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La forme de l'eau
Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 04/10/2018
Éditeurs :
12-21
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La forme de l'eau

Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 04/10/2018

" Vigàta, Sicile orientale. Au Bercail, lieu agreste fréquenté par les prostituées, les travestis et les dealers, on retrouve le corps de l'ingénieur Luparello, parrain politique de la région. À sa...

" Vigàta, Sicile orientale. Au Bercail, lieu agreste fréquenté par les prostituées, les travestis et les dealers, on retrouve le corps de l'ingénieur Luparello, parrain politique de la région. À sa manière, nonchalante et peu orthodoxe, le commissaire Montalbano mène l'enquête, en ces zones grises où la Loi et son contraire...

" Vigàta, Sicile orientale. Au Bercail, lieu agreste fréquenté par les prostituées, les travestis et les dealers, on retrouve le corps de l'ingénieur Luparello, parrain politique de la région. À sa manière, nonchalante et peu orthodoxe, le commissaire Montalbano mène l'enquête, en ces zones grises où la Loi et son contraire tissent des liens...

Une première plongée dans les secrets d'une Sicile d'aujourd'hui, mélancolique, désopilante et tragique.


"Les récits de Camilleri sont exceptionnels. Personne en Italie n'en a écrits de ce niveau depuis de très nombreuses années".

CORRIERE DELLA SERA

 


"Dans l'extraordinaire mise en scène de Camilleri, la langue utilisée joue un rôle décisif. Italien métissé de dialecte et dialecte métissé d'italien. Une langue inventée qui maintient le lecteur dans un rapport de complicité malicieuse. Et le lecteur s'amuse et apprécie ».

L'ESPRESSO

 


"Entre Leonardo Sciascia et John Le Carré, toute l'histoire de la Sicile dans des romans policiers philosophiques".

L'UNITA

 

