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La Croisière Charnwood
Date de parution : 08/11/2018
Éditeurs :
Sonatine

La Croisière Charnwood

Date de parution : 08/11/2018
Partez en croisière avec le maître du polar anglais.
1931 : Guy et Max, deux vétérans de la Première Guerre mondiale, quittent New York à bord du transatlantique Empress of Britain. Dans les luxueuses cabines de première classe, ils font... 1931 : Guy et Max, deux vétérans de la Première Guerre mondiale, quittent New York à bord du transatlantique Empress of Britain. Dans les luxueuses cabines de première classe, ils font la connaissance de la très anglaise Miss Charnwood, et de sa nièce, Diana. Celle-ci est non seulement ravissante, mais également... 1931 : Guy et Max, deux vétérans de la Première Guerre mondiale, quittent New York à bord du transatlantique Empress of Britain. Dans les luxueuses cabines de première classe, ils font la connaissance de la très anglaise Miss Charnwood, et de sa nièce, Diana. Celle-ci est non seulement ravissante, mais également l’unique héritière du richissime financier international Fabian Charnwood. Les deux hommes entreprennent de la séduire afin de mettre la main sur une partie de sa fortune. Alors que leur opération semble sur le point de réussir, un meurtre vient soudain mettre un terme à tous leurs espoirs et les plonger dans une spirale infernale.
 
Robert Goddard nous offre, une fois encore, un roman captivant où histoire et mélodrame se conjuguent à merveille au fil d’une intrigue passionnante. De Londres à Venise, cette incursion dans le monde de la haute finance de l’entre-deux-guerres, et son implication dans les affaires de l’époque, est un véritable voyage en première classe pour les amateurs de polars anglais.
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EAN : 9782355846878
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782355846878
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ils en parlent

" Goddard déroule son intrigue comme un prestidigitateur. "
The Guardian
" Une intrigue à l'ancienne totalement délicieuse, pleine de complots et de trahisons, de pistes et de cul-de-sacs, de révélations et de retournements de situation."
The Independant

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Salix_alba 16/10/2023
    Sur le fond de la crise de 1929 – la grande dépression –, « Robert Goddard », avec sa quête inextinguible pour relater les faits historiques, nous entraîne dans cette sombre période, avec une chasse d’un complot international. Mêlés à cette machination, les principaux personnages seront ballottés dans les tourments de la vie conflictuelle et financière : Diana Charnwood une belle et riche héritière de l’immense empire financier de son père, ainsi que deux charmants escrocs : Guy Horton et Max Wingate, deux hommes amis de longues dates, dont la seule préoccupation consiste à la conquête de la richesse plutôt que celle de la beauté. 1931, nos deux amis quittent précipitamment les U.S.A. à bord d’un paquebot l’Empress of Britain, et tombent sous le charme de mademoiselle Charnwood ; dont Wingate va devenir le chevalier servant, se trouvant ainsi bien content d’obtenir – grâce à son entregent – la fortune de sa cible. Mais tel est pris qui croyait prendre ; et c’est lui qui tombe dans les rets de cette divine créature ; dont le destin choisi une autre route que celle prévue ; en effet, le meurtre d’un personnage important sera le révélateur de la face cachée, de magnats et autres richissimes financiers de cette époque et surtout entraînera une situation cauchemardesque et dangereuse pour nos protagonistes. De tout temps, et surtout dans un paysage de crise mondiale, la strate des capitalistes, n’obère pas la voracité du besoin impérieux de s’enrichir quelque qu’en soit le prix. Que représente la vie humaine, si ce n’est un outil de production, et effectivement, un complot de portée internationale, doté d’une politique de déstabilisation de l’économie pendant la Grande Guerre représente l’objectif d’une mystérieuse organisation ; dans lequel nos personnages vont naviguer, avec de multiples rebondissements, de pièges et surtout baigner dans le lac de l’incertitude de leur choix et de la certitude de la dangerosité de leur avenir. Certes, la guerre depuis toujours, se targue de générer des milliardaires mais surtout des veuves. Bref une meute d’imbéciles cupides obnubilés de s’enrichir. Un roman doté d’un profond travail de recherche – proche de la vérité ? –, et d’une énigme qui requière une attention soutenue pour ne pas se perdre dans les arcanes historiques. Seul l’épilogue conventionnel me laisse un goût d’incomplétude. Sur le fond de la crise de 1929 – la grande dépression –, « Robert Goddard », avec sa quête inextinguible pour relater les faits historiques, nous entraîne dans cette sombre période, avec une chasse d’un complot international. Mêlés à cette machination, les principaux personnages seront ballottés dans les tourments de la vie conflictuelle et financière : Diana Charnwood une belle et riche héritière de l’immense empire financier de son père, ainsi que deux charmants escrocs : Guy Horton et Max Wingate, deux hommes amis de longues dates, dont la seule préoccupation consiste à la conquête de la richesse plutôt que celle de la beauté. 1931, nos deux amis quittent précipitamment les U.S.A. à bord d’un paquebot l’Empress of Britain, et tombent sous le charme de mademoiselle Charnwood ; dont Wingate va devenir le chevalier servant, se trouvant ainsi bien content d’obtenir – grâce à son entregent – la fortune de sa cible. Mais tel est pris qui croyait prendre ; et c’est lui qui tombe dans les rets de cette divine créature ; dont le destin choisi une autre route que celle prévue ; en effet, le meurtre d’un personnage important sera le révélateur de la face cachée,...
