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La Bienfaitrice
Marguerite de Vaudreuil (traduit par), Géraldine Barbe (traduit par), Isabelle Vieville Degeorges (préface de)
Date de parution : 01/06/2013
Éditeurs :
Archipoche

La Bienfaitrice

Marguerite de Vaudreuil (traduit par), Géraldine Barbe (traduit par), Isabelle Vieville Degeorges (préface de)
Date de parution : 01/06/2013
Anna Estcourt, vingt-cinq ans, emménage dans une petite propriété du Nord de l'Allemagne dont elle hérite à la mort de son oncle. Jolie, intelligente mais sans fortune, elle a grandi... Anna Estcourt, vingt-cinq ans, emménage dans une petite propriété du Nord de l'Allemagne dont elle hérite à la mort de son oncle. Jolie, intelligente mais sans fortune, elle a grandi jusque-là avec son frère, sous la coupe de la femme de celui-ci, Susie.Désormais en possession d'un revenu confortable, elle contrevient... Anna Estcourt, vingt-cinq ans, emménage dans une petite propriété du Nord de l'Allemagne dont elle hérite à la mort de son oncle. Jolie, intelligente mais sans fortune, elle a grandi jusque-là avec son frère, sous la coupe de la femme de celui-ci, Susie.Désormais en possession d'un revenu confortable, elle contrevient aux convenances de l'époque en ne se mariant pas, afin de conserver son indépendance. Mieux, elle propose généreusement un toit aux dames en détresse de sa nouvelle contrée, afin que celles-ci puissent faire de même - altruisme dont elle ne tardera pas à peser les inconvénients...D'autant qu'Axel Lohm, un gentleman de la région que son oncle espérait lui voir épouser, est tombé amoureux d'elle. Il va tenter de la faire changer d'avis...
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EAN : 9782352874645
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 324
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782352874645
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 324
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Encompagniedesmots 12/12/2023
    Au début du XXe siècle, Anna Escourt, orpheline de 25 ans, vit à Londres avec son frère et sa belle-mère tyrannique qui ne cesse de lui rappeler qu’elle lui est redevable et de la traîner de bals en soirées pour la marier à un bon parti. Anna préférerait de loin gagner son indépendance en balayant les rues. À la suite du décès de son oncle, Anna hérite d’un grand domaine en Allemagne, dont les revenus lui permettent de vivre à sa guise, en restant célibataire, et d’accomplir son rêve : offrir un toit aux femmes seules et sans ressources. Cette héroïne résolument moderne, rejetant tout sentiment amoureux, agit selon ses propres convictions, quand bien même celles-ci feraient fi des convenances et des critiques. Néanmoins, en dépit de sa force de caractère, Anna fait preuve d’une grande naïveté quant à son projet philanthropique et à ses protégées qu’elles considèrent comme ses « sœurs » (car elle voit en elles la détresse à laquelle son héritage lui a permis d’échapper). Mais au fil du temps, les mensonges et l’hypocrisie de ces dernières lui ouvriront les yeux et lui feront reconsidérer sa vision du bonheur. Elizabeth von Arnim nous offre une belle galerie de personnages secondaires. Parmi mes préférés, Letty, la jeune nièce d’Anna, qui raffole des souvenirs romantiques que lui conte sa gouvernante, et accumule les maladresses malgré ses louables intentions, ainsi qu’Axel von Lohn, un voisin qui tente de protéger Anna des ruses de son régisseur et de ses résidentes. Cette fable gorgée d’humour et d’ironie, savoureusement écrit par Elizabeth von Arnim, dénonce la condition des femmes considérées comme des êtres inférieurs, destinés à vivre sous la coupe d’un mari, et met également en avant le choc des cultures entre ces deux pays aux coutumes extrêmement dissemblables mais tout aussi étriquées et emprisonnantes. Au début du XXe siècle, Anna Escourt, orpheline de 25 ans, vit à Londres avec son frère et sa belle-mère tyrannique qui ne cesse de lui rappeler qu’elle lui est redevable et de la traîner de bals en soirées pour la marier à un bon parti. Anna préférerait de loin gagner son indépendance en balayant les rues. À la suite du décès de son oncle, Anna hérite d’un grand domaine en Allemagne, dont les revenus lui permettent de vivre à sa guise, en restant célibataire, et d’accomplir son rêve : offrir un toit aux femmes seules et sans ressources. Cette héroïne résolument moderne, rejetant tout sentiment amoureux, agit selon ses propres convictions, quand bien même celles-ci feraient fi des convenances et des critiques. Néanmoins, en dépit de sa force de caractère, Anna fait preuve d’une grande naïveté quant à son projet philanthropique et à ses protégées qu’elles considèrent comme ses « sœurs » (car elle voit en elles la détresse à laquelle son héritage lui a permis d’échapper). Mais au fil du temps, les mensonges et l’hypocrisie de ces dernières lui ouvriront les yeux et lui feront reconsidérer sa vision du bonheur. Elizabeth von Arnim nous offre une belle galerie de personnages secondaires....