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EAN : 9782823812930
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
12-21
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EAN : 9782823812930
Code sériel : 99999
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • EmmEve 15/12/2023
    Cette critique vaudra pour tous "les Montalbano" que j'ai lus (c'est-à-dire tous ceux qui ont été traduits au 15 décembre 2023... il en reste encore deux ou trois à découvrir). J'ai lu d'autres romans de Camilleri hors Montalbano, toujours avec autant de plaisir. Andrea Camilleri est l'un de mes auteurs favoris et son traducteur vers le français, Serge Quadruppani, est excellent ! J'ai eu l'occasion de lire un épisode de Montalbano en anglais et j'ai trouvé que ça n'était pas à la hauteur du français, qui est bien plus fidèle à l'esprit de la version italo-sicilienne. Camilleri a cette façon - un peu à l'instar d'Almodovar - de raconter des choses graves ou gravissimes sur "sa" Sicile tout en arrivant à faire rire le lecteur. J'ai attrapé de ces fous-rires parfois... juste avant de tourner la page et d'être saisie d'effroi par un meurtre sordide ou par la corruption généralisée... J'aime le ton, le détachement et/ou l'extrême attachement, j'aime l'humanisme de Camilleri. Et celui de Montalbano. À noter que l'on trouve sur YouTube des interviews d'AC, qui parle lentement et clairement. C'est facile à comprendre même quand on ne parle pas italien couramment et c'est surtout très intéressant. Je les relis régulièrement, avec un plaisir jamais démenti. "L'excursion à Tindari", "Le chien de faïence" et "Le voleur de goûter" sont parmi mes préférés.Cette critique vaudra pour tous "les Montalbano" que j'ai lus (c'est-à-dire tous ceux qui ont été traduits au 15 décembre 2023... il en reste encore deux ou trois à découvrir). J'ai lu d'autres romans de Camilleri hors Montalbano, toujours avec autant de plaisir. Andrea Camilleri est l'un de mes auteurs favoris et son traducteur vers le français, Serge Quadruppani, est excellent ! J'ai eu l'occasion de lire un épisode de Montalbano en anglais et j'ai trouvé que ça n'était pas à la hauteur du français, qui est bien plus fidèle à l'esprit de la version italo-sicilienne. Camilleri a cette façon - un peu à l'instar d'Almodovar - de raconter des choses graves ou gravissimes sur "sa" Sicile tout en arrivant à faire rire le lecteur. J'ai attrapé de ces fous-rires parfois... juste avant de tourner la page et d'être saisie d'effroi par un meurtre sordide ou par la corruption généralisée... J'aime le ton, le détachement et/ou l'extrême attachement, j'aime l'humanisme de Camilleri. Et celui de Montalbano. À noter que l'on trouve sur YouTube des interviews d'AC, qui parle lentement et clairement. C'est facile à comprendre même quand on ne parle pas italien couramment et c'est surtout très intéressant. Je les relis régulièrement,...
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  • Guit 13/09/2022
    Premier volume de la série Montalbano et déjà un très bon cru ! On y plonge et replonge avec grand plaisir. Un Salvo attachant et un peu nerveux, le fidèle Fazio, Catarella au langage si particulier, un dottore Pasquano remonté, des prises de bec avec Livia, les débuts de sa relation avec Ingrid et naturellement la gastronomie sicilienne. S'ajoute une enquête policière qui tient la route, des magouilles politiques et la présence discrète mais pesante de la mafia. Un petit regret (mais seulement parce que j'ai lu l'ensemble de la série), l'absence de Mimi. Qu'elle donne (quand même) envie cette Sicile !
  • Alexmotamots 23/02/2022
    Première enquête de Montalbano que je lis, j'ai aimé le personnage et sa façon d'arriver à la vérité. En lisant le prologue, j'ai aimé découvrir la langue de l'auteur et la façon de la traduire. J'ai par la suite été moins étonnée de certaines tournures de phrases. J'ai aimé l'humour de l’enquêteur, sa relation si particulière à son île et à ses habitants. Une belle lecture comme je les aime.
  • Crazynath 22/01/2022
    Cela faisait un bon moment que j'avais envie de découvrir les aventures du commissaire Montalbano et surtout la plume réputée d'Andrea Camilleri. Et voilà, j'ai tourné la dernière page ce matin et j'avoue que j'ai été surtout sous le charme du style de l'auteur. Je ne rentrerais pas plus en détail sur la qualité de la traduction de Serge Quadruppani, d'autres babelionautes l'ont déjà très bien fait.Il est vrai que cela donne une dimension à l'histoire fort singulière et nous permet de nous transporter sans problème en Sicile. J'ai donc découvert avec ce premier épisode de la série qui compte près de trente épisodes, un nouveau policier. Il est vrai qu'il mérite le détour, ce commissaire Salvo Montalbano, qui sous ses airs de ne pas y toucher, est à l'affut des moindres détails permettant à l'enquête de progresser… Je reste avec un petit sentiment de n'avoir pas su complétement apprécier ma lecture. Je me demande si à force de lire des polars majoritairement anglo-saxons, je n'ai pas inconsciemment été déroutée par l'environnement très différent de la Sicile qui sert de décor à Montalbano ? Une chose est sure, je réessayerais dans