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La Ballade de Pern - tome 6
Les Renégats de Pern
Simone Hilling (traduit par)
Date de parution : 07/08/2014
Éditeurs :
12-21
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La Ballade de Pern - tome 6

Les Renégats de Pern

Simone Hilling (traduit par)
Date de parution : 07/08/2014
Les sans-Forts, les parias de la société, errent sur le continent. Mais ils se retrouvent désarmés face au retour des Fils, ils n’ont rien pour se protéger. Thella s’est enfui afin d’échapper à un mariage forcé, elle fonde alors la bande des renégats. Leur vie ne sera que violence et espérance.
EAN : 9782823817676
Code sériel : 7052
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
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EAN : 9782823817676
Code sériel : 7052
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Gaphanie 10/04/2024
    Cette histoire est (presque !) la même que celle de la Dame aux Dragons... Enfin pas tout à fait. Si les événements et leur chronologie sont identiques, c'est le point de vue qui diffère totalement. Là, l'histoire n'est pas racontée à la troisième personne, et le focus n'est pas fait sur les dirigeants de Pern, Moretta, Capiam et les différents seigneurs. Là, l'histoire est racontée à la première personne du point de vue de Nerilka, fille du Seigneur Tolocamp, qui fait une brève - et remarquée ! - apparition dans le récit de la Dame aux dragons à deux reprises : quand elle quitte le château familial déguisée en servante, emportant avec elle pour Capiam et la population les remèdes que son père, le Seigneur Tolocamp, refuse de céder, car, selon elle, comme elle en fabriqué la plupart, elle a bien le droit de faire ce qu'elle veut de sa part ! Et puis à la fin, lors de l'éclosion, on la retrouve épouse du Seigneur Alessan sans qu'on n'ait plus d'informations sur le comment cela s'est-il passé, entiché qu'il était de la belle Moretta ! Du coup, là, c'est plus court - moins de deux cents pages, et on revit les évènements tels que Nerilka, qui n'avait pas eu le droit de venir à la fête d'Alessan, les a vécus. La quarantaine, la mort de sa mère et de ses sœurs, le retour de son père, la découverte des camps de rétention et l'arrivée de sa jeune belle-mère, en pleine quarantaine et quelques jours à peine après l'annonce du décès de sa mère. Sa décision de fuir, son voyage et son arrivée à Rualta, et, bien sûr, son mariage avec le très convoité Alessan. C'était la même histoire, et pourtant, c'était très différent, et je comprends qu'Anne McCaffrey ait voulu donner la parole à Nerilka car c'est vraiment une très belle héroïne, je trouve, loin de l'éclat des chevaliers-dragons, son dévouement et son humilité ont réellement forcé mon admiration. J'ai adoré cette histoire dans l'histoire, et ce changement de point de vue.Cette histoire est (presque !) la même que celle de la Dame aux Dragons... Enfin pas tout à fait. Si les événements et leur chronologie sont identiques, c'est le point de vue qui diffère totalement. Là, l'histoire n'est pas racontée à la troisième personne, et le focus n'est pas fait sur les dirigeants de Pern, Moretta, Capiam et les différents seigneurs. Là, l'histoire est racontée à la première personne du point de vue de Nerilka, fille du Seigneur Tolocamp, qui fait une brève - et remarquée ! - apparition dans le récit de la Dame aux dragons à deux reprises : quand elle quitte le château familial déguisée en servante, emportant avec elle pour Capiam et la population les remèdes que son père, le Seigneur Tolocamp, refuse de céder, car, selon elle, comme elle en fabriqué la plupart, elle a bien le droit de faire ce qu'elle veut de sa part ! Et puis à la fin, lors de l'éclosion, on la retrouve épouse du Seigneur Alessan sans qu'on n'ait plus d'informations sur le comment cela s'est-il passé, entiché qu'il était de la belle Moretta ! Du coup, là, c'est plus court - moins de deux cents pages, et on...
