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Judy Garland - Splendeurs et chute d'une légende
Date de parution : 22/05/2019
Éditeurs :
L'Archipel

Judy Garland - Splendeurs et chute d'une légende

Date de parution : 22/05/2019
Il y a 50 ans, à l'âge de 47 ans, disparaissait Judy Garland, célèbre interprète de Over The Rainbow" et mère de Liza Minelli. Un des plus grands mythes hollywoodiens, raconté par le biographe des stars Bertrand Tessier."
Une star déchue  Comédienne, danseuse, chanteuse, Judy Garland fut la reine incontestée de la comédie musicale et la « petite fiancée de l’Amérique ».  Privée de son enfance par une... Une star déchue  Comédienne, danseuse, chanteuse, Judy Garland fut la reine incontestée de la comédie musicale et la « petite fiancée de l’Amérique ».  Privée de son enfance par une mère qui l’a propulsée sur scène dès l’âge de trois ans, engagée a treize ans par la MGM, elle devient... Une star déchue  Comédienne, danseuse, chanteuse, Judy Garland fut la reine incontestée de la comédie musicale et la « petite fiancée de l’Amérique ».  Privée de son enfance par une mère qui l’a propulsée sur scène dès l’âge de trois ans, engagée a treize ans par la MGM, elle devient une star en entonnant « Over the Rainbow » dans Le Magicien d’Oz (1939). Elle enchaîne alors les succès qui font d’elle une cash machine inusable... ou presque. Fragile et complexée, Judy s’épuise et ne résiste qu’a grand renfort d’amphétamines prescrites par le studio. Début d’une descente aux enfers que cinq maris – dont Vincente Minnelli, le père de Liza – ne sauront empêcher...  Broyée par le système hollywoodien après son licenciement de la MGM, la star rebondit avec Une Etoile est née, avant de se consacrer a la chanson, devenant aux États-Unis le double féminin de Frank Sinatra. Mais elle n’échappe pas a ses démons – insomnies, alcool, crises suicidaires – et disparaît a quarante-sept ans, le 22 juin 1969, victime d’une overdose de barbituriques. Adulée du public, icône de la communauté gay, elle entre a jamais dans la légende.  C’est ce parcours flamboyant et tragique que retrace Bertrand Tessier, a l’aide de témoignages inédits.
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EAN : 9782809826753
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 227
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809826753
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 227
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Justine_of_Delaford 12/05/2023
    Admiratrice de Judy Garland depuis que je suis toute petite, j’ai lu cette biographie lors de sa sortie et je me souviens l’avoir dévorée ! J’y ai appris pas mal de choses sur Judy Garland : son amour de la scène (elle était considérée comme la meilleure showgirl de son temps ) ses nombreuses tentatives de suicide 😨, son amour pour ses enfants, ses nombreux mariages ratés et ses différentes liaisons, son sens de l’humour qui lui permettait de parler des choses terribles qu’elle avait vécues sans tomber dans le pathos, sa relation houleuse avec sa mère qui lui a bousillé une bonne partie de sa vie, tout comme les studios, à coups d’humiliations, de privations et de médicaments dangereux qui l’ont rendu accro par la suite et ont provoqué sa chute… On parle de pilules coupe faim, de bouillons de poulet, de café et de cigarettes qui faisaient parti du « régime » 😨 Sans oublier les pilules pour l’aider à tenir les très longues journées de travail et les somnifères, parce que, quand Judy avait enfin le droit de se reposer, les pilules l’empêchaient de dormir donc il fallait provoquer le sommeil… Pas étonnant qu’elle soit devenu accro à ces saletés par la suite… La MGM s’immisçait dans sa vie privée, ses relations amoureuses, la forçant même à avorter (clandestinement bien sûr vu que c’était illégal en Californie) parce qu’ils avaient peur que son image de petite fiancée de l’Amerique en prenne un coup si elle se mariait ou avait un enfant…😰 Ayant perdu son père très jeune, manquant de confiance en elle à cause des studios (Mayer l’appelait « ma petite bossue » 😡), elle a toujours été en demande d’amour de la part des hommes… Ses relations amoureuses ont malheureusement été chaotiques et l’ont poussée à faire des tentatives de suicide, comme lorsqu’elle est rentrée chez elle et a surpris son mari Vincente Minnelli dans le lit conjugal avec un homme… Un de ses maris était un profiteur qui dilapidait l’argent de Judy et était criblé de dettes, ce qui l’a obligée à faire plusieurs concerts pour rembourser les sommes demandées, même si elle était très malade. Peu à l’aise avec son physique souvent raillé, Judy Garland voyait les autres actrices glamour du studio et cela la renvoyait a sa propre image de girl next door qui la complexait. Pourtant c’est cette image qui lui valut d’être appelée la petite fiancée de l’Amérique et qui lui apporta l’amour du public ❤️ Vous l’aurez compris, cette biographie était très intéressante mais aussi très émouvante et révoltante. J’ai vraiment eu la sensation de lire le récit d’une vie gâchée qui aurait pu être différente si Judy avait été mieux traitée…💔 Elle a été utilisée, rejetée, trahie jusqu’à la fin de sa vie, mais tous ceux qui l’ont côtoyée sont unanimes : elle a toujours gardé son humour et sa joie de vivre, la communiquant autour d’elle. Pour moi, Judy Garland est une actrice aussi à l’aise dans le comique que dans l’émotion, avec un talent monstre pour la danse et le chant, mais elle reste à jamais cette jeune fille qui voulait voir ce qu’il y a au-delà de l’arc en ciel ❤️Admiratrice de Judy Garland depuis que je suis toute petite, j’ai lu cette biographie lors de sa sortie et je me souviens l’avoir dévorée ! J’y ai appris pas mal de choses sur Judy Garland : son amour de la scène (elle était considérée comme la meilleure showgirl de son temps ) ses nombreuses tentatives de suicide 😨, son amour pour ses enfants, ses nombreux mariages ratés et ses différentes liaisons, son sens de l’humour qui lui permettait de parler des choses terribles qu’elle avait vécues sans tomber dans le pathos, sa relation houleuse avec sa mère qui lui a bousillé une bonne partie de sa vie, tout comme les studios, à coups d’humiliations, de privations et de médicaments dangereux qui l’ont rendu accro par la suite et ont provoqué sa chute… On parle de pilules coupe faim, de bouillons de poulet, de café et de cigarettes qui faisaient parti du « régime » 😨 Sans oublier les pilules pour l’aider à tenir les très longues journées de travail et les somnifères, parce que, quand Judy avait enfin le droit de se reposer, les pilules l’empêchaient de dormir donc il fallait provoquer le sommeil… Pas étonnant qu’elle soit devenu accro à...
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  • lschulman 19/11/2022
    Un petit mot pour dire que la biographie de Judy Garland par Bertrand Tessier a déjà été traduite vers l’anglais par moi-même et sera publiée par BearManor Media en 2023 sous le titre JUDY GARLAND – SPLENDOR AND DOWNFALL OF A LEGEND. Elle inclura un grand nombre de photographies inédites ainsi qu’un avant-propos par moi-même. Bonne lecture ! LAWRENCE SCHULMAN
  • Jazzynewyork 03/04/2020
    Bertrand Tessier nous invite à travers son récit à découvrir l'histoire de Judy Garland, celle qu'on appelait «  la petite fiancée de l'Amérique ». Très tôt, privée de son enfance par sa mère qui sentant une aubaine financière la propulsa sur la scène, tout en la rendant très tôt accro aux amphétamines afin que cette enfant épuisée par sa surcharge de travail puisse faire face et honorer les engagements des contrats cinématographiques. Du paradis à l'enfer, sa route est déjà toute tracée. Après le cinéma elle deviendra chanteuse et mènera une nouvelle carrière incroyable, entachée malheureusement par son addiction jusqu'à ce qu'une overdose l'emporte à l'âge de 47 ans. Un récit très touchant, peut-être un peu trop journalistique par moment, mais qui nous montre l'envers du décor hollywoodien, et le fabuleux parcours d'une petite fille pleine de talents devenue une légende. L'histoire d'une étoile qui brillera éternellement.