quelques temps de lire une autre aventure de ce commissaire dont les valeurs humaines sont indéniables. Et retrouver la plume de cet auteur sera de toute façon un plaisir. Challenge Mauvais Genres 2022 Challenge Multi-Défis 2022 Cela faisait un bon moment que j'avais envie de découvrir les aventures du commissaire Montalbano et surtout la plume réputée d'Andrea Camilleri. Et voilà, j'ai tourné la dernière page ce matin et j'avoue que j'ai été surtout sous le charme du style de l'auteur. Je ne rentrerais pas plus en détail sur la qualité de la traduction de Serge Quadruppani, d'autres babelionautes l'ont déjà très bien fait.Il est vrai que cela donne une dimension à l'histoire fort singulière et nous permet de nous transporter sans problème en Sicile. J'ai donc découvert avec ce premier épisode de la série qui compte près de trente épisodes, un nouveau policier. Il est vrai qu'il mérite le détour, ce commissaire Salvo Montalbano, qui sous ses airs de ne pas y toucher, est à l'affut des moindres détails permettant à l'enquête de progresser… Je reste avec un petit sentiment de n'avoir pas su complétement apprécier ma lecture. Je me demande si à force de lire des polars majoritairement anglo-saxons, je n'ai pas inconsciemment été déroutée par l'environnement très différent de la Sicile qui sert de décor à Montalbano ? Une chose est sure, je réessayerais dans quelques temps de lire une autre aventure de ce commissaire dont les valeurs humaines...
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  • Herve-Lionel 13/08/2021
    N°1569 - Août 2021 La forme de l’eau– Andrea Camilleri – Le fleuve noir. Traduit de l’italien par Serge Quadruppani. On retrouve au matin le cadavre de l’ingénieur Luparello, un homme politique local très en vue, au Bercail, un espace entre terrain vague et décharge publique, connu pour être le lieu des rendez-vous pour trafics en tous genres de Vigatà, c’est à dire, en ce qui concerne cette affaire, à un bordel à ciel ouvert. Sa posture ne laisse aucun doute sur les circonstances de sa mort et ce même si le légiste déclare qu’il est mort d’une crise cardiaque, soit de mort naturelle, alors qu’il était en galante compagnie. Dans le même temps et sur les mêmes lieux ont a trouvé un collier d’une grande valeur. Le commissaire Montalbano est chargé de cette enquête qui, compte tenu de la personnalité de la victime et des circonstances demande d’autant plus doigté que cet homme n’était pas si net que cela. Pour être mieux informé il sollicite Gégé, un indic, petit souteneur local et … ami d’enfance du commissaire. Les autorités judiciaires reçoivent d’intenses sollicitations pour clore cette affaire au plus vite et bien sûr, compte tenu du contexte, on reparle de la mafia, on assiste à un festival de faux-culs, on rappelle une vieille histoire de cocuage, un règlement de compte politique, des secrets de famille avec mensonges, amour et passion et un bijou perdu et retrouvé, le tout mélangé peut révéler le sens du titre de ce roman. L’eau n’a pas de forme propre, elle prend celle du récipient qui la contient. Est ce à dire qu’on peut camoufler ce qu’on veut cacher sous d’autres apparences, faire dire aux choses ce qu’on veut qu’elles disent ? Peut-être ? Je l’aime bien ce Montalbano, amateur de bonne chère, intègre, honnête avec ceux qui le méritent et rusé comme un renard avec ceux qui se paient sa tête, pas vraiment donnaiollo, comme disent si joliment nos amis Italiens, mais avec un charme discret. C’est un formidable roman que j’ai lu sans désemparer tant le suspense est entretenu jusqu’à la fin. Une mention particulière pour le traducteur qui a dû pas mal galérer pour traduire sans trahir (« tradire -tradure »). Nous avons affaire à un auteur sicilien qui ne renie rien de ses origines, de sa sicilianité » et du dialecte, incarné dans les mots et la syntaxe Un dernier mot pour l’auteur disparu il y a peu près un an qui laisse tous ses lecteurs passionnés un peu orphelins. N°1569 - Août 2021 La forme de l’eau– Andrea Camilleri – Le fleuve noir. Traduit de l’italien par Serge Quadruppani. On retrouve au matin le cadavre de l’ingénieur Luparello, un homme politique local très en vue, au Bercail, un espace entre terrain vague et décharge publique, connu pour être le lieu des rendez-vous pour trafics en tous genres de Vigatà, c’est à dire, en ce qui concerne cette affaire, à un bordel à ciel ouvert. Sa posture ne laisse aucun doute sur les circonstances de sa mort et ce même si le légiste déclare qu’il est mort d’une crise cardiaque, soit de mort naturelle, alors qu’il était en galante compagnie. Dans le même temps et sur les mêmes lieux ont a trouvé un collier d’une grande valeur. Le commissaire Montalbano est chargé de cette enquête qui, compte tenu de la personnalité de la victime et des circonstances demande d’autant plus doigté que cet homme n’était pas si net que cela. Pour être mieux informé il sollicite Gégé, un indic, petit souteneur local et … ami d’enfance du commissaire. Les autorités judiciaires reçoivent d’intenses sollicitations pour clore cette affaire au plus vite et bien sûr, compte tenu du contexte, on reparle de...
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