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Doggy bag - Saison 1
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
Julliard

Doggy bag - Saison 1

Date de parution : 28/10/2010

Certains hommes couchaient avec Béa dans le but d'obtenir une réduction sur l'achat de leur voiture. Sur certains modèles, ils pouvaient réaliser une économie appréciable.
Ainsi débute Doggy bag, la...

Certains hommes couchaient avec Béa dans le but d'obtenir une réduction sur l'achat de leur voiture. Sur certains modèles, ils pouvaient réaliser une économie appréciable.
Ainsi débute Doggy bag, la première série littéraire écrite par Philippe Djian - avec jubilation. Inspiré par l'invention des séries américaines, « l'auteur de Frictions...

Certains hommes couchaient avec Béa dans le but d'obtenir une réduction sur l'achat de leur voiture. Sur certains modèles, ils pouvaient réaliser une économie appréciable.
Ainsi débute Doggy bag, la première série littéraire écrite par Philippe Djian - avec jubilation. Inspiré par l'invention des séries américaines, « l'auteur de Frictions a décidé d'en appliquer les codes à la littérature pour imaginer différemment la fiction. Au programme : la vie de deux frères, propriétaires d'un garage...À suivre, comme il se doit. » (Les Inrockuptibles)

« Djian a décidément toujours une longueur d'avance. » (Elle)