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  • misslizzie 01/05/2022
    La Bienfaitrice raconte l'histoire d'une jeune fille anglaise du début du 20eme siècle. Celle-ci vit avec sons frère et sa belle-soeur depuis des années. En effet, elle refuse de se marier! Cette idée (loin de plaire à tout le monde) est vue auprès de son entourage comme une hérésie et sa belle-soeur devient oppressante dans son idée de marier Miss Anna Escourt. La visite de son oncle vivant en Allemagne va tout changer. Celui-ci respecte vraiment sa nièce et à sa mort décide de lui léguer son manoir en Allemagne. Celle-ci après réflexions part vivre là bas malgré le fait qu'elle n'a jamais visité ce pays. Changement de décor, de moeurs, de coutumes... L' auteure nous fait sourire dans les descriptifs des personnages si différent de ceux de l' Angletterre. Miss Escourt se retrouve à être scrutée, jugée... Elle a un rêve en plus de ne jamais se marier, celui d'ouvrir une maison pour femme démunie. Elizabeth Von Arnim nous montre sans fioritures ce qu'était de vivre femme à cette époque qui n'est pas si lointaine (deuxième ou troisième génération en fonction de l'âge du lecteur) On découvre là ses difficultés à la mise en place de ce projet, ses doutes, ses réflexions, ses déconvenues, mais aussi son courage pour réussir ce qu'elle entreprend. J'ai vraiment apprécié ce personnage précurseur de son époque, l'écriture de l'auteure qui cible de belle vérité. Les descriptifs du bonheur simple (paysage, amitié...). Les défauts de caractère du personnage principale la rende touchante et criante de vérité.La Bienfaitrice raconte l'histoire d'une jeune fille anglaise du début du 20eme siècle. Celle-ci vit avec sons frère et sa belle-soeur depuis des années. En effet, elle refuse de se marier! Cette idée (loin de plaire à tout le monde) est vue auprès de son entourage comme une hérésie et sa belle-soeur devient oppressante dans son idée de marier Miss Anna Escourt. La visite de son oncle vivant en Allemagne va tout changer. Celui-ci respecte vraiment sa nièce et à sa mort décide de lui léguer son manoir en Allemagne. Celle-ci après réflexions part vivre là bas malgré le fait qu'elle n'a jamais visité ce pays. Changement de décor, de moeurs, de coutumes... L' auteure nous fait sourire dans les descriptifs des personnages si différent de ceux de l' Angletterre. Miss Escourt se retrouve à être scrutée, jugée... Elle a un rêve en plus de ne jamais se marier, celui d'ouvrir une maison pour femme démunie. Elizabeth Von Arnim nous montre sans fioritures ce qu'était de vivre femme à cette époque qui n'est pas si lointaine (deuxième ou troisième génération en fonction de l'âge du lecteur) On découvre là ses difficultés à la mise en place de ce projet, ses doutes, ses réflexions, ses déconvenues,...
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  • lacerisaie 02/04/2022
    Elizabeth Von Arnim excelle dans l'art du portrait. Les personnages qu'elle met en scène dans "la bienfaitrice" reflètent bien la diversité des caractères et des ambitions humaines. Peu sont attachants, femmes et hommes campés avec précision rivalisent d'hypocrisie, d'orgueil, de mesquinerie, d'égoïsme. La liste pourrait être encore plus longue. Ils mettent toutefois en valeur Anna l'héroïne. Jeune femme de 25 ans, elle vit chez son frère et n'est pas très heureuse. Jolie, intelligence et pleine de bonté elle rêve d'indépendance et n'a aucune envie de se marier comme le voudrait sa belle soeur Suzy. Le destin la comble lorsque son oncle lui lègue une maison en pleine nature au nord de l'Allemagne qui lui assurera une belle rente. Un peu naïve Anna part sur place et décide de créer un lieu d'accueil, un refuge pour quelques femmes de bonnes familles désargentées. Malgré sa bonté et sa force de caractère l'aventure est difficile et douloureuse. Elle trouve réconfort dans une nature paisible et sauvage dont les descriptions enchantent le récit, et dans l'amitié d'un homme. S'assumer, prendre les décisions, tout gérer rien n'est simple mais Anna se bat et ne baisse pas les bras. Elizabeth Von Arnim nous conte ce parcours du combattant avec humour et ironie. Son regard sur le genre humain n'est pas tendre. Ce texte paru en1901est d'une très grande modernité et son attachante héroïne est précurseure des femmes d'aujourd'hui dans leur autonomie et leur liberté d'action et de pensée. "avril enchanté"reste toutefois mon coup de coeur de cette auteure.Elizabeth Von Arnim excelle dans l'art du portrait. Les personnages qu'elle met en scène dans "la bienfaitrice" reflètent bien la diversité des caractères et des ambitions humaines. Peu sont attachants, femmes et hommes campés avec précision rivalisent d'hypocrisie, d'orgueil, de mesquinerie, d'égoïsme. La liste pourrait être encore plus longue. Ils mettent toutefois en valeur Anna l'héroïne. Jeune femme de 25 ans, elle vit chez son frère et n'est pas très heureuse. Jolie, intelligence et pleine de bonté elle rêve d'indépendance et n'a aucune envie de se marier comme le voudrait sa belle soeur Suzy. Le destin la comble lorsque son oncle lui lègue une maison en pleine nature au nord de l'Allemagne qui lui assurera une belle rente. Un peu naïve Anna part sur place et décide de créer un lieu d'accueil, un refuge pour quelques femmes de bonnes familles désargentées. Malgré sa bonté et sa force de caractère l'aventure est difficile et douloureuse. Elle trouve réconfort dans une nature paisible et sauvage dont les descriptions enchantent le récit, et dans l'amitié d'un homme. S'assumer, prendre les décisions, tout gérer rien n'est simple mais Anna se bat et ne baisse pas les bras. Elizabeth Von Arnim nous conte ce parcours du...
