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La démission de Montalbano
Catherine Sine (traduit par), Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 04/02/2016
Éditeurs :
12-21

La démission de Montalbano

Catherine Sine (traduit par), Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 04/02/2016
Un recueil d'enquêtes policières, toutes menées par Montalbano et ses fidèles acolytes.

Un couple de vieux acteurs qui s’amuse à mourir avant l’heure. Un berger lapidateur aussi roublard que cachottier. Un maltais errant, torturé jour et nuit par son perturbant passé de...

Un couple de vieux acteurs qui s’amuse à mourir avant l’heure. Un berger lapidateur aussi roublard que cachottier. Un maltais errant, torturé jour et nuit par son perturbant passé de juge de cour d’assises. Un comptable à moitié fou qui stocke tout, des capsules de bière à ses propres déjections !...

Un couple de vieux acteurs qui s’amuse à mourir avant l’heure. Un berger lapidateur aussi roublard que cachottier. Un maltais errant, torturé jour et nuit par son perturbant passé de juge de cour d’assises. Un comptable à moitié fou qui stocke tout, des capsules de bière à ses propres déjections ! Sans oublier les prostituées, septuagénaires et ceinturées, les jolis minois qui traversent les miroirs, les arancini frits et les démissions soudaines, faisant suite à un trop plein de cannibalisme…

À Vigàta, petit bourg imaginaire niché au cœur de la Sicile orientale, le pittoresque commissaire Montalbano est contraint, une fois de plus, d’en voir des vertes et des pas mûres dans un savoureux recueil de nouvelles policières où l’humour noir flirte avec les larmes et où l’incroyable est toujours vrai.

 

