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Jurassic Park - Tome 1
Patrick Berthon (traduit par)
Date de parution : 16/12/2021
Éditeurs :
Robert Laffont

Jurassic Park - Tome 1

Patrick Berthon (traduit par)
Date de parution : 16/12/2021
Le best-seller qui a inspiré le film de Steven Spielberg.
1989. Sur une île au large du Costa Rica, le milliardaire John Hammond et son équipe de généticiens ont développé une technique d’extraction d’ADN fossile permettant de ramener à la... 1989. Sur une île au large du Costa Rica, le milliardaire John Hammond et son équipe de généticiens ont développé une technique d’extraction d’ADN fossile permettant de ramener à la vie des dinosaures. Avant l’ouverture d’un parc immense où vivent en captivité les animaux géants du Jurassique, un groupe de... 1989. Sur une île au large du Costa Rica, le milliardaire John Hammond et son équipe de généticiens ont développé une technique d’extraction d’ADN fossile permettant de ramener à la vie des dinosaures. Avant l’ouverture d’un parc immense où vivent en captivité les animaux géants du Jurassique, un groupe de scientifiques est invité à le découvrir en exclusivité. Mais, suite à un acte de sabotage, le système de sécurité du parc est désactivé, laissant les dinosaures s’échapper. Les hommes, pris à leur propre piège, doivent alors trouver un moyen de sortir vivants de l’île.
Ce best-seller, paru en 1990, a été adapté à l’écran par Steven Spielberg, et est devenu un film culte. C’est la première fois qu’il est disponible en format numérique.
 
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EAN : 9782221260364
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221260364
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Esther42 08/05/2023
    Quel excellent livre ! Je l'ai adoré et mon fils aussi. Petite précision, c'est le livre que mon fils m'a ramené de la bibliothèque de son école. D'habitude, je rentre ses livres, mais ne leur donne ni note ni critique. Sauf que cette fois, il m'a ramené un roman, un vrai de vrai. Je précise, il a 8 ans, passionné de dinosaure, ce livre a été notre lecture du soir pendant un petit moment. Revenons à nos moutons. J'ai eu beaucoup, mais vraiment beaucoup de mal à m'arrêter après nos 15 minutes de lecture quotidienne. Il n'y aurait eu que moi, je continuai ma lecture sans attendre mon fils. Le livre m'a beaucoup rappelé les films Jurassik Park, avec plus de détail, plus de dinosaure, plus de tout. C'était vraiment très chouette de se poser tous les soirs et de retrouver cet univers. Un vrai régal. Sa lecture un peu longue (à haute voix, ce n'est pas facile tous les soirs surtout quand on rentre du travail, que l'on a un tout petit être, un grand garçon très actif et que l'on est une dys...) me laisse énormément de souvenir de ce roman, peut être que le fait d'avoir pris mon temps m'a permis de... Quel excellent livre ! Je l'ai adoré et mon fils aussi. Petite précision, c'est le livre que mon fils m'a ramené de la bibliothèque de son école. D'habitude, je rentre ses livres, mais ne leur donne ni note ni critique. Sauf que cette fois, il m'a ramené un roman, un vrai de vrai. Je précise, il a 8 ans, passionné de dinosaure, ce livre a été notre lecture du soir pendant un petit moment. Revenons à nos moutons. J'ai eu beaucoup, mais vraiment beaucoup de mal à m'arrêter après nos 15 minutes de lecture quotidienne. Il n'y aurait eu que moi, je continuai ma lecture sans attendre mon fils. Le livre m'a beaucoup rappelé les films Jurassik Park, avec plus de détail, plus de dinosaure, plus de tout. C'était vraiment très chouette de se poser tous les soirs et de retrouver cet univers. Un vrai régal. Sa lecture un peu longue (à haute voix, ce n'est pas facile tous les soirs surtout quand on rentre du travail, que l'on a un tout petit être, un grand garçon très actif et que l'on est une dys...) me laisse énormément de souvenir de ce roman, peut être que le fait d'avoir pris mon temps m'a permis de l'apprécier plus encore. Un véritable coup de cœur.
