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La curiosité
Anne-Sylvie Homassel (traduit par)
Date de parution : 04/02/2016
Éditeurs :
Presses de la cité
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La curiosité

Anne-Sylvie Homassel (traduit par)
Date de parution : 04/02/2016
Projet Lazare : ressusciter les morts
Quelle surprise pour Kate Philo et ses coéquipiers lorsqu’ils trouvent, au cours d’une mission scientifique dans l’océan Arctique, un corps conservé dans la glace depuis plus d’un siècle. L’homme, d’abord... Quelle surprise pour Kate Philo et ses coéquipiers lorsqu’ils trouvent, au cours d’une mission scientifique dans l’océan Arctique, un corps conservé dans la glace depuis plus d’un siècle. L’homme, d’abord baptisé « Frank », puis plus sobrement « Sujet Numéro Un », est ramené à la vie grâce à une technique révolutionnaire – jusqu’alors... Quelle surprise pour Kate Philo et ses coéquipiers lorsqu’ils trouvent, au cours d’une mission scientifique dans l’océan Arctique, un corps conservé dans la glace depuis plus d’un siècle. L’homme, d’abord baptisé « Frank », puis plus sobrement « Sujet Numéro Un », est ramené à la vie grâce à une technique révolutionnaire – jusqu’alors testée sur des sardines et autres petites créatures marines.
« Sujet Numéro Un » s’appelle en réalité Jeremiah Rice. Né en 1868, marié, père d’une fillette, il était juge dans la petite ville de Lynn, non loin de Boston. Il aimait le base-ball et les livres. Il a perdu la vie – sa première – en 1906, lors d’une expédition vers le pôle Nord.
Tandis que la presse s’emballe, Jeremiah, soutenu par Kate, dont il va peu à peu se rapprocher, découvre avec stupeur l’Amérique des années 2000. Il ne sait pas encore que ses jours sont comptés…

Stephen Kiernan signe un texte qui fait sourire autant que réfléchir. Un conte sur le temps, la mort, l’éthique scientifique et le sens de la vie.
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EAN : 9782258135376
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • domi_troizarsouilles 23/05/2021
    Voici l’exemple-type d’un livre que j’ai acheté et même lu pendant ma longue panne de lecture qui a duré une quinzaine d’années – il est sorti chez France (et donc aussi Belgique) Loisirs tout fin 2016, je présume que j’ai dû l’acheter au 1er trimestre 2017, les livres FL ayant une durée de vie limitée ; en revanche, quand l’ai-je lu ? c’est plus difficile à cerner, disons que ça fait tout au plus 3-4 ans. Mais c’est aussi ce livre typique que j’ai ensuite laissé traîner au milieu des autres, sans distinguer les lus des non-lus, et sans aucune trace de ce que j’en ai pensé à l’époque, puisque je ne tenais alors aucun suivi, de quelque façon que ce soit ! Et ainsi, dès les toutes premières pages, j’ai su que je l’avais déjà lu. J’aurais certes pu en rester là et passer à autre chose mais, d’une part, je m’étais engagée à la lire pour un challenge et j’avais envie d’en garder un souvenir « frais » pour pouvoir cette fois donner un avis en connaissance de cause et, d’autre part, j’avais le vague souvenir qu’il ne m’avait pas déplu, alors pourquoi pas ? Et je confirme que ce livre a un charme tout empreint de désuétude et d’une certaine mélancolie, mais aussi d’une vraie beauté, sans épargner le lecteur qu’il pousse à la réflexion. Je ne vais pas refaire un résumé : celui proposé par l’éditeur est déjà bien assez réaliste et quelque peu spoilant. En revanche, il ne précise pas qu’on a là un roman choral à quatre voix, et c’en est un très réussi car, si on retrouve indéniablement la patte de l’auteur dans chacune de ces quatre voix, elles sont suffisamment différenciées pour qu’on ait l’impression d’un vrai quatuor… de plus en plus discordant ! c’est aussi à travers ces quatre voix que l’auteur soulève des thèmes sensibles, ceux-là mêmes qui font réfléchir, on ne peut pas reposer ce livre sans avoir l’esprit en ébullition ! La première et véritable héroïne du roman est la jeune Kate Philo, chercheuse en biologie moléculaire, passionnée par son travail comme une scientifique autant idéaliste qu’idéalisée (mais je sais d’expérience qu’il en existe pour de vrai !). Elle ne vit que pour la découverte, repousser ses propres limites de la connaissance, affuter encore et encore sa curiosité (tiens donc !), avec un vague sentiment de « carrière », mais qui semble passer en dernier lieu. Elle s’exprime ici à la 1re personne du singulier, avec un souci pédagogique constant et