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J'ai peur des mouches
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

J'ai peur des mouches

Date de parution : 28/10/2010

Moi, vous me connaissez ? Je n'ai jamais eu peur de rien ! J'ai entendu siffler pas mal de balles à mes oreilles... Il m'est même arrivé de ne pas...

Moi, vous me connaissez ? Je n'ai jamais eu peur de rien ! J'ai entendu siffler pas mal de balles à mes oreilles... Il m'est même arrivé de ne pas les entendre passer pour la bonne raison que je les avais interceptées au vol... Je me suis bagarré avec des...

Moi, vous me connaissez ? Je n'ai jamais eu peur de rien ! J'ai entendu siffler pas mal de balles à mes oreilles... Il m'est même arrivé de ne pas les entendre passer pour la bonne raison que je les avais interceptées au vol... Je me suis bagarré avec des types plus colosses que celui de l'île de Rhodes, j'ai pris des gnons... sans jamais connaître le sentiment de la peur.
On m'a fait le coup de la baignoire, celui de la scie à métaux sur le tibia, les allumettes enflammées sous les ongles, la cigarette écrasée sur la joue, et toujours sans m'arracher un cri ni un mot.
C'est à peine si je perdais le sourire.
Et pourtant... aujourd'hui, J'AI PEUR DES MOUCHES... Ces minuscules diptères me terrorisent, car dans la contrée où je suis, elles véhiculent la mort... la plus atroce des morts.

