Lisez! icon: Search engine
La fille qui n'existait pas
Julie Lafon (traduit par)
Date de parution : 01/03/2018
Éditeurs :
12-21

La fille qui n'existait pas

Julie Lafon (traduit par)
Date de parution : 01/03/2018
Tina ne vit pas, elle survit sur le toit d’un immeuble des bas-fonds de Sangui. Cambrioleuse la plus habile d’un gang kényan, elle ne pense qu’à une chose : venger... Tina ne vit pas, elle survit sur le toit d’un immeuble des bas-fonds de Sangui. Cambrioleuse la plus habile d’un gang kényan, elle ne pense qu’à une chose : venger sa mère assassinée par son ancien employeur, le nabab blanc M. Greyhill. L’occasion se présente enfin quand on lui demande... Tina ne vit pas, elle survit sur le toit d’un immeuble des bas-fonds de Sangui. Cambrioleuse la plus habile d’un gang kényan, elle ne pense qu’à une chose : venger sa mère assassinée par son ancien employeur, le nabab blanc M. Greyhill. L’occasion se présente enfin quand on lui demande de s’introduire dans la luxueuse villa de ce dernier. Prise sur le fait par Michael, le fils Greyhill avec lequel elle a grandi, Tina commence à douter. Submergés par les souvenirs de leur enfance, les deux jeunes gens décident de passer un marché… Entre les rues inquiétantes de Sangui et la guerre qui menace son village natal, Tina voit sa vengeance prendre un tournant qu’elle n’aurait jamais pu imaginer...
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782823860436
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823860436
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • mondeparallele 18/04/2023
    Récit d’une vengeance, d’une rage qui maintient en vie quand tout s’effondre. Thriller dans l’Est africain gangréné par les gangs, les milices, les trafics, les grandes compagnies minières et la corruption qui permet à quelques privilégiés de vivre dans un luxe indécent par rapport à la pauvreté de la majorité de la population. Tina trouve la force de se battre et d’avancer pour venger sa mère assassinée, protéger sa sœur. Elle ouvre peu son cœur et doit apprendre à faire confiance. Elle est forte mais elle est encore une enfant qui a besoin des autres pour trouver sa voie. De beaux personnages, réalistes, avec leur part d’ombre et leurs aspirations à mieux. Mieux pour eux et pour le monde qui les entoure. Un peu d’idéalisme et de lumière éclaire la fin du récit, si sombre sur la situation africaine.
  • FabtheFab 04/08/2022
    Christina dite Tina Masika a quitté son village de Kasisi en République démocratique du Congo avec sa mère Anju Yvette Masika à cause de la guerre. Elle est réfugiée à Sangui au Kenya où elle a intégré après le meurtre de sa mère, la bande des Goondas, elle est entraînée pour commettre des vols. Elle veut venger la mort de sa mère, il s'agit de voler, ruiner, dénoncer puis tuer l'homme d'affaires Roland Greyhill qu'elle soupçonne du meurtre de sa mère. L'opération est minutieusement préparée mais un grain de sable vient bloquer l'engrenage savamment élaboré. Le fils de Roland Greyhill, Michael est dans la maison et arrête Tina. Il l'emprisonne et il lui propose un pacte : elle ne dévoile pas les secrets du magnat du commerce de métaux précieux et il lui prouve que son père n'est pas le meurtrier. En effet, à leur arrivée au Kenya, Tina et sa mère ont été recueillis et hébergés chez Roland Greyhill, celui-ci est tombé amoureux d'Anyu et ils ont eu ensemble un enfant, Kiki, aujourd'hui dans une institution religieuse. Ils mènent l'enquête avec l'aide de Skinny, un ami de Tina, geek exceptionnel capable de forcer toutes les protections informatiques. Mais la bande des Goondas ne l'entend pas ainsi, M. Omoko, le chef, veut que la mission se poursuive, Tina est donc recherchée par ses anciens complices, Big Boy et son frère, La Fouine. Un thriller inattendu. L'auteure a vécu au Kenya et a travaillé pour des organisations humanitaires venant en aide aux réfugiés des guerres en République démocratique du Congo et au Rwanda. Elle a entendu de nombreux témoignages de femmes et d'enfants. Elle connaît bien les problématiques de cette zone d'Afrique de l'Est. Elle évoque tous ces sujets dans le parcours terrible de la mère de Tina, Anju, emprisonnée par les milices, violée, violentée et brisée à jamais par les tortures en République démocratique du Congo, manipulée dans le cadre des trafics de métaux précieux avec des enjeux financiers colossaux. Le scénario est habile et le roman se lit comme un policier. C'est surtout un beau portrait de jeune fille qui passe de la rage et la haine à la sagesse et à la paix. Christina dite Tina Masika a quitté son village de Kasisi en République démocratique du Congo avec sa mère Anju Yvette Masika à cause de la guerre. Elle est réfugiée à Sangui au Kenya où elle a intégré après le meurtre de sa mère, la bande des Goondas, elle est entraînée pour commettre des vols. Elle veut venger la mort de sa mère, il s'agit de voler, ruiner, dénoncer puis tuer l'homme d'affaires Roland Greyhill qu'elle soupçonne du meurtre de sa mère. L'opération est minutieusement préparée mais un grain de sable vient bloquer l'engrenage savamment élaboré. Le fils de Roland Greyhill, Michael est dans la maison et arrête Tina. Il l'emprisonne et il lui propose un pacte : elle ne dévoile pas les secrets du magnat du commerce de métaux précieux et il lui prouve que son père n'est pas le meurtrier. En effet, à leur arrivée au Kenya, Tina et sa mère ont été recueillis et hébergés chez Roland Greyhill, celui-ci est tombé amoureux d'Anyu et ils ont eu ensemble un enfant, Kiki, aujourd'hui dans une institution religieuse. Ils mènent l'enquête avec l'aide de Skinny, un ami de Tina, geek exceptionnel capable de forcer toutes les protections informatiques. Mais...
