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La Ballade de Pern - tome 9
La Quête du Dragon
Simone Hilling (traduit par)
Date de parution : 07/08/2014
Éditeurs :
12-21
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La Ballade de Pern - tome 9

La Quête du Dragon

Simone Hilling (traduit par)
Date de parution : 07/08/2014
Les Fils mortels pleuvent sur Pern, les Chevaliers-Dragons affrontent le danger  malgré les intrigues des Seigneurs et la malveillance des Anciens. Pour relancer la guerre, il faudrait des armes nouvelles : les lézards de feu ou des larves ?  À moins que la solution ne soit d’envahir l'Étoile Rouge…
EAN : 9782823817706
Code sériel : 7072
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
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EAN : 9782823817706
Code sériel : 7072
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Gaphanie 10/04/2024
    Cette histoire est (presque !) la même que celle de la Dame aux Dragons... Enfin pas tout à fait. Si les événements et leur chronologie sont identiques, c'est le point de vue qui diffère totalement. Là, l'histoire n'est pas racontée à la troisième personne, et le focus n'est pas fait sur les dirigeants de Pern, Moretta, Capiam et les différents seigneurs. Là, l'histoire est racontée à la première personne du point de vue de Nerilka, fille du Seigneur Tolocamp, qui fait une brève - et remarquée ! - apparition dans le récit de la Dame aux dragons à deux reprises : quand elle quitte le château familial déguisée en servante, emportant avec elle pour Capiam et la population les remèdes que son père, le Seigneur Tolocamp, refuse de céder, car, selon elle, comme elle en fabriqué la plupart, elle a bien le droit de faire ce qu'elle veut de sa part ! Et puis à la fin, lors de l'éclosion, on la retrouve épouse du Seigneur Alessan sans qu'on n'ait plus d'informations sur le comment cela s'est-il passé, entiché qu'il était de la belle Moretta ! Du coup, là, c'est plus court - moins de deux cents pages, et on revit les évènements tels que Nerilka, qui n'avait pas eu le droit de venir à la fête d'Alessan, les a vécus. La quarantaine, la mort de sa mère et de ses sœurs, le retour de son père, la découverte des camps de rétention et l'arrivée de sa jeune belle-mère, en pleine quarantaine et quelques jours à peine après l'annonce du décès de sa mère. Sa décision de fuir, son voyage et son arrivée à Rualta, et, bien sûr, son mariage avec le très convoité Alessan. C'était la même histoire, et pourtant, c'était très différent, et je comprends qu'Anne McCaffrey ait voulu donner la parole à Nerilka car c'est vraiment une très belle héroïne, je trouve, loin de l'éclat des chevaliers-dragons, son dévouement et son humilité ont réellement forcé mon admiration. J'ai adoré cette histoire dans l'histoire, et ce changement de point de vue.Cette histoire est (presque !) la même que celle de la Dame aux Dragons... Enfin pas tout à fait. Si les événements et leur chronologie sont identiques, c'est le point de vue qui diffère totalement. Là, l'histoire n'est pas racontée à la troisième personne, et le focus n'est pas fait sur les dirigeants de Pern, Moretta, Capiam et les différents seigneurs. Là, l'histoire est racontée à la première personne du point de vue de Nerilka, fille du Seigneur Tolocamp, qui fait une brève - et remarquée ! - apparition dans le récit de la Dame aux dragons à deux reprises : quand elle quitte le château familial déguisée en servante, emportant avec elle pour Capiam et la population les remèdes que son père, le Seigneur Tolocamp, refuse de céder, car, selon elle, comme elle en fabriqué la plupart, elle a bien le droit de faire ce qu'elle veut de sa part ! Et puis à la fin, lors de l'éclosion, on la retrouve épouse du Seigneur Alessan sans qu'on n'ait plus d'informations sur le comment cela s'est-il passé, entiché qu'il était de la belle Moretta ! Du coup, là, c'est plus court - moins de deux cents pages, et on...
