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Descendez-le à la prochaine
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

Descendez-le à la prochaine

Date de parution : 28/10/2010

Le gars qui pourrait me prouver par a + b qu'il a, au cours de son existence, exécuté une besogne plus débectante que celle à laquelle je me livre depuis...

Le gars qui pourrait me prouver par a + b qu'il a, au cours de son existence, exécuté une besogne plus débectante que celle à laquelle je me livre depuis une huitaine de jours aurait droit, selon moi, au salut militaire, au salut étemel et à une place assise dans...

Le gars qui pourrait me prouver par a + b qu'il a, au cours de son existence, exécuté une besogne plus débectante que celle à laquelle je me livre depuis une huitaine de jours aurait droit, selon moi, au salut militaire, au salut étemel et à une place assise dans les chemins de fer. Faut vraiment avoir le palpitant arrimé avec du gros filin pour tenir le choc. Et je le tiens, moi, le choc, parce que mon job c'est justement de ne pas faire la fine bouche. Voilà une semaine que je visite les morgues de France à la recherche d'un cadavre...

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EAN : 9782265091092
Code sériel : 8
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091092
Code sériel : 8
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • galyalain 04/04/2023
    Huitième roman de San-Antonio publié en 1953 (dépôt légal septembre 1953). Au point de vue histoire, Frédéric Dard lui-même vous dirait que ce n’est point ça l’intérêt. Je continue d’apprécier le vocabulaire, qui joue un rôle essentiel ; quelques exemples : les châsses, mon bada (chapeau)), le lerche, un bignolon (flic) Et surtout, allusion à des personnages de l’époque, ainsi : Leo Noël, un musicien, Pieral le nain, Sartre, Régine. Ce qui est intéressant, c'est d'assister aux prémices de San Antonio.
  • DR_Cloq 13/03/2023
    Mon 8ème San Antonio est terminé et le James Bond français s’en est tiré une fois de plus. Une lecture rapide comme tous les S.A., un roman moins prenant que d’habitude mais qui reste « sympa ». Les romans se suivent et se ressemblent plus ou moins mais c’est toujours avec plaisir que je retrouve mon « héros » préféré :o) L’assurance de passer un bon moment avec ce sympathique agent assoiffé au langage fleuri. … Et un certain Bérurier qui apparaît pour la deuxième fois.
  • lecassin 10/05/2022
    « Descendez-le à la prochaine », 1953… Pour démarrer cette affaire, notre commissaire cherche le sosie : enfin, UN sosie particulier puisqu’il le recherche en faisant le tour des morgues… Un impératif : ressembler trait pour trait à un quidam, bien vivant, celui-là… On est encore au début de la série, et Frédéric Dard se cherche, mais là, on se demande un peu où il veut en venir, le Frédéric : une intrigue difficile à suivre, mais ça, c’est pas trop le problème ; on est encore dans l’espionnage anti nazi, et ça va durer encore un moment… Il arrive à Frédéric Dard de bâcler ses conclusions, ici, on a l’impression d’un « brouillonnage » tout au long du bouquin, comme s’il avait été écrit à la va vite… La recette à succès est en cours d’élaboration. Le faire valoir du commissaire s’annonce, Bérurier : l’ineffable personnage qui deviendra un pilier des opus suivants, Alexandre Benoit, dit le gros, actif à la fin, qui sauve San A. d'une mort certaine en tuant un malfaisant qui tire sur cézigue. Pour les calembours, le notes en bas de page, les passages déjantés, il faudra encore attendre ; patience... On l’aura compris, cet opus ne fait pas partie de mes préférés. Mais, bon, ce n’est que le huitième et sa lecture, même si elle fut un peu laborieuse, est néanmoins indispensable quand on veut essayer de comprendre la genèse du cadre et des personnages qui feront le succès, plus tard, de la série « Descendez-le à la prochaine », 1953… Pour démarrer cette affaire, notre commissaire cherche le sosie : enfin, UN sosie particulier puisqu’il le recherche en faisant le tour des morgues… Un impératif : ressembler trait pour trait à un quidam, bien vivant, celui-là… On est encore au début de la série, et Frédéric Dard se cherche, mais là, on se demande un peu où il veut en venir, le Frédéric : une intrigue difficile à suivre, mais ça, c’est pas trop le problème ; on est encore dans l’espionnage anti nazi, et ça va durer encore un moment… Il arrive à Frédéric Dard de bâcler ses conclusions, ici, on a l’impression d’un « brouillonnage » tout au long du bouquin, comme s’il avait été écrit à la va vite… La recette à succès est en cours d’élaboration. Le faire valoir du commissaire s’annonce, Bérurier : l’ineffable personnage qui deviendra un pilier des opus suivants, Alexandre Benoit, dit le gros, actif à la fin, qui sauve San A. d'une mort certaine en tuant un malfaisant qui tire sur cézigue. Pour les calembours, le notes en bas de page, les passages déjantés, il faudra encore attendre ; patience... On l’aura compris, cet opus ne fait pas partie de mes...
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  • LectureChronique 06/03/2022
    On retrouve notre commissaire missionné dans toutes les morgues de France en recherche d'un cadavre précis. Une enquête qui va le mener de Paris à Cannes, en passant par Strasbourg. Une cavale que j'ai trouvé un brin trop compliqué à suivre, les faux-semblants paraissent des faux-semblants, mais la vérité aussi apparait comme un mensonge. du coup, on s'y perd un peu. Ce n'est pas le meilleur des San Antonio que j'ai lu jusqu'ici. Dans celui-ci Bérurier fait une brève apparition, "comme un soleil" selon le commissaire lui-même. C'est vrai que sans sa présence, ça manque quand même d'un peu de piquant et de légèreté. Les Allemands payent encore le prix, surement une rancune tenace d'après-guerre, San-Antonio n'est pas encore le flic abouti que l'on connaitra dans les tomes suivants. A lire pour le plaisir de lire un San-Antonio, mais il faut garder à l'esprit qu'il y en a de meilleurs ! Bonne lecture !
  • AlexandreAllamanche 17/10/2021
    Alors le début de cet épisode met tout de suite dans l'ambiance puisque notre héros parcourt les morgues françaises en quête d'un cadavre devant ressembler à quelqu'un de bien vivant... Un début tonitruant pour une des enquêtes les plus échevelées de notre commissaire dans ce 8e épisode, où San-Antonio se retrouve embringué dans une nouvelle histoire d'espionnage international où personne ne sait vraiment qui est qui et qui sait quoi... Ce cher Bérurier apparaît à nouveau, intervient même à la fin (heureusement d'ailleurs, sans quoi nous ne pourrions nous délecter des 167 derniers épisodes de San-Antonio!), et les quelques phrases qui le décrivent m'amènent à penser que je vais adorer le personnage! ;) Encore de grands moments à Strasbourg, Cannes et, Paris, des torgnoles, des coups de feu et de grandes lampées de rhum, bref, que du bonheur!
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