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La galerie du rossignol
Anne Bruneau (traduit par), Christiane Poussier (traduit par)
Date de parution : 24/05/2018
Éditeurs :
12-21
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La galerie du rossignol

Anne Bruneau (traduit par), Christiane Poussier (traduit par)
Date de parution : 24/05/2018
Londres, 1377. Alors que la couronne d'Angleterre tombe aux mains d'un enfant, le futur Richard II, une terrible lutte de pouvoirs déchire le pays... Après l'assassinat ignoble d'un grand négociant... Londres, 1377. Alors que la couronne d'Angleterre tombe aux mains d'un enfant, le futur Richard II, une terrible lutte de pouvoirs déchire le pays... Après l'assassinat ignoble d'un grand négociant de la capitale, le coroner Sir John Cranston et son assistant éclairé, frère Athelstan, sont chargés de rétablir la justice.... Londres, 1377. Alors que la couronne d'Angleterre tombe aux mains d'un enfant, le futur Richard II, une terrible lutte de pouvoirs déchire le pays... Après l'assassinat ignoble d'un grand négociant de la capitale, le coroner Sir John Cranston et son assistant éclairé, frère Athelstan, sont chargés de rétablir la justice. Leur mission va les mener des taudis de Whitefriars aux ors et aux fastes de la Cour...

Première enquête du célèbre frère Athelstan, moine dominicain féru d'astronomie, au lendemain de la mort du "Prince Noir" Édouard Plantagenêt.
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EAN : 9782823841985
Code sériel : 3167
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
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EAN : 9782823841985
Code sériel : 3167
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ulfinliath 31/07/2023
    Que cela fait du bien de retrouver une série de roman qui enquête en plein moyen-âge. Pour ce premier d'une longue série nous découvrons nos deux protagonistes, le coroner sir John Cranston et le frère dominicain Athelstan. Pour cette première enquête ils font devoir élucider le décès d'un riche marchand. Des personnes proches de son entourage se suicident mystérieusement et si c'était des meurtres maquillés en suicide ? L'auteur nous plonge dans le Londres du XIVe siècle dans les moindres détails et c'est réussi. La crasse, la puanteur, la misère, le moyen-âge dans toute sa splendeur y est.
  • alaubeellelit 02/07/2023
    Le coroner Cranston et frère Athelstan enquêtent à la suite de l'empoisonnement de Sir Thomas Springhall et le suicide de son valet. Premier volet de la saga : Frère Athelstan. C'était bien mais sans plus. L'intrigue démarre vite. Il n'y a pas de longueurs. Ça se lit vite et bien. Certains éléments sont dévoilés en milieu de roman ce qui maintient en haleine. Seul regret : il n'y a pas vraiment d'indice qui permet de découvrir qui est le meurtrier.
  • Lamifranz 03/07/2022
    Les amateurs de romans policiers historiques connaissent bien la fabuleuse collection des "Grands détectives", chez 10-18, qui dans la foulée du Frère Cadfaël d'Ellis Peters, nous ont enchantés avec les séries Monk et Pitt d'Anne Perry, Victor Legris de Claude Izner, d'Erwin le Saxon de Marc Paillet, de Nicolas le Floch de Jean-François Parot, d'Isaac de Gérone de Caroline Roe, de Roger le colporteur de Kate Sedley ou de Sœur Fidelma de Peter Tremayne (seulement quelques auteurs dans la bonne centaine qui ont fait la réputation de cette collection). Parmi cette liste (non exhaustive) il faut faire une place à part à Paul C. Doherty. Cet écrivain britannique se caractérise par une grande prolixité (des dizaines de romans réparties en plusieurs séries à succès), une belle érudition, et un style qui, s'il n'est pas à proprement parler d'un littéraire bien léché, n'en est pas moins efficace, et somme toute, facile à lire. C'est à Paul C. Doherty que nous devons, sous son nom, la série Hugh Corbett (Angleterre, début du XIVème siècle), sous le nom de Paul Harding, la série John Cranston et Frère Athelstan (Angleterre, un peu plus tard dans le XIVème siècle), sous le nom de C.L. Grace, la série Kathryn Swinbrooke (Angleterre, guerre des Deux-Roses) et aussi la série Juge Amérotkê (Egypte ancienne, XVème siècle avant J.C.), plus une dizaines d'autres séries d'une importance moindre. La série John Cranston et Frère Athelstan met en scène un coroner de la ville de Londres, John Cranston, et Frère Athelstan, un moine dominicain; les deux hommes ont des personnalités totalement opposées : le premier, plutôt gros, coléreux, d'une grossièreté manifeste, le second fin (au physique et au moral) et secret (on comprend vite qu'il a participé à une affaire louche, dont il se rend en partie responsable). Mais quand les deux compères