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  • AnitaMillot 18/07/2023
    Dans l’entre-deux guerres (en 1931 plus précisément) Guy Horton (le narrateur) et Max Wingate (son acolyte) quittent précipitamment les États-Unis (via le Québec) après une escroquerie qui a mal tourné. Le but du jeu : rejoindre – le plus discrètement possible – leur pays natal (l’Angleterre) à bord d’un paquebot de croisière. Vita (une sexagénaire) et sa nièce Diana (jeune beauté fatale …) soeur et fille du richissime financier Fabian Charnwood (de la Charnwood Investments) sont également du voyage. Les deux comparses (alors âgés de trente-quatre ans) y voient une formidable opportunité de se faire un peu d’argent, en usant de leurs charmes … Ce sera donc « chacun pour soi », l’objectif escompté étant – bien entendu – de séduire la « belle » … L’un d’entre eux parviendra à ses fins, pourtant rien ne se passera comme prévu … La suite de leur aventure va rapidement se transformer en cauchemar … S’agirait-il du classique scénario de « l’arroseur arrosé » ? Les deux comparses auraient-ils finalement trouvé un rival encore plus malfaisant qu’eux-mêmes ? Une intrigue plutôt prenante, dans le pur style de Robert Goddard. Et qui donne vraiment envie d’aller jusqu’à son dénouement, afin de pouvoir vérifier si l’une de nos (nombreuses) hypothèses s’avèrent être la bonne ! Un agréable moment de lecture, procuré par un auteur anglais dont j’apprécie l’écriture (et les énigmes !) Dans l’entre-deux guerres (en 1931 plus précisément) Guy Horton (le narrateur) et Max Wingate (son acolyte) quittent précipitamment les États-Unis (via le Québec) après une escroquerie qui a mal tourné. Le but du jeu : rejoindre – le plus discrètement possible – leur pays natal (l’Angleterre) à bord d’un paquebot de croisière. Vita (une sexagénaire) et sa nièce Diana (jeune beauté fatale …) soeur et fille du richissime financier Fabian Charnwood (de la Charnwood Investments) sont également du voyage. Les deux comparses (alors âgés de trente-quatre ans) y voient une formidable opportunité de se faire un peu d’argent, en usant de leurs charmes … Ce sera donc « chacun pour soi », l’objectif escompté étant – bien entendu – de séduire la « belle » … L’un d’entre eux parviendra à ses fins, pourtant rien ne se passera comme prévu … La suite de leur aventure va rapidement se transformer en cauchemar … S’agirait-il du classique scénario de « l’arroseur arrosé » ? Les deux comparses auraient-ils finalement trouvé un rival encore plus malfaisant qu’eux-mêmes ? Une intrigue plutôt prenante, dans le pur style de Robert Goddard. Et qui donne vraiment envie d’aller jusqu’à son dénouement, afin de pouvoir vérifier si l’une...