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  • gatsbi 16/04/2023
    Mon premier Crichton, et sans doute pas le dernier ! Jurassic Park est un techno-thriller jetant un regard critique sur les usages de la biotechnologie. Au programme : une incursion dans le monde des dinosaures (ou l’inverse, selon le point de vue). Que feriez-vous face à un Tyrannosaurus Rex ? Personnellement, je n’en mènerais pas large… Peut-être le roman le plus connu de l’auteur, par ailleurs adapté au grand écran par un obscur réalisateur. La courte introduction est un petit bijou. Elle plante le décor, pose le contexte scientifique et politique, les enjeux sociétaux. J’y reviendrai à la fin. Le reste… n’est pas en reste ! Pratiquement un sans fautes. Les attendus du genre sont au rendez-vous : divertissement, suspense, action, réflexion sociétale. Le style de l’auteur est très agréable. Sans en égaler le niveau de perfection, j’y ai retrouvé certaines des qualités qui ont fait le succès des romans d’Ira Levin : un style simple et efficace ; une maitrise du scénario ; une science des scènes et des dialogues qui sonnent toujours juste. Comme Levin, Crichton prend son temps pour poser le décor et tisser sa toile. Ainsi la première moitié du roman est « safe » pour les personnages principaux. On est loin de s’ennuyer cela dit, car, comme Levin, l’auteur... Mon premier Crichton, et sans doute pas le dernier ! Jurassic Park est un techno-thriller jetant un regard critique sur les usages de la biotechnologie. Au programme : une incursion dans le monde des dinosaures (ou l’inverse, selon le point de vue). Que feriez-vous face à un Tyrannosaurus Rex ? Personnellement, je n’en mènerais pas large… Peut-être le roman le plus connu de l’auteur, par ailleurs adapté au grand écran par un obscur réalisateur. La courte introduction est un petit bijou. Elle plante le décor, pose le contexte scientifique et politique, les enjeux sociétaux. J’y reviendrai à la fin. Le reste… n’est pas en reste ! Pratiquement un sans fautes. Les attendus du genre sont au rendez-vous : divertissement, suspense, action, réflexion sociétale. Le style de l’auteur est très agréable. Sans en égaler le niveau de perfection, j’y ai retrouvé certaines des qualités qui ont fait le succès des romans d’Ira Levin : un style simple et efficace ; une maitrise du scénario ; une science des scènes et des dialogues qui sonnent toujours juste. Comme Levin, Crichton prend son temps pour poser le décor et tisser sa toile. Ainsi la première moitié du roman est « safe » pour les personnages principaux. On est loin de s’ennuyer cela dit, car, comme Levin, l’auteur maitrise l’art de distiller dans sa lente exposition des indices sur ce qui nous attend. Car oui, on ne le devine que trop, ce qui va se passer. Il y a d’ailleurs ce cynique mathématicien pour marteler l’évidence, la catastrophe annoncée. Si Ira levin joue sur le plan psychologique et le climat d’oppression, Crichton déroule la partition du divertissement propre au genre : c’est assez jouissif de voir les personnages principaux embarqués dans cette aventure et garder leur entrain durant cette première moitié, dans une ambiance bonne enfant, alors que les indices du chaos à venir s’amoncellent inexorablement. Pour parachever le parallèle, on pourra noter les nombreuses adaptations cinématographiques des œuvres de ces deux auteurs. La trame narrative est ultra-classique pour ce genre : une alternance entre une poignée de protagonistes séparés géographiquement et que les évènements étranges relatés vont peu à peu rapprocher. Mais même une fois réunis dans le « parc » pour le second acte, l’auteur parvient habilement à maintenir cette alternance en séparant le groupe – un procédé typique des scénarios à tendance horrifique. Les premiers chapitres sont peut-être un peu déroutants, car ils brassent beaucoup de personnages et on peut avoir du mal à cerner ceux qu’on va suivre sur le long terme. Mais très rapidement les choses se décantent. Le style simple et efficace, l’alternance entre les personnages éparpillés, rendent l’écriture fluide et dynamique. Un aspect renforcé par le choix de très courts chapitres aux titres clairs. Le tout est agrémenté de quelques cartes, diagrammes et listings informatiques qui surprennent au début mais s’accordent finalement assez bien à l’ambiance scientifique. L’auteur joue parfois avec nos nerfs quand il jongle entre les différentes trames, sans pour autant abuser des petites techniques visant à générer le suspense artificiellement : l’intérêt est bien là du début à la fin, et personnellement j’ai dévoré ce roman. Les personnages n’ont rien d’exceptionnel. C’est surtout les dialogues, toujours justes, qui les rendent crédibles (leurs actes, pas toujours). Ils sont assez caricaturaux, comme de coutume dans ce genre. En particulier, le tacle sur les