unissent leurs efforts pour résoudre une affaire criminelle, rien ne leur résiste. L'histoire se passe à la mort du roi Edouard III (1377) et dans les années qui suivent, minorité du roi Richard II, fils du Prince Noir, et régence de Jean de Gand (fils de Edouard III et oncle de l'héritier du trône). "La galerie du rossignol" est la première aventure de cette série. Sur une intrigue classique (un riche négociant meurt assassiné, et d'autres crimes suivent) l'enquête, menée de main(s) de maître(s) par Cranston et Athelstan, touche toutes les couches de la société, et nous promène des bas-fonds de Londres aux fastes de la Cour. La description réaliste des mœurs moyenâgeuses peut éventuellement choquer, mais il faut se rappeler deux choses : primo, ne pas juger avec nos a priori du XXIème siècle, et secundo, penser que l'Histoire ne nous a pas encore tout dit sur cette époque, le roman a été écrit en 1991 (trente et un ans, c'est pas Dieu possible !) la connaissance de l'époque a évolué, et Doherty n'écrirait pas sans doute aujourd'hui le même roman. C'est ce qui fait l'intérêt de cette série : cet arrière-plan historique, la reconstitution du Londres du XIVème siècle, ainsi que la confrontation réjouissante des caractères des deux protagonistes. Ce n'est pas Cadfaël, l'approche d'Ellis Peters est très différente, mais Doherty a un don d'écriture qui, comme Cadfaël mais d'une autre façon, captive le lecteur au début du livre et ne le lâche qu'à la fin. Les amateurs de romans policiers historiques connaissent bien la fabuleuse collection des "Grands détectives", chez 10-18, qui dans la foulée du Frère Cadfaël d'Ellis Peters, nous ont enchantés avec les séries Monk et Pitt d'Anne Perry, Victor Legris de Claude Izner, d'Erwin le Saxon de Marc Paillet, de Nicolas le Floch de Jean-François Parot, d'Isaac de Gérone de Caroline Roe, de Roger le colporteur de Kate Sedley ou de Sœur Fidelma de Peter Tremayne (seulement quelques auteurs dans la bonne centaine qui ont fait la réputation de cette collection). Parmi cette liste (non exhaustive) il faut faire une place à part à Paul C. Doherty. Cet écrivain britannique se caractérise par une grande prolixité (des dizaines de romans réparties en plusieurs séries à succès), une belle érudition, et un style qui, s'il n'est pas à proprement parler d'un littéraire bien léché, n'en est pas moins efficace, et somme toute, facile à lire. C'est à Paul C. Doherty que nous devons, sous son nom, la série Hugh Corbett (Angleterre, début du XIVème siècle), sous le nom de Paul Harding, la série John Cranston et Frère Athelstan (Angleterre, un peu plus tard dans le XIVème siècle), sous le nom de C.L. Grace, la...
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  • Tatooa 25/12/2021
    Bon oui, faut pas être bégueule, pour apprécier J. Cranston le coroner, qui se saoule, pète et rote sans vergogne, y compris devant les puissants. Mais c'est ainsi. Il ne dénote pas particulièrement dans la description de ce moyen-âge rude et violent, sombre, et terriblement réaliste. C'est toute la force de Doherty, on s'y croirait, on y est (et heureusement qu'on n'a pas les odeurs, dans les livres, je pense qu'on vomirait à plusieurs reprises, si c'était le cas, arfeu !) De l'autre côté, on a Frère Athelstan, le dominicain qui expie un acte grave pour lui mais dans lequel pourtant il n'a qu'une part bien minime et innocente, et qui au départ n'est là que pour accompagner et écrire les rapports du coroner, "punition" décidée par sa hiérarchie. Deux personnages aux antipodes qui créent une dynamique très intéressante dans le roman, qui apporte par moments une fraîcheur bienvenue dans toute cette noirceur ambiante... C'est cool d'avoir une nouvelle série de Doherty à lire alors que j'arrive sur la fin des H. Corbett...
  • Errant 26/12/2020
    Dans un Londres qui pue, un coroner pansu et ivrogne doit résoudre une cascade de meurtres à l'aide d'un prêtre dominicain bourré de remord et en proie aux tentations de la chair. Il y a de quoi faire une bonne histoire et c'est ce que réussit ici l'auteur, par certains cotés du moins. Le récit est plein de rebondissements, les déductions finales de Athelstan sont aussi étonnantes que judicieuses et la toute fin charmante. Cependant le personnage de Sir John m'a semblé pas assez développé; il boit et bouffe, tonitruant à ses heures, oui mais encore? Par opposition nous avons beaucoup d'éléments pour saisir la personnalité et les dilemmes du prêtre. Leur improbable duo prendra-t-il du coffre au fil de leurs tribulations? C'est ce que je verrai éventuellement puisque cette première aventure m'a tout de même laissé un goût de revenez-y!
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