Lisez! icon: Search engine
La Famille Lament
Pierre Furlan (traduit par)
Date de parution : 29/08/2013
Éditeurs :
Belfond

La Famille Lament

Pierre Furlan (traduit par)
Date de parution : 29/08/2013

L'arrivée tonitruante d'une nouvelle voix dans la littérature américaine ; un auteur d'ores et déjà comparé à John Irving et à Jonathan Franzen. Un roman-fleuve, épique et picaresque, porté par une...

L'arrivée tonitruante d'une nouvelle voix dans la littérature américaine ; un auteur d'ores et déjà comparé à John Irving et à Jonathan Franzen. Un roman-fleuve, épique et picaresque, porté par une écriture lumineuse, poétique et subtile.

En Afrique du Sud, dans les années 50, Howard rencontre Julia : il est chercheur dans...

L'arrivée tonitruante d'une nouvelle voix dans la littérature américaine ; un auteur d'ores et déjà comparé à John Irving et à Jonathan Franzen. Un roman-fleuve, épique et picaresque, porté par une écriture lumineuse, poétique et subtile.

En Afrique du Sud, dans les années 50, Howard rencontre Julia : il est chercheur dans les valves ; elle est peintre sur un pont. Très vite, ils se marient ; très vite, elle est enceinte. Le destin des Lament est en marche.
Suite à une série d'aventures rocambolesques, les jeunes parents perdent leur bébé. Mais en gagnent un autre : Will, orphelin au c¿ur fragile, farouchement attaché à la vie et à ses nouveaux parents.
La famille s'agrandit avec l'arrivée de jumeaux. Et, parce que « Les Lament voyagent », comme se plaît à le répéter Howard, toute la maisonnée part à l'aventure, rêvant de paysages somptueux et de découvertes éblouissantes.

De la Rhodésie au New Jersey en passant par l'Angleterre ; de l'insouciance de l'après-guerre à l'explosion des années 70 ; de rencontres en fâcheries, d'espérances en désenchantements, d'histoires d'amour en drames, les Lament voyagent encore et toujours, en quête d'un endroit où ils auraient enfin leur place.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782714457097
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714457097
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

« La saga d’Hagen est un prodige d’aisance. Pas de pathos, ce qu’il faut d’ironie, une manière percutante de construire les personnages, des rebondissements constants, on ne lâche pas les Lament. Très habile aussi, la façon d’exposer en filigrane l’évolution des mœurs des années 50 aux années 70, de la condition de la femme aux amours adolescentes en passant par les droits civiques. Et que dire de cette maîtrise et de cette légèreté pour traiter l’interrogation la plus grave, celle de l’identité ? En résumé, ce premier roman est bluffant. »
Marie-Françoise Leclère - Le Point

« La verve tendre de l’auteur, dont c’est le premier roman, fait rire et fait pleurer. On aime ses personnages cocasses, son œil perspicace, sa façon de parler des paysages et des gens, sa manière de se déplacer. Pleine de surprises et de détours, son histoire de déménagements vaut vraiment le voyage. »
Jeanne de Ménibus - Madame Figaro

« Aux États-Unis comme en Europe, les critiques saluent parfois les nouveaux talents en les rangeant sous le patronage d’un écrivain universellement connu. […] En matière d’affinités littéraires, George Hagen […] lorgne plutôt vers Charles Dickens, John Irving, ou le jeune et turbulent Irlandais Roddy Doyle. »
Philippe Delaroche - Lire

« Difficile de ne pas penser à John Irving en lisant le premier roman de George Hagen, La Famille Lament. Mais comme rares sont les écrivains à avoir suivi la voie chatoyante tracée par l’auteur du Monde selon Garp et de L’Hôtel New Hampshire, on ne boudera pas son plaisir. Quadragénaire new-yorkais au passé bourlingueur […], Hagen déploie les mêmes trésors d’imagination que son aîné, pour décrire la vie échevelée d’une famille hors normes […]. »
Philippe Chevilley - Les Echos