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EAN : 9782265091320
Code sériel : 27
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265091320
Code sériel : 27
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DR_Cloq 11/01/2024
    J’ai retrouvé San Antonio pour la 27ème fois. Ça démarre sur les chapeaux de roue car dès les premières pages Antoine apprend qu’il part en mission en Allemagne. Une très courte conversation avec Béru et c’est parti (à moins que ce soit Pinaud ? Je ne m’en souviens plus, cela a été si bref !). Il aura pour lui tenir compagnie un drôle de zig car ce dernier est malade. Atteint d’un méchant virus très contagieux, tellement contagieux que tous ceux qui l’approchent meurent dans les heures qui suivent. Sympa, hein ? Le voyage outre Rhin se fera en avion. San Antonio devra sauter en parachute pour la première fois de sa vie ! (Il les aura à zéro !). Et puis il risquera sa vie à de multiples reprises, vous vous en doutez. Je peux même vous dire sans spoiler qu’il s’en sortira vivant, bien entendu. D’ailleurs, à ce sujet, j’aimerais bien avoir un ange gardien comme le sien. Il faut bien avouer qu’il est drôlement vernis à ce sujet !! Un bon moment donc pour ce roman qui se lit d’une traite. Manque juste le dénouement, absent. Comme souvent, on se fait mettre à la porte vite fait bien fait. Pourtant il existe bien un épilogue qui n’est pas bâclé pour le coup. A noter que, pour une fois, le titre « J’ai peur des mouches » est tout à fait approprié et justifié. Vous voulez savoir pourquoi ? Eh bien… lisez le livre !! :o) J’ai retrouvé San Antonio pour la 27ème fois. Ça démarre sur les chapeaux de roue car dès les premières pages Antoine apprend qu’il part en mission en Allemagne. Une très courte conversation avec Béru et c’est parti (à moins que ce soit Pinaud ? Je ne m’en souviens plus, cela a été si bref !). Il aura pour lui tenir compagnie un drôle de zig car ce dernier est malade. Atteint d’un méchant virus très contagieux, tellement contagieux que tous ceux qui l’approchent meurent dans les heures qui suivent. Sympa, hein ? Le voyage outre Rhin se fera en avion. San Antonio devra sauter en parachute pour la première fois de sa vie ! (Il les aura à zéro !). Et puis il risquera sa vie à de multiples reprises, vous vous en doutez. Je peux même vous dire sans spoiler qu’il s’en sortira vivant, bien entendu. D’ailleurs, à ce sujet, j’aimerais bien avoir un ange gardien comme le sien. Il faut bien avouer qu’il est drôlement vernis à ce sujet !! Un bon moment donc pour ce roman qui se lit d’une traite. Manque juste le dénouement, absent. Comme souvent, on se fait mettre à la porte vite fait bien fait. Pourtant il existe...
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  • glegat 06/04/2023
    San-antonio ? Ce n'est pas sérieux diront certains puristes de la littérature. Non ce n'est pas sérieux, c'est drôle ! c'est bon enfant, c'est truculent, cela détend et change les idées. En lisant cet opus n° 27 publié en 1957 de la série des San-Antonio j'ai retrouvé un peu mon adolescence, à l'époque où j'écrivais et lisais des histoires rocambolesques à la limite du vraisemblable, mais riches de péripéties en tout genre et laissant mon imagination vagabonder librement. Bien sûr je n'ai pas le talent de Frédéric Dard et l'on mesure à quel point le style emporte tout, quelle que soit l'histoire. L'intrigue est importante, mais la manière de raconter une histoire est déterminante pour retenir le lecteur. Frédéric Dard est un maître écrivain à n'en pas douter, il a cette capacité d'entraîner le lecteur dans son monde, de l'intéresser, quel que soit le sujet de son récit et surtout de l'amuser et de le distraire, ce qui demande déjà un certain talent. Je ne vais pas résumer l'histoire de ce livre, cela ne présente pas de réel intérêt, il n'y a pas d'étude psychologique ou de leçon de morale sous-jacente, tout est dans le style, la liberté complète dans l'expression, l'usage inattendu des mots, les calembours, les métaphores osées, l'invention du langage, les néologismes. Frédéric Dard est un romancier prolifique. La série des San-Antonio compte 175 romans sur un total d'environ 400 romans publiés par l'auteur. Évidemment un roman tel que “j'ai peur des mouches”, relativement court et sans complication peut s'écrire plus vite qu'illusions » perdues De Balzac, mais la performance est quand même bluffante. Ce qui caractérise à mon sens le style de Frédéric Dard, outre sa maitrise de l'argot et son humour un peu gras, c'est sa fluidité. Il n'y a pas de temps mort, tout coule, s'écoule jusqu'au dénouement final. Cependant je ne vais pas pour autant entamer la lecture de toute son oeuvre, j'ai apprécié cette lecture comme une surprenante incursion dans un monde littéraire que je ne connais pas beaucoup. Je ne sais pas si je vais poursuivre dans cette voie, sans doute lirais-je un deuxième livre de Frédédic Dard pour me faire une opinion plus précise, mais j'ai déjà le sentiment qu'il n'y a sans doute pas autre chose à trouver dans son oeuvre que du divertissement, de l'amusement, une manière reposante de faire un break histoire de changer radicalement de point de vue pour observer le panorama de la littérature dans toute sa diversité. Voici quelques brèves qui m'ont fait sourire : « S'il compte sur mézigue pour lui administrer un vulnéraire, il se cloque le médius dans l'oeil jusqu'au slip » (Page 19) « Je déballe une série de grossièretés que ma bonne éducation, jointe à celle de mon éditeur, m'empêche de reproduire ici. » (Page 49) « Comme dirait un de mes amis vénitiens, c'est une lagune qu'on va combler ». (Page 55). Je ne recommande pas d'utiliser ses citations dans une dissertation philosophique, mais dans une réunion entre amis cela peut faire son effet. J'ai aussi apprécié le fait que chaque chapitre soit introduit par quelques mots qui décrivent ce à quoi doit s'attendre le lecteur. Ce procédé littéraire ancien a été utilisé notamment par Jules Verne. Il donne à la forme du récit un côté désuet avec dans l'usage qu'en fait Frédérice Dard, un effet de comique décalé. Exemple : Chapitre V Dans lequel il est