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EAN : 9782260017899
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782260017899
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lectricebis 03/06/2023
    Oui, c'est du Soap, c'est la la série, ça ose tout dans le cadre du roman, c'est particulièrement osé, donc. Entre prise de risque et relâchement, voir je m'en foutisme littéraire. Philippe Djian s'amuse et ça fait du bien. Le jeu de massacre fait son œuvre et éclaire crûment la déliquescence qui ronge le tissu social et familial, couples, célibataires, chiens et chats... Djian montre tout et détruit tout. Il est parti pour une saga, des courts romans comme autant de coups de marteau. Pourquoi pas ?
  • nelson43 23/04/2020
    Marc et David sont propriétaires d'un garage ; ils sont célibataires et vivent chez leur mère Irène . Marc est plutôt tranquille , David va de conquête en conquête . Quand Edith revient au pays , c'est la panique surtout pour Irène .En effet , 20 ans plus tôt , elle a semé la zizanie entre les deux frères : tous les deux amoureux d'elle , ils se sont déchirés , battus au point de se retrouver à l'hôpital aussi leur mère voit elle d'un mauvais oeil l'arrivée de celle qui va encore diviser la famille Une lecture sympa , sans plus
  • zabeth55 16/01/2019
    Edith revient chez sa fille Sonia. Vingt ans avent, elle avait quitté la ville, enceinte d’un des deux frères, David et Marc, propriétaires d’un garage de luxe. Son retour provoque bien des émois dans la famille Sollens. Ce n’est pas inintéressant, et puis il y a le style Djian, vif, cru.. Mais ça tourne quand même en rond. On se demande si on apprendra ce qui s’est passé il y a vingt ans. Arrivée à la fin, j’allais attaquer la saison 2, quand je me suis rendu compte qu’il y en avait 5 ou 6. Alors là non, même si c’est pas mal, il ne faut pas exagérer. La saison 2 restera définitivement fermée pour moi.
  • Dieselle 25/08/2017
    L'auteur revisite le roman à épisodes. Ce premier volet suit deux frères qui vivent et travaillent ensemble. Lorsqu'ils avaient 20 ans, ils aimaient la même femme, Edith, ce qui a déchiré leur famille. La jeune femme s'était alors vue contrainte de s'écarter de leur vie. 20 ans plus tard, elle est de retour avec sa fille de 20 ans dont on ne sait pas vraiment qui est le père. Edith s'attache à Marc, l'aîné des deux frères, le second, Paul n'étant pas disponible puisqu'il vit une romance avec Josiane, une infirmière fraichement divorcée qui vit avec ses deux enfants. Tout ble monde est troublé par cette situation ambigue, Marc ne sait pas comment dire à Paul qu'il aime Edith. Paul ne cesse de lui répéter que leur relation ne le dérange pas. La mère des deux frères est absolument furieuse du retour de la fauteuse de troubles et tente même de tuer sa future belle-fille. Avis personnel Le style n'est pas sans rappeler celui de Pancol. Les personnages sont attachants. Cela donne envie de lire la suite.
  • Sea 07/12/2015
    Il y a un seul mystère, c’est le titre de cette série de roman : DOGGY BAG ! Pourquoi Philippe Djian a choisit ce titre ? La définition de doggy bag est : petit sac pour emporter les restes après un repas au restaurant (d’après la traduction du site www.dictionnaire.reverso.net ). Je suppose que ces restes on les donne à son chien. Mais il n’y a aucun rapport avec cette série. C’est peut-être pour cela que Philippe Djian a choisit ce titre pour ajouter un peu de comique, genre absurde. C’est ce titre qui m’ attiré vers la lecture de cette séries de six romans. Je me suis dit quel drôle de titre pour un roman. Phillipe Djian a utilisé les codes des séries télévisés, dont le succés est aujourd’hui retentissant. Et oui c’est pas idiot. Il m’emporte avec Doggy Bag dans pas moins de six saisons. Et je suis impatient de me plonger dans la deuxième saison. Le choix du titre est mystèrieux ou volontairement absurde et tout le reste est par opposition totalement claire surtout les personnages et leurs comportements. Les personnages de Doggy bag collent à notre époque et ne cachent rien, ils versent plus pour l’autre penchant : l’exibitionisme. Phillipe Djian a fait le choix de tout dire et de tout expliciter. Doggy bag est par exemple un genre littéraraire totalement opposé aux nouvelles de Stefan Zweig, cela tombe bien j’apprécie les deux genres. Avec Phillipe Djian aucune poésie mais plutôt un style direct cru et peu d’images. Il y a plutôt avec Doggy bag l’efficacité du rythme de l’histoire qui pousse à tourner les pages, des personnages à la fois cruels et faibles comme dans la vrai vie, et des scènes decriptives et explicitement sexuelles plutôts chaudes et excitantes. C’est pour moi les “piliers” pour entretenir le début de cette série de six saisons palpitantes. Le suspens parvient tranquillement à s’installer et au début de la lecture je me suis u peu demandé où Philippe Djian voulais me conduire mais ensuite toute une dimension dramatique se “met en branle” et à ce moment l’efficacité devient talentueuse. J’ai hésité à noter la première saison de Doggy bag avec un 8/10 mais je reste un peu en dessous parce le style “non littéraire” et parfois un peu baclé, il y a plusieurs fautes grammaticales d’orthographe ou syntaxique, me gêne parfois. Je recommande vivement doggy bag pour passer un moment drôle sexy et collant terriblemnt avec la réalité de notre époque obsédée. Dépéchez vous de lire les aventures des personnages les plus marquant de la série : David Sollens, cogèrant d’une concession automobile, l’homme taciturne auquel il n’arrive que des ennuis. Marc Sollens, le frère de David Sollens, cogèrant d’une concession automobile, l’homme au comportement du jeune homme redoutable pressé. Irène Sollens, la mère, elle est déboussolée mais prouvera sa bravoure.Victor Sollens, le père, lui aussi il est un peu largué et semble désirer de nouveau sa femme. Edith, c’est “l’ancienne” amante des deux frères, elle n’a jamais pu choisir. Sonia, la fille d’Edith, elle débute dans la vie avec quelques handicaps psychiques mais son physique est très agréable comme celui de sa mère. Josiannne, elle est la maîtresse de David, elle aime le sexe et reste pour l’instant fidèle. Béa, la secretaire de la concession, elle s’efforce de garder la tête froide. Un raccourci trop caricatural pour doggy bag reviendrai à écrire : les personnages féminins sont des nymphomanes désoeuvrées et les personnages masculins des obsédés sexuels débordés de travail. Mais il y a plus que cela dans doggy Bag il y a un suspens dû a des situations et des retournements de situation surprennantes cocasses ou frôlant l’absurde. C’est pour cela que j’ai hâte de lire la deuxième saison et de vous en faire un résumé. Je vous parlerais alors peut-être plus de l’histoire en elle même. Il y a un seul mystère, c’est le titre de cette série de roman : DOGGY BAG ! Pourquoi Philippe Djian a choisit ce titre ? La définition de doggy bag est : petit sac pour emporter les restes après un repas au restaurant (d’après la traduction du site www.dictionnaire.reverso.net ). Je suppose que ces restes on les donne à son chien. Mais il n’y a aucun rapport avec cette série. C’est peut-être pour cela que Philippe Djian a choisit ce titre pour ajouter un peu de comique, genre absurde. C’est ce titre qui m’ attiré vers la lecture de cette séries de six romans. Je me suis dit quel drôle de titre pour un roman. Phillipe Djian a utilisé les codes des séries télévisés, dont le succés est aujourd’hui retentissant. Et oui c’est pas idiot. Il m’emporte avec Doggy Bag dans pas moins de six saisons. Et je suis impatient de me plonger dans la deuxième saison. Le choix du titre est mystèrieux ou volontairement absurde et tout le reste est par opposition totalement claire surtout les personnages et leurs comportements. Les personnages de Doggy bag collent à notre époque et ne cachent rien, ils versent...
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