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  • Tachan 23/02/2024
    A l’image de sa couverture où le dragon prend son envol, la série également. Contenant les premiers romans écrits par l’autrice, c’est passionnant de voir comment elle a abordé pour la première fois ce riche univers pour rendre des générations accros à ses dragons génétiquement modifiés. Depuis le début, je suis l’ordre chronologique de la série et non celui de parution, ce qui m’interrogeait pas mal. Je sais maintenant comment Anne McCaffrey a bâti son récit et je suis assez scotchée, car je ne peux imaginer qu’elle se soit lancé à l’aveugle dans une telle fresque au vu de ce qu’elle présente déjà de son univers dans ces deux premiers romans : Le vol du dragon et La quête du dragon, qu’on retrouve ici en 2e et 3e position dans ce volume. De plus, sa plume est déjà bien affirmée et totalement plaisante à lire, peut-être même plus que dans plusieurs des romans de l’univers qui suivront. Chapeau madame ! J’ai ainsi adoré ma lecture de ce volume, peut-être celui qui est le plus consacré aux dragons depuis les débuts, et vu mon amour pour ceux-ci, ça ne pouvait que me plaire. Les trois romans sont en plus dans une temporalité similaire, se déroulant cette fois sur la même génération avec des personnages qu’on retrouve d’une histoire à l’autre mais avec des points de vue et des intrigues différentes, mais des intrigues fondatrices qui reprennent des éléments clés de l’univers. Top. J’ai cependant trouvé le premier roman : Le maître harpiste de Pern, paru au tournant des années 2000 un peu en-dessous. Il démarre par de superbe promesse sur la place de la musique et des légendes chantées sur cette planète, à travers l’histoire d’une famille pas comme les autres, avec un père un peu oppressant et un enfant – génie que sa mère va protéger et cacher pour le laisser exploiter son talent. J’ai adoré ces débuts, ils m’ont fait rêver et voyager, surtout que ce jeune garçon était également un des rares à être en communion avec tous les dragons. Puis, je ne sais pas, j’ai eu l’impression que l’autrice vrillait son intrigue et perdait le sens de celle-ci pour nous proposer quelque chose de bien plus classique avec une guerre des clans dragonniques vs les non maîtres-dragonniers. Ça a fait retomber le souffle. A l’inverse, connaissant l’ordre de parution du 2e roman : Le vol du dragon, j’ai été bluffée par tout ce que l’autrice y met en place en terme de mythologie. On reprend des personnages à peine dévoilé dans le roman précédent (qui en fait en est le préquel, vous suivez ?), pour découvrir toute la vie sur Pern, les relations dragons-humains, les différents clans peuplant cette planète, la place qu’ils ont ancestralement trouvée et les mystères qui entourent ces Fils sur le point de tomber à nouveau mais en dehors de la date prévu. On suit une famille en particulier, la plus remarquable, celle chez qui on a souvent trouvé les Maîtresses des Reines Dragonnes et c’est passionnant de voir les tensions et luttes de pouvoir qu’il y a. On a tout en fait ici, une mythologie complète et mystérieuse, des personnages charismatiques et des enjeux pour l’avenir. Je comprends son succès et le fait que l’autrice lui ait donné toujours plus et plus de suite. D’ailleurs, le 3e et dernier roman du volume : La quête du dragon, en est la suite directe. Elle reprend et enrichit la mythologie, le bestiaire, la foule de personnages rencontrés et les éléments de Science-fantasy de la saga. J’ai adoré chercher à faire les connexions entre ce qui se joue dans ce tome et ce que j’ai pu lire dans les romans précédents, notamment ceux plus anciens, grâce à la surprise de la fin du roman précédent qui se poursuit ici. L’autrice nous présente une utilisation des dragons passionnantes, des relations avec la planète Pern fascinantes et des liens avec les humains poignantes. C’est beau et complet à la fois. Il y a juste parfois une représentation de la femme, à la même époque où Ursula Le Guin faisait ses gammes, un peu rétrograde et maladroite, même si des tentatives de prises d’indépendance sont là. Je n’aime pas l’idée qu’on soumette autant les femmes et les dragonnes à la toute puissance masculine dans une société qui aurait tout pour être à minima matriarcale, au mieux totalement égalitaire, vu le rôle des Reines. En tout cas, la série prend un sacré virage dans sa mythologie dans ce tome qui aborde le combat contre les Fils, les voyages à dos de Dragons, le peuplement et les relations des Weyrs, ainsi que le rôle des non-guerriers. C’est fascinant à lire et scotchant à imaginer, avec des tensions narratives, de belles surprises explosives, de l’émoi et tout ce qu’il faut. Incroyable que l’autrice ait su écrire cela au début des années 70 et petite déception de voir comment cela s’est effrité ensuite, tant les romans suivants découverts dans les intégrales précédentes sont loin d’être à cette hauteur.A l’image de sa couverture où le dragon prend son envol, la série également. Contenant les premiers romans écrits par l’autrice, c’est passionnant de voir comment elle a abordé pour la première fois ce riche univers pour rendre des générations accros à ses dragons génétiquement modifiés. Depuis le début, je suis l’ordre chronologique de la série et non celui de parution, ce qui m’interrogeait pas mal. Je sais maintenant comment Anne McCaffrey a bâti son récit et je suis assez scotchée, car je ne peux imaginer qu’elle se soit lancé à l’aveugle dans une telle fresque au vu de ce qu’elle présente déjà de son univers dans ces deux premiers romans : Le vol du dragon et La quête du dragon, qu’on retrouve ici en 2e et 3e position dans ce volume. De plus, sa plume est déjà bien affirmée et totalement plaisante à lire, peut-être même plus que dans plusieurs des romans de l’univers qui suivront. Chapeau madame ! J’ai ainsi adoré ma lecture de ce volume, peut-être celui qui est le plus consacré aux dragons depuis les débuts, et vu mon amour pour ceux-ci, ça ne pouvait que me plaire. Les trois romans sont en plus dans une temporalité similaire,...
