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Doggy bag - Saison 6
Date de parution : 30/09/2010
Éditeurs :
Julliard

Doggy bag - Saison 6

Date de parution : 30/09/2010

Pour finir, la température est tombée. Au-dehors.
Noël approche. Les sapins viennent de Chine. À l'intérieur des poitrines les coeurs brûlent, jour et nuit. Voyez Irène qui a pris un amant...

Pour finir, la température est tombée. Au-dehors.
Noël approche. Les sapins viennent de Chine. À l'intérieur des poitrines les coeurs brûlent, jour et nuit. Voyez Irène qui a pris un amant et Victor s'élevant dans les airs. David qui s'est réveillé chez les fous et Marc chez les Sexoliques Anonymes. Édith...

Pour finir, la température est tombée. Au-dehors.
Noël approche. Les sapins viennent de Chine. À l'intérieur des poitrines les coeurs brûlent, jour et nuit. Voyez Irène qui a pris un amant et Victor s'élevant dans les airs. David qui s'est réveillé chez les fous et Marc chez les Sexoliques Anonymes. Édith qui se marie, Sonia qui est plaquée. Etc. On pourrait multiplier les exemples.
Tandis que le décor va bientôt éclater comme une noisette de cristal sous l'effet du froid ultrasibérien désormais installé.
On aurait aimé parler de choses drôles et légères, ou même sérieuses, mais un écrivain ne fait jamais ce qu'il veut. Un écrivain est toujours occupé à se battre. Parfois, on a l'impression de s'être engagé dans la légion. Tellement le chemin est long et pénible - le chemin secret, s'entend.
Ph. Djian

Ainsi s'achève, avec cette ultime et sixième saison de Doggy bag, la série littéraire de Philippe Djian commencée en 2005.

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EAN : 9782260017943
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782260017943
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ils en parlent

À propos de Doggy bag, saison 5

« Le rythme implacable est toujours là, et la folie des personnages grandissante. »
Géraldine Sarratia, Les Inrockuptibles

« Ce qui garde le lecteur en haleine, c’est le swing de Djian, avec ce jeu de jambes qui fait qu’aucun personnage n’est jamais au repos. »
François Vey, Le Parisien


À propos de Doggy bag, saison 4


« En attendant Godot de Beckett adapté comme une série télévisée, dans le style des Sopranos. Sauf que la littérature est au rendez-vous...»
Yann Plougastel, Le Monde 2

« Djian touche parfois à la grâce, quand bien même, on le sait, il est là pour s’amuser, et nous aussi. Et c’est réjouissant au point d’attendre avec fébrilité la saison 5. Djian tient son rythme, sa narration et on en redemande. »
Raphaëlle Leyris, Les Inrockuptibles

« Djian fait œuvre de superbe littérature. Non seulement il crée un monde qui bruit de violences, de passions, il invente une histoire haletante qui brasse mythes et archétypes, psychanalyse et politique, mais il métamorphose en verbe haut en rythmes, en pulsions, en couleurs, cet étonnant chaos familial, conjugal, humain. »
Fabienne Pascaud, Télérama

« Cette saison 4 fait encore monter la température. Âmes prudes ou sensibles, s’abstenir. »
Didier Jacob,Le Nouvel Observateur

« Faites confiance au métier de Djian, on ne s’ennuie pas. »
Gilles Martin-Chauffier, Paris Match

« Philippe Djian, ça se médite aussi. »
François Vey, Le Parisien.



À
propos de Doggy bag, saison 3


« Djian récidive dans sa fausse série télé mais vraie littérature… Le lecteur de ce roman, écrit “en saisons”, est réduit à ronger son frein, à trépigner en attendant la suite. »
Raphaëlle Leyris, Les Inrockuptibles

« Farfelu, déjanté, Djian écrit fort bien et son feuilleton a “trouvé la bonne cadence ”. On en redemande avec plaisir. »
André Rollin, Le Canard enchaîné

« Philippe Djian désire prendre des risques autant dans le fond que dans la forme. Son style préfère frôler des ravins plutôt que de chausser des patins. »
Marie-Laure Delorme, Le Journal du Dimanche.

