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La Gestapo Sadorski
Collection : La Bête noire
Date de parution : 01/10/2020
Éditeurs :
Robert Laffont

La Gestapo Sadorski

Collection : La Bête noire
Date de parution : 01/10/2020
Le pire des salauds, le meilleur des enquêteurs.

Paris, octobre 1943. Un important dignitaire nazi, le colonel SS Julius Ritter, a été assassiné en sortant de chez lui, près du Trocadéro. La Gestapo est sur les dents. Elle...

Paris, octobre 1943. Un important dignitaire nazi, le colonel SS Julius Ritter, a été assassiné en sortant de chez lui, près du Trocadéro. La Gestapo est sur les dents. Elle convoque l’inspecteur principal adjoint Sadorski pour lui confier la direction d’une petite unité de policiers français gestapistes chargée de traquer...

Paris, octobre 1943. Un important dignitaire nazi, le colonel SS Julius Ritter, a été assassiné en sortant de chez lui, près du Trocadéro. La Gestapo est sur les dents. Elle convoque l’inspecteur principal adjoint Sadorski pour lui confier la direction d’une petite unité de policiers français gestapistes chargée de traquer les « terroristes » juifs FTP-MOI. Sadorski caresse l’espoir de gagner de l’avancement en effectuant un brillant coup de filet.
Joignant l’utile à l’agréable, il cache dans son appartement la jeune Juive Julie Odwak, qu’il a mise enceinte. La situation est des plus scabreuses : sa femme Yvette, qui ignore la véritable identité du père, doit simuler pour elle-même une grossesse afin d’éviter la curiosité des voisins lorsque l’enfant naîtra…
Les choses ne se passeront pas exactement comme Sadorski l’avait prévu. Ce sera bien pire.

« Époustouflant ! Slocombe donne une nouvelle dimension au polar historique. » Philippe Blanchet, Le Figaro Magazine.
« Sobriété avant tout : Simenon n’est pas loin. Mais, ici, le crime est de masse. » Frédéric Pagès, Le Canard enchaîné.
« L’inspecteur Sadorski suit sa mauvaise étoile. » Abel Mestre, Le Monde.