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  • Gaphanie 22/03/2024
    Ben bravo et merci Anne McCaffrey ! Ca faisait longtemps que je n'avais pas pleuré comme ça sur un roman... Enfin, pas si longtemps que ça, la dernière fois, c'était déjà à cause de vous, dans l'Aube des Dragons ! Dans la Dame aux Dragons, on arrive, je crois, près de 2500 ans après la colonisation de la Planète. On est en plein chute de Fils - il y en a encore pour 7/8 ans a priori, et les Chevaliers-dragons sont tout à fait opérationnels. La société est en place et grosso modo, ça roule. Bon, les habitants ne savent plus dire si la colonisation s'est faite en une ou deux fois (moi, je m'en rappelle, c'est une !) et ont oublié une grande partie de ce qu'ils n'ont pas l'habitude de côtoyer, dont... les maladies ! Et c'est donc en plein Passage que notre petit monde va devoir gérer une pandémie mondiale ! Ca m'a évoqué quelques souvenirs de la COVID, au passage, tiens ! Capiam, le Guérisseur, Moretta, la Dame du Weyr de Fort, et sa Reine Orlith, Leri, l'ancienne Dame du Weyr, à qui Moretta a succédé, et sa Dragonne Holth vont devoir composer avec les bonnes volontés (Alessan, K'Lon...) et les autres (Tolocamp ! Sh'gall !). Alors grosse surprise pour moi : les Dragons peuvent voyager dans le Temps ! Je me demande s'ils le feront encore dans les romans de cette série qui me restent à découvrir, mais en tous cas c'était bien trouvé... Et bien pratique ! Un épisode qui démarre dans la joie, avec les Fêtes et les courses hippiques, et qui s'achève dans les larmes et le deuil, avec de l'espoir toutefois : l'histoire se termine par l'éclosion des œufs d'Orlith, et une nouvelle génération donc, de Chevaliers dragons. Ben bravo et merci Anne McCaffrey ! Ca faisait longtemps que je n'avais pas pleuré comme ça sur un roman... Enfin, pas si longtemps que ça, la dernière fois, c'était déjà à cause de vous, dans l'Aube des Dragons ! Dans la Dame aux Dragons, on arrive, je crois, près de 2500 ans après la colonisation de la Planète. On est en plein chute de Fils - il y en a encore pour 7/8 ans a priori, et les Chevaliers-dragons sont tout à fait opérationnels. La société est en place et grosso modo, ça roule. Bon, les habitants ne savent plus dire si la colonisation s'est faite en une ou deux fois (moi, je m'en rappelle, c'est une !) et ont oublié une grande partie de ce qu'ils n'ont pas l'habitude de côtoyer, dont... les maladies ! Et c'est donc en plein Passage que notre petit monde va devoir gérer une pandémie mondiale ! Ca m'a évoqué quelques souvenirs de la COVID, au passage, tiens ! Capiam, le Guérisseur, Moretta, la Dame du Weyr de Fort, et sa Reine Orlith, Leri, l'ancienne Dame du Weyr, à qui Moretta a succédé, et sa Dragonne Holth vont devoir composer avec les bonnes volontés (Alessan,...
