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J'ai bien l'honneur de vous buter
Date de parution : 27/01/2011
Éditeurs :
12-21

J'ai bien l'honneur de vous buter

Date de parution : 27/01/2011

Je marche un peu, histoire de briser ma tension nerveuse. Mais c'est une coriace que cette tension-là ! Une seconde cigarette ne l'entame pas davantage. Au contraire, j'ai l'impression qu'elle...

Je marche un peu, histoire de briser ma tension nerveuse. Mais c'est une coriace que cette tension-là ! Une seconde cigarette ne l'entame pas davantage. Au contraire, j'ai l'impression qu'elle est toute prête à se rompre… Je jette un coup de saveur à ma breloque ; voilà près de deux...

Je marche un peu, histoire de briser ma tension nerveuse. Mais c'est une coriace que cette tension-là ! Une seconde cigarette ne l'entame pas davantage. Au contraire, j'ai l'impression qu'elle est toute prête à se rompre… Je jette un coup de saveur à ma breloque ; voilà près de deux heures qu'elle est rentrée dans la carrée, Elia… Et celle-ci demeure aussi inerte et silencieuse qu'auparavant. Il n'y a toujours qu'une fenêtre éclairée… Et quand je dis éclairée, j'exagère… Simplement on décèle une lueur… Que fabrique-t-elle derrière cette façade croulante ?

