« La saga dHagen est un prodige daisance. Pas de pathos, ce quil faut dironie, une manière percutante de construire les personnages, des rebondissements constants, on ne lâche pas les Lament. Très habile aussi, la façon dexposer en filigrane lévolution des murs des années 50 aux années 70, de la condition de la femme aux amours adolescentes en passant par les droits civiques. Et que dire de cette maîtrise et de cette légèreté pour traiter linterrogation la plus grave, celle de lidentité ? En résumé, ce premier roman est bluffant. »
Marie-Françoise Leclère - Le Point
« La verve tendre de lauteur, dont cest le premier roman, fait rire et fait pleurer. On aime ses personnages cocasses, son il perspicace, sa façon de parler des paysages et des gens, sa manière de se déplacer. Pleine de surprises et de détours, son histoire de déménagements vaut vraiment le voyage. »
Jeanne de Ménibus - Madame Figaro
« Aux États-Unis comme en Europe, les critiques saluent parfois les nouveaux talents en les rangeant sous le patronage dun écrivain universellement connu. [
] En matière daffinités littéraires, George Hagen [
] lorgne plutôt vers Charles Dickens, John Irving, ou le jeune et turbulent Irlandais Roddy Doyle. »
Philippe Delaroche - Lire
« Difficile de ne pas penser à John Irving en lisant le premier roman de George Hagen, La Famille Lament. Mais comme rares sont les écrivains à avoir suivi la voie chatoyante tracée par lauteur du Monde selon Garp et de LHôtel New Hampshire, on ne boudera pas son plaisir. Quadragénaire new-yorkais au passé bourlingueur [
], Hagen déploie les mêmes trésors dimagination que son aîné, pour décrire la vie échevelée dune famille hors normes [
]. »
Philippe Chevilley - Les Echos
« Romancier naturel à la narration entraînante et au poignet souple, George Hagen nous promène tout au long dun coup dessai alerte et sympathique. »
Alexandre Fillon - Livres Hebdo
« Il est des récits épiques qui se lisent dune traite. On sattache donc vite à cette famille Lament, que lon suit de la Rhodésie au New Jersey, en passant par lAngleterre. On sy attache parce que George Hagen sait conter avec sensibilité et humour ses pérégrinations, ses bonheurs et ses malheurs, sa quête didentité et de racines. »
François Bourboulon - Métro
« Une quête éperdue mais drôlissime deux-mêmes, et un livre magnifique, drôle, intelligent, subtil, une espèce dépopée tragi-comique dans la fin du XXe siècle, bref un régal. »
Sophie de Heredia - Cosmopolitan
« On évoquera linfluence de Garcia Marquez ou de John Irving sur Hagen, sous prétexte que lauteur dun premier roman si abouti ne peut pas sêtre passé de maîtres. De fait, il partage avec eux une aptitude à laisser en friche de vastes espaces narratifs lorsque le moment est venu daccélérer laction, et à grossir au millième un détail insignifiant lorsque lenvie len prend, comme par caprice [
]. Cest de parenté plutôt que dinfluence quil sagit : Hagen a rejoint la famille des grands conteurs à travers les siècles. Vive le fils prodigue ! »
Tibo Bérard - Topo
« La Famille Lament est un superbe roman sur la famille, lémigration, lidentité et la lutte pour lacquérir et la garder. Cest aussi un livre palpitant et très, très drôle. »
Roddy Doyle
« Larrivée de George Hagen sur la scène littéraire est une bénédiction pour les lecteurs du monde entier. »
The New York Times Book Review
« Un formidable premier roman sur une famille inoubliable. Hagen dresse le portrait affectueux et bienveillant de personnages plus vrais que nature. »
The New York Times