« Romancier naturel à la narration entraînante et au poignet souple, George Hagen nous promène tout au long d’un coup d’essai alerte et sympathique. »
Alexandre Fillon - Livres Hebdo

« Il est des récits épiques qui se lisent d’une traite. On s’attache donc vite à cette famille Lament, que l’on suit de la Rhodésie au New Jersey, en passant par l’Angleterre. On s’y attache parce que George Hagen sait conter avec sensibilité et humour ses pérégrinations, ses bonheurs et ses malheurs, sa quête d’identité et de racines. »
François Bourboulon - Métro

« Une quête éperdue mais drôlissime d’eux-mêmes, et un livre magnifique, drôle, intelligent, subtil, une espèce d’épopée tragi-comique dans la fin du XXe siècle, bref un régal. »
Sophie de Heredia - Cosmopolitan

« On évoquera l’influence de Garcia Marquez ou de John Irving sur Hagen, sous prétexte que l’auteur d’un premier roman si abouti ne peut pas s’être passé de maîtres. De fait, il partage avec eux une aptitude à laisser en friche de vastes espaces narratifs lorsque le moment est venu d’accélérer l’action, et à grossir au millième un détail insignifiant lorsque l’envie l’en prend, comme par caprice […]. C’est de parenté plutôt que d’influence qu’il s’agit : Hagen a rejoint la famille des grands conteurs à travers les siècles. Vive le fils prodigue ! »
Tibo Bérard - Topo

« La Famille Lament est un superbe roman sur la famille, l’émigration, l’identité et la lutte pour l’acquérir et la garder. C’est aussi un livre palpitant et très, très drôle. »
Roddy Doyle

« L’arrivée de George Hagen sur la scène littéraire est une bénédiction pour les lecteurs du monde entier. »
The New York Times Book Review

« Un formidable premier roman sur une famille inoubliable. Hagen dresse le portrait affectueux et bienveillant de personnages plus vrais que nature. »
The New York Times

