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Du plomb dans les tripes
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

Du plomb dans les tripes

Date de parution : 28/10/2010

Quand j'étais môme et que ma bonne vieille Félicie m'emmenait en vacances à la montagne, dans le Jura, j'adorais fureter du côté de la scierie. J'ai toujours aimé l'odeur du...

Quand j'étais môme et que ma bonne vieille Félicie m'emmenait en vacances à la montagne, dans le Jura, j'adorais fureter du côté de la scierie. J'ai toujours aimé l'odeur du bois fraîchement coupé et le grincement plaintif des scies mécaniques mordant le sapin... Non, ne croyez pas que je cherche...

Quand j'étais môme et que ma bonne vieille Félicie m'emmenait en vacances à la montagne, dans le Jura, j'adorais fureter du côté de la scierie. J'ai toujours aimé l'odeur du bois fraîchement coupé et le grincement plaintif des scies mécaniques mordant le sapin... Non, ne croyez pas que je cherche à vous pondre de la Haute Littérature, ni que le bucolique (néphrétique) soit à l'ordre du jour, car je vous jure que cette passion de mon enfance, je l'ai perdue... A tout jamais... Car présentement, je me trouve lié sur une de ces scies qui faisaient mon admiration... Et c'est moi qui fais le rondin. La lame se trouve très exactement à 1 mm de mon buste et je ne dispose plus que d'un centième de seconde pour agir... C'est ce qui s'appelle avoir du pain sur la planche !

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EAN : 9782265091061
Code sériel : 5
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091061
Code sériel : 5
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • TmbM 15/11/2023
    Ce qui est certain, c'est que le roman est violent, sans concession, ponctué de scènes de tortures sanglantes, radicales, et qu'il est rythmé par le bruit des bottes et une avalanche de macchabées. L'auteur y écoule un stock semble-t-il inépuisable de termes argotiques pour désigner les chleuhs, les frisés, les fritz, les boches, les verts-de-gris et autres teutons. Il y dresse le portrait d'une époque violente parcourue par des protagonistes engagés, d'un côté ou de l'autre, parfois malgré eux. Ici, pas de place pour l'indécision ! Toutefois, entre les résistants et les collabos, les lâches et les courageux, difficile de savoir où se situent les espions et les agents doubles... Touchez mon blog, Monseigneur...
  • DR_Cloq 05/12/2022
    Le 5ème San Antonio dans la série et MON 5ème puisque je suis la chronologie. Nous sommes dans la série des années 50 (J’ai acheté la série « Les années 50 » pour 59,99e sur ma liseuse). J’en lis un tous les 3 romans. Ça détend ! lol Pour ce numéro 5, nous voilà une nouvelle fois en pleine guerre. San Antonio se démène pour remplir sa mission. L’argot est toujours au rendez-vous (je commence à m’y faire, au début ce n’est pas facile) ! L’aventure est menée à un rythme d’enfer et la recette est toujours la même : des filles, des alcools forts, des bourre-pifs en veux-tu en voilà. Il n’y a pas grand chose à dire de plus, c’est plaisant, enfin moi j’aime, ça détend, ça se lit très vite, le sourire au coin des lèvres…
  • MrVladdy 01/02/2022
    Je continue ma plongée dans l’univers de San Antonio avec « Du plomb dans les tripes », cinquième aventure de notre Commissaire publié en 1953. Globalement, j’ai passé un très bon moment. Le style de Frédéric Dard me plaît toujours beaucoup et au-delà de l’histoire, c’est cette façon de jouer avec les mots et ce vocabulaire fleuri qui me plaît énormément. C’est aussi pour ça d’ailleurs que ça se lit très vite car le style est fluide, agréable et si on rentre dans le délire, on s’amuse de bout en bout. Après, ça ne restera pas pour autant mon enquête préféré. Déjà parce que l’on retrouve l’occupation allemande de façon très importante dans le décor. C’est pas mauvais mais à titre personnel, je ne suis pas très fan même si ça ne gâche pas ma lecture. Ensuite, il y a aussi le fait que quelques retournements de situations sont quand même très prévisible. Le style San Antonio est une ambiance légère et on sait à quoi s’attendre dès le début mais je trouve ça dommage que l’on devine assez vite les intentions de certains personnages. Dans les quatre précédentes enquêtes, je trouvais que San Antonio se laissait moins avoir par ce genre d’évidence (c’est sans doute juste mon ressenti) mais bon, dès le début, le personnage morfle bien donc je ne vais pas lui en vouloir. Quoiqu’il en soit, je garde le rythme dans mes découvertes. Je ne suis qu’au début, la route est encore longue mais pour l’instant, je ne m’en lasse pas.Je continue ma plongée dans l’univers de San Antonio avec « Du plomb dans les tripes », cinquième aventure de notre Commissaire publié en 1953. Globalement, j’ai passé un très bon moment. Le style de Frédéric Dard me plaît toujours beaucoup et au-delà de l’histoire, c’est cette façon de jouer avec les mots et ce vocabulaire fleuri qui me plaît énormément. C’est aussi pour ça d’ailleurs que ça se lit très vite car le style est fluide, agréable et si on rentre dans le délire, on s’amuse de bout en bout. Après, ça ne restera pas pour autant mon enquête préféré. Déjà parce que l’on retrouve l’occupation allemande de façon très importante dans le décor. C’est pas mauvais mais à titre personnel, je ne suis pas très fan même si ça ne gâche pas ma lecture. Ensuite, il y a aussi le fait que quelques retournements de situations sont quand même très prévisible. Le style San Antonio est une ambiance légère et on sait à quoi s’attendre dès le début mais je trouve ça dommage que l’on devine assez vite les intentions de certains personnages. Dans les quatre précédentes enquêtes, je trouvais que San Antonio se laissait moins avoir par ce genre d’évidence...
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  • AlexandreAllamanche 19/08/2021
    Si les 4 premiers épisodes de San-Antonio ne laissent déjà guère de place à l'oisiveté, Du plomb dans les tripes attaque avec notre lascar saucissoné dans une scierie, et avançant inexorablement vers la lame qui va le débiter en 2 dans le sens de la longueur... Il va s'en sortir avec quelques solides blessures, pour tomber sur un type transportant des tortues dans un sac, sac que San-Antonio récupérera lorsque le gusse se fera descendre par des boches... Un début à la hauteur de notre héros, qui échappera à bien des dangers et devra démasquer bien des salopards avant de pouvoir rentrer à Londres. Encore une réussite pour moi! Décidément, San-Antonio est un sacré gaillard !
  • mikaelunvoas 21/08/2019
    Ce cinquième San Antonio revient sur sa période d'agent secret en Angleterre, envoyé ici pour une mission dans la région lyonnaise. Une bonne partie de l'action se passe à BOURGOIN. Notre commissaire à toujours le sens de l'humour et côtoie la mort à plusieurs occasions. J'aime les descriptions de ces personnages. Sinon, je dois reconnaitre que ses aventures dans ce tome sont un peu trop poussées à l'extrême, car il n'hésite pas à se jeter plusieurs fois dans la gueule du loup et tout le monde sait par exemple que pénétrer dans les locaux de la Gestapo de LYON n'était pas une mince affaire, mais en sortir.. quasiment impossible.
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