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Coluche
Date de parution : 01/07/2014
Éditeurs :
Archipoche

Coluche

Date de parution : 01/07/2014
Et si c'était sa dernière provoc’ ? Vingt-huit ans après sa mort, Coluche ne s’est jamais aussi bien porté. Le rondouillard cynique qui faisait rire toute une génération est resté... Et si c'était sa dernière provoc’ ? Vingt-huit ans après sa mort, Coluche ne s’est jamais aussi bien porté. Le rondouillard cynique qui faisait rire toute une génération est resté le plus drôle, la référence inégalée. Ses sketches n’ont pas perdu de leur lucidité, de leur violence et, pour certains,... Et si c'était sa dernière provoc’ ? Vingt-huit ans après sa mort, Coluche ne s’est jamais aussi bien porté. Le rondouillard cynique qui faisait rire toute une génération est resté le plus drôle, la référence inégalée. Ses sketches n’ont pas perdu de leur lucidité, de leur violence et, pour certains, ils apparaissent plus modernes encore.Seule sa vie a changé. Ou plutôt l’image qu’on s’en faisait. Parce que ses Restos du cœur sont devenus partie intégrante de nos hivers, nous avons compris au fil des années que le clown en salopette, c’était bien autre chose. Alors, on regarde en arrière, on repart vers lui, on s’empare de ses images, des fausses comme des vraies. On découpe en tranches cette vie bousculée, pleine de fureur et de bruit, d’amours et de peines, de coups de gueule et de coups de cœur. Coluche l’agitateur ? Coluche le bienfaiteur ? Ni l’un ni l’autre sans doute mais un homme tout simplement, avec son génie, ses écarts, sa violence et ses larmes.Première édition : Payot, 2006.
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EAN : 9782352876625
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 194
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782352876625
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 194
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • dourvach 21/10/2017
    Bernard Pascuito (ancien journaliste) a un sacré talent : en vingt (moins 1) chapitres, il nous éclaire sur la trajectoire existentielle du petit homme de Montrouge (1944-1986). Sacré bonhomme... "Génie qui s'est fait tout seul"... A l'origine, un fleuriste assez doué et un "homme à tout faire", strictement non diplômé... donc surtout "ancien pauvre" comme il se désigne (fort justement), à l'instar de Sylvette Héry (vite surnommée "Miou-Miou" par Michel Colucci, son premier amour), qui possédait alors son seul certificat d'ouvrière tapissière et son titre de meilleure ouvrière de France à l'époque de leur rencontre, retranscrite avec émotion et pudeur... Rôles-phare de Paul Lederman (le faiseur de légendes vivantes) et de Claude Berri (l'ami du milieu-Cinéma) dans les années de gloire puis "les années difficiles"... On passera sur l'insert du témoignage de Frédérique Romano (inutile 17ème chapitre intitulé "Un amour sans fin"), exposé narcissique - voire exhibitionniste - complaisant et au style largement vulgaire : insertion maladroite (à mon humble avis) et certainement due au lien d'amitié entre l'auteur et la comédienne. Mais atténuons notre jugement et parlons aussi d'une intention respectable de Bernard Pascuito qui nous donne ainsi (jusqu'à la déprime du lecteur) l'aperçu du chaos affectif des années "héroïne" de Michel C. (début des années 80)... Au fond, tout cela sans surprise : cette m... de "drogue" déshumanisant peu à peu ses usagers, au fonctionnement fatalement de plus en plus égocentré, destructeur et épuisant pour Autrui... Bien sûr, un enfermement progressif, sournois et sans nom, dans la prison de la dépression : chaos niveleur (par le bas) de l'autodestruction subie qui peut même se parer des couleurs de "L'Amour " (?) ... En résumé, ici un ouvrage dense, court et très bien écrit, qui nous tire le portrait d'un homme généreux ( ... comme pour sa maman "Monette", sa fondation proprement héroïque des "Restos du Coeur", etc. ), hypersensible, incroyablement inventif et formidable "casse-c... lles" à la fois. Humain, humain, plus qu'humain...Bernard Pascuito (ancien journaliste) a un sacré talent : en vingt (moins 1) chapitres, il nous éclaire sur la trajectoire existentielle du petit homme de Montrouge (1944-1986). Sacré bonhomme... "Génie qui s'est fait tout seul"... A l'origine, un fleuriste assez doué et un "homme à tout faire", strictement non diplômé... donc surtout "ancien pauvre" comme il se désigne (fort justement), à l'instar de Sylvette Héry (vite surnommée "Miou-Miou" par Michel Colucci, son premier amour), qui possédait alors son seul certificat d'ouvrière tapissière et son titre de meilleure ouvrière de France à l'époque de leur rencontre, retranscrite avec émotion et pudeur... Rôles-phare de Paul Lederman (le faiseur de légendes vivantes) et de Claude Berri (l'ami du milieu-Cinéma) dans les années de gloire puis "les années difficiles"... On passera sur l'insert du témoignage de Frédérique Romano (inutile 17ème chapitre intitulé "Un amour sans fin"), exposé narcissique - voire exhibitionniste - complaisant et au style largement vulgaire : insertion maladroite (à mon humble avis) et certainement due au lien d'amitié entre l'auteur et la comédienne. Mais atténuons notre jugement et parlons aussi d'une intention respectable de Bernard Pascuito qui nous donne ainsi (jusqu'à la déprime du lecteur) l'aperçu du chaos affectif des années...
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