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Emma
David Lodge (postface de), Hélène Seyrès (préface de)
Date de parution : 01/06/2010
Éditeurs :
Archipoche

Emma

David Lodge (postface de), Hélène Seyrès (préface de)
Date de parution : 01/06/2010
Emma Woodhouse vit avec son père veuf. D'une grande beauté et pleine d'assurance, elle évolue en toute indépendance à Highbury, sans aucun souci financier et entourée d'amis fidèles. Mais le... Emma Woodhouse vit avec son père veuf. D'une grande beauté et pleine d'assurance, elle évolue en toute indépendance à Highbury, sans aucun souci financier et entourée d'amis fidèles. Mais le mariage de son ancienne gouvernante avec M. Weston la ramène à sa solitude. Pour se distraire, elle décide de s'occuper... Emma Woodhouse vit avec son père veuf. D'une grande beauté et pleine d'assurance, elle évolue en toute indépendance à Highbury, sans aucun souci financier et entourée d'amis fidèles. Mais le mariage de son ancienne gouvernante avec M. Weston la ramène à sa solitude. Pour se distraire, elle décide de s'occuper du mariage des autres, persuadée d'avoir des talents d'entremetteuse. Elle se consacre à sa nouvelle protégée, la très jolie Harriet Smith, qu'elle destine à M. Elton, le vicaire de Highbury. Les plans de la jeune fille semblent en bonne voie, mais ses certitudes vacillent lorsque les événements prennent un tour inattendu : ses propres émotions amoureuses lui vaudront bien des déconvenues...
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EAN : 9782352874270
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 470
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782352874270
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 470
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • larmedesoleil 31/03/2024
    Après avoir lu quatre de ses romans, je crois pouvoir dire que Jane Austen est décidément une merveilleuse auteure. Si je n'ai pas autant apprécié celui ci qu'Orgeuil Préjugés et Raison Sentiments, j'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver la belle plume de l'auteure de même que sa critique non très voilée de la noble société et petite bourgeoisie anglaise. Si j'ai moins aimé celui-ci c'est sans doute car je me suis beaucoup moins attachée au personnage d'Emma que l'on aurait dit un peu plus distante du lecteur qu'Élinor ou Élizabeth et j'ai trouvé que le protagoniste masculin était également moins bien mis de l'avant. [masquer] On pouvait effectivement mieux apprécier la profondeur du personnage de Frank Churchill il me semble. [/masquer] Je m'étais malheureusement fait spoiler la fin alors je n'ai pas pu tellement en apprécier la surprise, mais ça m'a permis de suivre tous les petits indices laissés par l'auteur, d'autres plus évidents et d'autres moins, nous menant vers cette fin. En bref, ce fut une excellente lecture, toujours d'un très bon niveau d'écriture et bien divertissante.
  • Ngc 28/03/2024
    Emma est un personnage d'abord attachant, de par son rôle d'entremetteuse qui a tendance à gaffer, par sa faculté à ne se préoccuper que des autres en gardant des œillères sur sa propre situation, mais aussi par l'amour et le soin qu'elle porte à son père. Sur le long du récit, par contre, le charme s'étiole un peu. Elle manque un peu d'esprit, de piquant, et ce sont pas les autres personnages qui vont relever le niveau, à part bien sûr monsieur Knightley, dont les réparties font merveille et occasionnent de beaux dialogues avec le personnage éponyme. La longueur c'est un peu le problème de ce roman de Jane Austen, qui aurait gagné à être plus condensé, tant certaines scènes semblent s'étirer pour pas grand chose. Et si la qualité de l'écriture est indiscutable, que le langage soutenu des protagonistes fait merveille pour embellir des dialogues parfois bien plats, le propos lui reste parfois un peu vain, trop futile. Et il n'y pas cette beauté de sensation, de l'impression, de l'émotion que l'on retrouve dans les romans de Virginia Woolf ou chez Proust. Un roman qui laisse un sentiment mitigé, parfois drôle et touchant, parfois un peu pénible et harassant.