une grande sensibilité, car en plus elle est soucieuse de partager le fruit de son travail avec autrui, tout simplement. Elle a cette particularité de rester détachée en (presque) toutes circonstances, ce qui lui donne une grande force intérieure et provoque bien un peu l’admiration. Il y a un magnifique passage à la fin du livre, qui résume l’état d’esprit de Kate, elle dont la 2e passion est l’enseignement de cette science qu’elle aime tant, et qui est tout à la fois une forme d’hommage à tous ces enseignants qui aiment ce qu’ils font : « (…) je me soucie peu de savoir si les élèves retiennent tous les faits. Ce que je veux, c’est cultiver leur curiosité. Oui, ce vieil ami est toujours là, toujours aussi puissant : le simple désir de savoir. Si ces jeunes gens ne savent pas la différence entre xylème et phloème, leurs espérances universitaires et leurs futures carrières n’en souffriront pas. Mais leurs vies dépendront entièrement de leur capacité d’émerveillement, de leur sensibilité à la beauté. » L’autre personnage principal est –évidemment !- ce fameux homme congelé, l’ex-juge Jeremiah Rice, réanimé 100 ans après sa disparition grâce au « projet Lazare ». Lui aussi s’adresse à la 1re personne du singulier, dans un style « d’époque » plutôt bien rendu, et qui lui donne dès lors une grande crédibilité. Avec lui, on redécouvre la valeur de l’intimité – que signifie être un objet d’étude, surtout lorsqu’on est un être humain ? – et la valeur des petites choses de la vie, du quotidien, dont on ne se rend pas toujours compte mais qui deviennent si importantes quand on en est privé. Mais plus encore, aux côtés de Jeremiah on voit d’un autre regard notre société actuelle. Oh ! jamais il n’est question de « c’était mieux avant », les seules pensées nostalgiques vont vers son épouse et sa fille qu’il a perdues dans la force de l’âge, et qu’il regrette tant d’avoir ainsi « abandonnées » bien malgré lui. Néanmoins, il observe notre monde moderne avec étonnement et parfois perplexité – comme par exemple ce paradoxe que les gens se touchent désormais pour tout et pour rien (le livre date de bien avant le covid !) dans la vie de tous les jours, et semblent avoir une sexualité débridée qui s’étale au monde sans plus aucun frein, ce qui n’était pas le cas 100 ans plus tôt ! mais il relève aussi leur incroyable solitude : seuls face à leur écran d’ordinateur pour « communiquer », seuls dans leurs danses en gestes désarticulés dans les discothèques malgré quelques effleurements… Il ne critique jamais, il est trop civilisé (évidemment, ça aurait été plus difficile de créer une telle ambiance si l’homme décongelé avait été un rustre !) ; comme Kate, il est animé de cette curiosité qui l’a amené à partir en exploration vers le Pôle Nord, d’où il n’est jamais revenu… et désormais, c’est lui qui est devenu « la curiosité » que l’on s’arrache, que l’on exhibe, que les paparazzis poursuivent… Comme on peut le deviner, les deux autres voix sont nettement moins sympathiques. On a Daniel Dixon, également à la 1re personne du singulier. Journaliste raté, au physique repoussant, s’exprimant toujours à la limite d’une certaine grossièreté, mais aussi animé de blessures d’enfance qui le rendraient presque touchant par moments, il représente d’une façon souvent caricaturale, mais bien menée, tous les excès d’un journalisme de foire. Avec lui, c’est la recherche du scoop, et quand il obtient l’exclusivité sur le projet Lazare, il se vautre dedans en entretenant une désinformation chronique, que ce soit par la reproduction naïve et aveugle de ce qu’on veut bien lui laisser dire (lui si facilement manipulable à condition d’avoir le scoop !) ou, lorsqu’il est finalement discrédité, par la mise en place d’un dossier créé de toutes pièces, mais étayé de fausses preuves à partir d’éléments disparates et tronqués de ce qu’il a vu / enregistré / photographié au fil des jours… et que la majorité des autres journalistes va gober comme véridique ! et dès lors reproduire à son tour. C’est toute la manipulation d’une certaine presse, et la crédibilité aveugle du public qui sont indirectement mises en cause avec ce personnage peu attirant. Enfin, il faut parler d’Erastus Carthage, le directeur de ce fameux projet Lazare. Scientifique génial, il a déjà fait son petit chemin dans le monde de la recherche et on parle même de prix Nobel. Cependant, ce génie scientifique est bien loin de l’image de la chercheuse représentée par Kate et