  • Tostaky0 07/02/2020
    Mieux qu'un roman, ce livre de Bertrand Tessier saura vous émouvoir, parce qu'il y a des destins que même les romanciers, et Dieu sait s'ils ont l'imagination fertile, n'oseraient inventer. La main qui a tracé celui de Frances Ethel Gumm, n'a pas été généreuse, c'est le moins que l'on puisse dire. Frances n'aura été fille ou femme indépendante que dans les tous premiers mois de sa vie. Dès ses premiers pas sur scène, la machine diabolique se met en route, elle finira par la broyer... Les Gumm sisters, trois soeurs qu'une mère orgueilleuse et intéressée rêve de voir en haut de l'affiche. (N'oublions pas qu'en ce temps-là, les droits de l'enfant, notamment en matière de rémunération n'étaient soumis à aucune obligation, pour le plus grand bonheur de parents comme Ethel Gumm qui pouvait ainsi jouir de la notoriété de leur progéniture). Bien vite Frances sera repérée, et le patron de la MGM, Louis B. Mayer de la prendre sous son aile, pour le meilleur et pour le pire. C'est ainsi qu'elle deviendra Judy Garland. Ses talents de chanteuse et de comédienne en feront une star très tôt, trop tôt... Et pour tenir le coup ? Les cachets. Véritables poisons qui viendront tout au long de sa vie, tantôt la soulager, tantôt l'abrutir, lui redonner de l'espoir ou au contraire la faire plonger. Un père aimant mais, hélas, trop tôt disparu. Une mère sans amour et des amants ou des maris dépassés n'auront jamais su lui apporter leur aide et leur soutien. Même ses enfants ne réussiront pas à la combler de bonheur. Et Hollywood, que dire d'Hollywood ? Qui vous détruit aussi vite qu'il vous porte aux nues. Privée de toutes libertés, (elle devra avorter, on a pas le temps d'avoir des enfants quand on est une star en devenir), sa vie ne lui appartient plus mais elle appartient aux studios. Bertrand Tessier retrace ici sa carrière, au cinéma où ses frasques et ses absences finiront par lasser ses plus fervents défenseurs, à la télévision où elle connaîtra le succès avant de se voir, là aussi, mise au ban à cause de son comportement. Il lui restera la scène, mais là encore, elle alternera triomphes ou échecs. Elle fera se lever les foules dans les plus belles salles du monde, adulée un jour, huée le lendemain. La fatigue liée à une surconsommation de médicaments et d'alcool auront raison de sa santé mentale. Elle multiplie les retards, les absences, les tentatives de suicide. Couverte de dettes, obligée de vendre sa maison, allant jusqu'à envoyer son mari, qui avait mis ses bijoux en gages, en prison. Elle aura été mariée plusieurs fois, mais n'aura pas su trouver un véritable bonheur dans ses unions. Aura-t-elle jamais été vraiment heureuse un jour ? Avant de disparaître prématurément dans des circonstances dramatiques, elle aura au moins eu la joie de chanter sur scène avec sa fille Liza. (Dont la vie privée présente d'étranges similitudes avec celle de sa mère). Voilà, je vous ai juste donner les grandes lignes de ce qui est retracé dans cette biographie. L'expression "grandeur et décadence" est tout à fait adaptée à la vie de Judy Garland. Elle représente l'âge d'or d'Hollywood, dans son star-système, ses paillettes et ses travers. Hollywood a créé des stars mais en a détruit beaucoup. Dans quelques jours, sort sur nos écrans un biopic consacré à Judy, je vous conseille ce livre comme mise en bouche, mais je vous préviens, c'est amer, préparez vos mouchoirs. Quant à moi, je garde en mémoire ce film qui fit d'elle une vedette, ce rôle inoubliable, Dorothy, la jeune fille qui se retrouve dans un royaume magique, entourée d'un épouvantail sans cervelle, d'un homme en fer blanc sans coeur et d'un lion peureux, Le magicien d'Oz (1939). Et en écrivant ces lignes j'écoute cette chanson (que les produteurs avaient sérieusement envisagé de supprimer au montage et qui est devenu un succès planétaire), j'espère quelle a trouver là-haut ce qu'il y a dans ses paroles dont je vous livre ici, avec émotion, la traduction : Somewhere over the rainbow Quelque part, au-delà de l'arc-en-ciel, bien plus haut, Il y a une contrée dont j'ai entendu parler une fois dans une berceuse Quelque part, au-delà des arc-en-ciel, les ciels sont bleus, Et les rêves que tu oses rêver deviennent vraiment réalité. Un jour je ferai un souhait en regardant une étoile Et je me réveillerai à l'endroit où les nuages sont loin derrière moi. Où les ennuis fondent telles des gouttes de citron Bien au-dessus des cheminées C'est là où tu me trouveras. Mieux qu'un roman, ce livre de Bertrand Tessier saura vous émouvoir, parce qu'il y a des destins que même les romanciers, et Dieu sait s'ils ont l'imagination fertile, n'oseraient inventer. La main qui a tracé celui de Frances Ethel Gumm, n'a pas été généreuse, c'est le moins que l'on puisse dire. Frances n'aura été fille ou femme indépendante que dans les tous premiers mois de sa vie. Dès ses premiers pas sur scène, la machine diabolique se met en route, elle finira par la broyer... Les Gumm sisters, trois soeurs qu'une mère orgueilleuse et intéressée rêve de voir en haut de l'affiche. (N'oublions pas qu'en ce temps-là, les droits de l'enfant, notamment en matière de rémunération n'étaient soumis à aucune obligation, pour le plus grand bonheur de parents comme Ethel Gumm qui pouvait ainsi jouir de la notoriété de leur progéniture). Bien vite Frances sera repérée, et le patron de la MGM, Louis B. Mayer de la prendre sous son aile, pour le meilleur et pour le pire. C'est ainsi qu'elle deviendra Judy Garland. Ses talents de chanteuse et de comédienne en feront une star très tôt, trop tôt... Et pour tenir le coup ? Les cachets. Véritables poisons qui viendront tout au long de sa vie, tantôt la...