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EAN : 9782221251386
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221251386
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Tiguidou 03/04/2023
    Premier contact avec ce policier atypique et un peu beaucoup salaud sur les bords. J'ai bien aimé ce roman où le personnage principal est dans sa façon d'être et d'agir est foncièrement égoïste et hypocrite. Il y a dans la façon d'écrire de Slocombe une habileté à rendre le personnage intéressant à défaut d'être sympathique. Beaucoup d'action,pas de temps mort, des magouilles qui lui sautent au visage, bref on ne s'ennuie pas. Bon moment de lecture qui m'incite à continuer de fréquenter cet auteur que je ne connaissais pas.
  • Karpatt999 01/04/2023
    J'ai mis longtemps à lire ce quatrième tome de la série car j'ai eu besoin à plusieurs reprises de lire autres choses tant j'étais horrifié par le comportement du personnage que je connaissais déjà puisque j'avais déjà lu les 3 autres. Le personnage est détestable et est sans conteste le personnage principal que j'ai le plus détesté.. Bon en même temps c'est la première fois que rencontre un tel personnage. J'ai connu à travers certains romans des tueurs mais je peux pas dire que je les ai détesté. Cela ne m'empêchera pas de lire les 2 autres tomes. Mais pas tout de suite.
  • AnitaMillot 05/11/2022
    Nous retrouvons pour la quatrième fois l’immonde – le mot est faible ! – IPA (Inspecteur Principal Adjoint) Sadorski, une crapule vendue au plus offrant (et tant pis si ce sont les nazis …) Jusqu’à présent (nous sommes en octobre 1943) cet abject individu a toujours réussi à s’en sortir (parfois de justesse, il est vrai !) même si il lui faut pour cela dénoncer, voire tuer. Il n’y a de veine que pour la canaille ! Le voilà donc chargé par les allemands d’arrêter les membres du réseau FTP-MOI, avec un groupe de gestapistes français, traites à leur patrie. Ça l’arrange bien, lui qui vendrait père et mère pour son propre intérêt et qui jouit à l’idée de pouvoir « casser » du juif ou du coco … Et tant qu’à faire en profitant au maximum de ce que chacun peut lui apporter (avant de le livrer – sans la moindre honte – à la déportation ou à l’exécution sommaire …) C’est une des raisons pour laquelle il héberge sa voisine Julie (une adolescente juive de dix-huit ans, dont il a déjà dénoncé les parents, ce qu’elle ignore bien sûr …) Il en a profité pour abuser d’elle et lui faire... Nous retrouvons pour la quatrième fois l’immonde – le mot est faible ! – IPA (Inspecteur Principal Adjoint) Sadorski, une crapule vendue au plus offrant (et tant pis si ce sont les nazis …) Jusqu’à présent (nous sommes en octobre 1943) cet abject individu a toujours réussi à s’en sortir (parfois de justesse, il est vrai !) même si il lui faut pour cela dénoncer, voire tuer. Il n’y a de veine que pour la canaille ! Le voilà donc chargé par les allemands d’arrêter les membres du réseau FTP-MOI, avec un groupe de gestapistes français, traites à leur patrie. Ça l’arrange bien, lui qui vendrait père et mère pour son propre intérêt et qui jouit à l’idée de pouvoir « casser » du juif ou du coco … Et tant qu’à faire en profitant au maximum de ce que chacun peut lui apporter (avant de le livrer – sans la moindre honte – à la déportation ou à l’exécution sommaire …) C’est une des raisons pour laquelle il héberge sa voisine Julie (une adolescente juive de dix-huit ans, dont il a déjà dénoncé les parents, ce qu’elle ignore bien sûr …) Il en a profité pour abuser d’elle et lui faire un enfant, maintenant sa propre épouse dans l’ignorance totale de son forfait. Ça tombe bien d’ailleurs, puisqu’il ne parvient pas à engrosser Yvette qui semble stérile … Qu’à cela ne tienne : elle va simuler une grossesse pour les voisins (en pensant rendre service à leur jeune « protégée » …) Du coup, lorsque la trop hardie Jacqueline (la copine étudiante de Julie, âgée elle aussi de dix-huit ans et qui ressemble tant à Micheline Presle !) va se retrouver à la merci de Sadorski, l’envie ne le quittera plus de reproduire une seconde fois ses ignobles abus … Mais le vil Léon Sadorski ferait bien de se méfier : à jouer sur tous les tableaux en abusant de sa chance, cette dernière pourrait bien tourner … On commence sérieusement à douter de lui dans les deux camps, tant la puanteur de ses turpitudes se fait sentir ! D’autant plus qu’il est suffisamment bête pour se faire détester par ses collègues ! Romain Slocombe pousse l’ignominie à son paroxysme avec son épouvantable personnage qui prend plaisir à se rouler dans la fange. Un sale type qui – malheureusement – n’est pas sans rappeler de réelles avanies et de bien sombres personnages, rencontrés dans les années 39-45 : l’homme est parfois capable des pires infamies ! L’auteur fait preuve d’un sacré culot (doublé d’une forme de courage …) qui lui permettent de dénoncer au grand jour des agissements particulièrement nauséabonds d’un certain nombre de français qui n’ont pas hésité à se rouler dans la fange, au plus noir de notre histoire …