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  • FeyGirl 30/01/2024
    Ce roman est le premier écrit et publié de la célèbre saga de Science-Fantasy La Ballade de Pern. Ce genre littéraire est mon péché mignon, pourtant je n’aborde que maintenant cette série, la faute à une PAL qui déborde. Fix-up de 4 longues nouvelles, il m’a permis de découvrir cet univers et constitue une bonne entrée en matière ! Planète Pern, dans un lointain futur : colonisée des siècles ou des millénaires plus tôt, les descendants des premiers arrivants ont oublié leur origine terrienne. Ils ont fondé une société médiévale (grand classique de la Science-Fantasy), avec… des dragons. Tous les deux cents ans, un astéroïde du système planétaire pénètre dans l’atmosphère de Pern (astéroïde dénommé l’Étoile Rouge), et ses « Fils » tombent sur Pern. Ces Fils sont des organismes filaires attirés par les matières organiques, et ils brûlent tout sur leur passage. Seuls les dragons permettent de les détruire, grâce à des pierres qu’ils broient et qui crachent un gaz dévastateur contre les Fils. La société s’est construite autour des dragons et surtout autour de leurs chevaliers-dragons. Ces chevaliers dragons constituent une caste à part, en partie télépathique (du moins avec leurs dragons). Au fil des siècles leur importance s’est décrue, d’autant plus que la dernière attaque a eu lieu il y a quatre cents ans, et non deux cents ans (on comprendra pourquoi au fil de la lecture). Les Seigneurs, propriétaires de vastes domaines, en sont venus à mépriser les chevaliers et rechignent à donner les dîmes qui leur sont dues. En parallèle, les traditions permettant de lutter contre les Fils se sont perdues, les dragons ont presque disparu, ce monde est déliquescent… Jusqu’au jour où les Fils reviennent, mais Pern n’est plus prête. Ce tome retrace les prémisses de cette nouvelle attaque, qui promet de durer plusieurs années comme les précédentes. Lessa est une héritière dépossédée de son Fort et vit comme domestique, utilisant son pouvoir pour saboter celui qui a pris le domaine de sa famille. Démasquée par F’lar à la recherche de la nouvelle Dame du Weyr, destinée à devenir le binôme de la jeune reine-dragon, Lissa va peu à peu prendre ses marques tout en conservant un esprit peu soumis et rebelle aux traditions quand elles ne sont pas justifiées à ses yeux. Les quatre nouvelles présentent des étapes clefs de sa vie et de celle de son dragon-reine, ainsi que la préparation du Fort au prochain passage des Fils. C’est aussi l’occasion de pénétrer cette société médiévale, de découvrir quelques personnages secondaires parfois archétypaux mais dessinant un monde aux relations complexes, entre les seigneurs, les chevaliers-dragons, les artisans, et les différents types de dragons (qui ont une hiérarchie interne). L’auteure exploite à fond la thématique de la perte des savoirs au fil du temps, les archives incomplètes qui frustrent les personnages (ici F’lar), et elle s’offre le luxe du voyage dans le temps (rapprochant la série de la SF). Un tome pour la détente, qu’on lit avec plaisir, et qui donne envie de découvrir la suite de la saga. J’ai passé un bon moment (et le tome est relativement court, ce qui aide !), même si la narration est un peu moins maîtrisée que ce qu’on publie aujourd’hui : un peu trop rapide et explicative. Un mot sur la saga : les romans ont été réunis en intégrale (1 ebook ou 5 tomes en édition poche) sauf La Chute des Fils qu’il faut se procurer en livre d’occasion, et c’est bien dommage pour l’harmonie de la bibliothèque. Le billet de Nevertwhere donne une idée du cycle complet, et comme elle je préfère découvrir une saga dans l’ordre d’écriture (ici différent de l’ordre chronologique), pour mieux suivre le développement de l’univers tel qu’imaginé par l’auteure, l’évolution des thématiques mais aussi l’écriture qui, sans doute, va gagner en maturité au fil du temps. Ce roman est le premier écrit et publié de la célèbre saga de Science-Fantasy La Ballade de Pern. Ce genre littéraire est mon péché mignon, pourtant je n’aborde que maintenant cette série, la faute à une PAL qui déborde. Fix-up de 4 longues nouvelles, il m’a permis de découvrir cet univers et constitue une bonne entrée en matière ! Planète Pern, dans un lointain futur : colonisée des siècles ou des millénaires plus tôt, les descendants des premiers arrivants ont oublié leur origine terrienne. Ils ont fondé une société médiévale (grand classique de la Science-Fantasy), avec… des dragons. Tous les deux cents ans, un astéroïde du système planétaire pénètre dans l’atmosphère de Pern (astéroïde dénommé l’Étoile Rouge), et ses « Fils » tombent sur Pern. Ces Fils sont des organismes filaires attirés par les matières organiques, et ils brûlent tout sur leur passage. Seuls les dragons permettent de les détruire, grâce à des pierres qu’ils broient et qui crachent un gaz dévastateur contre les Fils. La société s’est construite autour des dragons et surtout autour de leurs chevaliers-dragons. Ces chevaliers dragons constituent une caste à part, en partie télépathique (du moins avec leurs dragons). Au fil des siècles leur importance s’est décrue, d’autant...
