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Furiously Happy
Christine Barbaste (traduit par)
Date de parution : 09/03/2017
Éditeurs :
12-21

Furiously Happy

Christine Barbaste (traduit par)
Date de parution : 09/03/2017
« J’ai un peu perdu la raison, lentement mais sûrement. Et c’est ce qui pouvait m’arriver de mieux. »
" Cher lecteur ou lectrice,
En cet instant, vous tenez ce livre entre vos mains et vous vous demandez si cela vaut le coup de le lire. Probabalement pas. Mais il...
" Cher lecteur ou lectrice,
En cet instant, vous tenez ce livre entre vos mains et vous vous demandez si cela vaut le coup de le lire. Probabalement pas. Mais il y a un billeet caché dans la reliure, donc, si j'étais je foncerais à la caisse pour l'acheter avant que...
" Cher lecteur ou lectrice,
En cet instant, vous tenez ce livre entre vos mains et vous vous demandez si cela vaut le coup de le lire. Probabalement pas. Mais il y a un billeet caché dans la reliure, donc, si j'étais je foncerais à la caisse pour l'acheter avant que votre libraire ne s'en aperçoive.
Je vous en prie, inutile de me remercier.
Ce livre s'intitule Furiously Happy - Chroniques désopilantes sur des choses qui le sont moins. Ce n'est pas qu'un titre, mais également un petit quelque chose qui m'a sauvé la vie."

