Lisez! icon: Search engine
La Colère de Maigret
Maigret
Date de parution : 22/11/2012
Éditeurs :
Omnibus

La Colère de Maigret

Maigret

Date de parution : 22/11/2012
Un avocat véreux 
Antonio Farano, gérant du « Paris-Strip », révèle à Maigret la disparition de son beau-frère, Emile Boulay, patron de plusieurs cabarets à Montmartre. Peu après, celui-ci est retrouvé, étranglé, près... Antonio Farano, gérant du « Paris-Strip », révèle à Maigret la disparition de son beau-frère, Emile Boulay, patron de plusieurs cabarets à Montmartre. Peu après, celui-ci est retrouvé, étranglé, près du Père-Lachaise. L'autopsie établira que la mort remonte à deux jours au moins.

Adapté pour la télévision japonaise en 1978, sous...
Antonio Farano, gérant du « Paris-Strip », révèle à Maigret la disparition de son beau-frère, Emile Boulay, patron de plusieurs cabarets à Montmartre. Peu après, celui-ci est retrouvé, étranglé, près du Père-Lachaise. L'autopsie établira que la mort remonte à deux jours au moins.

Adapté pour la télévision japonaise en 1978, sous le titre Keishi to korosareta yōgisha, dans une réalisation de Onoda Yoshiki, avec Kinya Aikawa (Commissaire Maigret) et pour la télévision française en 1983, par Alain Levent, avec Jean Richard (Commissaire Maigret), Jean Negroni (Emile Boulay), Annick Tanguy (Mme Maigret).