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  • Gwen21 03/02/2022
    Miss Anna Estcourt est une jeune anglaise qui vit en parente pauvre chez son frère et sa riche belle-sœur. Elle a déjà vingt-cinq ans et un chagrin d'amour sur le cœur. Elle sent de plus qu'elle ne renoncera pas à son indépendance pour la domination d'un mari et elle ne croit plus vraiment en l'amour, chat échaudé craint l'eau froide. C'est pourquoi, alors que son destin prend un virage à 180° quand son oncle allemand meurt en lui léguant une confortable rente et un domaine, décide-t-elle de quitter l'Angleterre pour s'installer sur le continent, malgré son allemand balbutiant. Elle découvre une autre culture, d'autres us, d'autres traditions et elle a une brusque révélation : il lui faut redonner tout son éclat au manoir qui est désormais sien pour y accueillir une douzaine de "dames de bonne famille ayant été éprouvées par la vie et n'ayant pas de foyer". Commence alors une aventure avant-gardiste qui est loin de faire l'unanimité dans son entourage. Régisseur, pasteur, domestiques, femme de charges, gentlemen-farmers du voisinage, et... les pensionnaires elles-mêmes ! Je ne connaissais pas l'œuvre d'Elizabeth von Arnim mais elle piquait ma curiosité depuis un moment, au même titre que toutes les femmes de lettres du XIXème siècle. La plume est belle, conforme à l'académisme de l'époque. La structure du roman n'est pas sans rappeler les sœurs Brontë ou encore Thomas Hardy. Mais, surtout, ce qui est remarquable avec "La bienfaitrice" publié en 1901 en feuilleton, c'est la modernité du sujet. A cette époque - pas si lointaine -, une jeune femme de vingt-cinq ans sans fortune et qui n'est pas mariée est pour ainsi dire mise au banc de la société mondaine, et catégorisée parmi les vieilles filles. Or, l'auteure se propose de faire d'Anna une figure indépendante, qui agit avec décision et autonomie, recherchant la compagnie des femmes, non celle des hommes. Certes, pas dans un but charnel mais pour secourir celles qu'elle nomme ses "sœurs" car elle voit en elles la détresse à laquelle elle a échappé en héritant ; en les sauvant, c'est elle-même qu'elle sauve par procuration. De même, bien qu'elle soit dotée de beaucoup de dons dont la beauté, Anna Estcourt n'est pas une âme romantique qui s'amourache du premier venu. Par bien des aspects, elle m'a rappelée Bathsheba Everdene, l'inoubliable héroïne de "Loin de la foule déchaînée". J'ai vraiment aimé cette héroïne. L'idée de créer une communauté laïque offrant refuge et asile à la façon phalanstère avec l'espoir de construire un cadre de vie harmonieux témoigne à mon sens d'une évolution des mentalités en cette Belle-Epoque charnière pour la condition des femmes. Alors, même si Elizabeth von Arnim n'était pas une suffragette, j'ai apprécié cet angle narratif, d'autant plus que le roman a été écrit alors que son mari et elle venaient de s'établir en Poméranie - où se déroule "La bienfaitrice" - au domaine familial. J'ai goûté cette note d'inspiration autobiographique dans le contexte. Challenge PLUMES FEMININES 2022 Challenge MULTI-DEFIS 2022 Challenge COEUR d'ARTICHAUT 2022 Challenge SOLIDAIRE 2022 Challenge XIXème siècle 2022 Challenge XXème siècle 2022Miss Anna Estcourt est une jeune anglaise qui vit en parente pauvre chez son frère et sa riche belle-sœur. Elle a déjà vingt-cinq ans et un chagrin d'amour sur le cœur. Elle sent de plus qu'elle ne renoncera pas à son indépendance pour la domination d'un mari et elle ne croit plus vraiment en l'amour, chat échaudé craint l'eau froide. C'est pourquoi, alors que son destin prend un virage à 180° quand son oncle allemand meurt en lui léguant une confortable rente et un domaine, décide-t-elle de quitter l'Angleterre pour s'installer sur le continent, malgré son allemand balbutiant. Elle découvre une autre culture, d'autres us, d'autres traditions et elle a une brusque révélation : il lui faut redonner tout son éclat au manoir qui est désormais sien pour y accueillir une douzaine de "dames de bonne famille ayant été éprouvées par la vie et n'ayant pas de foyer". Commence alors une aventure avant-gardiste qui est loin de faire l'unanimité dans son entourage. Régisseur, pasteur, domestiques, femme de charges, gentlemen-farmers du voisinage, et... les pensionnaires elles-mêmes ! Je ne connaissais pas l'œuvre d'Elizabeth von Arnim mais elle piquait ma curiosité depuis un moment, au même titre que toutes les femmes de lettres du...
