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La ferme de cousine Judith
Iris Catella (traduit par), Marie-Thérèse Baudron (traduit par)
Collection : Belfond Vintage
Date de parution : 09/06/2016
Éditeurs :
Belfond

La ferme de cousine Judith

Iris Catella (traduit par), Marie-Thérèse Baudron (traduit par)
Collection : Belfond Vintage
Date de parution : 09/06/2016
Dans l’Angleterre du début du XXe siècle, les aventures désopilantes de Flora Poste, jeune orpheline déterminée à transformer les vies chaotiques des excentriques cousins qui l’hébergent dans leur ferme décrépite, au fin fond du Sussex. Œuvre culte au Royaume-Uni dès sa parution en 1932, La Ferme de cousine Judith dresse l’irrésistible portrait des travers et petites médiocrités de la middle-class, avec un charme et une ironie so british qui rappellent Jane Austen.
Alors qu’elle a toujours vécu dans l’opulence de la bonne société londonienne, Flora Poste se retrouve à tout juste vingt ans à la fois orpheline et pauvre. Contre l’avis de... Alors qu’elle a toujours vécu dans l’opulence de la bonne société londonienne, Flora Poste se retrouve à tout juste vingt ans à la fois orpheline et pauvre. Contre l’avis de son amie Mrs Smiling qui la pousse à trouver un emploi, Flora choisit ce que lui dicte la raison :... Alors qu’elle a toujours vécu dans l’opulence de la bonne société londonienne, Flora Poste se retrouve à tout juste vingt ans à la fois orpheline et pauvre. Contre l’avis de son amie Mrs Smiling qui la pousse à trouver un emploi, Flora choisit ce que lui dicte la raison : abuser de la générosité de cousins éloignés.
 Et c’est ainsi que Flora fait la connaissance des Starkadders : cousine Judith, constamment déprimée par une faute secrète ; son mari Amos, médiocre fermier qui enflamme les foules en les menaçant de la damnation éternelle ; leurs trois enfants, le très lascif Seth, instrument de perdition pour toutes les jeunes filles de la région, l’ambitieux Reuben, bien décidé à reprendre la ferme et la jeune Elfine, qui passe ses journées en jupon dans les bois à réciter des poèmes ; et puis, celle qui mène la ferme à la baguette lors même qu’elle n’a pas quitté sa chambre depuis vingt ans, la terrifiante tante Ada Doom.
 
Face à ce sommet de chaos et d’hystérie, armée de son seul bon sens et de son livre de chevet, Les Pensées de l’abbé Fausse-Maigre, Flora va entreprendre de transformer la vie des Starkadders, pour leur bien et surtout pour le sien…
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EAN : 9782714473387
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714473387
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Prailie 16/11/2023
    Ah, ces romancières anglaises des années trente et quarante ( juste avant qu’elles ne basculent toutes dans le polar)! On se laisse irrésistiblement prendre au charme et à l’ironie des premières lignes. Exemples: «Elle avait la réputation de posséder la plus belle et la plus importante collection de soutiens-gorges au monde, et l’on espérait qu’à sa mort elle la lèguerait à l’Etat ». Ou: « Souvenez-vous, Mary, qu’à présent je n’ai plus que cent livres par an, et que je ne sais pas jouer au bridge ». Ou encore: « Mary, vous savez bien que j’ai horreur des soirées. Je me représente l’enfer comme une grande salle de réception dans une pièce froide, où tout le monde doit jouer au hockey comme il faut ». Parce qu’on en a déjà lu plusieurs dans ce genre -là, on croit que ce roman anglais des années 30 sera plus ou moins à l’image des autres: un séduisant cocktail d’humour, d’ironie, d’understatement… En tout cas le ton semble donné : Flora , le personnage principal, est très jeune (19 ans), très désargentée, très anticonformiste. Son projet de vie est d’écrire un roman à la Jane Austen et - en attendant d’avoir acquis l’expérience nécessaire - de vivre en parasite chez des cousins. Son choix se porte sur une parente du Sussex, propriétaire d’un nom et d’une adresse lugubres : en français quelque chose comme Mrs J. Rudvipère, La Ferme du Froid Accueil, Hululant, Sussex. Hélas, au chapitre III, cela se gâte: on bascule en effet dans le roman rural, mais très très dépréciatif. Car tout semble au-delà du lugubre et de l’inquiétant chez ces paysans du Sussex. Non seulement le nom de l’un des bœufs de labour (Arsenic), le nom du cheval (Vipère), non seulement les noms des vaches ( Disgracieuse, Paresseuse, Insoucieuse et Dédaigneuse), mais jusqu’au porridge en train de cuire (« Le porridge fit un saut plein de sous-entendus menaçants ») Au secours! Où sont passés l’ironie et l’understatement si typiquement anglais, où se sont-ils enfuis? On est soit dans un Dracula, soit dans la franche