sa curiosité. On peut espérer qu’il y a bien quelque chose de cela, sinon pourquoi aurait-il embrassé une telle carrière ? mais cela n’est même pas évoqué ; ici, c’est le chercheur vénal, qui s’intéresse à la science dans la mesure où elle lui donne pouvoir, reconnaissance universelle quel qu’en soit le prix, et bien sûr autant d’argent que possible ! Il est ignominieux avec son personnel, imbu de lui-même jusqu’à l’extrême et, pour accentuer cette impression, il ne s’exprime jamais qu’à la forme d’un « vous majestatif » : Il parle de lui-même en se vouvoyant ! C’est même pire que le plus connu nous majestif, utilisé jusqu’il y a peu (et peut-être encore aujourd’hui, mais j’ai un petit doute) par le Roi des Belges dans certains textes officiels ; ou qu’un Jules César qui a écrit ses mémoires en parlant de lui à la 3e personne du singulier. Cette forme carrément exagérée ferait presque sourire si elle ne dégoulinait pas de suffisance ; c’est un coup de maître de l’auteur ! Bien sûr, Carthage n’a pas davantage de respect pour Jeremiah que pour les scientifique qui travaillent sous ses ordres : pour lui, Jeremiah n’est pas une personne, mais un objet qui restera jusqu’au bout le « Sujet Numéro Un »… Ces quatre voix définissent donc l’avancée de l’intrigue, dont je ne dirai rien de plus au risque de spoiler. Elles soulèvent encore d’autres thèmes sociétaux divers et variés, un peu trop peut-être pour être tous cités dans cet avis qui est déjà bien long ! icon_wink Elles n’échappent pas, quelquefois, à quelques longueurs – je n’irais pas jusqu’à dire que certains passages sont inutiles, on ne se lasse pas vraiment mais par moments on est quand même à la limite du pesant. Pourtant, tout se tient et tout trouve sa place jusqu’au final que j’ai trouvé aussi triste que grandiose ; mais l’auteur va parfois très loin dans les détails, notamment scientifiques, qui sont certes intéressants, mais qui auraient pu être un tout petit peu plus résumés pour garder un bon rythme. Et à côté de ça, on a aussi l’inévitable (?) romance entre Kate et Jeremiah – romance qui n’ira jamais jusqu’à l’acte, pourtant évoqué… et j’avais le souvenir que cela m’avait « manqué » lors de ma première lecture, à une époque où je ne lisais pourtant pas de littérature de ce genre ! Il fallait donc que je fasse le point sur cela ! Et donc, aujourd’hui, c’est avec des yeux beaucoup plus sereins et touchés que je reconsidère ces passages-là. Comme Kate le dit si bien, il y a différentes façons de faire l’amour, de « connaître » l’autre, pour reprendre les termes de la 1re vie de Jeremiah. Alors, bien sûr, si mon mari venait à vouloir me « connaître » d’une façon aussi philosophique, je crois bien que je ne serais pas tout à fait contente icon_wink ; mais ici, dans le contexte de l’histoire particulière de nos deux beaux protagonistes, ça paraît incroyablement juste. Je ne regrette donc en aucune façon cette relecture imprévue, écrite par une plume fluide et habilement adaptée à chacune des voix de ce choral qui s’oriente vers la dissonance, malgré l’harmonie profonde de ce qui devient un duo. Il ne faut pas y chercher ce grand frisson que certaines œuvres de la science-fiction peuvent apporter, mais bien un récit plein de tendresse, de mélancolie et prônant l’ouverture d’esprit, la curiosité et l’émerveillement pour ces choses simples mais importantes de la vie.Voici l’exemple-type d’un livre que j’ai acheté et même lu pendant ma longue panne de lecture qui a duré une quinzaine d’années – il est sorti chez France (et donc aussi Belgique) Loisirs tout fin 2016, je présume que j’ai dû l’acheter au 1er trimestre 2017, les livres FL ayant une durée de vie limitée ; en revanche, quand l’ai-je lu ? c’est plus difficile à cerner, disons que ça fait tout au plus 3-4 ans. Mais c’est aussi ce livre typique que j’ai ensuite laissé traîner au milieu des autres, sans distinguer les lus des non-lus, et sans aucune trace de ce que j’en ai pensé à l’époque, puisque je ne tenais alors aucun suivi, de quelque façon que ce soit ! Et ainsi, dès les toutes premières pages, j’ai su que je l’avais déjà lu. J’aurais certes pu en rester là et passer à autre chose mais, d’une part, je m’étais engagée à la lire pour un challenge et j’avais envie d’en garder un souvenir « frais » pour pouvoir cette fois donner un avis en connaissance de cause et, d’autre part, j’avais le vague souvenir qu’il ne m’avait pas déplu, alors pourquoi pas ? Et je confirme que ce...