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  • Gaphanie 23/02/2024
    2500 ans ont passé depuis la colonisation de Pern. Bon, normalement, je n'aurais jamais du lire ce roman en deuxième, mais pour des raisons pratiques - j'ai l'intégrale en numérique et je dois lire sur ordi car ça ne passe pas sur ma liseuse ! - je suis bêtement l'ordre de mon fichier. Et ceci dit, je n'ai pas été perdue du tout, tant mieux ! 2500 ans après l'arrivée sur Pern donc. Si moi, je me souvenais très bien, pour l'avoir lu juste avant, que les premiers colons étaient arrivés avec des dauphins volontaires modifiés pour pouvoir parler - technologie qui a pu être incluse aux manipulations génétiques des lézards de feu pour créer les dragons, il se trouve que les habitants de Pern, ici, les ont totalement oubliés ! Et qu'ils vont les redécouvrir de manière fortuite, à l'occasion d'un sauvetage : Alemi et son neveu Readis sont sauvés par des "poissons-bateaux", et échangent des paroles avec eux ! Tous sont sceptiques, mais SIAAV, sorte d'intelligence artificielle et mémoire des origines, va confirmer des choses et demander à T'Lion et son dragon Gadareth de continuer à enquêter et lui faire leurs rapports, forçant un peu la main à son maître T'Gellan. Aussi bien, les dirigeants sont bien trop occupés pour prendre sérieusement en compte à sa juste valeur cette redécouverte de la gent dauphine. Ils viennent juste de parvenir à dévier l'orbite de l'Etoile rouge, espérant ainsi vivre leur dernier passage de Chutes, et se battent déjà pour l'après : Toric juge inadmissible que les Chevaliers dragons choisissent les terres en premier, et manigance un coup foireux à sa manière. Et puis va survenir une tempête, une effroyable tempête, qui va susciter une crise. et ce sera grâce à la Tillek en personne que les choses s'arrangeront chez les humains, après que Lessa et F'lar auront remis Toric en place d'une manière pacifique et admirable. J'ai adoré cette aventure, l'évolution de Readis, de T'lion, le courage qu'il leur faut pour braver l'autorité, la manière dont les humains et les dauphins font connaissance et s'apprivoisent, les histoires de cloches, et les machinations politiques. Je n'en suis qu'au début de mon exploration de Pern , mais je pressens déjà quel grand vide ça me fera quand j'aurais terminé !2500 ans ont passé depuis la colonisation de Pern. Bon, normalement, je n'aurais jamais du lire ce roman en deuxième, mais pour des raisons pratiques - j'ai l'intégrale en numérique et je dois lire sur ordi car ça ne passe pas sur ma liseuse ! - je suis bêtement l'ordre de mon fichier. Et ceci dit, je n'ai pas été perdue du tout, tant mieux ! 2500 ans après l'arrivée sur Pern donc. Si moi, je me souvenais très bien, pour l'avoir lu juste avant, que les premiers colons étaient arrivés avec des dauphins volontaires modifiés pour pouvoir parler - technologie qui a pu être incluse aux manipulations génétiques des lézards de feu pour créer les dragons, il se trouve que les habitants de Pern, ici, les ont totalement oubliés ! Et qu'ils vont les redécouvrir de manière fortuite, à l'occasion d'un sauvetage : Alemi et son neveu Readis sont sauvés par des "poissons-bateaux", et échangent des paroles avec eux ! Tous sont sceptiques, mais SIAAV, sorte d'intelligence artificielle et mémoire des origines, va confirmer des choses et demander à T'Lion et son dragon Gadareth de continuer à enquêter et lui faire leurs rapports, forçant un peu la main à son maître...