caricature!!! On croyait le pince-sans-rire anglais un peu plus… «juste un nuage de lait dans ma tasse de thé, s’il vous plaît ..». Mais il se trouve que la jeune Flora, oubliant son lointain projet de roman à la Jane Austen, décide de prendre en main toute la maisonnée, et de faire le bonheur d’à peu près tout le monde: depuis la jeune et ravissante beauté sauvageonne jusqu’au prêcheur hanté par les flammes de l’enfer, en passant par l’imposant taureau «Grosbonnet », qu’elle rend à ses prairies et aux douces prémices du printemps… Donc un roman conte de fées en milieu rural hostile, mais où l’héroine serait celle qui détient la baguette magique, et non la traditionnelle jeune fille asservie. Un peu comme dans «Ces Dames au chapeau vert » de Germaine Acremant [[ un vrai petit bonbon de roman celui-là! Pour moi, un immense souvenir de lecture, dans mes très jeunes années]] : par une espièglerie du sort, l’ irruption miraculeuse d’une moderne jeune femme destinée à remettre de l’ordre, de la vie, dans une maison qui , en l’occurrence, depuis des décennies vivait sous la coupe d’un vieux tyran féminin enkysté dans sa névrose. Ah, ces romancières anglaises des années trente et quarante ( juste avant qu’elles ne basculent toutes dans le polar)! On se laisse irrésistiblement prendre au charme et à l’ironie des premières lignes. Exemples: «Elle avait la réputation de posséder la plus belle et la plus importante collection de soutiens-gorges au monde, et l’on espérait qu’à sa mort elle la lèguerait à l’Etat ». Ou: « Souvenez-vous, Mary, qu’à présent je n’ai plus que cent livres par an, et que je ne sais pas jouer au bridge ». Ou encore: « Mary, vous savez bien que j’ai horreur des soirées. Je me représente l’enfer comme une grande salle de réception dans une pièce froide, où tout le monde doit jouer au hockey comme il faut ». Parce qu’on en a déjà lu plusieurs dans ce genre -là, on croit que ce roman anglais des années 30 sera plus ou moins à l’image des autres: un séduisant cocktail d’humour, d’ironie, d’understatement… En tout cas le ton semble donné : Flora , le personnage principal, est très jeune (19 ans), très désargentée, très anticonformiste. Son projet de vie est d’écrire un roman à la Jane Austen et - en attendant d’avoir acquis l’expérience nécessaire...
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  • Justine_of_Delaford 12/08/2023
    J’ai trouvé le roman très léger et sympathique, avec des tournures de phrases et une narration assez drôle, tout comme certains dialogues. Je pouvais imaginer le flegme anglais avec lequel Flora Poste interagissait avec les habitants de la ferme. Il faut dire qu’ils en tiennent une sacrée couche ! Une grand-mère recluse dans sa chambre depuis 20 ans et qui radote la même chose depuis des années, une jeune fille habillée en lutin qui déambule dans la nature en récitant des poèmes, des gaillards qui se poussent dans le puits, un coureur de jupons fan de cinéma, un fermier ambitieux dédié à son métier, un prédicateur qui inspire la terreur avec ses sermons à base de « bande de vers rampants, vous allez tous brûler dans les flammes de l’enfer ! »… Pas de doute, Flora a du boulot pour apprivoiser cette famille loufoque et la rendre convenable. J’ai beaucoup aimé le fait qu’elle s’immisce sans souci dans la vie des autres pour la changer, un peu comme Emma de Jane Austen 😉 Par contre, j’avoue avoir été un peu frustrée par la fin ^^ J'ai également regardé l'adaptation du roman dans la foulée, avec Kate Beckinsale (entre autres) : j'en parle sur mon blog ;) J’ai trouvé le roman très léger et sympathique, avec des tournures de phrases et une narration assez drôle, tout comme certains dialogues. Je pouvais imaginer le flegme anglais avec lequel Flora Poste interagissait avec les habitants de la ferme. Il faut dire qu’ils en tiennent une sacrée couche ! Une grand-mère recluse dans sa chambre depuis 20 ans et qui radote la même chose depuis des années, une jeune fille habillée en lutin qui déambule dans la nature en récitant des poèmes, des gaillards qui se poussent dans le puits, un coureur de jupons fan de cinéma, un fermier ambitieux dédié à son métier, un prédicateur qui inspire la terreur avec ses sermons à base de « bande de vers rampants, vous allez tous brûler dans les flammes de l’enfer ! »… Pas de doute, Flora a du boulot pour apprivoiser cette famille loufoque et la rendre convenable. J’ai beaucoup aimé le fait qu’elle s’immisce sans souci dans la vie des autres pour la changer, un peu comme Emma de Jane Austen 😉 Par contre, j’avoue avoir été un peu frustrée par la fin ^^ J'ai également regardé l'adaptation du roman dans la foulée, avec Kate Beckinsale (entre autres) : j'en...