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  • Revesetimagines 29/04/2020
    La Curiosité est un roman que j’ai acheté chez France Loisirs lors d’une commande trimestrielle où, il fallait l’avouer, pas grand-chose ne m’intéressait. En lisant le résumé, j’ai immédiatement pensé au film avec Louis de Funes, Hibernatus. Je ris toujours en le regardant, même maintenant. Toutefois, ce roman n’a rien de très marrant. Je peux déjà vous avouer que j’ai eu du mal à me plonger dans la lecture et j’ai même survolé quelques passages trop ennuyeux pour moi : notamment des descriptions ou explications scientifiques. L’auteur a fait le choix de traiter ce récit par le biais de quatre narrateur : Kate Philo, une scientifique, Daniel Dixon, journaliste, Erastus Carthage, responsable du projet Lazare, et enfin, Jeremiah Rice, juge du début du XXème siècle alias « Sujet Numéro 1 ». Le récit débute avec Kate qui est en exploration afin de découvrir des icebergs dans l’océan Arctique possédant des veines de glace primaire. Lors de l’une de ses plongées, elle découvrira un homme conservé dans la glace. Dès lors, le désir de ramener à la vie ce spécimen incroyable devint inévitable pour la horde de scientifique sous la houlette de Carthage. L’expérience réussie, Kate va rapidement abandonner son esprit scientifique pour laisser parler son côté humain et ses sentiments. Le « sujet numéro 1 » est en fait Jeremiah, un juge parti en exploration et qui avait disparu en mer en 1907. Durant la lecture, je suis passée de Kate et ses désirs d’aider au mieux Jeremiah, à Dixon le journaliste qui cherche à se faire un nom ou encore à Carthage qui a l’habitude de parler de lui à la seconde personne du pluriel, signalant ainsi son mépris pour l’humain et le piédestal sur lequel il croit être posé. Bref, si Carthage m’a paru imbu et d’une ignominie incommensurable, Dixon m’a paru fourbe et, durant la quasi-totalité de ma lecture, inintéressant. Personnellement, sans son point de vue, l’intrigue n’aurait pas perdu grand-chose. Le journaliste ne se révèle qu’à la fin. Enfin, vient le point de vue très intéressant de Jeremiah notamment sur notre monde actuel après 110 ans d’absence et la foule de sentiments qui se réveille au fur et à mesure. J’ai apprécié son langage plus soutenu et par conséquent plus typique de l’époque. À vrai dire, les seuls moments réellement humains du roman concernent les chapitres consacrés à Jeremiah et à Kate (mais à partir d’un bon quart du livre). J’ai un avis très mitigé sur ce livre. D’un côté, je trouve très intéressant ce récit d’homme congelé qu’on réussit à réanimer et l’évolution de ce dernier. Il en est de même sur la façon dont l’intrigue est menée avec des sentiments humains pour certains personnages et d’autres très froids et obsédés par leurs réussites. Mais d’une autre part, le fait d’avoir quatre narrateurs m’a dérangé. J’aurais peut-être plus apprécié un narrateur externe car avec un récit à la première personne, on ne pourrait pas tout comprendre et mettre en avant. J’ajouterais que certains passages sont longs et m’ont ennuyée. Pour conclure, je n’ai pas été emballée par la façon dont le récit est présenté. Néanmoins, l’intrigue, l’histoire en elle-même est assez captivante. La Curiosité est un roman que j’ai acheté chez France Loisirs lors d’une commande trimestrielle où, il fallait l’avouer, pas grand-chose ne m’intéressait. En lisant le résumé, j’ai immédiatement pensé au film avec Louis de Funes, Hibernatus. Je ris toujours en le regardant, même maintenant. Toutefois, ce roman n’a rien de très marrant. Je peux déjà vous avouer que j’ai eu du mal à me plonger dans la lecture et j’ai même survolé quelques passages trop ennuyeux pour moi : notamment des descriptions ou explications scientifiques. L’auteur a fait le choix de traiter ce récit par le biais