  • PrinceEndymion 18/03/2024
    Une fois de plus, de sa plume acerbe, Jane Austen dresse une nouvelle analyse du mariage. Emma Woodhouse, jeune fille "intelligente", mais surtout très présomptueuse et inconséquente, a la chance de vivre aux côtés de son père, un bienheureux malade imaginaire nanti. La jeune adulte, qui de toute évidence s'ennuie terriblement, se plaît à jouer les entremetteuses auprès de son amie Harriet, une fille certes jolie, toutefois, pas du tout avertie. Car Emma s'est juré de ne jamais se marier; elle n'en a nullement besoin, puisque son père est nanti, et que tous leurs amis vivent autour d'eux, à quoi bon? Avouez que c'est plus intéressant de tuer le temps en élaborant des stratégies pour rapprocher des êtres qui ne connaissent rien du sentiment amoureux. Mais aveuglée par ses certitudes et son orgueil, convaincue de faire le bien autour d'elle, Emma blesse ses plus proches amis. L'humour de Jane Austen ne s'émousse nullement dans cet ambitieux roman qui outre le mariage, raille la vie en province, les microcosmes étriqués et pédants. de ce fait, j'ai eu le sentiment de relire Orgueil et Préjugés, ainsi que Northanger Abbaye. Plusieurs personnages d'Emma comme Mr Knightley et Mrs Elton m'ont respectivement rappelé Mr Darcy et sa tante Lady de Bourgh. Je fais allusion à Northanger Abbaye car Emma, à bien des égards, a beaucoup en commun avec une certaine Catherine Morland: toutes deux ont une vision romanesque de la vie: Catherine pense que le monde est calqué sur un roman gothique, tandis qu'Emma s'imagine que la vie est un roman à l'eau de rose dont elle rédigerait et orienterait l'intrigue. Mieux, elle se voit comme la marionnettiste d'un petit théâtre dont elle savoure le spectacle aux premières loges! du fait de son orgueil, Emma Woodhouse m'a semblé prodigieusement antipathique et détestable du fait de son attitude suffisante et hautaine: c'est une garce qui n'a rien à envier à une certaine Caroline Bingley, personnage d'Orgueil et Préjugés (et meilleure garce jamais imaginée par Jane Austen). Vous trouvez que je vais vite en besogne? Que je me laisse aveugler à mon tour par mon ressentiment contre Emma? Mes propos ne lui rendent nullement justice ? Ma foi vous avez raison! Il est vrai qu'en termes de perfidie, Emma Woodhouse fait pâle figure aux côtés de Caroline Bingley. de plus, c'est un roman d'apprentissage puisque Emma apprend de ses erreurs et s'améliore par la suite, dompte son orgueil, et mesure combien elle s'était fourvoyée. Si l'intrigue est bien orientée, force est de constater que Jane Austen persiste à suivre le même schéma : une jeune fille qui sort du lot se fourvoie dans ses opinions, se confronte à la bonne société en effectuant des débuts bien maladroits, se rend compte de ses erreurs, remet en question ses convictions et adopte un nouveau modus operandi et connaît un heureux dénouement... Avouez que c'est du déjà vu, surtout si vous avez lu Orgueil et Préjugés, Raison et Sentiments, Northanger Abbaye, ou encore Persuasion pour ne citer que quelques uns des trésors de Jane Austen. Je tiens à souligner un point non négligeable qui m'a énormément déçu et courroucé dans la traduction de François Laroque: les fautes d'orthographe sont légions dans son interprétation du roman, et certaines expressions sont anachroniques. Nous avons par exemple: "John l'a inviter"... Au secours, mes yeux saignent, le participe passé, ça vous rappelle pas quelque chose ? Et page 335: "c'était pour exciter ma curiosité". Le traducteur avait-il réellement conscience qu'il traduisait Jane Austen, référence incontournable, emblématique et indissociable de la littérature anglaise ? Je ne m'épancherai pas davantage sur les fautes d'orthographe tant je redoute de vous contaminer en dressant leur détail. Page 297, je suis tombé des nues: "Pas de chichis, ce sera comme une réunion de bohémiens". "Chichis"? Que vient donc faire ce mot dans un roman dont la diégèse est située au XIXe siècle? Avouez qu'une telle phrase est à des années-lumière de rendre justice à la plume de Jane Austen ! Voilà pourquoi je mets à l'ouvrage la note de trois étoiles sur cinq, dans la mesure où j'estime que malgré son immense talent, Jane Austen peine à innover et à s'extraire du schéma avec lequel elle orienté ses récits. Emma est certes un roman ambitieux et abouti, mais pas le plus réussi de la romancière, et qu'une traduction bien souvent maladroite et regorgeant de fautes d'orthographe éclabousse d'opprobre un tel ouvrage.Une fois de plus, de sa plume acerbe, Jane Austen dresse une nouvelle analyse du mariage. Emma Woodhouse, jeune fille "intelligente", mais surtout très présomptueuse et inconséquente, a la chance de vivre aux côtés de son père, un bienheureux malade imaginaire nanti. La jeune adulte, qui de toute évidence s'ennuie terriblement, se plaît à jouer les entremetteuses auprès de son amie Harriet, une fille certes jolie, toutefois, pas du tout avertie. Car Emma s'est juré de ne jamais se marier; elle n'en a nullement besoin, puisque son père est nanti, et que tous leurs amis vivent autour d'eux, à quoi bon? Avouez que c'est plus intéressant de tuer le temps en élaborant des stratégies pour rapprocher des êtres qui ne connaissent rien du sentiment amoureux. Mais aveuglée par ses certitudes et son orgueil, convaincue de faire le bien autour d'elle, Emma blesse ses plus proches amis. L'humour de Jane Austen ne s'émousse nullement dans cet ambitieux roman qui outre le mariage, raille la vie en province, les microcosmes étriqués et pédants. de ce fait, j'ai eu le sentiment de relire Orgueil et Préjugés, ainsi que Northanger Abbaye. Plusieurs personnages d'Emma comme Mr Knightley et Mrs Elton m'ont respectivement rappelé Mr...