prouvé qu'à côté de moi, Buffalo Bill sucrait les fraises ! Dans la pharmacopée des livres qui soignent, un San-Antonio ne vous guérira pas d'une maladie mais vous évitera dans contracter une : la morosité ! – « J ' ai peur des mouches », San-Antonio (Frédéric Dard), Hachette (2023), 173 pages. Volume N° 1 de la collection Frédéric DardSan-antonio ? Ce n'est pas sérieux diront certains puristes de la littérature. Non ce n'est pas sérieux, c'est drôle ! c'est bon enfant, c'est truculent, cela détend et change les idées. En lisant cet opus n° 27 publié en 1957 de la série des San-Antonio j'ai retrouvé un peu mon adolescence, à l'époque où j'écrivais et lisais des histoires rocambolesques à la limite du vraisemblable, mais riches de péripéties en tout genre et laissant mon imagination vagabonder librement. Bien sûr je n'ai pas le talent de Frédéric Dard et l'on mesure à quel point le style emporte tout, quelle que soit l'histoire. L'intrigue est importante, mais la manière de raconter une histoire est déterminante pour retenir le lecteur. Frédéric Dard est un maître écrivain à n'en pas douter, il a cette capacité d'entraîner le lecteur dans son monde, de l'intéresser, quel que soit le sujet de son récit et surtout de l'amuser et de le distraire, ce qui demande déjà un certain talent. Je ne vais pas résumer l'histoire de ce livre, cela ne présente pas de réel intérêt, il n'y a pas d'étude psychologique ou de leçon de morale sous-jacente, tout est dans le style, la liberté complète dans l'expression, l'usage...
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  • MrVladdy 08/01/2023
    27ème enquête de San Antonio et le plaisir est toujours intact de mon côté. Il y a bien sûr des aventures que j'aime moins que d'autres et la recette devient connue mais ça fonctionne malgré tout toujours dans ma petite tête. "J'ai peur des mouches" fait même parti de ceux que j'ai énormément apprécié. Les facilités dans l'intrigue sont là mais ce récit reste prenant. Pour l'enquête en elle-même, pas besoin de réfléchir. Notre commissaire doit aller du point A au point B, tout faire péter et retourner au point A mais du coup ce roman à l'avantage de se concentrer davantage sur l'action et la tension générale. Le côté politiquement incorrect de notre héros reste présent mais ici, il fait quand même moins le malin et se retrouve en difficulté. C'est peut-être aussi pour cela que ça fonctionne mieux sur moi. Quand au style de Frédéric Dard, je suis toujours aussi fan. Sa façon de jouer avec la langue française, avec la société de son époque le tout dans un registre populaire m'amuse. Je prends d'ailleurs toujours un certain plaisir à relire certains passages qui me font marrer. "J'ai peur des mouches" reste en tout cas une très bonne enquête dans ce que j'ai pu lire jusqu'à présent et je suis ravi de voir que même après 27 romans, je ne suis toujours pas lassé. Affaire suivante !27ème enquête de San Antonio et le plaisir est toujours intact de mon côté. Il y a bien sûr des aventures que j'aime moins que d'autres et la recette devient connue mais ça fonctionne malgré tout toujours dans ma petite tête. "J'ai peur des mouches" fait même parti de ceux que j'ai énormément apprécié. Les facilités dans l'intrigue sont là mais ce récit reste prenant. Pour l'enquête en elle-même, pas besoin de réfléchir. Notre commissaire doit aller du point A au point B, tout faire péter et retourner au point A mais du coup ce roman à l'avantage de se concentrer davantage sur l'action et la tension générale. Le côté politiquement incorrect de notre héros reste présent mais ici, il fait quand même moins le malin et se retrouve en difficulté. C'est peut-être aussi pour cela que ça fonctionne mieux sur moi. Quand au style de Frédéric Dard, je suis toujours aussi fan. Sa façon de jouer avec la langue française, avec la société de son époque le tout dans un registre populaire m'amuse. Je prends d'ailleurs toujours un certain plaisir à relire certains passages qui me font marrer. "J'ai peur des mouches" reste en tout cas une très bonne enquête dans ce que j'ai...
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  • AlexandreAllamanche 05/07/2022
    Pas de Bérurier ni de Pinaud dans cet épisode où S-A, qui s'apprête à partir en vacances avec Félicie, est rappelé en urgence par le Vieux pour une mission de la plus haute importance. Un agent français, Larieux, a découvert qu'un laboratoire allemand a mis au point un virus potentiellement inquiétant. Ledit agent a même été contaminé, et tous ceux qui se sont approchés de lui à moins de 10m sont morts peu après... La mission de notre commissaire ne pouvant se faire sans aide, S-A va devoir faire équipe avec un gusse que l'on ne peut approcher, sauter en parachute et tout le toutim... J'ai rapidement trouvé l'histoire un peu capillotracté, même si certains passages sont dans la droite lignée de la série.
  • Veddy 01/06/2022
    Dès le début on se croirait dans un James Bond, ou dans un roman d'espionnage ! J'ai un peu moins apprécié cet opus, j'ai trouvé que ce n'était pas tellement du San-Antonio, mais une sorte de livre d'espionnage/aventure. De plus, nous n'avons pas le droit aux échanges avec Béru ou le Boss. Enfin si, mais seulement dans une petite partie au début... M'est avis que Fréderic Dard voulait faire voyager San-A dans un autre univers, mais, à mon goût, j'ai trouvé que cela ne collait pas. San-A doit suivre un rescapé d'une mission durant laquelle il a été en contact avec un poison. Si San-A se rapproche de cet agent, il meurt, car l'agent est contagieux. En bref, on suit les deux protagoniste, dont un est suicidaire (et on le comprends) mais j'ai trouvé cela un peu lourd. Une sorte de boulet, que ce trimbale San-A, ce qui me fait penser à un film avec Benoit Poelvoorde et Gérard Lanvin... Résultat, toute la mission se fait en distance entre les deux personnages, un peu comme durant une certaine époque d'il n'y a pas si longtemps... remplie de gel et de masque... Mais trêves de galéjades ! Roman moins apprécié, mais je continue tout de même la découverte de cette saga !
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