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  • nanoucz 11/06/2023
    Québec, 1931. Guy Horton et Max Wingate embarquent sur un transatlantique afin de regagner l’Angleterre, fuyant les États-Unis et un scandale de fraude fiscale auquel ils ont été mêlés. Guy et Max se connaissent depuis le collège, ils ont fait la guerre ensemble en Macédoine en 1915. Si Guy en est revenu indemne, Max a été gravement blessé à la tête et en conserve une certaine fragilité. La croisière va leur donner l’occasion de réitérer leur exercice favori : L’un des deux va séduire une riche héritière puis acceptera la confortable somme d’argent que lui offrira la famille de la jeune fille pour cesser toute relation avec elle. Les deux compères se partageront évidemment le pactole en attendant la prochaine combine. La cible de leur nouvel intérêt s’appelle Diana et elle est la fille unique de Fabian Charnwood, président de Charnwood Investments, acteur majeur du monde de la finance. Max réussit sans mal à s’attirer les bonnes grâces de la jeune fille qui voyage en compagnie de sa tante. Mais la mécanique bien huilée se grippe lorsque Max tombe vraiment amoureux de Diana et envisage de l’épouser, ce que refuse totalement Fabian Charnwood qui a déjoué le manège des deux amis. Max ne s’avoue pas vaincu et projette de fuir avec sa dulcinée. Hélas, le rendez-vous prévu avec Diana en pleine nuit aux abords de la propriété où elle demeure tourne à l’horreur et Max s’enfuit, devenant le seul suspect d’un meurtre qui ruine définitivement les espoirs de Guy de tirer un bénéfice quelconque de l’opération. Comme souvent chez Robert Goddard, le héros est un homme faible et balloté par des évènements qu’il ne maîtrise pas. Cette fois, il est de surcroit guidé par son appât du gain et, même si dans un premier temps il ne peut croire à la culpabilité de son ami, il ne dépense pas beaucoup d’énergie pour le défendre. Balancé entre la nécessité d’assurer son existence et la culpabilité envers son ami, Guy se retrouve entrainé dans une folle aventure, pleine de rebondissements plus ou moins crédibles mais auxquels j’ai trouvé tout de même un certain intérêt. En effet, grâce aux investigations que Guy effectue afin de comprendre qui était véritablement Fabian Charnwood, on revisite les évènements qui ont précédé la déclaration de la première guerre mondiale et cet aspect historique est bien mené, d’autant que Goddard sait y mêler un complot impliquant ses personnages. Ce que j’ai regretté par rapport à d’autres romans de Goddard, c’est que les personnages sont plutôt antipathiques et caricaturaux. Celui de Diana manque de nuances, je n’ai pas compris sa réelle motivation. Max disparait assez vite dans l’intrigue, de façon peu vraisemblable. Même Guy, malgré tous les aléas auxquels il est confronté, ne réussit pas à susciter la compassion car il n’a pas l’honnêteté que pouvaient manifester d’autres héros de Goddard, par exemple Geoffrey Staddon dans Sans même un adieu ou Harry Barnett dans Heather Mallender a disparu. Et parmi les méchants, aucun n’a ce petit plus qui pourrait susciter un brin de sympathie. J’ai malgré tout passé un bon moment avec ce gros roman dont j’ai tourné les pages avec hâte, curieuse de découvrir les péripéties imaginées par l’auteur. On ne s’ennuie jamais avec Robert Goddard ! Québec, 1931. Guy Horton et Max Wingate embarquent sur un transatlantique afin de regagner l’Angleterre, fuyant les États-Unis et un scandale de fraude fiscale auquel ils ont été mêlés. Guy et Max se connaissent depuis le collège, ils ont fait la guerre ensemble en Macédoine en 1915. Si Guy en est revenu indemne, Max a été gravement blessé à la tête et en conserve une certaine fragilité. La croisière va leur donner l’occasion de réitérer leur exercice favori : L’un des deux va séduire une riche héritière puis acceptera la confortable somme d’argent que lui offrira la famille de la jeune fille pour cesser toute relation avec elle. Les deux compères se partageront évidemment le pactole en attendant la prochaine combine. La cible de leur nouvel intérêt s’appelle Diana et elle est la fille unique de Fabian Charnwood, président de Charnwood Investments, acteur majeur du monde de la finance. Max réussit sans mal à s’attirer les bonnes grâces de la jeune fille qui voyage en compagnie de sa tante. Mais la mécanique bien huilée se grippe lorsque Max tombe vraiment amoureux de Diana et envisage de l’épouser, ce que refuse totalement Fabian Charnwood qui a déjoué le manège des deux...