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • alexandra1967 07/10/2022
    (juillet 2006) L'Histoire commence en Afrique du Sud, dans les années 50, où Howard, chercheur idéaliste dans les valves, épouse Julia, peintre amateur, jeune femme bien élevée mais rebelle. De l’Afrique du Sud au New Jersey en passant par l'Angleterre, Howard, Julia et leurs trois enfants voyagent leur vie au gré des opportunités professionnelles, entre insouciance de l'après-guerre et explosion des années 70. J'ai aimé ce livre Ce récit de vies qui voyagent est doux tant sa tonalité semble légère. Tu n'oses pas prendre partie car ce serait comme ne plus prendre la vie comme elle vient, comme elle t'offre, comme tu lui ouvres tes horizons. Et pourtant … Que d'idéaux bafoués sous-tendent cette succession de petits quotidiens comme autant d'anecdotes de voyages : oui les Lament voyagent et s'intègrent en écho douloureux au refus d'ouverture des civilisations conquérantes à la veille de la mondialisation … En filigrane de l'histoire qui est simple et amusante, drôle et mélancolique, écrite sans phrases ampoulées ni effets de style surannés, les fondations du drame de notre réalité sociale d'aujourd'hui sont méticuleusement bâties. Les Lament sont bel et bien des étrangers, où qu'ils se trouvent, ils sont seuls face à une société ultra conservatrice et raciste. Pourtant, jamais le récit ne tombe dans une histoire terne et désenchantée, les pires horreurs sont dédramatisées. La résignation n'a pas sa place chez les Lament, qui gardent la tête relevée – chacun à sa manière grandissante - malgré les difficultés qui s’accumulent. Si le bonheur et la tristesse vont de pair, gardons à l'esprit que le meilleur est toujours à venir. Vous l'aimerez aussi Curieux de l’évolution des mœurs des années 50 - 70, du rêve américain des droits civiques et de la liberté de pensée, Convaincus que l'avenir repose sur l'ouverture et l'intégration, et que le racisme et la discrimination sont les pré-requis de toute décadence historique, Courageux aux idées neuves prônant l'amélioration constructive de la condition de la femme et la compréhension de la dépression, Vous serez touché par Will, l'orphelin adopté, qui incarne la quête de sa place en toute géographie culturelle ou familiale; par les jumeaux, parce qu'ils sont deux, qui avancent et grandissent en dépit de tout, aussi attachants et frais que miraculeusement originaux et indépendants; par Howard carriériste mais idéaliste, génial mais chômeur; par Julia femme moderne et pilier du foyer en proie elle aussi à son démon de mère; par cette dernière qui voyage à outrance pour nourrir ses intolérances. A quelles autres œuvres cela me fait-il penser ? Pour un regard caricatural sur ce que peut être une vie étriquée sans curiosité dans une seule géographie : L'étourdissement, Joël Egloff. Pour la traversée d'époques et de mœurs, pour Will l'orphelin, pour ce qui est mauvais un jour et bon le lendemain : L'œuvre de Dieu et la part du Diable, John Irving. Pour ces sociétés que l'on regarde faire sans rien y faire vraiment, pour ces comportements culturels qu'il serait prudent de combattre, même si l'on n'en meurt pas (immédiatement) de ne pas le faire : Les cerfs-volants de Kaboul, Khaled Hosseini. Et sur les façons - m'étant apparues comme une pratique de la PNL (Programmation Neuro-Linguistique) - dont Will traite ces inévitables deuils liés au voyage : Un cerveau pour changer, Richard Bandler. (juillet 2006) L'Histoire commence en Afrique du Sud, dans les années 50, où Howard, chercheur idéaliste dans les valves, épouse Julia, peintre amateur, jeune femme bien élevée mais rebelle. De l’Afrique du Sud au New Jersey en passant par l'Angleterre, Howard, Julia et leurs trois enfants voyagent leur vie au gré des opportunités professionnelles, entre insouciance de l'après-guerre et explosion des années 70. J'ai aimé ce livre Ce récit de vies qui voyagent est doux tant sa tonalité semble légère. Tu n'oses pas prendre partie car ce serait comme ne plus prendre la vie comme elle vient, comme elle t'offre, comme tu lui ouvres tes horizons. Et pourtant … Que d'idéaux bafoués sous-tendent cette succession de petits quotidiens comme autant d'anecdotes de voyages : oui les Lament voyagent et s'intègrent en écho douloureux au refus d'ouverture des civilisations conquérantes à la veille de la mondialisation … En filigrane de l'histoire qui est simple et amusante, drôle et mélancolique, écrite sans phrases ampoulées ni effets de style surannés, les fondations du drame de notre réalité sociale d'aujourd'hui sont méticuleusement bâties. Les Lament sont bel et bien des étrangers, où qu'ils se trouvent, ils sont seuls face à une société ultra conservatrice et raciste....
    Lire la suite
    En lire moins
  • Aline1102 19/02/2021
    Dans la famille Lament, on voyage beaucoup. Vraiment beaucoup. Howard, le père de famille, ingénieur spécialisé en valves, aime changer de métier et tenter de trouver LE poste parfait pour ses compétences (car Howard est brillant, il faut le reconnaître). Malheureusement pour lui, au fur et à mesure de ses pérégrinations, ses espoirs de trouver l'emploi idéal s'amenuisent de plus en plus. Julia, son épouse, et leurs trois enfants, Will, Julius et Marcus sont bien forcés de suivre Howard dans tous les pays dans lesquels ce dernier décide d'installer (pour un temps au moins), sa petite famille. Et comme Julia s'en rend compte, à chaque déménagement, la famille Lament perd quelque chose. Les drames sont donc aussi nombreux que les déménagements dans cette sympathique famille. Et j'avoue que le dernier drame vécu par la famille, à savoir [masquer] le décès des jumeaux, Julius et Marcus, [/masquer] m'a laissée un peu perplexe, en me donnant l'impression d'une fin bâclée par l'auteur. Jusque là, le récit, quoique très long, était resté agréable à suivre et l'évolution des personnages était logique. Et puis, d'un coup, les choses s'emballent et [masquer] les jumeaux meurt écrasés par une voiture en plein blizzard. [/masquer] C'est presque comme si George Hagen, ne sachant pas comment boucler le destin de ses personnages, avait décidé de [masquer] se débarrasser de deux d'entre eux, afin de se faciliter la tâche... [/masquer] Malgré ce petit bémol, c'était une belle lecture, amusante et émouvante, avec des personnages imparfaits et attachants.Dans la famille Lament, on voyage beaucoup. Vraiment beaucoup. Howard, le père de famille, ingénieur spécialisé en valves, aime changer de métier et tenter de trouver LE poste parfait pour ses compétences (car Howard est brillant, il faut le reconnaître). Malheureusement pour lui, au fur et à mesure de ses pérégrinations, ses espoirs de trouver l'emploi idéal s'amenuisent de plus en plus. Julia, son épouse, et leurs trois enfants, Will, Julius et Marcus sont bien forcés de suivre Howard dans tous les pays dans lesquels ce dernier décide d'installer (pour un temps au moins), sa petite famille. Et comme Julia s'en rend compte, à chaque déménagement, la famille Lament perd quelque chose. Les drames sont donc aussi nombreux que les déménagements dans cette sympathique famille. Et j'avoue que le dernier drame vécu par la famille, à savoir [masquer] le décès des jumeaux, Julius et Marcus, [/masquer] m'a laissée un peu perplexe, en me donnant l'impression d'une fin bâclée par l'auteur. Jusque là, le récit, quoique très long, était resté agréable à suivre et l'évolution des personnages était logique. Et puis, d'un coup, les choses s'emballent et [masquer] les jumeaux meurt écrasés par une voiture en plein blizzard. [/masquer] C'est presque comme si George...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Flocava1 30/10/2020
    J’avais énormément aimé à sa sortie ce livre surprenant, drôle et sarcastique en même temps dramatique. Un regard et une plume décalées
  • Jeup 13/05/2020
    Saga familiale : histoire de Will Lament entre sa naissance et ses dix huit ans. Howard est un jeune ingénieur en valves et tuyauteries qui rêve d'irriguer le Sahara, Julia, sa femme est artiste, rebelle parfois professeure. Ils forment un couple excentrique, amoureux, unis pour se lancer dans une vie enthousiaste et aventureuse. Un rocambolesque passage à la maternité en Rhodésie, les amène à adopter Will. C'est avec ce garçon qu'ils vont affronter la dure réalité d'un univers compliqué pour ceux qui se sentent différents. L'ennui, le désir d'une vie meilleure, vont conduire la famille au Bahrein, en Angleterre puis aux Etats-Unis. Partout un même constat : ils sont étrangers. Ils sont ceux qui ne sont pas d'ici. L'évolution de la famille (arrivée de jumeaux, amitiés diverses, évolution du couple, emplois différents...) décline la question lancinante du sens de la vie. Pour vivre, pour se faire une place, jusqu'où peut-on faire des concessions ? À qui ? Peut-on oublier ses convictions, abandonner ses rêves où les revendiquer et se retrouver seul ? A travers l'histoire de Will, enfant nomade, je lis une réflexion sur l'errance, sur l'attachement. Qu'est-ce qui nous rapproche des autres ? Qu'est-ce qu'une famille ? Sur quoi reposent les liens? Le roman est plaisant à lire, les personnages sont attachants, le ton suffisamment léger permet de surmonter les drames qui émaillent le périple de la famille Lament. Saga familiale : histoire de Will Lament entre sa naissance et ses dix huit ans. Howard est un jeune ingénieur en valves et tuyauteries qui rêve d'irriguer le Sahara, Julia, sa femme est artiste, rebelle parfois professeure. Ils forment un couple excentrique, amoureux, unis pour se lancer dans une vie enthousiaste et aventureuse. Un rocambolesque passage à la maternité en Rhodésie, les amène à adopter Will. C'est avec ce garçon qu'ils vont affronter la dure réalité d'un univers compliqué pour ceux qui se sentent différents. L'ennui, le désir d'une vie meilleure, vont conduire la famille au Bahrein, en Angleterre puis aux Etats-Unis. Partout un même constat : ils sont étrangers. Ils sont ceux qui ne sont pas d'ici. L'évolution de la famille (arrivée de jumeaux, amitiés diverses, évolution du couple, emplois différents...) décline la question lancinante du sens de la vie. Pour vivre, pour se faire une place, jusqu'où peut-on faire des concessions ? À qui ? Peut-on oublier ses convictions, abandonner ses rêves où les revendiquer et se retrouver seul ? A travers l'histoire de Will, enfant nomade, je lis une réflexion sur l'errance, sur l'attachement. Qu'est-ce qui nous rapproche des autres ? Qu'est-ce qu'une famille ? Sur quoi reposent les liens? Le roman est plaisant à lire,...
    Lire la suite
    En lire moins
  • VALENTYNE 28/03/2020
    Tout commence dans les années 50 en Rhodésie du Sud (actuel Zimbabwé) Nous découvrons à la maternité Julia Lament (et Howard, son mari, et le bébé qui n'a pas encore de nom) Après un rebondissement que je ne citerai pas (mais qui m'a fait venir les larmes aux yeux), la jeune famille part à Bahrein pour le métier de Howard, ingénieur. Julia élève le petit Will, 3 ans, et se lie d'amitié avec une américaine, Trixie, qui a un fils du même âge. A peine arrivé à un poste, Howard a la bougeotte et envisage un nouveau pays. Ce sera ensuite la Rhodésie du Nord juste avant son indépendance pour devenir la Zambie, l'Angleterre, les USA. La famille s'agrandit... La vie de cette famille est toute simple, parfois drôle, parfois triste ...chaque déménagement est à la fois une aventure et une perte d'amitié. J'ai beaucoup aimé cette famille « normale » à qui je me suis attachée.. 18 ans d'une vie avec des événements historiques en filigrane afin de se situer dans le temps. La quatrième de couverture salue ce premier roman de l'écrivain George Hagen en le comparant à John Irving. J'adhère à cette comparaison, on sent que l'auteur a mis de « l'âme » et de « l'amour » dans tout ce petit monde ....Tout commence dans les années 50 en Rhodésie du Sud (actuel Zimbabwé) Nous découvrons à la maternité Julia Lament (et Howard, son mari, et le bébé qui n'a pas encore de nom) Après un rebondissement que je ne citerai pas (mais qui m'a fait venir les larmes aux yeux), la jeune famille part à Bahrein pour le métier de Howard, ingénieur. Julia élève le petit Will, 3 ans, et se lie d'amitié avec une américaine, Trixie, qui a un fils du même âge. A peine arrivé à un poste, Howard a la bougeotte et envisage un nouveau pays. Ce sera ensuite la Rhodésie du Nord juste avant son indépendance pour devenir la Zambie, l'Angleterre, les USA. La famille s'agrandit... La vie de cette famille est toute simple, parfois drôle, parfois triste ...chaque déménagement est à la fois une aventure et une perte d'amitié. J'ai beaucoup aimé cette famille « normale » à qui je me suis attachée.. 18 ans d'une vie avec des événements historiques en filigrane afin de se situer dans le temps. La quatrième de couverture salue ce premier roman de l'écrivain George Hagen en le comparant à John Irving. J'adhère à cette comparaison, on sent que l'auteur a mis de « l'âme » et de « l'amour »...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous et recevez toute l'actualité des éditions Belfond
Découvrez les auteurs en vogue et les nouveautés incontournables de la scène internationale.