Comme de nombreux proches de l'auteur, vous vous dites : " Qu'est-ce qui cloche chez Jenny ? " D'après les divers psys qu'elle a consultés au cours des vingt dernières années, Jerry est une "dépressive hautement fonctionnelle qui souffre d'un grave trouble de l'anciété". Un jour, elle décide d'inverser la polarité de ses émotions, et de devenir FURIOSLY HAPPY.
Née de cette volonté de célébrer la vie, et la fantaisie sous toutes ses formes, sa philosophie a déjà conquis des milliers de lecteurs à travers le monde !
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EAN : 9782823854077
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823854077
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • instantxc 26/04/2019
    J'avais essayé il y a quelques temps de lire ce livre, mais j'avais fini par renoncer, car je n'avais pas accroché, trouvant que cela partait un peu trop dans tous les sens. Mais il y a peu, j'ai décidé de retenter l'expérience ! De nouveau il m'a fallu un temps pour m'adapter à ce sentiment d'étrangeté que le livre génère ! Mais passé cette première impression, j'ai fini par apprécier ma lecture. Le ton est loufoque et impertinent, ce qui nous fait passer de la sidération au rire d'un chapitre à l'autre. Mais le fond est également très intéressant à mes yeux. En arrière-plan, ce livre parle en effet de la dépression et de la maladie mentale avec beaucoup de justesse, décrivant le ressenti de l'auteure face à ses troubles, les différentes phases qu'elle traverse et délivrant un message d'espoir à ses lecteurs. En résumé, un livre qui peut perdre le lecteur par moments, mais qui vaut quand même la peine que l'on s'accroche un petit peu !
  • ipomeeviolette 15/06/2018
    Le raton laveur sur la couverture me tendait les bras sur le présentoir des nouveautés de la bibliothèque, c'était un signe, ce livre était là pour moi, au bon moment. Quel bonheur en lisant ces petits morceaux de vie, ces anecdotes déjantées mais pas tant que ça, de se sentir moins seule ! Jenny Lawson aide beaucoup de lecteurs en avouant, en mettant en avant sur son blog et sur les réseaux sociaux, sa folie quotidienne, son mal-être régulier mais aussi sa joie de vivre quand les monstres tapis au fond d'elle la laissent en paix. Tous ceux qui sont passés ou passent par des petits ou grands moments de dépression, de stress plus que normal, s'accrocheront à ces chapitres comme à de petits flotteurs. Il faudrait un livre de son mari pour aider les proches à se sentir compris maintenant ! ^^
  • _BNFA 03/01/2018
    Voici un livre qui peut aider à surmonter le quotidien et ses aléas avec le sourire. L’auteur qui tient un blog nous fait part de toutes les bizarreries qu’elle a développées pour donner un grand coup de poing à la dépression, dont elle est régulièrement la victime. C’est en assumant pleinement ses travers et ses tics, en devenant « furieusement heureuse », en se débarrassant du jugement d’autrui et en s’appuyant sur l’aide des proches et de ses lecteurs qu’elle sait faire reculer la maladie qui aime tant mentir à son oreille. Nourrie d’anecdotes toutes aussi loufoques, absurdes que touchantes, elle fait de son cas, une vitrine pour ceux qui se pensent fous par moment de ne pas être dans la norme ou comme il faut. Parce que tous ces traits nous rendent uniques et que sans cela, la vie manquerait d’un peu de sel sans doute. (G.H.)
  • Marple 19/12/2017
    Souffrant de dépression sévère, d’anxiété et de plusieurs autres troubles mentaux, Jenny Lawson a écrit ces chroniques de blog, aujourd’hui rassemblées sous forme de livre, pour partager sa philosophie furieusement optimiste de la vie, démystifier la maladie mentale et apporter soutien et espoir à ses compagnons de désespoir. L’intention est magnifique, le livre l’est à certains moments tout autant... et à d’autres un peu trop perché pour moi. L’obsession des animaux empaillés, l’habitude des déguisements farfelus et les discussions absurdes avec son mari ne m’ont pas fait rire. Du tout. Un peu trop Paasilina pour moi, mais apparemment cet humour absurde a beaucoup d’adeptes... En revanche, les quelques moments d’émotion pure justifient à eux seuls cette lecture. Pour moi, le premier est venu de la théorie des cuillères : chacun dispose chaque matin d’un certain nombre de cuillères à utiliser pour fonctionner, travailler, se laver, interagir avec les autres... sauf que les malades et les déprimés ont moins de cuillères que les autres et peuvent donc se retrouver sans cuillères et désespérés en milieu de journée. Ensuite, il y a ce classeur des 24, qui rassemble les lettres des 24 personnes qui ont écrit à l’auteur qu’ils préparaient activement leur suicide quand elle, et toute la communauté web qui l’entoure, les avaient fait changer d’avis. Et tous les 25emes qu’elle rencontre en dédicace et qui lui confient leurs secrets. Quoi de mieux pour achever cette chronique que d'évoquer le billet qui achève le livre ? Enfin sérieux, cet épilogue très beau est une véritable déclaration d’amour à la vie et un message d’espoir pour tous les fêlés qui peinent à en profiter. Son message : n’oubliez jamais que le soleil peut revenir demain, même quand votre cerveau essaie de vous tuer.Souffrant de dépression sévère, d’anxiété et de plusieurs autres troubles mentaux, Jenny Lawson a écrit ces chroniques de blog, aujourd’hui rassemblées sous forme de livre, pour partager sa philosophie furieusement optimiste de la vie, démystifier la maladie mentale et apporter soutien et espoir à ses compagnons de désespoir. L’intention est magnifique, le livre l’est à certains moments tout autant... et à d’autres un peu trop perché pour moi. L’obsession des animaux empaillés, l’habitude des déguisements farfelus et les discussions absurdes avec son mari ne m’ont pas fait rire. Du tout. Un peu trop Paasilina pour moi, mais apparemment cet humour absurde a beaucoup d’adeptes... En revanche, les quelques moments d’émotion pure justifient à eux seuls cette lecture. Pour moi, le premier est venu de la théorie des cuillères : chacun dispose chaque matin d’un certain nombre de cuillères à utiliser pour fonctionner, travailler, se laver, interagir avec les autres... sauf que les malades et les déprimés ont moins de cuillères que les autres et peuvent donc se retrouver sans cuillères et désespérés en milieu de journée. Ensuite, il y a ce classeur des 24, qui rassemble les lettres des 24 personnes qui ont écrit à l’auteur qu’ils préparaient activement leur suicide quand elle,...
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  • XS 05/11/2017
    Furiously happy reprend une série de chroniques de Jenny Lawson, écrivain et bloggeuse à succès. Jenny souffre, comme elle l’écrit dès l’introduction, de troubles mentaux, dont d’épisodes dépressifs sévères. Et elle a décidé, un beau jour, de traiter le mal par le mal en déclarant bataille à sa dépression en étant « furieusement heureuse ». Qui fut le titre d’un de ses billets de blog et donne le départ de ce livre. Ces billets de blogs, que j’ai ingérés bout à bout, m’ont laissé une légère impression d’indigestion. J’aurais sans doute nettement plus apprécié leur lecture sous son format original, parution après parution. Un livre n’est sans doute pas le format le plus adapté à sa prose, même s’il présente le mérite 1. de retrouver en un seul tome de nombreux articles qui ont dû faire du bien à de nombreuses personnes et 2. d’une couverture inoubliable : un raton laveur, empaillé, mais mort de sa belle mort, qui louche à l’envers avec un sourire démoniaque. J’en garde une impression à la fois foutraque et très drôle ; ce qui est troublant car certains chapitres évoquent des expériences vraiment difficiles, notamment lorsqu’elle met des mots sur ses sensations en période de crise. A la fois témoignage, à la fois digressions en tout genre, c’est une lecture vraiment « à part », dans laquelle l’auteur décrit son expérience de vie et… un peu tout ce qui lui passe par la tête. Touchante lorsqu’elle essaie d’expliquer sa maladie, parfois agaçante et le plus souvent très drôle, Jenny mérite le détour. Furiously happy reprend une série de chroniques de Jenny Lawson, écrivain et bloggeuse à succès. Jenny souffre, comme elle l’écrit dès l’introduction, de troubles mentaux, dont d’épisodes dépressifs sévères. Et elle a décidé, un beau jour, de traiter le mal par le mal en déclarant bataille à sa dépression en étant « furieusement heureuse ». Qui fut le titre d’un de ses billets de blog et donne le départ de ce livre. Ces billets de blogs, que j’ai ingérés bout à bout, m’ont laissé une légère impression d’indigestion. J’aurais sans doute nettement plus apprécié leur lecture sous son format original, parution après parution. Un livre n’est sans doute pas le format le plus adapté à sa prose, même s’il présente le mérite 1. de retrouver en un seul tome de nombreux articles qui ont dû faire du bien à de nombreuses personnes et 2. d’une couverture inoubliable : un raton laveur, empaillé, mais mort de sa belle mort, qui louche à l’envers avec un sourire démoniaque. J’en garde une impression à la fois foutraque et très drôle ; ce qui est troublant car certains chapitres évoquent des expériences vraiment difficiles, notamment lorsqu’elle met des mots sur ses sensations en...
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