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  • Darjeelingdo 18/01/2022
    Anna, jeune anglaise de 25 ans, a jusqu'ici vécu dans le foyer de son frère sous la coupe de sa belle soeur qui veut à tout prix la marier (et s'en débarrasser !) . Et voilà qu'elle hérite miraculeusement d'un vieil oncle : un grand domaine en Allemagne, entre mer Baltique et forêt de pins , qui lui rapporte suffisamment pour la rendre indépendante. Débordant d'enthousiasme et de bonheur, elle projette de partager cette bonne fortune avec une douzaine de femmes de bonne famille mais désargentées en leur offrant un asile et un avenir heureux. D'une plume légère et pleine d'humour, Elizabeth von Arnim dresse toute une galerie de portraits très vivants et très caustiques . Anglais ou Allemands, hommes ou femmes, tout le monde y passe : le frère absent, l'obséquieux et odieux intendant, le pasteur pontifiant, le jeune vicaire ridiculement romantique ou le fils de bonne famille désargenté coureur de dot, voilà pour l'essentiel de la gent masculine ! Tous ces messieurs considérant bien sûr la femme comme inférieure , un être faible , « née pour aider et pour servir » , un « matériau brut inutilisable tant que la main d'un homme ne l'a pas façonné ». Mais l'auteure n'épargne pas les femmes non plus : de l'insupportable belle-soeur anglaise, riche mais vulgaire, aux allemandes hypocrites, jalouses et méchantes , le tableau n'est pas reluisant et seules quelques unes trouvent grâce à nos yeux, à commencer par Anna bien sûr ! Quand on lit la biographie d' Elisabeth von Arnim, on comprend qu'elle s'est un peu inspirée de sa propre vie ( les différences de mentalités entre Anglais et Allemands par ex) , qu'elle a dû souffrir d'être une femme « moderne » et indépendante à une époque où c'était plutôt mal vu (fin XIX e) et que le personnage d'Anna lui ressemble par certains côtés . Une riche galerie de portraits, une défense et illustration de la condition féminine , auxquelles il faut ajouter de beaux paysages et une nature sublimée : une lecture très plaisante et une belle découverte. Anna, jeune anglaise de 25 ans, a jusqu'ici vécu dans le foyer de son frère sous la coupe de sa belle soeur qui veut à tout prix la marier (et s'en débarrasser !) . Et voilà qu'elle hérite miraculeusement d'un vieil oncle : un grand domaine en Allemagne, entre mer Baltique et forêt de pins , qui lui rapporte suffisamment pour la rendre indépendante. Débordant d'enthousiasme et de bonheur, elle projette de partager cette bonne fortune avec une douzaine de femmes de bonne famille mais désargentées en leur offrant un asile et un avenir heureux. D'une plume légère et pleine d'humour, Elizabeth von Arnim dresse toute une galerie de portraits très vivants et très caustiques . Anglais ou Allemands, hommes ou femmes, tout le monde y passe : le frère absent, l'obséquieux et odieux intendant, le pasteur pontifiant, le jeune vicaire ridiculement romantique ou le fils de bonne famille désargenté coureur de dot, voilà pour l'essentiel de la gent masculine ! Tous ces messieurs considérant bien sûr la femme comme inférieure , un être faible , « née pour aider et pour servir » , un « matériau brut inutilisable tant que la main d'un homme ne l'a pas façonné ». Mais l'auteure n'épargne pas...
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