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Guerre et paix tome 2
Date de parution : 01/12/2016
Éditeurs :
Archipoche

Guerre et paix tome 2

Date de parution : 01/12/2016
Publié entre 1865 et 1869 en feuilleton, ce roman retrace la guerre patriotique de 1812 contre l'invasion napoléonienne, telle que l'a vécue la génération des parents du romancier.L'œuvre se compose... Publié entre 1865 et 1869 en feuilleton, ce roman retrace la guerre patriotique de 1812 contre l'invasion napoléonienne, telle que l'a vécue la génération des parents du romancier.L'œuvre se compose de quatre parties, et d'un épilogue. La première commence en juillet 1805, avec les guerres de la coalition, opposant la... Publié entre 1865 et 1869 en feuilleton, ce roman retrace la guerre patriotique de 1812 contre l'invasion napoléonienne, telle que l'a vécue la génération des parents du romancier.L'œuvre se compose de quatre parties, et d'un épilogue. La première commence en juillet 1805, avec les guerres de la coalition, opposant la Grande-Bretagne, l'Autriche et la Russie à la France. À travers une chronique de la vie de plusieurs familles de la noblesse russe, on voit se dessiner trois lignes narratives principales : celle de l'idéaliste naïf et velléitaire Pierre Bezoukhov, héritier d'une immense fortune, qui tombe dans les filets de l'intrigante Hélène Kouraguine ; celle du jeune comte Nicolas Rostov, dont la sœur cadette Natacha est l'âme d'une famille hospitalière de la vieille noblesse moscovite ; celle du prince André Bolkonski, fils brillant et ambitieux d'un grand seigneur en disgrâce retiré sur ses terres, où il tyrannise sa fille, la douce et aimante princesse Marie. 
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EAN : 9782352879190
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 641
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782352879190
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 641
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MarianneRichard 04/04/2024
    Me voici a écrire le résumée de ma lecture de ce deuxième tome de Guerre et Paix alors qu'il y a déjà un bon moment que je l'ai terminée. J'avais bien aimée le premier tome mais j'ai trouver ce deuxième opus vraiment plus pénible. Ont dirait que toutes les actions ne sont que survolé et il y a assurément plus de guerre que de paix de ce tome. Je n'ai donc pas détestée mais je n'en ressort pas intéressé comme au premier tome! Mais au moins, j'aurai réussie a terminer ce roman qui est presque une mission impossible!!
  • hello95 21/03/2024
    Une œuvre magnifique pour qui que ce soit qui est intéresser par l'histoire et qui apprécie les auteurs étrangers. "La Guerre et la Paix"est un monument de lecture, Tolstoï nous permet de revivre les guerres napoléonienne , d'un point de vue des russes mais aussi du coté français. Le plus dur dans ce roman, est la pléthore de nom a retenir, beaucoup de personnages du simple hussard, cosaques au grand bourgeois... Une œuvre splendide qui demande beaucoup de temps et de patience et il ne faut pas décrocher.
  • germ1tor 08/09/2023
    ’ai toujours repoussé la lecture du chef d’oeuvre de Tolstoï. La peur de m’y perdre sans doute, de ne pas être à la hauteur sûrement. Je suis heureux d’avoir surmonté mes craintes: la lecture est aisée et la force de ces pages est ma récompense. C’est une de mes lectures qui fait date et me marque profondément. Bien que Tolstoï s’en défende, il s’agit d’une fresque romanesque autour de trois hommes de la haute aristocratie de la Russie tsariste: Pierre Bézoukhov, Andreï Bolkonsky et Nicolas Rostov. Cette fresque a pour cadre des faits et personnages historiques réels, la campagne de Napoléon en Russie (1805 et 1812). On retrouve cette dualité roman-roman historique tout au long du récit. Quand il s’agit d’évoquer la nature humaine à travers le caractère, le comportement, la logique et les actions de chacun des protagonistes, suit immanquablement une réflexion politique sur l’histoire, sur les faits historiques et leurs causes inconnues, multiples et non quantifiables. On est transporté à Moscou, Saint Pétersbourg dans les salons et réceptions de la haute aristocratie, dans leurs domaines de campagne, pour suivre les destins amoureux, les destins militaires, les choix de vie qui s’imposent à Pierre Bézoukhov, Andreï Bolkonsky et Nicolas Rostov. Ce qui vaut pour les personnages de fiction vaut pour les personnages historiques: Kotouzov, Napoléon…On n’échappe pas à son destin. Les actions, les volontés et comportements de chacun n’entravent en rien la marche du destin: c’est une constante du récit. Les exemples sont multiples: l’engrenage d’Austerlitz, la fatalité du duel entre Pierre et Dolokhov, la fatalité encore dans la concordance des causes de la guerre de 1812 et de la déroute française qui suivit. Autre constante du récit est l’analyse des facettes, bonnes ou mauvaises, de la nature humaine: l’intelligence, la faiblesse et crédulité de Pierre; la naïveté et l’innocence de Natacha, la cupidité et la bassesse du clan Kouraguine; la quête d’absolu d’André; l’abnégation de Marie; la droiture de Nicolas Rostov. Les tourments existentiels de Pierre et son parcours sont l’occasion pour Tolstoï de nous présenter le sens de la vie comme la recherche de Dieu en toute chose, en tout homme. Avec le sens de la vie, le sens de la guerre (à travers la campagne de 1812) nous est expliqué et surtout démythifié. Expliqué ou plutôt nié: la guerre n’a aucun sens que ce soit pour les hommes du peuple ou leurs dirigeants, si ce n’est pour leur propre intérêt personnel. Seule la défense de la patrie fait sens. Démythifié: il n’y a pas de génie, ni de héros. Les conditions et circonstances de la guerre sont multiples, infinitésimales et inconnues. Comme en algèbre, un système à trop d’inconnues ne peut être résolu ou avoir une solution unique. Contrairement à ce qui nous est rapporté par les historiens, il n’y a pas par conséquent de science de la guerre ni de génie militaire. Les individus sont les instruments inconscients de l’histoire, le hasard et le moral des troupes étant les facteurs déterminants. Voilà ce que nous expose TolstoÏ. “Tout s’est produit fortuitement” -La déroute de la Moskova. Enfin, le sens et le goût du sacrifice font-ils partie de l’âme russe? Les exemples sont nombreux aussi bien collectivement (Moscou incendié, Bataille de Borodino…) qu’individuellement. Tous les personnages principaux (Pierre, André, Nicolas, Natacha, Sonia et Marie) , à un moment donné de leur vie, de leur parcours, embrassent le sacrifice mais restent fiers. J’ai trouvé étranges les deux épilogues distincts, venant conclure les deux thématiques principales et imbriquées (fresque romanesque et fresque historique): l’harmonie de la vie en famille et la politique ou la façon d’appréhender l’histoire. ’ai toujours repoussé la lecture du chef d’oeuvre de Tolstoï. La peur de m’y perdre sans doute, de ne pas être à la hauteur sûrement. Je suis heureux d’avoir surmonté mes craintes: la lecture est aisée et la force de ces pages est ma récompense. C’est une de mes lectures qui fait date et me marque profondément. Bien que Tolstoï s’en défende, il s’agit d’une fresque romanesque autour de trois hommes de la haute aristocratie de la Russie tsariste: Pierre Bézoukhov, Andreï Bolkonsky et Nicolas Rostov. Cette fresque a pour cadre des faits et personnages historiques réels, la campagne de Napoléon en Russie (1805 et 1812). On retrouve cette dualité roman-roman historique tout au long du récit. Quand il s’agit d’évoquer la nature humaine à travers le caractère, le comportement, la logique et les actions de chacun des protagonistes, suit immanquablement une réflexion politique sur l’histoire, sur les faits historiques et leurs causes inconnues, multiples et non quantifiables. On est transporté à Moscou, Saint Pétersbourg dans les salons et réceptions de la haute aristocratie, dans leurs domaines de campagne, pour suivre les destins amoureux, les destins militaires, les choix de vie qui s’imposent à Pierre Bézoukhov, Andreï Bolkonsky et Nicolas Rostov. Ce qui vaut pour...
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  • theliteraryvoyager 24/08/2022
    Il est des livres qui marquent une vie. Des personnages de papier qui prennent chair au fil des pages jusqu'à habiter notre quotidien. "Guerre et Paix" de Tolstoï est incontestablement de ceux-là. Ce second tome recouvre les troisième et quatrième parties et l'épilogue de cette fresque humaine et historique incroyable. Natacha, André, Pierre, Nicolas, Marie... Tous ont touché du doigt leurs rêves et goûté aux délices de la vie en société, pour s'y brûler les ailes. L'heure est désormais à la maturité. Chacun porte en lui ses blessures et au fil des évènements, renait de ses cendres. La résilience, le pardon, le courage sont au coeur de ce deuxième tome qui nous offre des émotions allant du rire aux larmes à chaque partie. J'ai souvent remarqué un "effet miroir" dans certaines scènes, permettant de voir l'évolution des personnages qui, pris dans un même contexte, agissent totalement différemment ou se complètent les uns les autres. Je pense notamment à Pierre et André qui pour moi, sont les deux profils d'un même homme, tantôt sombre, tantôt lumineux. De même, Natacha et la princesse Marie qui initialement s'opposaient finissent par se rejoindre sur le plan spirituel. Nous pourrions même pousser la comparaison plus loin car j'ai plusieurs fois trouvé des échos à Lévine d'Anna Karénine dans les propos de Pierre ou Nicolas, ou un parallèle entre les deux romans dans certaines scènes de la vie mondaine. Comme si, finalement, il ne fallait pas prendre Guerre et Paix isolément, mais comme un élément d'un tout qu'est l'oeuvre de Tolstoï. Après tout, c'est bien là, la "moralité" de Guerre et Paix que de dire que l'Histoire est composée d'un ensemble d'histoires des peuples, à l'échelle des hommes. D'ailleurs, l'aspect militaire et historique est de plus en plus présent à travers le déroulement de la bataille de Borodino et l'invasion de Moscou par Napoléon. Ces évènements questionnent beaucoup l'auteur sur la subjectivité du récit que l'Histoire en gardera. Finalement, qui des grands personnages et des dirigeants ou du petit peuple sont les héros de tels évènements ? Ces batailles et leurs terribles conséquences humaines sont-elles le fruit de la volonté d'un seul homme (Napoléon, Alexandre 1er...) ou de la rencontre d'une multitude de hasards ? Ou bien est-ce tout simplement un destin inévitable auquel se soumettent spontanément les hommes ? Ce deuxième tome est plus long que le premier et plus exigeant. Mais au-delà des longueurs que l'on rencontre parfois, c'est un récit profondément lumineux. En refermant ces pages, cela m'a laissé la même sensation d'éblouissement et de grandeur que lorsqu'on entre dans une cathédrale et que l'on observe les rayons du soleil traverser les vitraux aux multiples couleurs.Il est des livres qui marquent une vie. Des personnages de papier qui prennent chair au fil des pages jusqu'à habiter notre quotidien. "Guerre et Paix" de Tolstoï est incontestablement de ceux-là. Ce second tome recouvre les troisième et quatrième parties et l'épilogue de cette fresque humaine et historique incroyable. Natacha, André, Pierre, Nicolas, Marie... Tous ont touché du doigt leurs rêves et goûté aux délices de la vie en société, pour s'y brûler les ailes. L'heure est désormais à la maturité. Chacun porte en lui ses blessures et au fil des évènements, renait de ses cendres. La résilience, le pardon, le courage sont au coeur de ce deuxième tome qui nous offre des émotions allant du rire aux larmes à chaque partie. J'ai souvent remarqué un "effet miroir" dans certaines scènes, permettant de voir l'évolution des personnages qui, pris dans un même contexte, agissent totalement différemment ou se complètent les uns les autres. Je pense notamment à Pierre et André qui pour moi, sont les deux profils d'un même homme, tantôt sombre, tantôt lumineux. De même, Natacha et la princesse Marie qui initialement s'opposaient finissent par se rejoindre sur le plan spirituel. Nous pourrions même pousser la comparaison plus...
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  • cegeglyx 17/03/2022
    A rebours de ce que j'entends habituellement sur ce roman, ce que je préfère, ce sont ses grands développements sur l'art de la guerre, sur l'impossibilité de conquérir l'immense Russie, sur le combat tragique des forces historiques, la petite histoire m'intéressant en passant, mais sans plus. Par exemple, je préfère de loin le vieux loup Koutouzov au ténébreux André.
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