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  • bookassie14 13/03/2024
    Cette année, je me suis lancée le défi de participer à plus de lectures communes pour pouvoir échanger davantage avec des lecteur.ice.s passionné.e.s. 📕C'est donc avec la LC sur "𝑬𝒎𝒎𝒂" de Jane Austen - organisée par la douce @la_petite_fee_litteraire (sur Instagram) dans le cadre de son challenge "𝟔 𝒎𝒐𝒊𝒔 𝟔 𝒄𝒍𝒂𝒔𝒔𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔" - que j'ouvre le bal ! 𝓤𝓷 𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻 𝓲𝓷𝓬𝓸𝓷𝓭𝓲𝓽𝓲𝓸𝓷𝓷𝓮𝓵 Si vous me suivez depuis un petit moment maintenant, vous n'avez pas pu passer à côté de l'amour inconditionnel que je porte pour Jane Austen, et plus particulièrement pour son œuvre phare "Orgueil et Préjugés" ! C'est donc avec une grande curiosité et une appréhension certaine que je me suis plongée au sein de la petite bourgade de Highbury. Comme toujours, l'autrice nous dépeint avec intelligence, humour et ironie la société anglaise de l'époque avec une palette de personnage haute en couleur et une plume à la fois élégante et addictive ! J'ai également adoré être témoin de l'évolution de nos personnages (surtout celle de notre héroïne) et d'être spectatrice d'une (en)quête de l'âme sœur inespérée et inattendue. 𝓟𝓸𝓾𝓻𝓽𝓪𝓷𝓽... Ce n’était pas gagné ! Avec une Emma à première vue imbue de sa personne et très énervante (par moment), j'avais bien peur de devoir refermer ce roman avec un goût amer dans la bouche. Comme quoi, il faut toujours laisser le temps au temps, car derrière cette façade se cache une jeune femme d'une nature douce et protectrice. Bien qu'elle a fait preuve de "naïveté" et "d'ignorance" concernant ses propres sentiments et ceux de ses proches, elle a su se remettre en question et avouer ses torts - ce qui m'a clairement permis de l'apprécier en définitive. 𝓔𝓷 𝓫𝓻𝓮𝓯, J'ai passé un merveilleux moment de lecture avec cette histoire d'amour rocambolesque et cette jeune entremetteuse qui n'attend que le meilleur pour elle et pour son entourage. Une chose que nous faisons tou.te.s, au final ! Cette année, je me suis lancée le défi de participer à plus de lectures communes pour pouvoir échanger davantage avec des lecteur.ice.s passionné.e.s. 📕C'est donc avec la LC sur "𝑬𝒎𝒎𝒂" de Jane Austen - organisée par la douce @la_petite_fee_litteraire (sur Instagram) dans le cadre de son challenge "𝟔 𝒎𝒐𝒊𝒔 𝟔 𝒄𝒍𝒂𝒔𝒔𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔" - que j'ouvre le bal ! 𝓤𝓷 𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻 𝓲𝓷𝓬𝓸𝓷𝓭𝓲𝓽𝓲𝓸𝓷𝓷𝓮𝓵 Si vous me suivez depuis un petit moment maintenant, vous n'avez pas pu passer à côté de l'amour inconditionnel que je porte pour Jane Austen, et plus particulièrement pour son œuvre phare "Orgueil et Préjugés" ! C'est donc avec une grande curiosité et une appréhension certaine que je me suis plongée au sein de la petite bourgade de Highbury. Comme toujours, l'autrice nous dépeint avec intelligence, humour et ironie la société anglaise de l'époque avec une palette de personnage haute en couleur et une plume à la fois élégante et addictive ! J'ai également adoré être témoin de l'évolution de nos personnages (surtout celle de notre héroïne) et d'être spectatrice d'une (en)quête de l'âme sœur inespérée et inattendue. 𝓟𝓸𝓾𝓻𝓽𝓪𝓷𝓽... Ce n’était pas gagné ! Avec une Emma à première vue imbue de sa personne et très énervante (par moment), j'avais bien peur de...
