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Dérivations
Carine Bruy (traduit par)
Date de parution : 08/06/2017
Éditeurs :
12-21

Dérivations

Carine Bruy (traduit par)
Date de parution : 08/06/2017
Black-out. Stockholm se trouve dans le noir total pendant une nuit entière, plongée dans le chaos.
Peu après, à différents endroits du globe, des sites stratégiques subissent des attaques électroniques sans...
Black-out. Stockholm se trouve dans le noir total pendant une nuit entière, plongée dans le chaos.
Peu après, à différents endroits du globe, des sites stratégiques subissent des attaques électroniques sans qu’aucune revendication soit faite.
Les autorités sont sur les dents et rapidement le mathématicien et cyber spécialiste William Sandberg apparaît comme...
Black-out. Stockholm se trouve dans le noir total pendant une nuit entière, plongée dans le chaos.
Peu après, à différents endroits du globe, des sites stratégiques subissent des attaques électroniques sans qu’aucune revendication soit faite.
Les autorités sont sur les dents et rapidement le mathématicien et cyber spécialiste William Sandberg apparaît comme le principal suspect.
Or, William est un homme brisé : depuis la disparition de sa fille, son couple est au bord de l’implosion. Maintenant on l’accuse du pire. Il va pourtant mettre tout en oeuvre pour découvrir l’origine de ces actes terroristes.
Car peu de temps avant le black-out, il a reçu un e-mail anonyme.
Et William sait que seule la découverte de l’identité de son expéditeur lui permettra de prouver son innocence.
Mais son ennemi semble toujours avoir un coup d’avance sur lui…
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EAN : 9782823845440
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782823845440
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • RocketBabyDolls 29/10/2020
    Un roman d'anticipation somme toute limitée car il se passe dans un contexte contemporain "normal". Pas de cataclysme, pas de monde post-apocalyptique. Il est, à mon sens, plutôt un thriller classique, avec une bonne partie consacrée à l'espionnage. Il est bien mené et malgré quelques petites longueurs vers la fin du roman, le rythme dynamique permet de garder le fil facilement et de ne pas décrocher. Malgré certaines facilités, les personnages ne sont pas caricaturaux et sont attachants pour la plupart. L'écriture est fluide et accrocheuse, une agréable lecture, je lirai le second opus, paru avant, avec plaisir.
  • Bill 19/06/2018
    3 décembre, 16:00, gare centrale de Stockholm, William Sandberg a rendez-vous avec un inconnu qui lui a adressé une invitation électronique. 16:06, alors qu’il décide de quitter les lieux bredouille, une coupure générale d’électricité frappe Stockholm et William, supposé responsable, est pris en chasse par d’ex - collègues du Ministère de La Défense. S’ensuivent des aventures rocambolesques au travers de la Suède et de la Pologne, le recours à des techniques anciennes presqu’oubliées qui pallient les déficiences de celles qui les ont remplacées... Un roman palpitant qui pointe d’un doigt notre dépendance à tant d’automatismes qui nous simplifient la vie, pour autant qu’ils fonctionnent correctement ...
  • Stewartjef 09/04/2018
    Je pensais bien avoir entre les mains la suite de Séquences. Selon les dates de publication, j'avais raison. Et bien non ! On se retrouve environ 1 an avant les événements de la suite. J'aurais bien aimé lire une suite, pour imaginer comment on peut survivre à une pandémie « planétaire », mais bon. Là où j'accroche, c'est que si ça se passe avant, avec les mêmes personnages, il n'y a aucune crainte à avoir. D'où le manque. Olsson aurait dû écrire avec de nouveaux personnages. Mais qui suis-je pour dicter ce que doit écrire un auteur? Je suggère donc fortement à toutes et à tous de lire « Dérivations », avant d'attaquer « Séquence ». Vous aurez une meilleure expérience.
  • fifloche 14/02/2018
    Je viens de terminer ces Dérivations, et tout ce que j’aurai à dire est : WAOUH ! Pour une fois, je suis d’accord avec le 4 de couv : c’est du blockbuster hollywoodien, avec héros sexagénaire entrainé malgré lui dans une intrigue de malade, où il devra, en quelques jours, tenter de sauver le monde et ce, bien sûr, sans quasi boire, ni manger, ni dormir et avec à ses trousses un ennemi sans visage déterminé à l’éliminer ! Je n’ai pas décroché une seconde de ces 800 p., même si parfois l’action est vraiment too much, tellement je voulais connaitre le fin mot de l’histoire, et c’est en ça que réside la force de ce roman : on y entre de plain-pied et on est entrainé dans le sillage des personnages principaux sans en comprendre plus qu’eux, et on progresse au fil des pages, sans savoir où on va, encore moins si on va y arriver, et si, finalement, la fin du monde ne serait pas pour dimanche (clin d’œil au gars Morel !). J’ai adoré cette construction, et cette façon de dérouler l’histoire, sans temps morts ni longueurs. Adoré aussi les quelques interrogations sur notre monde hyper-connecté qui percent sous l’action. Une très grosse bonne surprise que je vous recommande sans restriction !Je viens de terminer ces Dérivations, et tout ce que j’aurai à dire est : WAOUH ! Pour une fois, je suis d’accord avec le 4 de couv : c’est du blockbuster hollywoodien, avec héros sexagénaire entrainé malgré lui dans une intrigue de malade, où il devra, en quelques jours, tenter de sauver le monde et ce, bien sûr, sans quasi boire, ni manger, ni dormir et avec à ses trousses un ennemi sans visage déterminé à l’éliminer ! Je n’ai pas décroché une seconde de ces 800 p., même si parfois l’action est vraiment too much, tellement je voulais connaitre le fin mot de l’histoire, et c’est en ça que réside la force de ce roman : on y entre de plain-pied et on est entrainé dans le sillage des personnages principaux sans en comprendre plus qu’eux, et on progresse au fil des pages, sans savoir où on va, encore moins si on va y arriver, et si, finalement, la fin du monde ne serait pas pour dimanche (clin d’œil au gars Morel !). J’ai adoré cette construction, et cette façon de dérouler l’histoire, sans temps morts ni longueurs. Adoré aussi les quelques interrogations sur notre monde...
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  • Lousine 26/10/2017
    La théorie du complot Il s’agit du 2e roman de Fredrik T Olsson. Le premier est en cours d’adaptation cinématographique. Nous sommes en présence d’un auteur nordique, un genre très à la mode en ce moment. L’auteur, dans son pavé de 500 pages environ, nous présente un polar avec pour toile de fond, une théorie du complot. Le prologue met en place l’histoire puis le roman est composé de différentes parties correspondant chacune à une date. Le protagoniste, William Sandberg, est un ancien cryptologue de la police suédoise ayant démissionné peu de temps auparavant. Il doit faire face à un black-out survenu en Suède mais également à d’autres endroits de la planète. William (nom de code AMBERLANGS) est arrêté lors d’un rendez-vous secret, avec « ROSETTA », car la police suédoise et les services secrets britanniques le croient coupable de terrorisme (il aurait provoqué la coupure totale : électrique, de réseau…). Commence alors une aventure au rythme lent puis ce rythme s’accélère au cours des péripéties et rebondissements pour nous tenir en haleine et nous faire accélérer notre lecture afin d’arriver au dénouement le plus vite possible.
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