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  • Michigan32 24/07/2023
    Flora est une jeune femme qui se retrouve au décès de ses parents avec une rente insuffisante pour subvenir à ses besoins. Elle pourrait trouver un travail ou se marier mais elle opte pour une 3e solution, vivre aux crochets de sa famille. Elle écrit à tous ses cousins et seuls les Starkadder qui exploitent une ferme dans le Sussex, acceptent de l'accueillir. Les Starkadder ne sont clairement pas les plus chics de la famille mais tant pis. Flora se donne une mission en arrivant sur place, les déniaiser un à un. Le charme de ce roman réside clairement dans le personnage de Flora qui ne doute jamais de rien et surtout pas d'elle même. Elle pourrait choisir la facilité en se prenant un mari mais opte finalement pour une voie bien plus compliquée. Les Starkader sont des rustres cloîtrés dans leur ferme sur ordre de la tante, Ada Doom, qui les a ainsi condamnés à une vie d'ermite. Petit à petit Flora va gagner la confiance de chacun et va les mener là où elle l'a décidé. Certains personnages sont vite brossés et on passe vite (voire pas du tout) sur certains aspects de l'histoire, notamment lorsque Flora opère. Mais cela reste une lecture charmante et drôle et je suis bien contente d'avoir enfin découvert ce livre. A noter la théorie très intéressante de l'un des personnages selon laquelle Branwell Brontë serait le véritable auteur des oeuvres de ses soeurs ! Flora est une jeune femme qui se retrouve au décès de ses parents avec une rente insuffisante pour subvenir à ses besoins. Elle pourrait trouver un travail ou se marier mais elle opte pour une 3e solution, vivre aux crochets de sa famille. Elle écrit à tous ses cousins et seuls les Starkadder qui exploitent une ferme dans le Sussex, acceptent de l'accueillir. Les Starkadder ne sont clairement pas les plus chics de la famille mais tant pis. Flora se donne une mission en arrivant sur place, les déniaiser un à un. Le charme de ce roman réside clairement dans le personnage de Flora qui ne doute jamais de rien et surtout pas d'elle même. Elle pourrait choisir la facilité en se prenant un mari mais opte finalement pour une voie bien plus compliquée. Les Starkader sont des rustres cloîtrés dans leur ferme sur ordre de la tante, Ada Doom, qui les a ainsi condamnés à une vie d'ermite. Petit à petit Flora va gagner la confiance de chacun et va les mener là où elle l'a décidé. Certains personnages sont vite brossés et on passe vite (voire pas du tout) sur certains aspects de l'histoire, notamment lorsque Flora opère. Mais cela...
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  • Kyokoandbooks 15/06/2022
    Dans le cadre du mois anglais, j'ai eu envie de découvrir ce roman que j'avais trouvé en boite à livre. La quatrième de couverture de ce roman paru en 1932 nous parle d'une œuvre culte au Royaume-Uni, d'un charme et d'une ironie so british qui rappellent Jane Austen… Alors évidemment, ça donne envie de se jeter dessus ! Flora Poste est une jeune orpheline, malheureusement désargentée. Mais travailler pour gagner sa vie ? Très peu pour elle ! Décidée à vivre aux crochets de sa famille, elle jette son dévolu sur ses cousins Starkadders, qui vivent dans une ferme au fin fond du Sussex. Mais Flora a bien l'intention de mettre son séjour à profit pour transformer la vie de ses cousins, pour leur bien mais surtout, pour le sien ! Si ma lecture a bien commencé, je finis cependant avec un avis mitigé. J'en suis la première navrée car je voulais vraiment aimer ce livre, mais si certains points m'ont convaincue, d'autres m'ont déçue. Points positifs : le style d'abord. La qualité d'écriture de Stella Gibbons ne fait aucun doute. Sa plume m'a fait penser à des autrices de son époque comme Rosamund Lehmann ou Elizabeth Goudge, bien que j'aie une préférence pour cette dernière. La plume est poétique et délicieusement surannée, avec cette pointe d'humour annoncée et de second degré qui ne fait pas défaut. La critique de ses contemporains est mordante. Malheureusement, le roman n'est pas dénué de longueurs et je me suis parfois ennuyée. Le début, l'installation de Flora à la ferme, en particulier, est très long, et clairement pas la partie la plus intéressante du roman. A contrario, on aurait pu utiliser ce temps pour développer la psychologie des personnages, qui manquent un peu de profondeur. J'aurais pu en prendre mon parti, car en revanche toute la partie où Flora se démène à la ferme est, elle, irrésistible. Mais quelle déception, à la fin, de ne pas avoir les réponses à ce qui nous est présenté dès le départ comme une énigme ! Quel tort a été fait au