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EAN : 9782265091191
Code sériel : 14
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091191
Code sériel : 14
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DR_Cloq 10/07/2023
    Et de 14 ! Je continue ma lecture des San Antonio à raison d’un ou 2 par mois. Pour ce quatorzième numéro je suis assez mitigé. Notre enquêteur préféré prend le Ferry pour une enquête chez les « englishes ». L’enquête en elle-même est assez intéressante et bien menée. J’ai cependant trouvé les descriptions des ébats de SA avec sa première conquête en début de roman trop lourdes. Oui, je sais, ça fait partie du personnage ! lol Autre surprise : la fin brutale de l’histoire, boum ! Rideau ! Circulez y’a rien à voir. A tel point que je suis revenu en arrière : je pensais avoir loupé des pages. Bah non, c’était bien terminé. Sinon j’aime toujours autant, ça détend. J’ai simplement trouvé ce numéro moins réussi. Vivement le prochain !
  • galyalain 11/04/2023
    Au début du roman, nous sommes sur une note un peu triste, car SAN-A n’arrive pas à oublier une femme « aux roberts bien remontés, et un contre-poids à bascule à faire rêver un général de brigade » (que poétiquement ces choses-là sont dites !) De plus, il pleut sans arrêt ; faut dire que nous sommes en Angleterre. Mais rapidement notre héros va être chargé d’une mission, dont il va certainement s’acquitter, vu ses états de service…
  • MrVladdy 20/06/2022
    Honnêtement, en commençant ma découverte des aventures du Commissaire San Antonio, j'avais peur de vite me lasser. Il faut dire aussi que lorsque l'on voit le nombre de titres dans la collection, il y a de quoi avoir le tournis. Frédéric Dard était productif le bougre ! Pourtant, en commençant "J'ai bien l'honneur de vous buter", la 14ème enquête de San Antonio, le plaisir est toujours intact et j'ai toujours hâte de lire la prochaine aventure. Ici, ce n'est pas spécialement l'intrigue qui m'a le plus emballé jusqu'à présent. Peut être que comme notre héros, le voir au service de quelqu'un (même sous couverture ou sous les couvertures on ne sait plus), ça ramollit un peu le lecteur qui est en moi... Mais c'était sans compter le style de Frédéric Dard qui fait toujours son effet. Quatorzième enquête et le coco parvient toujours à me faire sourire à chaque pages. Chaque phrase est une punchline, chaque réplique est un uppercut qui vient rythmé le récit et me mettre la banane. Alors oui, c'est du San Antonio. Ca ne fait pas dans la dentelle et il est bon de remettre ça dans son contexte car il y a de quoi froisser la bien pensance de notre époque. Je peux d'ailleurs parfaitement comprendre que l'on aime pas ce genre de délire mais pour ma part, je trouve ça bien fun. Ca ne se prend pas au sérieux et en même temps il y a une intelligence dans l'écriture, dans la façon de réinventer le français, de créer un langage populaire que j'ai envie de dire chapeau. Les pensées de San Antonio font qu'on s'éloigne un peu parfois du récit, le final ne m'a pas forcément emballé mais pourtant, je suis resté accroché jusqu'au bout de ce "J'ai bien l'honneur de vous buter". C'est pas l'enquête qui me marquera le plus mais après 14 livres, j'ai quand même toujours autant envie de découvrir les autres ce qui est plutôt une bonne chose.Honnêtement, en commençant ma découverte des aventures du Commissaire San Antonio, j'avais peur de vite me lasser. Il faut dire aussi que lorsque l'on voit le nombre de titres dans la collection, il y a de quoi avoir le tournis. Frédéric Dard était productif le bougre ! Pourtant, en commençant "J'ai bien l'honneur de vous buter", la 14ème enquête de San Antonio, le plaisir est toujours intact et j'ai toujours hâte de lire la prochaine aventure. Ici, ce n'est pas spécialement l'intrigue qui m'a le plus emballé jusqu'à présent. Peut être que comme notre héros, le voir au service de quelqu'un (même sous couverture ou sous les couvertures on ne sait plus), ça ramollit un peu le lecteur qui est en moi... Mais c'était sans compter le style de Frédéric Dard qui fait toujours son effet. Quatorzième enquête et le coco parvient toujours à me faire sourire à chaque pages. Chaque phrase est une punchline, chaque réplique est un uppercut qui vient rythmé le récit et me mettre la banane. Alors oui, c'est du San Antonio. Ca ne fait pas dans la dentelle et il est bon de remettre ça dans son contexte car il y a de quoi froisser la bien pensance...
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  • AlexandreAllamanche 07/01/2022
    Encore une histoire rocambolesque des familles! Après avoir traversé l'Atlantique, c'est cette fois la Manche que notre commissaire franchit pour se rendre en Angleterre afin de se faire embaucher comme simple chauffeur... Vous l'aurez compris, il s'agit d'une couverture qui doit permettre à San-Antonio de démêler une histoire pour et avec l'aide de Scotland Yard. Les mêmes ingrédients font de cet épisode une nouvelle réussite, que j'ai toutefois trouvée très légèrement moins entraînante que les précédentes.
  • KiriHara 26/11/2020
    Voici encore quelques années, je n’avais jamais dévoré la prose de Frédéric Dard pas plus que fait une réelle connaissance de son personnage mythique, le commissaire San Antonio. Pourtant, adepte inconditionnel du polar, de l’humour, et, pourquoi pas, de l’argot, ainsi que de la littérature populaire, cette série s’adressait, semblait-il, tout particulièrement à moi. C’est la raison pour laquelle je décidais à l’époque de découvrir la série, lentement mais sûrement, dans l’ordre chronologique de publication. En début d’année, je venais de déguster la 33e enquête (parfois j’enchaîne quelques titres, souvent je les espace de plusieurs mois, je n’ai pas que San Antonio à découvrir). Aussi fus-je surpris, récemment, en lisant une critique sur « J’ai bien l’honneur de vous buter » le 14e épisode de la série. Effectivement, ce livre ne me disait rien alors que j’étais censé l’avoir lu. Et bien non, j’avais dû le sauter. J’ai donc, à rebours, réparé cette omission. L’attention du patron de San Antonio a été attirée par une annonce proposant un emploi de chauffeur à un Français ne parlant pas l’anglais pour une riche Londonienne. Comme celle-ci est soupçonnée de tremper dans l’espionnage, le boss a décidé de faire en sorte que San Antonio soit embauché. Cela tombe bien, il sait conduire et ne cause pas la langue de Shakespeare. San Antonio débarque donc à Londres, avec une voiture achetée tout spécialement en France et fait la connaissance de la Roumaine Elia Filesco, sa patronne, ainsi que de Gloria, sa soubrette et Kathy la cuisinière. Un soir, Elia lui demande de l’amener dans les quartiers crasseux de la ville et elle s’engouffre dans une maison miteuse. Des heures passent, Elia n’étant pas sortie, San Antonio décide de pénétrer dans la demeure. Quelle surprise de constater que l’intérieur est digne d’un palace, mais surtout qu’Elia a disparu… C’est assez étrange comme voyage que ce retour dans le passé de San Antonio (passé pour qui a lu les vingt épisodes suivants) tant cette période est charnière dans la série puisque Frédéric Dard est en train d’affirmer sa plume et vient tout juste de composer son Trium Vira dans le précédent épisode « Deuil de miel », 13e du nom. Effectivement, quand on s’est accoutumé aux deux joyeux lurons que sont Béruriers et Pinaud, il est alors difficile de se souvenir qu’au début de la série ils étaient inexistants ou que trop peu cernés. Dans le 13e, Pinaud apparaissait pour la première fois et Bérurier n’était pas encore LE Bérurier. Pourtant, la lecture est plaisante grâce à un récit rythmé et rocambolesque dans lequel San Antonio va donner de sa personne dans tous les sens du terme. Si Bérurier est absent de l’histoire, San Antonio le cite quelques fois, dénotant le désir de l’auteur d’en faire un personnage récurrent de la série. Un retour en arrière signifie également que San Antonio revient dans le monde de l’espionnage. C’est le cas dans cette histoire sur fond d’espionnage, donc, et d’anciens nazis. Si le style de Frédéric Dard n’est pas encore totalement affirmé, que les grandes envolées sont encore rares et sages, si les apartés sont quasi absents et les jeux de mots sur les noms également, le roman n’en demeure pas moins agréable à lire (mais c’est le cas depuis le début). Il faut dire que l’histoire est assez rocambolesque, que San Antonio va sévèrement déguster, que les morts vont s’empiler sans laisser le lecteur ni le commissaire le temps de respirer. Au final, un bon épisode (probablement meilleur quand on a pas encore lu les suivants), sans temps mort se reposant sur une intrigue certes un peu rocambolesque, mais pas déplaisante.Voici encore quelques années, je n’avais jamais dévoré la prose de Frédéric Dard pas plus que fait une réelle connaissance de son personnage mythique, le commissaire San Antonio. Pourtant, adepte inconditionnel du polar, de l’humour, et, pourquoi pas, de l’argot, ainsi que de la littérature populaire, cette série s’adressait, semblait-il, tout particulièrement à moi. C’est la raison pour laquelle je décidais à l’époque de découvrir la série, lentement mais sûrement, dans l’ordre chronologique de publication. En début d’année, je venais de déguster la 33e enquête (parfois j’enchaîne quelques titres, souvent je les espace de plusieurs mois, je n’ai pas que San Antonio à découvrir). Aussi fus-je surpris, récemment, en lisant une critique sur « J’ai bien l’honneur de vous buter » le 14e épisode de la série. Effectivement, ce livre ne me disait rien alors que j’étais censé l’avoir lu. Et bien non, j’avais dû le sauter. J’ai donc, à rebours, réparé cette omission. L’attention du patron de San Antonio a été attirée par une annonce proposant un emploi de chauffeur à un Français ne parlant pas l’anglais pour une riche Londonienne. Comme celle-ci est soupçonnée de tremper dans l’espionnage, le boss a décidé de faire en sorte que San Antonio soit embauché. Cela tombe bien, il sait...
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