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  • manU17 15/01/2020
    Quel destin que celui de Judy Garland ! Un destin qui montre à quel point tous ces enfants stars ont pu être pressés comme des citrons que ce soit par leurs familles ou par les studios, tout puissants à l’époque. Dès son plus jeune âge, à 2 ans, elle débute sur scène avec ses sœurs, les Gumm Sisters, Gumm étant son véritable nom de famille. Ses parents, notamment sa mère, la poussent constamment sous les feux de la rampe, se négociant un salaire aussi souvent que possible. Judy Garland fut l’un des joyaux de la MGM, au cœur de succès mondiaux, éternelle Dorothy du Magicien d’Oz ou héroïne d’une série de films aux côté de Mickey Rooney. Louis B. Mayer, grand ponte de la MGM, la pousse toujours plus, pour en tirer toujours plus de profit, n’hésitant pas à lui faire prescrire toutes sortes de pilules, pour maigrir, pour dormir, pour être en forme, une addiction dont elle ne parviendra jamais à se défaire réellement. La MGM finira par rompre son contrat quand elle n’en tirera plus autant de bénéfices. Il lui faudra des années pour se détacher de l’emprise familiale comme de celle des studios mais en sera-t-elle jamais réellement libérée ?... De sa vie privée compliquée, elle se mariera à sept reprises, on retiendra surtout son union avec le réalisateur Vincente Minnelli. De cette union naitra son première enfant, Liza Minnelli, qui deviendra l’artiste qu’on connait. Mais comme le père de Judy Garland, Vincente Minnelli préférait les hommes et leur union ne fit pas long feu. De là vient peut-être la sympathie réciproque et l’amour que lui porte la communauté gay qui fit d’elle une icône. Mais le plus incroyable, tout au long de cette biographie passionnante, c’est cette capacité à se relever encore et encore après ses nombreuses chutes tels un phénix renaissant chaque fois de ses cendres. Tiraillées entre ses addictions aux drogues et à l’alcool, dévastée au point de multiplier les tentatives de suicide et pourtant toujours portée par l’amour du public ou par le besoin d’argent, elle réatteindra plusieurs fois les sommets avant de chuter à nouveau. Une actrice que je connaissais finalement peu, à part son interprétation dans Le Magicien d’Oz et que j’ai pris un immense plaisir à découvrir sous la plume de Bertrand Tessier qui lui a également consacré un documentaire. J’en termine en vous parlant du film qui lui est consacré et qui sort aujourd’hui dans toutes les bonnes salles. Sobrement intitulé Judy, il est réalisé par Rupert Goold. J’ai eu la chance de le voir en avant-première en novembre dernier et vraiment, Renée Zellweger offre une prestation tout bonnement bluffante ! Gestuelle, attitude, expression du visage, elle n’interprète pas, elle incarne Judy Garland. Le Golden Globe de la meilleure actrice qu’elle vient de recevoir est amplement mérité. Le film se déroule en 1968, l’année avant sa disparition. Son retour sur scène à Londres est évidemment prétexte à de nombreux flashback sur son enfance et sa vie. Un excellent biopic que je vous conseille et qui vous donnera envie d’en savoir encore plus sur sa vie. La lecture de la biographie de Bertrand Tessier tombera alors à pic. Judy Garland, une légende à jamais au firmament des étoiles... Quel destin que celui de Judy Garland ! Un destin qui montre à quel point tous ces enfants stars ont pu être pressés comme des citrons que ce soit par leurs familles ou par les studios, tout puissants à l’époque. Dès son plus jeune âge, à 2 ans, elle débute sur scène avec ses sœurs, les Gumm Sisters, Gumm étant son véritable nom de famille. Ses parents, notamment sa mère, la poussent constamment sous les feux de la rampe, se négociant un salaire aussi souvent que possible. Judy Garland fut l’un des joyaux de la MGM, au cœur de succès mondiaux, éternelle Dorothy du Magicien d’Oz ou héroïne d’une série de films aux côté de Mickey Rooney. Louis B. Mayer, grand ponte de la MGM, la pousse toujours plus, pour en tirer toujours plus de profit, n’hésitant pas à lui faire prescrire toutes sortes de pilules, pour maigrir, pour dormir, pour être en forme, une addiction dont elle ne parviendra jamais à se défaire réellement. La MGM finira par rompre son contrat quand elle n’en tirera plus autant de bénéfices. Il lui faudra des années pour se détacher de l’emprise familiale comme de celle des studios mais en sera-t-elle jamais réellement libérée ?... De...
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