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  • marpontes5 28/02/2024
    Quatrième roman de Jane Austen, publié en 1815. Se déroulant à Highbury, en Angleterre, au début du XIXe siècle, le roman est centré sur Emma Woodhouse, une jeune femme précoce dont la confiance déplacée dans ses capacités de jumelage provoque plusieurs mésaventures romantiques. "Emma Woodhouse, belle, intelligente et riche, avec une maison confortable et un caractère heureux, semblait réunir quelques-unes des meilleures bénédictions de l'existence ; et avait vécu près de vingt et un ans dans le monde avec très peu de choses qui l'affligeaient ou la contrariaient" 'Semblait', Emma est en effet belle, riche et intelligente. Cependant, elle est également gâtée, intrigante et illusionnée. Même si elle est convaincue qu'elle ne se mariera jamais, Emma estime qu'elle est une excellente entremetteuse. Comme elle le raconte à son père et à son cher ami M. Knightley, elle a pratiquement arrangé le récent mariage entre son ancienne gouvernante, Mlle Taylor, et le veuf M. Weston. (Après tout, elle les a présentés.) Après un « succès » aussi évident, Emma est déterminée à faire un autre match. Cette fois, elle a jeté son dévolu sur le vicaire du village, M. Elton. Le père d’Emma et M. Knightley la mettent en garde contre toute ingérence, mais ils ne parviennent finalement pas à la dissuader. Mariage et statut social sont les deux forces d'Emma. La majeure partie du drame du roman d’Austen tourne autour de qui aime qui et ce que cela signifie, compte tenu de sa position sociale. Le statut social dans l’Angleterre du XIXe siècle était déterminé par une confluence de facteurs, notamment le nom de famille, le sexe, le droit de naissance, la réputation et la richesse, et il dictait beaucoup le cours de la vie d’une personne. Les membres des classes sociales supérieures n’étaient pas censés se marier, et encore moins interagir, avec les membres d’une classe inférieure. En fait, dans certains cas, de tels mariages étaient considérés comme inappropriés. À travers Emma, #8203;#8203;Austen fait subtilement la satire de l’obsession de sa société pour les distinctions sociales. Au début du roman, l’héroïne d’Austen est sûre de savoir qui sont « les élus et les meilleurs » à Highbury et qui constituent le « deuxième groupe ». Fidèle à son code social, Emma décourage Harriet de poursuivre une relation avec Robert. Comme l'explique Emma, #8203;#8203;Robert n'est pas un « gentleman ». Il est donc destiné à devenir « un agriculteur complètement grossier, vulgaire, totalement indifférent aux apparences et ne pensant qu’au profit et à la perte ». Emma est également consternée lorsque Mme Elton prétend appeler M. Elton et M. Knightley « M. Elton ». E »et« Knightley ». M. Knightley remet en question les notions de distinction de classe d’Emma, #8203;#8203;la poussant à se demander si de telles distinctions comptent vraiment. Lorsqu'Emma critique Robert pour son attitude peu distinguée, M. Knightley défend Robert avec passion, affirmant qu'il «a plus de vraie gentillesse que Harriet Smith ne pourrait jamais comprendre». Après l'échec de toutes ses tentatives pour obtenir des mariages convenables, Emma commence enfin à se rendre compte que la distinction sociale n'équivaut pas à une différence constitutionnelle de caractère. À la fin du roman, Emma a appris sa leçon et décide que « ce serait un grand plaisir de connaître Robert Martin ».Quatrième roman de Jane Austen, publié en 1815. Se déroulant à Highbury, en Angleterre, au début du XIXe siècle, le roman est centré sur Emma Woodhouse, une jeune femme précoce dont la confiance déplacée dans ses capacités de jumelage provoque plusieurs mésaventures romantiques. "Emma Woodhouse, belle, intelligente et riche, avec une maison confortable et un caractère heureux, semblait réunir quelques-unes des meilleures bénédictions de l'existence ; et avait vécu près de vingt et un ans dans le monde avec très peu de choses qui l'affligeaient ou la contrariaient" 'Semblait', Emma est en effet belle, riche et intelligente. Cependant, elle est également gâtée, intrigante et illusionnée. Même si elle est convaincue qu'elle ne se mariera jamais, Emma estime qu'elle est une excellente entremetteuse. Comme elle le raconte à son père et à son cher ami M. Knightley, elle a pratiquement arrangé le récent mariage entre son ancienne gouvernante, Mlle Taylor, et le veuf M. Weston. (Après tout, elle les a présentés.) Après un « succès » aussi évident, Emma est déterminée à faire un autre match. Cette fois, elle a jeté son dévolu sur le vicaire du village, M. Elton. Le père d’Emma et M. Knightley la mettent en garde contre toute ingérence,...
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