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EAN : 9782823846324
Code sériel : 12473
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823846324
Code sériel : 12473
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • jcjc352 26/12/2023
    La répétition générale Une mauvaise farce voilà comment commence cette nouvelle Montalbano co, alors que ce dernier a du vague à l’âme et cela lui cause une nuit blanche..Cela toutefois ne l’empêchera pas de faire un contrepet du moins au niveau de la formulation. Et pourtant la vie rejoint souvent la comédie, surtout dans la mort. La pôvre Maria Castellino Maria est belle de jour à… soixante dis ans! Santé elles ont, les siciliennes. Assassinée, Montalbano interrompt son séjour avec Livia à Boccadasse, joli village coloré de Gêne, imaginez la scène, pour piquer l’enquête à Augello. Il se bâfrera de petites soles frites pour voir son avenir « immédiat »en rose et conclure en deux coups de cuillère à pot Le chat et le chardonneret Cela a un titre de fable de La Fontaine et se termine en traque à l’agresseur de vielles dames. Le vol à l’arraché motorisé étant très mal vu par Bonetti-Alderighi le questeur pas vraiment un copain à Salvo confie l’enquête à quelqu’un d’autre. Une mamie fait de la résistance ce qui aide grandement Montalbano Pessoa prétend Une entrée en matière à la Tabucchi mais c’est surtout Quaresma « le déchiffreur » de Pessoa et enquêteur cérébral qui vient aider Salvo pour cette enquête : une règle ne pas se fier à l’évidence Un hasard d’homonymie Un Montalbano c’est déjà beaucoup mais deux alors là c’est l’overdose. Ou Salvo en passant le week-end à Palerme s’aperçoit qu’il est deux mais voilà qui est le bon et qui est le mauvais et c’est la question que ce posent les carabinieri Catarella résout une affaire Catarè marche sur les plates-bandes de Montalbano . Si ce dernier , pour ses enquêtes, cogite en se promenant pour digérer sur la jetée de Vigata Catarè lui le fait en allant aux toilettes. Curieux mais efficace Le jeu du bonneteau C’est un jeu de dupe mais bon Montalbano n’est pas tombé de la dernière et jouer avec lui c’est prendre beaucoup de risque Bouts de ficelle absolument inutilisables Montalbano boit pendant le service et pas qu’un peu 5 bières en deux heures mais c’est pour la bonne cause, par contre il ne collectionne pas les capsule comme le comptable Ferro qui lui collectionne n’importe quoi et quand ce n’importe quoi concerne la mafia.... Referendum populaire Quand un référendum est organisé à Vigata pour savoir si unetelle est une radasse, toute la commune en est remuée surtout quand cela se termine par des coups de pétards Et cela rend Montalbano grossier -Catarè, ne me casse pas les couilles. La démission de Montalbano. Çà commence avec un vieux dégueulasse et ça fini en queue de poisson. Nouvelle assez particulière. Amour et fraternité Salvo reste septique sur les cadeaux de charité d’amour et de fraternité. La canne d’aveugle, le chien d’aveugle ça passe mais si la mafia s’en mêle... Séquestration de personne Une histoire de bouteille à la mer … enfin de bùmmolo, récipient de terre cuite qui garde l’eau très fraîche cassée par l’âne et la curiosité de Montalbano, enquêteur cérébral et particulier, est piquée surtout lorsqu’il est question d’amour viritable. On cause en milliards Lorsqu’on parle de milliards, d’un triangle pas vraiment isocèle: le vieux mari, la femme jeune, l’amant et d’un accident de voiture...Hum!Hum ! Comme faisait Alice Un escroc insaisissable, marié avec une « fimmine di letto » tellement aguicheuse qu'Augello en perd non pas son latin ni même son boxer mais seulement ses moyens cognitifs. Il faut préciser d'Augello ne fréquente pas les femmes à barbe et donc à Salvo de besogner. La révision Montalbano fait la connaissance d’un juge à la retraire meurtri par les remords en plein La bonne ménagère Montalbano fait la connaissance d’une femme à l’allure de bonne ménagère mais à l’esprit aussi affûté que celui de Salvo. Il s’ensuit une conversation sur le meurtre du père de cette dame et où ressort le passé roumain de celui-ci « Salvo bien-aimé… » « Ma Livia… » Échange épistolaire entre Vigata et Boccadasse c’est à dire Salvo et Livia pendant lequel Salvo sera amené à résoudre, de façon aussi épistolaire, un meurtre commis à Gêne.On est un peu étonné par ces formulations glamoureuses car d’habitude l’échange est plutôt plus grumeleux mais, à la chute de la nouvelle, on sent que cela ne va pas durer surtout que , Montalbano apprend que Livia est réconforté et soutenue par un commissaire génois et qui illico prend l’avion pour Gêne. Là pas de procrastination ! La traduction manzonienne « Le mariage ne doit pas se faire » et pourquoi se demande Salvo. Une mouche attrapée au vol Meurtre jugé depuis 25 ans, la peine purgée et si la mouche attrapée n’était pas la bonne ? Les arancini de Montalbano Montalbano nous dévoile en exclusivité la recette des arancini d’Adelina de fin d’année : gourmet a ne pas manquer Il a quelque chose de mortifère dans ce recueil de nouvelles de Camilleri non pas à cause des meurtres, il en faut pour que Montalbano fasse ses enquêtes et que nous puissions les suivre, mais parce que un bon nombre des cataferi ( cadavres) sont des vieillards. En fait Camilleri a fait un génocide de vieux et cela marquera les anales de la gérontologie policière sicilienne. Camilleri est-il eugéniste?A la question nous répondrons non pas du tout On meurt plus facilement à un âge avancé qu’à un autre voilà tout Donc des élucidations de meurtres récents narrées avec la verve camillerienne et on s’en amuse et d’autres plus anciens où le ton diffère plus sérieux plus triste surtout. La vie est ainsi Très bon florilège de nouvelles de Sicile pour cette fin d’année et surtout la dernière qui se situe à la fin de l’année et qu’avec Livia «...