programmeurs est assez énorme :). J’ai trouvé très réussis le vieux richissime propriétaire du parc et le mathématicien de génie. L’opposition entre les deux personnages excentriques du roman fonctionne très bien. De plus, chacun à sa manière (le vieux, par la transparence de sa pensée égoïste et irresponsable, le mathématicien, par son caractère blasé-cynique-disruptif-j’ai-réponse-à-tout) permet à l’auteur de faire partager naturellement et facilement une quantité impressionnante de réflexions philosophiques sur la science et la société, sans que l’histoire en pâtisse. Et les dinosaures dans tout ça ? Si on peine à distinguer un unique personnage principal parmi les protagonistes, c’est peut-être pour mieux distinguer la véritable vedette du roman : les dinosaures. Clairement, l’auteur a bossé son sujet. Une petite recherche à son sujet m’a confirmé qu’il cochait toutes les cases pour être capable de rendre une copie plus qu’honnête. J’ai effectivement appris pas mal de petites choses, même si je n’étais pas tout à fait ignorant en la matière. Si Hammond, l’excentrique milliardaire, annonce fièrement une quinzaine d’espèces observables dans son « Parc », le livre se concentre sur une demi-douzaine, parmi lesquelles le Tyrannosaure, le Velociraptor ou encore le Procompsognathus. Au-delà du thème vendeur, il y a un gros travail de recherche et d’imagination sur le scénario pour rendre crédible ce retour des dinosaures et proposer une histoire qui tienne la route. Chacun se fera bien sûr sa propre idée sur la crédibilité du scénario, mais il faut reconnaître que l’auteur a relevé un défi particulièrement difficile (si on le compare aux thèmes d’autres techno-thrillers). Autre aspect que j’ai apprécié : le focus sur quelques métiers qui tournent autour du sujet. Les paléontologues bien sûr. Mais aussi les laboratoires, les industriels. Les seuls bémols qui me viennent à l’esprit concernent des comportement parfois peu crédibles, notamment un manque récurrent d’instinct de conservation chez quelques personnages (je pense par exemple à l’une des dernières scènes dans le « terrier »). La réflexion est présente tout au long de l’histoire. Ainsi, Ian Malcom, le mathématicien, explique à peu près tout par le prisme de la théorie du chaos. J’ai à peu près saisi l’idée et ses arguments. Intéressant, même si cela me parle peu. À mon sens, le gros intérêt du livre sur le plan intellectuel est de sensibiliser sur les problèmes liés aux développements à tout-va de la biotechnologie, en particulier celle traitant de la génétique. L’auteur alerte sur l’absence de garde-fous, le manque de recul et de concertation mondiale non biaisée. Il expose très justement le problème du financement de la recherche dans ce domaine, et l’illustre brillamment dans l’histoire. La courte introduction est éloquente à ce sujet. Je l’ai lue pas moins de trois fois d’affilée, et je ne résiste pas à l’envie d’en citer trois passages : « Le phénomène [le nouvel eldorado de la commercialisation des découvertes du génie génétique] s’est développé si rapidement et a fait l’objet de si rares études en dehors de la communauté scientifique que son extension et ses conséquences sont très mal comprises. » « Mais le plus inquiétant est l’absence de toute surveillance à l’intérieur de la communauté scientifique. Il faut savoir que la quasi-totalité des généticiens sont également engagés dans le commerce de la biotechnologie. Il n’y a pas d’observateurs désintéressés ; tout le monde a beaucoup à gagner. » « Il y a de nos jours très peu de spécialistes de la biologie moléculaire et d’instituts de recherches qui ne soient rattachés à une structure commerciale. Une page est tournée. La recherche génétique se poursuit avec une frénésie accrue. Mais elle est faite en secret, à la hâte et uniquement pour le profit. » Au-delà du cri d’alarme, ce qui interpelle, c’est que plus de trente ans se sont écoulés depuis (Jurassic Park a été publié en 1990), et que, à l’évidence et fort logiquement, la situation qui préoccupait tant l’auteur s’est aggravée exponentiellement. En consultant sa fiche, j’ai appris avec tristesse que Michael Crichton était mort en 2008 à seulement 66 ans. Entretemps, deux générations de lecteurs et de spectateurs ont frémi devant ses dinosaures. Parmi eux, sans doute, peu retiennent le message politique derrière le scénario invraisemblable. C’est une grave erreur, car une illustration n’invalide pas une idée et, à mon humble avis, les dysfonctionnements qui ont marqué la « gestion » de la crise sanitaire mondiale 30 ans après la sortie de Jurassic Park sont autrement plus dérangeants et impactant que les désordres occasionnés par ce cher M. Hammond, en même temps qu’ils relèvent très exactement de ce que Crichton décrie. Ou comment la réalité dépasse la fiction… Mais quel lecteur assidu de SF en douterait ?