    Lire la suite
    En lire moins
  • emelivres 08/08/2021
    (chronique complète sur mon blogspot Emelivres + photo sur mon compte bookstagram Emelivres) Jusque là, la vie de Tina se déroule plutôt bien. Mais un jour, sa mère se fait tuer par balle. Tina fuit avec sa petite sœur, elle met cette dernière dans une école, et elle rentre dans un gang pour survivre. Elle est persuadée que le meurtrier est M. Greyhill car elle l’a vu se disputer avec sa mère le soir avant l’assassinat. Tina passe donc plusieurs années à devenir une voleuse hors pair, discrète, efficace et remplie de haine. Puis vient enfin le moment de sa vengeance mise en place avec le chef du gang des Goondas. Le but est d’abord de détruire la réputation de M. Greyhill, puis de lui voler son argent et enfin de le tuer. Pour commencer la première étape du plan, Tina rentre par effraction dans la maison de l’ancien employeur de sa mère. Alors qu’elle télécharge toutes les données de l’ordinateur, elle se fait surprendre par Michael. Il l’enferme pour essayer de comprendre ce qu’elle fait là. Puis il lui propose un marché : ils tentent de trouver des preuves du meurtre, ainsi Michael espère lui prouver que ce n’est pas son père qui a tué sa mère. En contrepartie, si Michael a raison, Tina ne devra pas faire fuiter toutes les informations récupérées sur l’ordinateur. Commence alors une enquête à la recherche d’indices sur ce qu’il s’est passé cinq ans plus tôt… J’ai beaucoup aimé ma lecture. J’étais à fond dedans, à faire mes théories sur qui a pu tuer la mère de Tina. J’ai eu beaucoup de mal à lâcher le bouquin, ce qui explique que je l’avais fini en moins de deux jours. Plus on avance dans le roman, plus on entre dans des révélations qui nous choquent. J’ai été touchée par l’histoire de la maman de Tina, sur ce qu’elle a vécu au Congo (d’autant plus que ce sont des choses qui arrivent réellement à certaines femmes). J’avais autant envie que Tina de connaître le fin mot de l’histoire. J’ai beaucoup aimé les personnages principaux : Tina, Michael et Skinny. Ils forment un duo original : Tina qui ne veut de l’aide de personne, Michael l’enfant riche qui veut défendre son père, et Skinny l’ami fidèle pro de l’ordinateur. Après j’ai eu du mal avec leur âge. J’avais l’impression qu’ils faisaient plus jeunes (genre douze ans), mais en même temps vu ce qu’ils vivent je me disais que seize ans c’est quand même vachement jeune. En dehors d' eux trois, on ne découvre pas trop les autres personnages qui apparaissent dans l’histoire.(chronique complète sur mon blogspot Emelivres + photo sur mon compte bookstagram Emelivres) Jusque là, la vie de Tina se déroule plutôt bien. Mais un jour, sa mère se fait tuer par balle. Tina fuit avec sa petite sœur, elle met cette dernière dans une école, et elle rentre dans un gang pour survivre. Elle est persuadée que le meurtrier est M. Greyhill car elle l’a vu se disputer avec sa mère le soir avant l’assassinat. Tina passe donc plusieurs années à devenir une voleuse hors pair, discrète, efficace et remplie de haine. Puis vient enfin le moment de sa vengeance mise en place avec le chef du gang des Goondas. Le but est d’abord de détruire la réputation de M. Greyhill, puis de lui voler son argent et enfin de le tuer. Pour commencer la première étape du plan, Tina rentre par effraction dans la maison de l’ancien employeur de sa mère. Alors qu’elle télécharge toutes les données de l’ordinateur, elle se fait surprendre par Michael. Il l’enferme pour essayer de comprendre ce qu’elle fait là. Puis il lui propose un marché : ils tentent de trouver des preuves du meurtre, ainsi Michael espère lui prouver que ce n’est pas son père...
