Isaac, caniche maniaque - Lecture roman jeunesse humour animaux - Dès 8 ans

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Chezolivia74 20/01/2023

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  Isaac est un chien hors pair qui à ses petites habitudes. Rien ne l'énerve plus que la saleté et les mauvaises manières. Il adore faire le ménage et surtout il ne comprend pas que ses congénères s'abaissent à faire pipi derrière un poteau, là où les toilettes sont un véritable paradis pour lui. On peut dire, qu'il mène une vraie vie de pacha chez son maître Oscar, jusqu'au jour où ... celui-ci décide de partir en vacances et de confier Isaac à son cousin Hubert. Et là, c'est le drame ! Hubert habite la campagne et pour lui les animaux…. c'est dehors ! Dans la ferme d’Hubert, batifole de joyeux loustics avec lesquels Isaac va devoir cohabiter : Francis, le coq de ces dames, Iota, l’âne porteur de messages philosophiques; Zig et Zag, deux cochons pas très reluisants et surtout Barbie, cet énorme chien avec qui Isaac va devoir partager la niche. De quoi rendre malade notre roi du confort et de la propreté. Pour couronner le tout, des animaux disparaissent et on l'appelle à la rescousse. Isaac n'hésite pas très longtemps à devenir détective en herbe en échange de quelques bonus de confort. Déterminés, les cochons sont sûrs que ce sont des extra-terrestres qui sèment la zizanie au sein de la ferme. Pas très convaincu, Isaac décide de mener l’enquête à sa manière. Ce petit roman, très accessible, est un vrai régal plein d'humour, grâce au caractère bien trempé d'Isaac. Deux mondes s'opposent au départ avec leurs préjugés et leurs différences, mais toute cette faune en folie réussira à trouver un chemin commun pour livrer bataille. Ce récit ravira les plus jeunes dès 8 ans.Isaac est un chien hors pair qui à ses petites habitudes. Rien ne l'énerve plus que la saleté et les mauvaises manières. Il adore faire le ménage et surtout il ne comprend pas que ses congénères s'abaissent à faire pipi derrière un poteau, là où les toilettes sont un véritable paradis pour lui. On peut dire, qu'il mène une vraie vie de pacha chez son maître Oscar, jusqu'au jour où ... celui-ci décide de partir en vacances et de confier Isaac à son cousin Hubert. Et là, c'est le drame ! Hubert habite la campagne et pour lui les animaux…. c'est dehors ! Dans la ferme d’Hubert, batifole de joyeux loustics avec lesquels Isaac va devoir cohabiter : Francis, le coq de ces dames, Iota, l’âne porteur de messages philosophiques; Zig et Zag, deux cochons pas très reluisants et surtout Barbie, cet énorme chien avec qui Isaac va devoir partager la niche. De quoi rendre malade notre roi du confort et de la propreté. Pour couronner le tout, des animaux disparaissent et on l'appelle à la rescousse. Isaac n'hésite pas très longtemps à devenir détective en herbe en échange de quelques bonus de confort. Déterminés, les cochons sont sûrs que ce sont des extra-terrestres qui sèment la zizanie...

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• AliceW 04/01/2023

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  Du poil lustré embroussaillé, des disparitions inquiétantes, des coudes qui se serrent et une rébellion qui s’organise, un roman bien balancé qui réjouira les lecteurs en herbe. Isaac est un caniche aux manières affutées. Citadin à l’haleine fraîche, au parfum délicat et au transit chouchouté par des mets de choix, son petit confort et sa coquetterie sont largement soutenues par son maître Oscar qui le chouchoute à loisir. Jusqu’au jour où celui-ci décide de s’offrir quelques jours de vacances, confiant son précieux rejeton à un ami… dans une ferme où ses petites habitudes vont se prendre un petit coup dans la tronche. Mais les disparitions se répètent dans le coin et les animaux comptent bien sur son flair pour faire la lumière sur tout ça.  Une histoire simple et efficace entre La ferme des animaux et Les musiciens de Brême, avec aussi pas mal de références qui tireront des sourires aux adultes qui glisseront un oeil par-dessus l’épaule de leur bambin. C’est rythmé, bien senti, avec des illustrations au poil. De l’avis de Schmuldibue, 8 ans, « c’est un super livre car il y a de l’action, de l’aventure et c’est trop drôle ». Que dire de plus ? Dans la forme, Poulpe Fictions sait faire, avec du roman pour les 7 et 12 ans, à la louche, en fonction de l’aisance de lecture. Un format adapté pour les aventuriers de la lecture ou les plus timides, avec des interlignes qui allègent la page et des chapitres courts qui rythment bien l’ensemble. A découvrir !Du poil lustré embroussaillé, des disparitions inquiétantes, des coudes qui se serrent et une rébellion qui s’organise, un roman bien balancé qui réjouira les lecteurs en herbe. Isaac est un caniche aux manières affutées. Citadin à l’haleine fraîche, au parfum délicat et au transit chouchouté par des mets de choix, son petit confort et sa coquetterie sont largement soutenues par son maître Oscar qui le chouchoute à loisir. Jusqu’au jour où celui-ci décide de s’offrir quelques jours de vacances, confiant son précieux rejeton à un ami… dans une ferme où ses petites habitudes vont se prendre un petit coup dans la tronche. Mais les disparitions se répètent dans le coin et les animaux comptent bien sur son flair pour faire la lumière sur tout ça.  Une histoire simple et efficace entre La ferme des animaux et Les musiciens de Brême, avec aussi pas mal de références qui tireront des sourires aux adultes qui glisseront un oeil par-dessus l’épaule de leur bambin. C’est rythmé, bien senti, avec des illustrations au poil. De l’avis de Schmuldibue, 8 ans, « c’est un super livre car il y a de l’action, de l’aventure et c’est trop drôle ». Que dire de plus ? Dans la forme, Poulpe Fictions sait...

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• Ptitmousse 01/01/2023

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  Deuxième livre que je lis de cette petite collection chez Poulpe Fictions. J'avais tellement adoré Tarzan Poney Méchant que j'avais demandé celui-ci en Masse Critique sans même lire le résumé. Et bien, c'est encore une réussite ! Je vous explique le concept, assez simple : le principe de cette collection est que le narrateur est un animal (je vous avais dit, c'est simple). Il faut dire que j'adore littéralement ce procédé. Et ici c'est plein d'humour, de dérision, de remarques sur les humains. C'est fin, c'est drôle, c'est super ! Avec ce tome, nous avons en prime une pseudo-enquête. Et par rapport à ma lecture précédente qui était centré sur le poney et ses relations avec les humains, ici, Isaac a surtout des interactions avec les autres animaux de la ferme et c'est vraiment truculent de les lire tous : Iota, l'âne qui parle comme Ioda, Francis, le coq tombeur de ses poulettes, les cochons sympathiques, le hamster évadé, etc, etc. Une super lecture ! Un autre tome est bien sûr dans ma Lal !
• Charliebbtl 29/12/2022

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  Dès le départ, Isaac est pour moi l'incarnation de tout ce que la bobossitude a de critiquable de nos jours. Son côté m'as-tu-vu et autocentré, sa facette donneur de leçons, son mépris de tout ce qui n'est pas lui, etc... tout cela en fait un personnage qu'on aurait tendance à détester d'emblée tant il représente le cliché du citadin (j'irais même jusqu'à dire du parisien, mais je vais me faire des ennemis) dont le regard sur le campagnard de base n'inspire que de la détestation. Vous comprendrez que sa découverte ne fut pas pour moi le début d'une grande histoire d'amour. Pourtant, Charles Mazarguil réussit en une centaine de pages à nous le rendre attachant. En effet, plongé contre sa volonté dans le monde hostile qu'est cette ferme habitée par des animaux sans éducation ni manières, Isaac se retrouve en fin de compte confronté à la réalité de la vie et, à travers une mini-enquête policière (dont on connaît l'issue dès le départ mais est-ce vraiment là l'intérêt ?), notre héros va s'ouvrir aux autres et surtout découvrir une facette de lui-même qu'il ignorait : l'empathie. Ce séjour se transforme ainsi en une sorte de mini-roman d'apprentissage où Isaac finit par réaliser que le paraître n'est que leurre et que seul, l'être compte si l'on veut véritablement apprécier ce que la vie peut nous apporter. L'ouvrage offre alors un joli message d'acceptation de l'autre et surtout fait réfléchir sur les conséquences de nos choix dans une société ultra-consommatrice. L'indignation d'Isaac face à ce qu'il va découvrir est, d'ailleurs, un bon exemple de l'hypocrisie d'une bonne partie de l'humanité. Un autre élément intéressant de ce roman est sans aucun doute le clin d'oeil appuyé et revendiqué au roman de George Orwell dans la mesure où certaines scènes (et particulièrement, le cauchemar d'Isaac) y font clairement référence. Alors, bien entendu, la critique sur fond historique n'est pas l'objet ici du roman mais j'ai trouvé que ces allusions constituaient une forme d'intertextualité assez savoureuse et qui parlera assurément aux jeunes lecteurs lorsque, dans quelques années, ils croiseront sur leur route ce roman capital de la littérature britannique. D'autres références parcourent le roman tel le personnage de l'âne qui ravira les fans de Star Wars ou les titres de plusieurs chapitres évoquant immédiatement plusieurs films célébrissimes. Au final, encore une belle réussite des éditions Poulpe-fictions que je recommande fortement.Dès le départ, Isaac est pour moi l'incarnation de tout ce que la bobossitude a de critiquable de nos jours. Son côté m'as-tu-vu et autocentré, sa facette donneur de leçons, son mépris de tout ce qui n'est pas lui, etc... tout cela en fait un personnage qu'on aurait tendance à détester d'emblée tant il représente le cliché du citadin (j'irais même jusqu'à dire du parisien, mais je vais me faire des ennemis) dont le regard sur le campagnard de base n'inspire que de la détestation. Vous comprendrez que sa découverte ne fut pas pour moi le début d'une grande histoire d'amour. Pourtant, Charles Mazarguil réussit en une centaine de pages à nous le rendre attachant. En effet, plongé contre sa volonté dans le monde hostile qu'est cette ferme habitée par des animaux sans éducation ni manières, Isaac se retrouve en fin de compte confronté à la réalité de la vie et, à travers une mini-enquête policière (dont on connaît l'issue dès le départ mais est-ce vraiment là l'intérêt ?), notre héros va s'ouvrir aux autres et surtout découvrir une facette de lui-même qu'il ignorait : l'empathie. Ce séjour se transforme ainsi en une sorte de mini-roman d'apprentissage où Isaac finit par...

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• clo73 26/05/2021

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  L'avis de Louisa (11 ans) #8204;J'ai adoré ce roman humoristique, il est rigolo et a une belle morale. C'est le héros qui raconte son aventure et j'aime quand l'auteur emploie la première personne car cela donne plus d'intensité à l'histoire. Particulièrement lorsque le personnage principal (Isaac) fait des commentaires, des onomatopées ou donne des explications. Le texte est vivant et passionnant. J'ai aussi beaucoup apprécié les illustrations, ce qui permet de bien comprendre l'histoire et d'alléger le texte. Les dessins sont amusants. Une fois la lecture débutée, j'ai eu envie de connaitre la fin, tant il se dégage du roman de l'émotion et du suspense. J'ai beaucoup aimé les valeurs transmises dans cette histoire : l'entraide entre amis et savoir changer ses habitudes. Un roman qui se lit très facilement et que je conseille à tous les lecteurs à partir de 10 ans. Cette lecture n'a aucun point négatif, c'est une lecture coup de cœur💗.