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  • Croco85 01/03/2023
    Comme beaucoup d'entre nous, j'ai découvert Jurassic park par le film de Spielberg! Il faut bien avouer que l'idée de base était excellente et elle venait donc de Michael Crichton comme j'ai pu m'en apercevoir il y a quelques mois... Pour en finir avec la comparaison d'avec le film, il m'a semblé pendant la lecture que le film était bien fidèle et j'ai pu le vérifier ensuite en revisionnant ce dernier. Quelques variantes malgré tout avec la fameuse scène sur les toilettes qui n'existe pas.. et dans le livre le milliardaire est dévoré par les dinos.. Nous nous retrouvons donc directement plongé dans la forêt du Costa Rica, dépaysement garanti. J'ai trouvé que l'intrigue était bien amenée et "crédibilisée" par des données scientifiques intéressantes. La suite est un peu facile, avec un grand parc qui tombe dans le chaos du fait d'un seul homme et juste au mauvais moment, mais qu'importe finalement car niveau aventure on est servi! Je me suis également délecté des tirades de Malcolm avec notamment sa grande théorie du chaos ou encore de la géométrie fractale! D'autres personnages sont moins intéressants tel que la petite Lex par exemple qui n'apporte pas grand chose à l'histoire. J'ai abaissé ma note... Comme beaucoup d'entre nous, j'ai découvert Jurassic park par le film de Spielberg! Il faut bien avouer que l'idée de base était excellente et elle venait donc de Michael Crichton comme j'ai pu m'en apercevoir il y a quelques mois... Pour en finir avec la comparaison d'avec le film, il m'a semblé pendant la lecture que le film était bien fidèle et j'ai pu le vérifier ensuite en revisionnant ce dernier. Quelques variantes malgré tout avec la fameuse scène sur les toilettes qui n'existe pas.. et dans le livre le milliardaire est dévoré par les dinos.. Nous nous retrouvons donc directement plongé dans la forêt du Costa Rica, dépaysement garanti. J'ai trouvé que l'intrigue était bien amenée et "crédibilisée" par des données scientifiques intéressantes. La suite est un peu facile, avec un grand parc qui tombe dans le chaos du fait d'un seul homme et juste au mauvais moment, mais qu'importe finalement car niveau aventure on est servi! Je me suis également délecté des tirades de Malcolm avec notamment sa grande théorie du chaos ou encore de la géométrie fractale! D'autres personnages sont moins intéressants tel que la petite Lex par exemple qui n'apporte pas grand chose à l'histoire. J'ai abaissé ma note à 4 car la fin est un peu longue et surfaite à mon goût pour rétablir l'électricité. Très bon moment de lecture et de plaisir de replonger dans cet univers de dinosaures! Je lirai donc bientôt "le monde perdu" du même auteur!