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  • FeyGirl 22/02/2024
    Ce tome 3 (dans l’ordre de publication) se déroule en parallèle, ou presque, du précédent, et nous fait découvrir une autre facette de la planète Pern. Menolly est une jeune fille de quinze ans, la cadette du Seigneur du Fort de la Mer spécialisé dans la pêche. Grâce au harpiste du Fort, elle maîtrise les arts du chant et de la musique. Or les chants sont la méthode de transmission des histoires et des leçons du passé sur Pern. Le lecteur découvre mieux le rôle des harpistes : non seulement ils chantent et jouent de la musique, mais ils sont aussi les confidents et conseillers des seigneurs, arbitres de justice et instructeurs des enfants. Ils ont un rôle de premier plan dans les communautés de Pern. Menolly, talentueuse, a réussi à créer deux chansons, ce qui est exceptionnel dans ce monde pétri de traditions. Le harpiste envoie ses compositions au Maître harpiste, pour avis, mais meurt avant d’avoir la réponse. Seulement « une » harpiste femme, ça n’existe pas. Le père de Menolly entend bien remettre sa fille dans le droit chemin, d’autant plus que les travaux manuels ne manquent pas au Fort et qu’il ne peut pas tolérer une bouche inutile. Il va la harasser de tâches — avec l’aide de la mère de Menolly — pour qu’elle oublie cette lubie et ne déshonore pas le Fort. Soudain, Menolly se blesse grièvement à la main en écaillant les poissons : elle ne pourra plus jouer de la musique, quoi qu’il arrive. Ses rêves de devenir harpiste s’envolent. La jeune fille avait découvert un nid de lézards de feu, ces petits animaux ressemblant à des dragons miniatures et quasi mystiques, car personne n’en avait vu. Elle s’enfuit un matin sur la plage pour retrouver ce nid. Ce court roman commence sur une ambiance de Cendrillon, tout en plongeant dans la vie un gros village de pêcheurs traditionnalistes. Le père de Menolly n’est pas « méchant », mais pétri de préjugés et tout entier dévoué à la survie du Fort. Peu à peu, les escapades de Menolly l’amènent sur une tout autre voie. On va croiser quelques héros des deux tomes précédents dans la seconde partie. Et des dragons, bien sûr. Une lecture plaisante, presque « jeunesse » dans la trame et les schémas, que j’ai lue avec plaisir et que j’ai finie avec le sourire aux lèvres. Ce court roman est le premier d’une trilogie (les vastes sagas ont souvent des trilogies internes), et je lirai la suite des aventures de Menolly. Ce tome 3 (dans l’ordre de publication) se déroule en parallèle, ou presque, du précédent, et nous fait découvrir une autre facette de la planète Pern. Menolly est une jeune fille de quinze ans, la cadette du Seigneur du Fort de la Mer spécialisé dans la pêche. Grâce au harpiste du Fort, elle maîtrise les arts du chant et de la musique. Or les chants sont la méthode de transmission des histoires et des leçons du passé sur Pern. Le lecteur découvre mieux le rôle des harpistes : non seulement ils chantent et jouent de la musique, mais ils sont aussi les confidents et conseillers des seigneurs, arbitres de justice et instructeurs des enfants. Ils ont un rôle de premier plan dans les communautés de Pern. Menolly, talentueuse, a réussi à créer deux chansons, ce qui est exceptionnel dans ce monde pétri de traditions. Le harpiste envoie ses compositions au Maître harpiste, pour avis, mais meurt avant d’avoir la réponse. Seulement « une » harpiste femme, ça n’existe pas. Le père de Menolly entend bien remettre sa fille dans le droit chemin, d’autant plus que les travaux manuels ne manquent pas au Fort et qu’il ne peut pas tolérer une bouche inutile. Il...
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  • MaraudeuseBook 05/02/2024
    Mon avis: J'ai entendu beaucoup de bien de cette saga, et je comprends totalement pourquoi. J'avoue que les onze tomes m'ont un peu freiner mais maintenant j'ai hâte de continuer la saga. Les personnages sont très intéressant, divers et variés. Dommage qu'on est pas de descriptions physique et dans les pensées. J'aime beaucoup de personnages, ils sont très attachant, et leurs liens me plaît beaucoup. Prenez des notes, ils sont nombreux. Leurs liens avec les Dragons est tellement beaux, j'aime beaucoup !! L'univers était un peu perturbant au début, je ne comprenais pas trop, donc j'ai relu le prologue deux fois histoire de bien comprendre. Finalement, c'est assez simples une fois dedans, tout est expliqué. C'est riche, immersif, complexe par moment et très agréable a lire. Ce n'est pas si jeunesse que ce que je pensais au premier abord. Ce roman est plutôt contemplatif mais il y'a tout de même quelques péripéties qui tiennent en haleine. La fin de l'intégral 1, est très intéressante et je suis curieuse de découvrir la suite. Je compte me faire un intégral (3 tomes) par mois, et j'ai déjà hâte. Ma note: 🌵🌵🌵🌵/5 Une excellente lecture ! Je te recommande 😘. Bonne lecture 😘
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