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  • Philios 16/01/2023
    Au début des années 1930, Guy et Max, deux amis fringants unis par leurs épreuves lors de la Grande Guerre ainsi que par un goût et un talent communs pour l’escroquerie quittent les États-Unis. A bord du transatlantique qui les ramène en Angleterre, ils font la connaissance de la très belle Diana Charnwood, chaperonnée par sa robuste tante Vita. Diana est la fille du richissime financier Fabian Charnwood, connu pour sa redoutable maîtrise des marchés internationaux. Les deux compères décident de séduire la belle pour mettre la main sur son magot. Évidemment, rien ne se passe comme prévu. Très vite, un meurtre vient compliquer les choses, et de beaucoup… et nous plonger dans une spirale digne des romans d’espionnage des années 1930. L’ambiguïté des personnages, leurs questionnements, une absence de manichéisme facile, des révélations surgissant du passé signent la marque de l’auteur, mais ce ne sont plus les années 1980-1990, familières à Robert Goddard, que nous retrouvons ; le ton est ici aussi différent, du moins au début, plus détaché, plus ironique. Les personnages, pour la plupart, nous apparaissent aussi plus froids et moins proches. Quant à l’intrigue, les thèmes qu’elle brasse pourront sembler lointains au lecteur et donc moins le concerner. Ces réserves émises, on retrouve l’intelligence de l’auteur, capable d’aborder tout thème, et son efficacité : des pages que l’on tourne avec avidité, avec ce plaisir que seule une belle écriture (ponctuée d’un humour ironique) peut apporter. Au début des années 1930, Guy et Max, deux amis fringants unis par leurs épreuves lors de la Grande Guerre ainsi que par un goût et un talent communs pour l’escroquerie quittent les États-Unis. A bord du transatlantique qui les ramène en Angleterre, ils font la connaissance de la très belle Diana Charnwood, chaperonnée par sa robuste tante Vita. Diana est la fille du richissime financier Fabian Charnwood, connu pour sa redoutable maîtrise des marchés internationaux. Les deux compères décident de séduire la belle pour mettre la main sur son magot. Évidemment, rien ne se passe comme prévu. Très vite, un meurtre vient compliquer les choses, et de beaucoup… et nous plonger dans une spirale digne des romans d’espionnage des années 1930. L’ambiguïté des personnages, leurs questionnements, une absence de manichéisme facile, des révélations surgissant du passé signent la marque de l’auteur, mais ce ne sont plus les années 1980-1990, familières à Robert Goddard, que nous retrouvons ; le ton est ici aussi différent, du moins au début, plus détaché, plus ironique. Les personnages, pour la plupart, nous apparaissent aussi plus froids et moins proches. Quant à l’intrigue, les thèmes qu’elle brasse pourront sembler lointains au lecteur et donc moins...
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  • helenoooouuuu 09/08/2022
    J’ai passé un agréable moment de lecture avec ce livre, mais sans plus. Je suis assez mitigée sur l’intrigue, même si j’ai apprécié la plume de Robert Goddard et sa façon de construire son histoire. J’ai rencontré deux problèmes lors de ma lecture de ce roman qui ont fait que je ne peux totalement l’apprécier : 1. Je n’ai pas cru en ce que je lisais 2. Je n’ai ressenti aucune émotion durant ma lecture Difficile donc de pouvoir apprécier le roman… J’ai trouvé les ficelles de l’intrigue bien trop grosses pour être crédibles; alors certes, à un moment on se perd dans le tourbillon d’indices et d’interrogations, mais je n’ai trouvé que peu d’intérêt dans cette histoire. La faute à un manque d’attachement aux personnages. J’ai terminé ce roman il y a une dizaine de jours, et je suis incapable de vous citer les noms des personnages… Je n’ai pas du tout apprécié le personnage principal du livre, qui se découvre une conscience et un sens de l’amitié sur le tard, aidé par des hasards heureux qui l’aident à dénouer une affaire énorme mais trop peu crédible à mon sens… Cependant, malgré ces deux défauts principaux, je n’ai pas passé un mauvais moment de lecture. Tout simplement grâce au talent de Robert Goddard pour maintenir le suspens jusqu’aux toutes dernières lignes, et en sachant distiller ses rebondissements intelligemment au fil de son intrigue. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde lors de ma lecture, même si je suis restée assez détachée de ce que je lisais. Et j’ai beaucoup apprécié l’aspect historique du roman, qui est resté assez audacieux et bien documenté. Même si je suis loin d’avoir été convaincue par ce roman, je ne m’arrêterai pas là avec Robert Goddard. Par un matin d’automne m’a notamment été chaudement recommandé, et je compte bien lui donner une deuxième chance !J’ai passé un agréable moment de lecture avec ce livre, mais sans plus. Je suis assez mitigée sur l’intrigue, même si j’ai apprécié la plume de Robert Goddard et sa façon de construire son histoire. J’ai rencontré deux problèmes lors de ma lecture de ce roman qui ont fait que je ne peux totalement l’apprécier : 1. Je n’ai pas cru en ce que je lisais 2. Je n’ai ressenti aucune émotion durant ma lecture Difficile donc de pouvoir apprécier le roman… J’ai trouvé les ficelles de l’intrigue bien trop grosses pour être crédibles; alors certes, à un moment on se perd dans le tourbillon d’indices et d’interrogations, mais je n’ai trouvé que peu d’intérêt dans cette histoire. La faute à un manque d’attachement aux personnages. J’ai terminé ce roman il y a une dizaine de jours, et je suis incapable de vous citer les noms des personnages… Je n’ai pas du tout apprécié le personnage principal du livre, qui se découvre une conscience et un sens de l’amitié sur le tard, aidé par des hasards heureux qui l’aident à dénouer une affaire énorme mais trop peu crédible à mon sens… Cependant, malgré ces deux défauts principaux, je n’ai pas passé un mauvais moment de...
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