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Et Dior créa la femme
Date de parution : 15/11/2012
Éditeurs :
le cherche midi

Et Dior créa la femme

Date de parution : 15/11/2012
Une déclaration d’amour aux femmes.

Un portrait de Christian Dior ? Oui, mais aussi un miroir dans lequel Francis Huster se regarde et regarde les femmes.



Dans ce roman à la fois vrai et fantasmé,...

Un portrait de Christian Dior ? Oui, mais aussi un miroir dans lequel Francis Huster se regarde et regarde les femmes.



Dans ce roman à la fois vrai et fantasmé, où l’on croise son copain d’enfance Patrick Dewaere, Jean-Louis Barrault ou Jean Marais, le comédien s’intéresse aux dernières années de...

Un portrait de Christian Dior ? Oui, mais aussi un miroir dans lequel Francis Huster se regarde et regarde les femmes.



Dans ce roman à la fois vrai et fantasmé, où l’on croise son copain d’enfance Patrick Dewaere, Jean-Louis Barrault ou Jean Marais, le comédien s’intéresse aux dernières années de Christian Dior, celles qui ont vu le succès d’un homme, d’un style et d’une marque. En se racontant au travers de l’histoire de Dior, Francis Huster évoque sa mère couturière, ses souvenirs de théâtre, ses rencontres, ses rêves et le parfum envoûtant des années 1950.



C’est surtout, dans un style très personnel, enthousiaste et inventif, le prétexte à un éloge de la folie créatrice, de l’excellence française dans ce qu’elle a de plus admirable, de plus élégant, mais, avant toute chose, c’est une déclaration d’amour à celles sans qui Christian ne serait jamais devenu Dior et qui, sans Dior, ne seraient pas tout à fait les mêmes : les femmes.

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EAN : 9782749127989
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782749127989
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • perfchris 07/02/2014
    Francis Huster retrace de façon romancée la percée de Christian Dior dans le monde de la mode. Il nous fait part de ses hésitations, des difficultés que ce grand couturier a rencontré jusqu'à sa mort prématurée. Il met à jour sa démarche en tant que créateur et de couturier particulièrement. Le style de Francis Huster n'a rien d'historique mais retrace à la perfection la démarche de Christian Dior, ses aspirations. Il nous fait partager une période captivante de la vie du couturier. Superbe !
  • brigittelascombe 16/02/2013
    Je ne sais pas si Dior créa vraiment la femme, en l'effeuillant savamment par touches subtiles comme un peintre la sculpterait de son pinceau,toujours est-il qu'il a imposé son élégance de Femme avec un grand F aux yeux du monde. F comme fatale, sublime, sublimée par les créations d'un divin créateur. Coco Chanel aussi, en déesse libérant la soumise de ses carcans aurait droit à quelques applaudissements. Fin d'apparté. Francis Huster vénère Dior et ses fantasmes sans nul doute plus sensuels. Diorissimo. Allegro.Et Dior créa la femme revisite le mythe de la beauté faite femme et reprend quelque peu le titre d'un film dans lequel joua Brigitte Bardot qui,elle aussi a porté, à moins qu'elle soit portée par Dior, du Dior. Hommage au "bon monsieur Dior" humaniste, tolérant,exigeant, homosexuel à la sensibilité exacerbée,homme raffiné aux souffrances tues,"magicien" dont l'oeuvre a su dépasser la médiocrité du monde...Et Dior créa la femme, sous la plume exaltée de Francis Huster, se pare d'un côté théâtral sans doute du au statut de Francis Huster que la quatrième de couverture proclame "monstre sacré du théâtre", "star de la télévision", "vedette de cinéma","auteur,réalisateur, adaptateur, professeur et metteur en scène"... Bravissimo! Donc, théâtre oblige, le "bon monsieur Dior" devient le "De Gaulle des ciseaux", le "roi du new-look", l'anti "mode zazou" et le "Racine de la haute couture" (explication:Racine a touché à "l'insondable mystère de l'âme féminine"!!! Francis Huster se mire dans la créativité artistique commune,l'amour commun des femmes sublime^s,les origines juives,la renommée, les membres des familles respectives déportés,la croyance aux prédictions des voyantes...bref il établit un parallélisme entre leurs vies et le fait que fils de couturière il ait, lui même, baigné dans la mode durant son enfance (dommage qu'il n'évoque pas plus le travail de sa mère). Il étudie le moment clef où Christian, à la double personnalité, est devenu Dior et s'incline devant des femmes qui ne sont plus mais demeurent éternelles (de Rita Hayworth à Vivian Leight ou Marlène Dietrich...). Le langage familier du début ( "schnock", "le sang pissait", les "ritals", "google-isé"..) du début s'envole vers du plus profond (ouf!), le rêve prend corps, Francis habite Huster. Un beau portrait de Dior que Francis Huster nous dresse là, celui d'un père spirituel, d'un modèle. Et le caractère d'Huster, entre deux rôles qui se dévoile: attaché aux signes, homme d'action, passionné, raffiné, amoureux de la beauté.. Après, la vision des femmes qu'il lègue à ses filles ("A Elisa est Toscane") est très élitiste. N'est-elle pas un fantasme innaccessible? Dior le "magicien" n'effectuait-il pas son tour de magie quotidien pour atteindre la perfection sur une femme forcément imparfaite? La haute couture, grand Art oui, mais la haute couture image de toutes les femmes non. A lire pour compléter: Christian Dior § moi par Christian Dior en personne.Je ne sais pas si Dior créa vraiment la femme, en l'effeuillant savamment par touches subtiles comme un peintre la sculpterait de son pinceau,toujours est-il qu'il a imposé son élégance de Femme avec un grand F aux yeux du monde. F comme fatale, sublime, sublimée par les créations d'un divin créateur. Coco Chanel aussi, en déesse libérant la soumise de ses carcans aurait droit à quelques applaudissements. Fin d'apparté. Francis Huster vénère Dior et ses fantasmes sans nul doute plus sensuels. Diorissimo. Allegro.Et Dior créa la femme revisite le mythe de la beauté faite femme et reprend quelque peu le titre d'un film dans lequel joua Brigitte Bardot qui,elle aussi a porté, à moins qu'elle soit portée par Dior, du Dior. Hommage au "bon monsieur Dior" humaniste, tolérant,exigeant, homosexuel à la sensibilité exacerbée,homme raffiné aux souffrances tues,"magicien" dont l'oeuvre a su dépasser la médiocrité du monde...Et Dior créa la femme, sous la plume exaltée de Francis Huster, se pare d'un côté théâtral sans doute du au statut de Francis Huster que la quatrième de couverture proclame "monstre sacré du théâtre", "star de la télévision", "vedette de cinéma","auteur,réalisateur, adaptateur, professeur et metteur en scène"... Bravissimo! Donc, théâtre oblige, le "bon monsieur Dior" devient le...
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