père de Flora, et qu'as vu la vieille tante Ada de si vilain dans la grange ? Nous n'en saurons rien, et le sujet est balayé en une petite phrase à peine. Alors même si le trajet n'était pas désagréable, j'ai eu l'impression au final d'avoir fait un voyage inutile... Dans le cadre du mois anglais, j'ai eu envie de découvrir ce roman que j'avais trouvé en boite à livre. La quatrième de couverture de ce roman paru en 1932 nous parle d'une œuvre culte au Royaume-Uni, d'un charme et d'une ironie so british qui rappellent Jane Austen… Alors évidemment, ça donne envie de se jeter dessus ! Flora Poste est une jeune orpheline, malheureusement désargentée. Mais travailler pour gagner sa vie ? Très peu pour elle ! Décidée à vivre aux crochets de sa famille, elle jette son dévolu sur ses cousins Starkadders, qui vivent dans une ferme au fin fond du Sussex. Mais Flora a bien l'intention de mettre son séjour à profit pour transformer la vie de ses cousins, pour leur bien mais surtout, pour le sien ! Si ma lecture a bien commencé, je finis cependant avec un avis mitigé. J'en suis la première navrée car je voulais vraiment aimer ce livre, mais si certains points m'ont convaincue, d'autres m'ont déçue. Points positifs : le style d'abord. La qualité d'écriture de Stella Gibbons ne fait aucun doute. Sa plume m'a fait penser à des autrices de son époque comme Rosamund Lehmann ou Elizabeth Goudge, bien que j'aie une préférence pour cette dernière. La plume est...
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  • Gwen21 30/01/2022
    J'ai vraiment beaucoup ri à la lecture de mon premier roman de Stella Gibbons, qui ne sera certainement pas le dernier. Déjà, pour commencer, une auteure qui vénère Jane Austen ne pouvait que me disposer favorablement à son endroit. Ensuite, j'ai senti tout au long de ma lecture la douce influence à laquelle miss Austen et son œuvre ont soumis Stella Gibbons qui assume totalement cet héritage sans jamais chercher à le plagier. C'est au second degré et avec un goût pour l'humour anglais qu'il faut aborder ce roman sous peine de passer complètement à côté. Pas de danger de se tromper si on enfourche en toute confiance et fantaisie l'ironie du propos qui entraîne le lecteur au galop à travers lande et campagne anglaises, à la rencontre d'une famille truculente, les fermiers Starkadder (littéralement "redoutable vipère"). Flora est une jeune femme moderne qui vit dans le Londres mondain des années 30. Désormais orpheline et ruinée par l'imprévoyance paternelle, cette jeune femme de vingt ans débarque chez ses cousins campagnards avec la ferme résolution (elle était facile !) de modifier du tout au tout leurs manières rustiques qu'elle juge arriérées. Commence alors la lutte entre générations, traditions et modernité, passé et futur, immobilisme et action. Je me suis follement amusée à lire les "péripéties" de Flora et de voir le mal qu'elle se donne pour parvenir à ses fins avec un sang-froid, un flegme et un pragmatisme so british ! La narration est très "cinématographique" et on se représente très bien chaque décor, chaque scène et chaque acteur tout en ne disposant que du minimum côté descriptions, ce qui assure un rythme enlevé et pétillant. Une joyeuse découverte. Challenge XXème siècle 2022 Challenge PLUMES FEMININES 2022 Challenge MULTI-DEFIS 2022 Challenge ATOUT PRIX 2022J'ai vraiment beaucoup ri à la lecture de mon premier roman de Stella Gibbons, qui ne sera certainement pas le dernier. Déjà, pour commencer, une auteure qui vénère Jane Austen ne pouvait que me disposer favorablement à son endroit. Ensuite, j'ai senti tout au long de ma lecture la douce influence à laquelle miss Austen et son œuvre ont soumis Stella Gibbons qui assume totalement cet héritage sans jamais chercher à le plagier. C'est au second degré et avec un goût pour l'humour anglais qu'il faut aborder ce roman sous peine de passer complètement à côté. Pas de danger de se tromper si on enfourche en toute confiance et fantaisie l'ironie du propos qui entraîne le lecteur au galop à travers lande et campagne anglaises, à la rencontre d'une famille truculente, les fermiers Starkadder (littéralement "redoutable vipère"). Flora est une jeune femme moderne qui vit dans le Londres mondain des années 30. Désormais orpheline et ruinée par l'imprévoyance paternelle, cette jeune femme de vingt ans débarque chez ses cousins campagnards avec la ferme résolution (elle était facile !) de modifier du tout au tout leurs manières rustiques qu'elle juge arriérées. Commence alors la lutte entre générations, traditions et modernité, passé et futur,...
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