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  • evergreen13 15/02/2023
    Isla nublar L’île des brouillards, une île achetée au Costa Rica par une société d’ingénierie scientifique ou de biotechnologie, InGen, pour y installer un parc d’attractions bien particulier. Ou un zoo, si vous préférez. Un zoo qui présenterait des animaux préhistoriques, des dinosaures, éteints depuis des millénaires mais que la science a permis de faire « revivre », grâce à l’ADN retrouvé dans le sang des moustiques englués dans l’ambre, moustiques qui avaient piqués les dits dinosaures au crétacé… Je vous passe les détails, John Hammond pourra vous expliquer tout ça beaucoup mieux que moi. Quoiqu’il en soit, c’est près d’une quinzaine d’espèces différentes de dinosaures qui vivent paisiblement sur cette île, des stégosaures, des tricératops, des apatosaures, des hadrosaures, tous herbivores, mais aussi des procompsognathus, des velociraptors et des tyrannosaures, ceux-ci étant carnivores ! Mais n’ayez aucune crainte, tout est sous contrôle : d’immenses clôtures électrifiées empêchent les espèces de se mélanger (et donc de s’exterminer) et tous les dinosaures sortis du laboratoire d’InGen sont des femelles, donc aucun risque qu’ils (enfin qu’elles) se reproduisent ! Qui plus est, on les rendus dépendants de la lysine un acide aminé indispensable à leur développement. Et d’ailleurs si vous veniez faire une... Isla nublar L’île des brouillards, une île achetée au Costa Rica par une société d’ingénierie scientifique ou de biotechnologie, InGen, pour y installer un parc d’attractions bien particulier. Ou un zoo, si vous préférez. Un zoo qui présenterait des animaux préhistoriques, des dinosaures, éteints depuis des millénaires mais que la science a permis de faire « revivre », grâce à l’ADN retrouvé dans le sang des moustiques englués dans l’ambre, moustiques qui avaient piqués les dits dinosaures au crétacé… Je vous passe les détails, John Hammond pourra vous expliquer tout ça beaucoup mieux que moi. Quoiqu’il en soit, c’est près d’une quinzaine d’espèces différentes de dinosaures qui vivent paisiblement sur cette île, des stégosaures, des tricératops, des apatosaures, des hadrosaures, tous herbivores, mais aussi des procompsognathus, des velociraptors et des tyrannosaures, ceux-ci étant carnivores ! Mais n’ayez aucune crainte, tout est sous contrôle : d’immenses clôtures électrifiées empêchent les espèces de se mélanger (et donc de s’exterminer) et tous les dinosaures sortis du laboratoire d’InGen sont des femelles, donc aucun risque qu’ils (enfin qu’elles) se reproduisent ! Qui plus est, on les rendus dépendants de la lysine un acide aminé indispensable à leur développement. Et d’ailleurs si vous veniez faire une visite du parc, en avant première pour vérifier que tout va bien ? Il y aura du beau monde avec vous : un paléontologue réputé, le Dr Alan Grant et son assistante le Dr Ellie Slater paléobotaniste, John Hammond a également convié un mathématicien de génie, Ian Malcolm spécialiste de la théorie du chaos (n’importe quoi…), ainsi que l’avocat d’InGen. Les petits enfants de John seront également là, Tim et Lex, deux enfants impatients de découvrir les secrets du parc. Vous vous doutez bien que s’il y avait le moindre risque, John ne les aurait pas fait venir ! Alors en route pour le circuit inaugural du Parc Jurassique ! Je n’avais pas relu ce livre depuis sa sortie, en 1992. En revanche, j’ai vu et revu les films à maintes reprises et j’avoue qu’à chaque fois, je suis bluffée ! Ce qui est amusant en relisant le livre c’est de le comparer avec les films. Il faut reconnaitre que pour les deux premiers, directement adaptés du (premier) roman, Steven Spielberg s’en est fichtrement bien sorti car on retrouve dans les films des scènes cultes du bouquin. Pour le troisième c’est un peu moins vrai, mais ça reste très regardable (je suis bon public !). Je n’ai pas boudé mon plaisir en relisant Le Parc Jurassique, un excellent thriller de science fiction qui attire l’attention sur les dérives de la science lorsqu’elle est manipulée à des fins mercantiles par les hommes et le respect du à la nature. Au-delà du divertissement, un message à faire passer en forme de piqûre de rappel.
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  • quentinpinjon 07/02/2023
    Jurassic park est mon film préféré, je suis un gamin des année 90 et la VHS (là quoi???...) a bercés mon enfance qui comme tous les gamins était fan de dino. Et la découverte à l'âge adulte du roman qui a inspiré le film m'a mis une claque à nouveau. L'histoire s'ouvre sur de mystérieuses agressions au Costa rica accompagné de découverte de nourrisson dévoré à même leur berceau... On peut dire que ça passe moyen au ciné. Bien mieux expliquer niveau "scientifique" les personnages sont bien plus adulte et humain que dans le film et oublié le "j'ai dépensé sans compter " la fameuse citation de John hammond qui dans le livre est bien loin du grand-père gentillet du film. En-tout-cas si comme moi, vous êtes fan du film foncez, car vous allez redécouvrir une nouvelle histoire tout en restant familier à celui que vous connaissez avec une version plus poussé et bien plus mature.
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