ça finit inévitablement que c’est la merde ».. La recette des arancini d’Adelina aïe aïe aïe La répétition générale Une mauvaise farce voilà comment commence cette nouvelle Montalbano co, alors que ce dernier a du vague à l’âme et cela lui cause une nuit blanche..Cela toutefois ne l’empêchera pas de faire un contrepet du moins au niveau de la formulation. Et pourtant la vie rejoint souvent la comédie, surtout dans la mort. La pôvre Maria Castellino Maria est belle de jour à… soixante dis ans! Santé elles ont, les siciliennes. Assassinée, Montalbano interrompt son séjour avec Livia à Boccadasse, joli village coloré de Gêne, imaginez la scène, pour piquer l’enquête à Augello. Il se bâfrera de petites soles frites pour voir son avenir « immédiat »en rose et conclure en deux coups de cuillère à pot Le chat et le chardonneret Cela a un titre de fable de La Fontaine et se termine en traque à l’agresseur de vielles dames. Le vol à l’arraché motorisé étant très mal vu par Bonetti-Alderighi le questeur pas vraiment un copain à Salvo confie l’enquête à quelqu’un d’autre. Une mamie fait de la résistance ce qui aide grandement Montalbano Pessoa prétend Une entrée en matière à la Tabucchi mais c’est surtout Quaresma « le déchiffreur » de Pessoa...
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  • Ctucorrect 23/04/2020
    Quel plaisir de lire et relire Camilleri et les aventures de son commissaire Montalbano. N'étant pas très adepte des nouvelles, j'ai craint, un instant, de ne pas ressentir l'esprit habituel, faute de temps, de place, d'espace mais rien de tout cela je vous rassure, en quelques phrases Camilleri place ses personnages, son ambiance si particulière et nous voilà replongés à Vigata, son atmosphère, ses habitants, ses histoires, tout y est, comme dans ses meilleurs romans. 20 petites histoires, savoureuses où Salvo Montalbano apporte toute son humanité aux tracas quotidien de ce petit monde que j'adore retrouver parce que c'est tellement bien raconté.
  • lehibook 04/08/2019
    20 nouvelles courtes , 20 enquêtes allant du comique au tragique , drames humains et menées souterraines de la Mafia, des politiciens corrompus et de la folie des hommes . face à cela , Montalbano , son humanité (parfois mise à rude épreuve) , son humour et ses collaborateurs ,Fazio ,Augello et Catarella .Toile de fond (et actrice) la Sicile, son histoire sanglante et glorieuse ,sa langue et…sa cuisine.Ma préférée :Pessoa prétend ,une vraie tragédie antique.
  • Colchik 25/02/2018
    J’ai dégusté ce recueil de nouvelles avec délices. Tout l’art de Camilleri est dans ces courtes histoires, aussi colorées que des petites vignettes d’album, aussi concentrées qu’un jus parfumé, ciselées avec une économie qui touche à la perfection. On voit ses personnages, on marche sur la plage avec Montalbano, on sourit de ses disputes avec Livia, on entend la voix nasillarde du carabinier Catarella. Tout cela sans rien de superflu mais avec un relief saisissant. Du grand art qui bannit la boursouflure ou la prétention. J’ai une tendresse particulière pour la nouvelle qui donne son titre au recueil : La démission de Montalbano. C’est la réponse de l'auteur à ceux qui veulent une littérature formatée et soumise à la dictature de la mode. Il nous fait la démonstration de la facilité, comment avec quelques ficelles on peut appâter le lecteur, le mener par le bout du nez, en lui servant du suspens bon marché pimenté d’horreur. Et on comprend que cette écriture-là est indécente pour Camilleri, parce qu’elle trahit la personnalité de l’écrivain, étouffe toute originalité et tarit la véritable imagination. Il nous en donne une preuve éclatante avec une bonne humeur communicative.
  • mireille.lefustec 30/01/2018
    Edité en 1999 chez Mondadori, ce premier recueil de vingt ré cits est paru sur un autre titre. Ma déception a été le constat qu'il ne s'agit pas d'un roman. Il faut chaque fois quitter l'histoire et le lieu. La constante, c'est que Camilleri réussit, avec peu de mots, à cerner les événements et à décrire les personnages. Ce sont des histoires du quotidien qui parfois frôlent le surréel. Un autre constante : le soleil brûlant, les plages enchanteresses, les places où on se rassemble pour bavarder. On les retrouve dans toute l'oeuvre de l'auteur.
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