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  • CamillexPy 29/09/2022
    C'était le premier roman que je lisais de Romain Slocombe et je suis assez mitigé. Il m'a manqué du rythme au cours de cette lecture, le côté descriptif nous fait passé à côté de l'essentiel de l'intrigue. L'intrigue est moins présente que le synopsis laisse penser
  • collectifpolar 28/08/2022
    La chronique jubilatoire de Dany pour Collectif Polar Je n’aurai pas donné cher de la peau de l’inspecteur Sadorski, en fermant Sadorski et l’ange du pêché dernier volet de La trilogie des collabos ! J’ai donc dans La Gestapo Sadorski été surprise deretrouver en pleine forme Léon, l’immonde opportuniste et anti-juif, qui élargit ses compétences en s’attaquant principalement aux communistes. Repéré favorablement par sa hiérarchie, il intègre une unité spécialisée dans la traque des terroristes qui accomplissent « le travail allemand ». Pour autant Léon Sadorski reste fidèle à ses choix amoureux, exclusivement tournés vers de très jeunes filles qu’il manipule sournoisement pour mieux les dominer, ce qui donne à l’auteur des occasions de nous proposer quelques beaux personnages féminins. C’est donc sur deux plans, professionnel et privé, que nous suivons les agissements de Sadorski dans l’ex-capitale française en 1943. Comme dans l’ouvrage précédent, nous apprenons beaucoup des pratiques douteuses des occupants, de leur savoir-faire dans le domaine de l’ultra-violence qui si elle n’était odieuse pourrait être qualifiée de raffinée. Le lecteur d’ailleurs peut être dérangé par la précision de certaines scènes qui reflètent malheureusement les atrocités mises au point par des cerveaux malades, embrigadés et extrémistes. C’est aussi une façon élégante de rendre... La chronique jubilatoire de Dany pour Collectif Polar Je n’aurai pas donné cher de la peau de l’inspecteur Sadorski, en fermant Sadorski et l’ange du pêché dernier volet de La trilogie des collabos ! J’ai donc dans La Gestapo Sadorski été surprise deretrouver en pleine forme Léon, l’immonde opportuniste et anti-juif, qui élargit ses compétences en s’attaquant principalement aux communistes. Repéré favorablement par sa hiérarchie, il intègre une unité spécialisée dans la traque des terroristes qui accomplissent « le travail allemand ». Pour autant Léon Sadorski reste fidèle à ses choix amoureux, exclusivement tournés vers de très jeunes filles qu’il manipule sournoisement pour mieux les dominer, ce qui donne à l’auteur des occasions de nous proposer quelques beaux personnages féminins. C’est donc sur deux plans, professionnel et privé, que nous suivons les agissements de Sadorski dans l’ex-capitale française en 1943. Comme dans l’ouvrage précédent, nous apprenons beaucoup des pratiques douteuses des occupants, de leur savoir-faire dans le domaine de l’ultra-violence qui si elle n’était odieuse pourrait être qualifiée de raffinée. Le lecteur d’ailleurs peut être dérangé par la précision de certaines scènes qui reflètent malheureusement les atrocités mises au point par des cerveaux malades, embrigadés et extrémistes. C’est aussi une façon élégante de rendre hommage à tous ceux qui combattaient les « collabos » et les forces d’occupation. La relation d’affaires tristement célèbres comme celle de la famille Manouchian, rend ce roman particulièrement précieux. Nous savons que l’auteur se repose toujours sur l’histoire, la grande et la petite, pour nous proposer des aventures extrêmement bien documentées (voir à ce sujet l’abondante documentation en fin d’ouvrage). En conclusion : une énorme émotion à cette lecture, un moment de réflexion sur les outrances commises au nom de la suprématie de la race … certes en 1943, mais qu’en est-il de ce désir de nos jours ? La lecture de Romain Slocombe est hautement recommandée ! Enfin, une bonne nouvelle, l’auteur et sa maison d’édition annoncent avec La Gestapo Sadorski, La trilogie de la guerre civile [tome 2 : L’inspecteur Sadorski libère Paris (2021) et le tome 3 : J’étais le collabo Léon Sadorski (2023)] des titres prometteurs. L’infame Sadorski va encore défier nos consciences … Et comme le dit notre Porte Flingue. Avec Sadorski on n'est pas à une ignominie prêt et cette nouvelle trilogie qui s'annonce est tout aussi prometteuse que la première. Sadorski et Soclombe, le duo gagnant. Du grand art !
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