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  • LesFantasydAmanda 24/01/2024
    J'ai succombé au charme de la « vieille fantasy » avec le premier opus (dans l'ordre d'écriture) de La Ballade de Pern. Outre les dragons qui ont comblé la fan d'Eragon que je suis, j'ai apprécié vivre mille et une aventures en compagnie de héros au caractère bien trempé, dans un univers construit avec beaucoup de soin. J'ai d'ailleurs été surprise par la qualité du scénario qui réserve de nombreuses surprises !
  • Kyokoandbooks 22/11/2023
    Deuxième tome de la duologie concernant l'Epidémie, l'Histoire de Nerilka est un roman particulier, qui détone un peu au sein de la Ballade de Pern. Car pour la première fois, nous avons un narrateur interne; c'est Nerilka qui écrit son histoire, à la première personne. Nous la découvrons jeune fille, aux premières heures de l'Epidémie, honteuse de sa superficialité affichée dans les moments qui ont précédé l'explosion de la maladie. Par ses mots, nous revivons les événements de La dame aux dragons, avec un autre éclairage. Je ne sais pas si c'est dû à cette narration à la première personne, ou juste au personnage, mais je dois dire que je me suis bien plus attachée à Nerilka qu'à Moreta dans le tome précédent. Les deux personnages sont tout autant admirables dans leurs réactions face au malheur qui frappe leurs concitoyens, mais sur un plan personnel, le caractère et les actions de Nerilka m'ont bien plus touchée. Son évolution, ses décisions et ses réactions, en font un personnage très attachant. Le roman est très court, à peine la moitié du précédent, et le style plus simple que dans d'autres tomes; je l'ai lu très vite. J'ai beaucoup apprécié qu'il éclaire un point qui m'avait manqué dans le tome précédent, à savoir la réaction d'Alessan aux événements survenus avant l'éclosion des oeufs (pour ne spoiler personne....) Ce passage m'avait déjà énormément touché dans le tome précédent et ici à nouveau, j'ai été très émue; mais quelque part, j'aurais aimé avoir cet éclairage à ce moment là de la Dame aux dragons. Je vais à présent faire une petite pause dans la série, histoire de ne pas reproduire l'erreur faite à la fin des Origines, d'enchainer trop de tomes, et dont je regrette qu'elle m'ait fait passer à côté du début de La dame aux dragons. Deuxième tome de la duologie concernant l'Epidémie, l'Histoire de Nerilka est un roman particulier, qui détone un peu au sein de la Ballade de Pern. Car pour la première fois, nous avons un narrateur interne; c'est Nerilka qui écrit son histoire, à la première personne. Nous la découvrons jeune fille, aux premières heures de l'Epidémie, honteuse de sa superficialité affichée dans les moments qui ont précédé l'explosion de la maladie. Par ses mots, nous revivons les événements de La dame aux dragons, avec un autre éclairage. Je ne sais pas si c'est dû à cette narration à la première personne, ou juste au personnage, mais je dois dire que je me suis bien plus attachée à Nerilka qu'à Moreta dans le tome précédent. Les deux personnages sont tout autant admirables dans leurs réactions face au malheur qui frappe leurs concitoyens, mais sur un plan personnel, le caractère et les actions de Nerilka m'ont bien plus touchée. Son évolution, ses décisions et ses réactions, en font un personnage très attachant. Le roman est très court, à peine la moitié du précédent, et le style plus simple que dans d'autres tomes; je l'ai lu très vite. J'ai beaucoup apprécié qu'il éclaire un point qui m'avait...
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