Retrouvez Simenon au Livre de Poche :
https://www.livredepoche.com/auteur/georges-simenon 
et dans les anthologies publiées chez Omnibus, une collection des Presses de la Cité
https://georges-simenon.lisez.com/ 
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782258096745
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258096745
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • caryatide 08/07/2023
    Emile Boulay, un petit bonhomme insignifiant....Après avoir travaillé sur les paquebots de la Compagnie Générale Transatlantique, il a acheté un cabaret, puis deux, puis trois, puis...Des endroits bien tenus, comptes en ordre, impôts régulièrement payés....Le milieu, par mépris, le surnomme l"épicier"...Si on ajoute qu'il aime sa femme et ne bouscule pas ses employées féminines... Alors pourquoi a-t-il disparu en faisant, comme chaque nuit, sa tournée entre ses cabarets ? Pourquoi le retrouve-t-on mort, étranglé, deux jours après dans une rue de Paris ? Maigret ne comprend pas, ses adjoints non plus. Dans le milieu on n'étrangle pas ! On ne garde pas non plus un cadavre chez soi pendant deux jours. On utilise une arme à feu et on laisse le corps sur le trottoir, là où il est tombé ! Maigret enquête, interroge sa famille, ses employés, se met dans ses pas pour aller, comme il le faisait le soir, d'un endroit à un autre pour vérifier qu'on ne manquait de rien, que les numéros se succédaient sans problème...Pourquoi Boulay s'est-t-il arrêté sur son trajet habituel ? Qui lui en voulait assez pour le tuer ? Quand Maigret le comprend il est pris d'une immense colère ! Il était bien loin d'imaginer ce qu'il allait trouver ! Encore une promenade dans Montmartre...Ce que j'aime bien avec Simenon c'est qu'il ne nous étouffe pas avec des descriptions. Un ou deux détails, on imagine le personnage, la rue....On peut terminer un livre et ignorer la couleur des yeux de l'assassin, de la victime, mais on a vécu avec eux pendant plus de deux cents pages et on a l'impression qu'on sait tout d'eux... Emile Boulay, un petit bonhomme insignifiant....Après avoir travaillé sur les paquebots de la Compagnie Générale Transatlantique, il a acheté un cabaret, puis deux, puis trois, puis...Des endroits bien tenus, comptes en ordre, impôts régulièrement payés....Le milieu, par mépris, le surnomme l"épicier"...Si on ajoute qu'il aime sa femme et ne bouscule pas ses employées féminines... Alors pourquoi a-t-il disparu en faisant, comme chaque nuit, sa tournée entre ses cabarets ? Pourquoi le retrouve-t-on mort, étranglé, deux jours après dans une rue de Paris ? Maigret ne comprend pas, ses adjoints non plus. Dans le milieu on n'étrangle pas ! On ne garde pas non plus un cadavre chez soi pendant deux jours. On utilise une arme à feu et on laisse le corps sur le trottoir, là où il est tombé ! Maigret enquête, interroge sa famille, ses employés, se met dans ses pas pour aller, comme il le faisait le soir, d'un endroit à un autre pour vérifier qu'on ne manquait de rien, que les numéros se succédaient sans problème...Pourquoi Boulay s'est-t-il arrêté sur son trajet habituel ? Qui lui en voulait assez pour le tuer ? Quand Maigret le comprend il est pris d'une immense colère ! Il était bien loin d'imaginer ce...
    Lire la suite
    En lire moins
  • GentlemanW 05/11/2022
    Bon, non plutôt un très bon Maigret, tout en psychologie, avec un commissaire impliqué dans son enquête, furetant dans le 9e arrondissement de Paris, dans les coins et recoins de ces rues sombres. Certes j'ai habité ce quartier, aimé ses boutiques, ses rues marchandes le jours, plus sombres de commerces de chair le soir et de boîtes de strip-tease aussi. Et là Maigret chasse, fouine, ressent les possibilités d'un meurtre sans lien avec le milieu, juste une simple histoire glauque.
  • adtraviata 05/05/2022
    Je n’ai pas l’impression que ce soit le Maigret le plus palpitant mais je m’en suis contentée. Le patron de quatre cabarets de Montmartre a été assassiné : Emile Boulay a été retrouvé étranglé, déposé sur le trottoir devant une de ses boîtes de nuit. L’autopsie révélera qu’il a été tué quelques jours avant. C’était un homme sans histoire, un mari et un père de famille tranquille, un patron correct, aux habitudes précises, qui menait ses affaires avec bon sens. Maigret passe du temps à reconstituer l’emploi du temps de la victime le jour de sa mort et s’intéresse à sa famille, à ses proches, à ses collaborateurs, à son avocat… Rien de suspect, sauf un retrait à la banque d’une somme assez importante et des coups de téléphone sans succès. La mort de Boulay a-t-elle quelque chose à voir avec l’exécution d’un racketteur quelques semaines auparavant ? Maigret va résoudre l’enquête à force de tâtonnements, en épluchant d’anciennes affaires, en grommelant des bouts de phrases presque incantatoires qui aideront son cerveau à faire toute la lumière sur l’affaire. C’est la découverte du coupable qui déclenchera cette colère du titre. On retrouve donc ici le fonctionnement classique du commissaire Maigret, de ses enquêtes avec les inspecteurs de son équipe, Lucas, Torrence et Lapointe, ses habitudes bien ancrées de déguster une bière bien fraîche ou un petit blanc dans une brasserie du quartier, de passer le week-end à pêcher en banlieue sous le regard de madame Maigret. Ici, on peut s’étonner du comportement du commissaire face au coupable à la toute fin de l’enquête : sans rien vouloir dévoiler, c’est comme si le divisionnaire décidait déjà de la manière dont justice doit (ou non) se faire. Il a vraiment beaucoup de pouvoir, ce commissaire…Je n’ai pas l’impression que ce soit le Maigret le plus palpitant mais je m’en suis contentée. Le patron de quatre cabarets de Montmartre a été assassiné : Emile Boulay a été retrouvé étranglé, déposé sur le trottoir devant une de ses boîtes de nuit. L’autopsie révélera qu’il a été tué quelques jours avant. C’était un homme sans histoire, un mari et un père de famille tranquille, un patron correct, aux habitudes précises, qui menait ses affaires avec bon sens. Maigret passe du temps à reconstituer l’emploi du temps de la victime le jour de sa mort et s’intéresse à sa famille, à ses proches, à ses collaborateurs, à son avocat… Rien de suspect, sauf un retrait à la banque d’une somme assez importante et des coups de téléphone sans succès. La mort de Boulay a-t-elle quelque chose à voir avec l’exécution d’un racketteur quelques semaines auparavant ? Maigret va résoudre l’enquête à force de tâtonnements, en épluchant d’anciennes affaires, en grommelant des bouts de phrases presque incantatoires qui aideront son cerveau à faire toute la lumière sur l’affaire. C’est la découverte du coupable qui déclenchera cette colère du titre. On retrouve donc ici le fonctionnement classique du commissaire Maigret, de ses...
    Lire la suite
    En lire moins
  • t78books 21/01/2021
    1e lecture me concernant d’un roman de Simenon. Ce livre était sympa mais pas transcendant. Une bonne lecture sur une enquête policière. Ce n’est pas un coup de cœur mais un roman qui permet de se relaxer en vacances. Je suis ravie d'avoir découvert une lecture faisant parti des auteurs classiques de la littérature française.
  • blandine5674 17/04/2020
    Une belle échappée dans l’univers de Maigret. Un patron de cabarets de Montmartre est déposé dans une ruelle trois jours après avoir été étranglé. Notre Maigret commence par éliminer les évidences. Ce n’est pas la manière de tuer du milieu. Et cet avocat, qui l’intrigue ? Un avocat ne peut tuer son client. Bon pour s’évader.
Newsletter de Georges Simenon
Abonnez-vous à la newsletter mensuelle !