    Lire la suite
    En lire moins
  • MathildeLitteraire 13/10/2020
    Ce livre fait partie des services presses que PKJ nous ont offert en mars dernier lors de la présentation de leur catalogue auquel j’ai participé. Nous sommes en Afrique, à Sangui. Tina est orpheline depuis que sa mère a été assassiné il y a 5 ans. Cette dernière était femme de ménage pour nabab blanc, Monsieur Greyhill. Depuis cinq ans, Tina essaie de survivre tant bien que mal avec l’aide d’un gang kénian en rêvant de vengeance pour le meurtre de sa mère. Ce roman change des autres publications de PKJ et de ceux du même genre. Pas d’histoire d’amour en vue, mais une héroïne forte et indépendante qui se bat pour ce qu’elle veut, pour sa vengeance, sa liberté et son indépendance, pour sa sœur ; une histoire qui se passe en Afrique, chose qu’on voit que très peu en littérature adolescent / Young Adult. Un bon cocktail pour nous embarquer en Afrique dans une belle histoire bien écrite pleine de couleurs, de rebondissements, de vengeance, de révélations et sans aucune histoire d’amour ! Je suis très contente d’avoir pu lire ce roman
  • Gaoulette 28/04/2020
    Un pari audacieux pour Pocket Jeunesse dont je félicite d’avoir mis en avant ce roman. Il dénote de ses habituelles sorties littéraires. Nathalie C Anderson, en plus d’avoir œuvré dans une ONG en Afrique, décide de proposer un roman young adult pour expliquer à nos chers adolescents la triste réalité dans certains pays d’Afrique. Les villes sont fictives mais pourtant ce qu’ont vécu Anju et Tina sont tirés de faits réels. Je me souviens des conséquences sur la population de la Guerre au Rwanda dans les années 90. Je me souviens de la réalité des femmes qui rencontraient la milice. Et cette réalité existe peut-être encore aujourd’hui… Je garde espoir que non mais…. J’ai ici une adolescente Tina, 16 ans qui fait partie d’un gang. Réalité ou fiction actuelle ? L’auteure nous décrit la vie de Tina, un quotidien qui fait froid dans le dos. Au delà de la quête de vérité, le lecteur est mal à l’aise. L’auteure essaie de proposer une porte vers l’espoir. Je félicite l’auteure d’avoir su rester subtil et « douce » dans la description du calvaire des femmes. Elle suggère mais ne dévoile pas avec des mots crus. Elle ne choque pas le jeune lectorat. Un pari osé mais bien cadré. Le but, ne pas déranger l’adolescent mais lui faire comprendre. Un roman addictif où un étau se referme autour de l’héroïne. Beaucoup de suspense et d’action qui en fait un roman turn over. Par contre, certaines scènes je trouve un peu too much pour des adolescents en action. L’auteure reste droite dans ses baskets et nous propose pas un délire de romance, pour mon plus grand plaisir. Les thèmes abordés : vengeance, famille, trafique, violence, confiance. J’avoue avoir été déconcertée par la scène finale qui est loin de ressembler à un happy end pour moi. J’ai certes une note d’espoir. C’est réaliste mais chagrinant. J’espère relire l’auteure dans le même registre. Un livre intéressant que je conseillerai aux adolescents. Un pari audacieux pour Pocket Jeunesse dont je félicite d’avoir mis en avant ce roman. Il dénote de ses habituelles sorties littéraires. Nathalie C Anderson, en plus d’avoir œuvré dans une ONG en Afrique, décide de proposer un roman young adult pour expliquer à nos chers adolescents la triste réalité dans certains pays d’Afrique. Les villes sont fictives mais pourtant ce qu’ont vécu Anju et Tina sont tirés de faits réels. Je me souviens des conséquences sur la population de la Guerre au Rwanda dans les années 90. Je me souviens de la réalité des femmes qui rencontraient la milice. Et cette réalité existe peut-être encore aujourd’hui… Je garde espoir que non mais…. J’ai ici une adolescente Tina, 16 ans qui fait partie d’un gang. Réalité ou fiction actuelle ? L’auteure nous décrit la vie de Tina, un quotidien qui fait froid dans le dos. Au delà de la quête de vérité, le lecteur est mal à l’aise. L’auteure essaie de proposer une porte vers l’espoir. Je félicite l’auteure d’avoir su rester subtil et « douce » dans la description du calvaire des femmes. Elle suggère mais ne dévoile pas avec des mots crus. Elle ne choque pas le jeune lectorat. Un pari osé mais...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés