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Dangereux plaisirs
Danièle Momont (traduit par)
Date de parution : 01/05/2013
Éditeurs :
Presses du Châtelet

Dangereux plaisirs

Danièle Momont (traduit par)
Date de parution : 01/05/2013
Carrie est une étudiante en lettres. Jonathan, un trader d'une quarantaine d'années, un homme accompli.Ils font connaissance lors d'une soirée au cours de laquelle est diffusé un film SM. Jonathan... Carrie est une étudiante en lettres. Jonathan, un trader d'une quarantaine d'années, un homme accompli.Ils font connaissance lors d'une soirée au cours de laquelle est diffusé un film SM. Jonathan devine que Carrie est troublée par les scènes de soumission masochiste - c'est le cas. Il l'invite alors chez lui... Carrie est une étudiante en lettres. Jonathan, un trader d'une quarantaine d'années, un homme accompli.Ils font connaissance lors d'une soirée au cours de laquelle est diffusé un film SM. Jonathan devine que Carrie est troublée par les scènes de soumission masochiste - c'est le cas. Il l'invite alors chez lui où elle consent, par contrat, à devenir son esclave.Au moment où s'ouvre le roman, Jonathan informe Carrie qu'il a l'intention, maintenant qu'il l'a dressée, de la vendre aux enchères. Une fois vendue, lui explique-t-il, elle sera pendant une année l'esclave exclusive et soumise de son richissime acheteur.Début du flash-back relatant les différentes étapes du dressage menant à la vente aux enchères, dont ce stage dans un ranch californien. Carrie s'y retrouve en compagnie d'autres jeunes femmes. Elles dorment dans des boxes, sont fouettées... Bref, elles apprennent l'obéissance pour le plaisir exclusif de leur maître.
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EAN : 9782845924673
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 173
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782845924673
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 173
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • TPMBouquins 22/03/2014
    (...)Psychologiquement, que peut-il subsister de toi après avoir été littéralement traité comme un esclave sexuel, comme un chien, comme un poney, pendant des semaines, des mois? Comme les gens ne sont pas tous complètement stupides, j'imagine qu'ils doivent bien y trouver leur compte quelque part. Est-ce qu'on en sort réellement plus en phase avec soi-même, plus libre ou plus heureux de quelques manière qui soit? Ou les acteurs de ce milieu se révèlent-ils tous cantonner à ces pratiques pour la vie ou risque de s'effondrer psychologiquement s'ils essayaient de vivre autre chose, ailleurs? Lire la critique entière sur le lien ci-dessous :
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