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La disparue du Père-Lachaise
Les enquêtes de Victor Legris
Date de parution : 01/09/2011
Éditeurs :
12-21

La disparue du Père-Lachaise

Les enquêtes de Victor Legris

Date de parution : 01/09/2011

Victor Legris est perplexe. Son ancienne maîtresse s’est volatilisée à la suite d’un étrange rendez-vous au cimetière du Père-Lachaise. Sa disparition aurait-elle un lien avec ce spiritisme tant en vogue,...

Victor Legris est perplexe. Son ancienne maîtresse s’est volatilisée à la suite d’un étrange rendez-vous au cimetière du Père-Lachaise. Sa disparition aurait-elle un lien avec ce spiritisme tant en vogue, dont elle était devenue adepte ? Dans le Paris gouailleur de 1890, où le crime pousse à chaque coin de...

Victor Legris est perplexe. Son ancienne maîtresse s’est volatilisée à la suite d’un étrange rendez-vous au cimetière du Père-Lachaise. Sa disparition aurait-elle un lien avec ce spiritisme tant en vogue, dont elle était devenue adepte ? Dans le Paris gouailleur de 1890, où le crime pousse à chaque coin de rue, Victor compte bien percer tous les mystères…

« Victor Legris, libraire rue des Saints-Pères, excelle à dénouer les écheveaux de la vie. »
Daniel Garcia, Le Nouvel Observateur

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EAN : 9782264055156
Code sériel : 3506
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782264055156
Code sériel : 3506
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • evelynepapillard 17/02/2024
    Un petit roman policier bien sympathique , comme je les aime,sans descriptions horribles et sans monstre psychotique,on ne plonge pas au coeur des ténèbres insondables, encore que,pour sûr, occire son prochain ne soit pas une solution très sage pour résoudre ses problèmes quels qu'ils soient. L'atmosphère des petites gens à la fin du 19 ème siècle à Paris est assez bien rendue,le contexte historique aussi, d'autant plus qu'il est explicité dans la postface. J'ai trouvé par contre le tout assez emberlificoté, j'aurais préféré je pense une énigme racontée de façon plus linéaire. Néanmoins je suis plutôt satisfaite de cette lecture pas prise de tête. Ça fait du bien aussi de se faire plaisir,juste plaisir.
  • VirginieDoucet 28/02/2022
    C'est dans le Paris fin de siècle (1890) que Claude Izner (alias les sœurs Liliane Korb et Laurence Lefèvre) installe le décor de son enquête ; ça sent l'absinthe, le gros vin, le ragoût et ça parle avec l'accent parigot. On imagine le Sacré Cœur en construction, la toute neuve Tour Eiffel et une ville encore un peu médiévale, entourée d'une ceinture verte commençant déjà à Belleville. Victor Legris tient la librairie de son père adoptif, le Japonais Kenji Mori, avec l'aide du jeune et fidèle Joseph. C'est dans cet antre de la littérature et du roman policier que débarque Denise, la bonne d'une ancienne maîtresse. Ne connaissant que lui à Paris, celle-ci s'adresse à Victor suite à la mystérieuse disparition de sa maîtresse lors d'une visite au cimetière du Père-Lachaise. La jeune femme pense être en danger et s'inquiète du fait que sa patronne soit tombée sous la coupe de voyants et autres médiums. Victor ne se tracasse que moyennement de ce récit, trop occupé par son histoire d'amour avec la jolie peintre russe Tasha. Cependant, lorsque Denise disparait à son tour, l'inquiétude le saisit et il se lance dans une enquête, à la recherche de ces femmes. Au fil de l'histoire, les cadavres s'accumulent, les agressions s'enchaînent et le mystère s'épaissit, plongeant dans le monde du spiritisme et traversant l'océan direction le canal de Panama en pleine construction. L'intrigue est prenante, l'écriture fluide et amusante, les personnages attachants, le dénouement un peu soudain peut-être. Les autrices instillent un discours féministe au fil des dialogues et parviennent à emmener le lecteur dans un voyage dans le temps tout en clôturant d'intelligente façon par un épilogue nous décrivant les conditions de vie du Paris de cette époque.C'est dans le Paris fin de siècle (1890) que Claude Izner (alias les sœurs Liliane Korb et Laurence Lefèvre) installe le décor de son enquête ; ça sent l'absinthe, le gros vin, le ragoût et ça parle avec l'accent parigot. On imagine le Sacré Cœur en construction, la toute neuve Tour Eiffel et une ville encore un peu médiévale, entourée d'une ceinture verte commençant déjà à Belleville. Victor Legris tient la librairie de son père adoptif, le Japonais Kenji Mori, avec l'aide du jeune et fidèle Joseph. C'est dans cet antre de la littérature et du roman policier que débarque Denise, la bonne d'une ancienne maîtresse. Ne connaissant que lui à Paris, celle-ci s'adresse à Victor suite à la mystérieuse disparition de sa maîtresse lors d'une visite au cimetière du Père-Lachaise. La jeune femme pense être en danger et s'inquiète du fait que sa patronne soit tombée sous la coupe de voyants et autres médiums. Victor ne se tracasse que moyennement de ce récit, trop occupé par son histoire d'amour avec la jolie peintre russe Tasha. Cependant, lorsque Denise disparait à son tour, l'inquiétude le saisit et il se lance dans une enquête, à la recherche de ces femmes. Au fil de...
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  • cvd64 21/04/2021
    La nouvelle enquête de Victor Legris est rondement menée, avec toujours ses acolytes du moment ou plus anciens. On déambule dans le Père Lachaise (que je connais et visite régulièrement pour y avoir des ascendants depuis 1863) mais aussi dans le Paris de fin de siècle (19ème); en perpétuel mouvement et modernisation, avec selon les quartiers plus ou moins de de volonté politique. On entre de plain-pied dans le sujet du spiritisme qui est en vogue à cette époque et qui va être le fil rouge du récit, mais Victor Legris, amoureux des arts, nous invite auprès des peintres et des auteurs qu'il met en avant dans sa librairie.
  • franksinatra 01/07/2020
    En 1890, Victor Legris est libraire à Paris et féru de littérature policière. En cette fin de siècle, le spiritisme est très en vogue et fait même des adeptes parmi les intellectuels comme Victor Hugo ou Arthur Conan Doyle. Aussi lorsque la petite bonne de son ancienne maîtresse, Odette de Valois, vient lui demander son aide pour retrouver sa patronne disparue au Père Lachaise alors qu'elle s'apprêtait à entrer en contact avec son époux mort de la fièvre jaune au Panama quelque mois auparavant en participant au percement du canal, il n'hésite pas une seconde et se lance, en compagnie de son jeune garçon de course Joseph et au grand dam de son amoureuse Tasha, une jeune exilée ukrainienne., peintre indépendante et moderne pour l'époque, à sa recherche. Dans les rues bruyantes de la capitale, entre les cris des petits marchands et des vendeurs de journaux, le martèlement des sabots des chevaux et le claquement des fouets des cochers de fiacre, il va affronter un adversaire, coupable de quatre meurtres, bien plus proche de lui qu'il ne l'aurait imaginer. Les deux soeurs qui officient sous le pseudonyme de Claude Izner ont créé un nouveau détective dans la lignée du héros d'Emile Gaboriau. Elles s'attachent aux détails de l'enquête avec finesse tout en dressant un portrait réaliste de la société parisienne de la fin du XIXème siècle, celle dans laquelle les nantis portent le haut de forme et le frac , et leurs dames, qui se sont débarrassées de la crinoline, le corset et au côté desquels les ouvriers et petites gens triment jusqu'à dix-huit par jour pour des salaires de misère sans jour de repos.En 1890, Victor Legris est libraire à Paris et féru de littérature policière. En cette fin de siècle, le spiritisme est très en vogue et fait même des adeptes parmi les intellectuels comme Victor Hugo ou Arthur Conan Doyle. Aussi lorsque la petite bonne de son ancienne maîtresse, Odette de Valois, vient lui demander son aide pour retrouver sa patronne disparue au Père Lachaise alors qu'elle s'apprêtait à entrer en contact avec son époux mort de la fièvre jaune au Panama quelque mois auparavant en participant au percement du canal, il n'hésite pas une seconde et se lance, en compagnie de son jeune garçon de course Joseph et au grand dam de son amoureuse Tasha, une jeune exilée ukrainienne., peintre indépendante et moderne pour l'époque, à sa recherche. Dans les rues bruyantes de la capitale, entre les cris des petits marchands et des vendeurs de journaux, le martèlement des sabots des chevaux et le claquement des fouets des cochers de fiacre, il va affronter un adversaire, coupable de quatre meurtres, bien plus proche de lui qu'il ne l'aurait imaginer. Les deux soeurs qui officient sous le pseudonyme de Claude Izner ont créé un nouveau détective dans la lignée du héros...
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  • Peteplume 18/05/2020
    Ce n'est pas en experte des romans policiers que j'énonce mon jugement mais son intrigue m'a paru bien compliquée et le dénouement rapidement expédié. En outre, les mobiles des crimes auxquels nous assistons avec impuissance me semblent bien minces en regard de leur sordidité. Et que dire des personnages on ne peut plus caricaturaux… Ceci et cela ont ôté, à mon sens, toute crédibilité à l'assassin. Tout l'intérêt du roman réside dans l'ambiance fin-de-siècle (le XIXè) plutôt bien campée même si j'ai été souvent agacée par l'accumulation de détails pittoresques avec l'intention claire de recréer le réalisme. Quand ces détails étaient assortis de notes en bas de page, mon agacement allait à son comble… Il est clair que les autrices se sont bien documentées et la postface — qui donne un idée générale des conditions de vie de la classe la plus démunie au détriment de laquelle les plus nantis vivaient leur Belle Époque — en témoigne assez largement. « Le jupon dépasse ». En bref, de bonnes choses mais une déception sur le plan littéraire.
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