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Des grumeaux dans la passoire
Date de parution : 26/11/2020
Éditeurs :
Plon

Des grumeaux dans la passoire

Date de parution : 26/11/2020
Bouvard : 90 ans de portraits crachés
Presque un demi siècle après Un oursin dans le caviar, Philippe Bouvard donne avec Des grumeaux dans la passoire une suite à ce qui fut le best-seller de l’année 1973.... Presque un demi siècle après Un oursin dans le caviar, Philippe Bouvard donne avec Des grumeaux dans la passoire une suite à ce qui fut le best-seller de l’année 1973. (Eh oui, déjà !)
Une cascade de souvenirs souvent indiscrets et une galerie de portraits hauts en couleurs : Les présidents de...
Presque un demi siècle après Un oursin dans le caviar, Philippe Bouvard donne avec Des grumeaux dans la passoire une suite à ce qui fut le best-seller de l’année 1973. (Eh oui, déjà !)
Une cascade de souvenirs souvent indiscrets et une galerie de portraits hauts en couleurs : Les présidents de Vincent Auriol à Emmanuel Macron ; les stars de Bardot à Delon ; les génies de Salvador Dali à Marcel Pagnol; les vedettes de l’audiovisuel de Léon Zitrone à Stéphane Bern. Chemin faisant, l’auteur égraine des anecdotes plus personnelles : sa traque par Mesrine, son contrôle fiscal après un déjeuner chez Giscard, les découvertes du « Théâtre de Bouvard » et le succès pendant 37 ans des « Grosses Têtes ».
A 90 ans, l’ex-petit garçon de course du Figaro devenu un temps directeur de France Soir n’a rien oublié des rencontres providentielles offertes par un métier qui le passionne toujours. Bref, une existence hors du commun d’un fils de petit commerçant, ne possédant pas d’autres diplômes que le certificat d’études primaires, admis à titre de témoin parmi les grands de ce monde.
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EAN : 9782259305044
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782259305044
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Formidable678 11/02/2022
    Quand Philippe Bouvard revient secouer le grelot des souvenirs, cela gratte de partout ! On connaît l’homme pour son sens de la répartie, son acuité et son amour immodéré de la formule. Cinquante ans après la parution de « Un oursin dans le caviar », il remet le couvert et flingue tous azimuts. Il ne fait pas toujours bon se situer dans sa ligne de mire, car le bonhomme vise juste, avec un humour grinçant, un sens du détail qui pique et une virtuosité qui rend jaloux la plupart des chroniqueurs. Au fil des pages, les personnalités défilent en cortège : Brigitte Bardot, Alain Delon, Marcel Pagnol, Salvador Dali, Léon Zitrone, Stéphane Bern, etc. On sent également de l’admiration pour la majorité d’entre eux, même si l’auteur se complaît parfois (souvent ?) à les égratigner pour le plaisir de rédiger et sans totalement les éborgner. Autre constat, il n’agite jamais le goupillon de la nostalgie. Le passé est derrière et rien ne pourra le faire renaître ! Même si on conserve des souvenirs heureux de ce qu’on a vécu et de ceux qu’on a aimé, il importe de vivre au présent, sans chercher à comparer hier à aujourd’hui. Ce serait un calcul fallacieux ! Quand Philippe Bouvard revient secouer le grelot des souvenirs, cela gratte de partout ! On connaît l’homme pour son sens de la répartie, son acuité et son amour immodéré de la formule. Cinquante ans après la parution de « Un oursin dans le caviar », il remet le couvert et flingue tous azimuts. Il ne fait pas toujours bon se situer dans sa ligne de mire, car le bonhomme vise juste, avec un humour grinçant, un sens du détail qui pique et une virtuosité qui rend jaloux la plupart des chroniqueurs. Au fil des pages, les personnalités défilent en cortège : Brigitte Bardot, Alain Delon, Marcel Pagnol, Salvador Dali, Léon Zitrone, Stéphane Bern, etc. On sent également de l’admiration pour la majorité d’entre eux, même si l’auteur se complaît parfois (souvent ?) à les égratigner pour le plaisir de rédiger et sans totalement les éborgner. Autre constat, il n’agite jamais le goupillon de la nostalgie. Le passé est derrière et rien ne pourra le faire renaître ! Même si on conserve des souvenirs heureux de ce qu’on a vécu et de ceux qu’on a aimé, il importe de vivre au présent, sans chercher à comparer hier à aujourd’hui. Ce serait...
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  • johnny6790 24/04/2021
    Bouvard possède le sens de la formule, l'art de la répartie. Homme de télé et de radio, il a vécu mille vies en une. Ici, il regarde dans le rétroviseur et revient sur plusieurs de ses souvenirs. Parmi moult perles, il écrit sa traque par Mesrine, la genèse de l’émission « Le petit théâtre de Bouvard », trois décennies de « Grosses têtes » et le contrôle fiscal dont il a fait l’objet. On relève également la force d’un homme qui s’est construit à force de travail, qui a débuté comme garçon de courses, sans autre diplôme que son certificat d’école primaire, et qui, grâce à sa ténacité et à son intelligence, s’est imposé telle une icone de la petite lucarne avec, à son actif, 70 ouvrages publiés. Chapeau monsieur Bouvard !
  • ProfesseurDan 17/01/2021
    Un livre de portraits qui réveillera la nostalgie de tout un chacun qui a eu l'occasion de voir à la télévision ou d'entendre à la radio les personnalités (d'horizons extrêmement différents). Loin d'être complaisant avec tout le monde, Philippe Bouvard évoque un panel de personnalités (pour la plupart aujourd'hui disparues) dans des portraits, truffés d'anecdotes tantôt drôles, tantôt très tendres (quand il parle de Jean-Claude Brialy, du président Coty et de sa femme, de Jean Dutourd, de Françoise Sagan, de Jean Yanne, et j'en passe...) tantôt avec une pointe voire un seau de critique et de méchanceté (quand il parle de Jean Castex, de Laurent Ruquier, ou encore de Charles Trénet (ce qui est tout de même beaucoup plus rare)). En fin de livre, le lecteur a également le droit à un petit panégyrique de la carrière de l'auteur, où il évoque notamment les émissions qu'il a pu présenter par le passé avec la même tendresse que pour les personnes qu'il a croisées. Un livre à lire pour ceux qui ont à cœur de se souvenir de toutes ces personnalités qui ont agrémenté nos vies, nous ont fait rire, pleurer ou nous ont énervés.
  • michelblaise 19/12/2020
    "L'âme humaine est comme l'abeille qui puise son miel même de l'amertume des fleurs". (Henryk Sienkiewicz) Des portraits souvenir au vitriol,- à l'image, par exemple, de l'insupportable Laurent Ruquier -, des situations croquignolesques et savoureuses, une autodérision sans modération, un humour tout en finesse, un style littéraire et une syntaxe à faire pâlir le plus puriste khâgneux. Philippe Bouvard - "Des grumeaux dans la passoire" (Plon, 2020) se moque, dans toute l'acceptation du terme, d'un temps et de gens - pourtant si proches de lui, mais tellement éloignés pour les autres -, où la société n'était pas, comme aujourd'hui, à ce point corsetée. Ce livre est extraordinairement jouissif. Bonne lecture. Michel.
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