« Si Doggy bag est si réussi, c’est parce qu’on y trouve les codes des séries télé ? filiations secrètes, municipalités véreuses, accidents naturels et d’autres moins… ? appliqués aux obsessions de Philippe Djian : femmes au physique de Jennifer Lopez, amours physiques et fiévreuses, et toujours des histoires d’eau ? peur, noyades, etc. Bref du concentré de Djian sur un rythme d’enfer. »
Olivia de Lamberterie, Elle

« Avec une justesse émouvante, il poursuit une œuvre véritable, en forme de mode d’emploi à l’usage de l’humanité du bout de la rue. En ce domaine Djian est tout simplement le meilleur. »
Myriam Anderson, Le Figaro Magazine

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • david-dupere 10/11/2010
    Quand Djian se lance dans la sitcom cela déménage , à adapter à la TV s'ils en ont le courage !!!! Je ne pense pas...
  • Bill 03/08/2008
    Et voilà la série est bouclée :-) En septembre 2005, Philippe Djian a publié le premier épisode de la série Doggy Bag. Suite de six romans construits come une série télé ... Saga familiale, aux rebondissements multiples, plus rocambolesques les uns que les autres .... Où on retrouve toutes les trahisons, amours contrariées, enfants cachés, drames et rires .... Où toutes les (grosses) ficelles des soap opéras et de la télé-réalité sont exploitées jusqu'à la corde ... Bref, Philippe djian a réussi son pari ... Cette série dépasse tout ce que les scénaristes de Dallas ont un jour imaginé .... Mais ces 6 romans deviendront-ils série télé un jour ? ...... http://bill.et.marie.over-blog.com
  • Brume 09/07/2008
    Je ne parlerais pour le moment que de la saison 1 et la saison 6 (et dernière), c'est-à-dire le tome 1 et le tome 6 de cette série "de papier" tout droit sortie de l'imaginaire déjanté de Philippe Djian. Philippe Djian est un auteur français dont le plus grand succès reste 37,2 ° le matin que le grand public découvrira avec l'adaptation cinématographique de Beineix (avec la superbe Béatrice Dalle, dont ce fut le rôle de sa vie). [ A ce propos, je ne peux que vous conseiller la sublime BO Composée par Gabriel Yared]. Après m'être un peu beaucoup ennuyée à la lecture du tome 1 de Doggy bag, j'ai dû, critique à rendre pour le 13 juillet dernier délais oblige, attaquer directement le tome 6... Et finalement, c'est un peu comme à la tv, on a parfois loupé (par lassitude ou par inadvertance) une saison ou deux et puis hop on reprend en cours de route. Alors bien sûr, au début, on est un peu perdu, on trouve que tout va un peu trop vite et puis finalement, on trouve son rythme et on rempile pour la dernière et ultime saison ! J'ai beaucoup plus apprécié ce tome que le premier de la série. Intrigue plus alerte, écriture entraînante. Je dois bien l'avouer, Djian a un don : celui de toujours réussir à trouver cette petite mélodie qui raisonnera à nos oreilles et nous décidera à tracer la route avec lui. On retrouve dans ce sixième tome les personnages de la première saison : Edith qui est toujours avec Marc (inscrit lui aux Seoliques anonymes -sic!), David qui sombre un peu plus encore dans la folie; Sonia, la fille d'Edith qui n'est attirée que par les hommes qui ont le double de son âge; Victor et Irène, Josiane qui ne se remet pas de la mort de son fils et tous les autres bien entendu. Et tout ce beau monde s'avancent inexorablement vers la chute finale (et ben oui quand même c'est LA dernière saison) en cet hiver plus que glacial... J'ai regretté que les personnages soient finalement assez uniformes : pas beaucoup de changement de direction dans leur vie. Malgré les boulversements alentours, Marc, Edith et les autres gardent toujours la même ligne de conduite, égaux à eux-même. Trop peut-être. La question que je me pose maintenant est la suivante : vais-je (tout en connaissant la trame des saisons intermédiaires) tout de même lire les autres saisons ? Qui n'a jamais visionné en DVD les saisons précédentes d'une série découverte sur le tard ? ...Je ne parlerais pour le moment que de la saison 1 et la saison 6 (et dernière), c'est-à-dire le tome 1 et le tome 6 de cette série "de papier" tout droit sortie de l'imaginaire déjanté de Philippe Djian. Philippe Djian est un auteur français dont le plus grand succès reste 37,2 ° le matin que le grand public découvrira avec l'adaptation cinématographique de Beineix (avec la superbe Béatrice Dalle, dont ce fut le rôle de sa vie). [ A ce propos, je ne peux que vous conseiller la sublime BO Composée par Gabriel Yared]. Après m'être un peu beaucoup ennuyée à la lecture du tome 1 de Doggy bag, j'ai dû, critique à rendre pour le 13 juillet dernier délais oblige, attaquer directement le tome 6... Et finalement, c'est un peu comme à la tv, on a parfois loupé (par lassitude ou par inadvertance) une saison ou deux et puis hop on reprend en cours de route. Alors bien sûr, au début, on est un peu perdu, on trouve que tout va un peu trop vite et puis finalement, on trouve son rythme et on rempile pour la dernière et ultime saison ! J'ai beaucoup plus apprécié ce tome que le premier de...
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