de quatre narrateur : Kate Philo, une scientifique, Daniel Dixon, journaliste, Erastus Carthage, responsable du projet Lazare, et enfin, Jeremiah Rice, juge du début du XXème siècle alias « Sujet Numéro 1 ». Le récit débute avec Kate qui est en exploration afin de découvrir des icebergs dans l’océan Arctique possédant des veines de glace primaire. Lors de l’une de ses plongées, elle découvrira un homme conservé dans la glace. Dès lors, le désir de ramener à la vie ce spécimen incroyable devint inévitable pour la horde de scientifique sous la houlette de Carthage. L’expérience réussie, Kate va rapidement abandonner son esprit scientifique...
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  • noirame 14/06/2019
    Partagée... Le début et la fin sont très prenants. Mais le milieu traîne en longueur, car l'auteur ne fait que détailler les journées de Jérémiah, faites de promenades en tous genres et de matches de base-ball, dans le but de découvrir le monde d'aujourd'hui. Je pense que l'auteur aurait vraiment pu écourter toute cette partie. Je conseille tout de même ce livre, très bien écrit et touchant, avec un côté scientifique (mais pas trop), et un côté sur les différences entre la société et la culture d'hier et d'aujourd'hui.
  • Lampyre 07/09/2017
    Cette histoire , qui se passe dans les années 2000, nous est racontée à plusieurs voix .Celle de Kate Philo scientifique sur un bateau de recherche polaire affété par le laboratoire Carthage , celle de Daniel Dixon recruté par le laboratoire pour suivre ses travaux , celle d'Erastus Carthage fondateur du laboratoire de recherche , et enfin celle de Jeremiah Rice né en 1868. Le laboratoire Carthage recherche des organismes conservés dans la glace polaire pour les ramener à la vie . Le roman débute sur le bateau lors de la découverte d'un très volumineux sujet qui va s'avérer être un être humain , d'abord nommé Franck , puis sujet numéro 1 et qualifié de "matériau de récupération pour une durée limitée". Cette histoire pourrait être une simple histoire de retour à la vie à notre époque d'un homme trentenaire né en 1868. Mais à travers le récit , on évoque et on se pose bien des questions : l'éthique scientifique, la religion, le passage du temps et l'évolution de nos modes de vies, la vie/la mort . C'est un livre agréable à lire même si on se perd parfois dans quelques longueurs qui sont compensées par le suspense de certains moments. C'est aussi une jolie histoire d'amour et de relations humaines . Cette histoire , qui se passe dans les années 2000, nous est racontée à plusieurs voix .Celle de Kate Philo scientifique sur un bateau de recherche polaire affété par le laboratoire Carthage , celle de Daniel Dixon recruté par le laboratoire pour suivre ses travaux , celle d'Erastus Carthage fondateur du laboratoire de recherche , et enfin celle de Jeremiah Rice né en 1868. Le laboratoire Carthage recherche des organismes conservés dans la glace polaire pour les ramener à la vie . Le roman débute sur le bateau lors de la découverte d'un très volumineux sujet qui va s'avérer être un être humain , d'abord nommé Franck , puis sujet numéro 1 et qualifié de "matériau de récupération pour une durée limitée". Cette histoire pourrait être une simple histoire de retour à la vie à notre époque d'un homme trentenaire né en 1868. Mais à travers le récit , on évoque et on se pose bien des questions : l'éthique scientifique, la religion, le passage du temps et l'évolution de nos modes de vies, la vie/la mort . C'est un livre agréable à lire même si on se perd parfois dans quelques longueurs qui sont compensées par le suspense de...
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  • WonderBook 30/04/2016
    Un magnifique roman qui pousse à la réflexion ! Une excellente lecture !
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