de sujet et d'ambiance à chaque bouquin, j'admire cela chez les auteurs, mais là, je suis un poil déçue... Quand on connait Patrick Graham, on est exigeant. Forcément, son "L'évangile selon Satan" frôle le génie, ainsi que son "Des fauves et des hommes". "Retour à Rédemption" est plutôt pas mal aussi. On est assez loin du compte ici. Mon avis est très proche de celui de Verdorie. Outre que le Dr Searl est parfait et sait tout faire, j'appelle ça un Dirk Pitt (l'autre héros qui m'énerve parce que justement il se prend jamais les pieds dans le tapis), j'ai vu venir le truc à des kilomètres à partir du moment où on est avec Kirsten dans l'antre de "Liam". C'était beaucoup trop évident. Je sais bien que de nombreux lecteurs adorent deviner ce qu'il se passe dans les thrillers, Moi, ça me gonfle. Je préfère pas avoir autant d'indices et être surprise à la fin qu'en avoir trop comme ça qui dévoilent tout avant l'heure. Je ne trouve pas ça amusant, je préfère me perdre en conjectures plutôt que de tout deviner à la moitié du livre, qui perd ainsi beaucoup de saveur. Bref, c'est pas mal, mais que dalle par rapport à son premier livre, que, si vous ne le connaissez pas, il vous faut découvrir urgemment !...
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  • ramettes 21/08/2021
    Le Titre n’augure rien de très réjouissant il est expliqué au cours de la narration, je ne connaissais pas cette particularité… De quoi parle t-elle ? A vous de découvrir ! Le premier chapitre nous laisse entrevoir des choses très obscures… Puis ensuite on part sur une autre piste… On a l’impression d’un miroir brisé où chaque morceau reflète une image. Nous avons d’une part un neurologue/psy qui se débat avec ses démons intérieurs. Un deuil qu’il n’arrive pas à faire, une partie de sa mémoire enfouie, refoulée… D’autre part sa compagne une psy aussi confrontée à l’absence de son conjoint qui a démissionné de son rôle de père. Elle doit se débattre avec des ados qui la méprisent. Entre ses deux êtres vont apparaître un tueur en série et une de ses victimes rescapée. Mais il reste des questions : quel est ce centre de détention de jeunes délinquants ? Quel rôle les deux psy jouent dans cette affaire ? L’absence de mémoire et de passé de Eric Searl ainsi que les liens de Rebecca qui ne me semblent pas très sains m’ont intriguée. Le personnage du shérif et son rôle m’ont plu. Le choix des liens avec une tribu indienne n’est pas anodin, mais il y a quelque chose qui m’a échappé … L’Amérique est le pays qui se prête le mieux aux dérives médicales et spirituelles, sectaires. Ce que j’ai aimé dans cette aventure ce sont les décors autour d’une autre Amérique, le côté road movie. Le thème de la mémoire avec la place de la médecine qui évolue vers des expérimentations de plus en plus poussées, ainsi que le coma sont des sujets qui intéressent beaucoup d’écrivains. Cet état mental laisse libre court à de nombreuses interprétations. Entre veille et mort, puis une part obscure. Alors que le côté olfactif est mis en avant, c’est le côté visuel qui prend le dessus. Lors de ma lecture j’ai eu l’impression de références cinématographiques.Le Titre n’augure rien de très réjouissant il est expliqué au cours de la narration, je ne connaissais pas cette particularité… De quoi parle t-elle ? A vous de découvrir ! Le premier chapitre nous laisse entrevoir des choses très obscures… Puis ensuite on part sur une autre piste… On a l’impression d’un miroir brisé où chaque morceau reflète une image. Nous avons d’une part un neurologue/psy qui se débat avec ses démons intérieurs. Un deuil qu’il n’arrive pas à faire, une partie de sa mémoire enfouie, refoulée… D’autre part sa compagne une psy aussi confrontée à l’absence de son conjoint qui a démissionné de son rôle de père. Elle doit se débattre avec des ados qui la méprisent. Entre ses deux êtres vont apparaître un tueur en série et une de ses victimes rescapée. Mais il reste des questions : quel est ce centre de détention de jeunes délinquants ? Quel rôle les deux psy jouent dans cette affaire ? L’absence de mémoire et de passé de Eric Searl ainsi que les liens de Rebecca qui ne me semblent pas très sains m’ont intriguée. Le personnage du shérif et son rôle m’ont plu. Le choix des liens avec une tribu indienne n’est pas anodin, mais il y...
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  • Little_stranger 07/02/2021
    Il était une fois, une famille reconstituée tant bien que mal : un docteur spécialisé dans le coma, une psychanalyste et les 3 enfants du mariage précédent du docteur coma. Parce qu'il travaille trop, qu'il tente d'oublier le décès de sa première compagne, le docteur laisse partir seule la petite famille vers le chalet familial. Il ne les reverra que morts dans d'atroces conditions, sauf sa plus jeune fille, enlevée par l'auto-stoppeur, fan de Mozart, responsable des meurtres. Aidé d'un policier en fin de vie, le docteur va se lancer dans la recherche de sa petite fille et essayer de comprendre le tueur pour mieux l'appréhender. J'avais lu Rédemption de Patrick Graham et j'avoue que ce dernier roman ne m'a pas déçu : haletant (vivement la suite), inquiétant, tordu avec des personnages très ambigus, c'est un plaisir de lecture. Le titre d'ailleurs me fait penser à une référence récurrente chez S. KING : la "dead zone" ou les "zones mortes" qui désigne pour la première une partie du cerveau d'un homme sortant du coma et pour l'autre, un lieu où affronter les monstres : tout un programme ...
  • Crossroads 02/11/2020
    Bon, j'ai pas lu tout Patrick Graham (Freud non plus, d'ailleurs) mais le peu déjà englouti ne m'a jamais déçu. Et puis là, le p'tit coup de mou chagrinant qui me fait passer du stade habituel de l'enthousiasme forcené à celui du déceptif relatif, mais déceptif tout d'même. Tout d'abord, haro sur une quatrième de couv' qui balance allègrement le quart du roman. J'aime pas dire du mal mais faut pas déconner non plus. Puis survient le récit et ses deux ambiances métal - techno/musette. La première, énergique, électrisante, angoissante, parfaitement déroulée, idéalement narrée, ça claque. La seconde, à base de canules odorisantes et de stimulations olfactives, (bon, là, dis comme ça, je me rends bien compte que c'est pas vendeur) qui m'ont, par moment, largement perdu alors que ces procédés sont paradoxalement censés aider les personnes souffrant de chocs traumatiques à se réapproprier leurs souvenirs. Patrick Graham aura su me tenir en haleine tout du long. N'étaient ces considérations médicales certainement très intéressantes mais par trop répétitives, je me serais bien vu lui accorder, une nouvelle fois, une confiance inébranlable qui ne demande qu'à lui être restituée dans les plus brefs délais.
  • CarPerry 20/04/2018
    Très bon, rythme soutenu, je suis par contre resté sur mon appétit à la fin du roman! Excellente intrigue!
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