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La malédiction des Médicis - tome 1 Le Prince sans couronne
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 12/09/2018
Éditeurs :
Archipoche

La malédiction des Médicis - tome 1 Le Prince sans couronne

Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 12/09/2018
L'épopée du plus grand mécène de tous les temps, protecteur des artistes de la Renaissance. Avec près de 20 000 exemplaires vendus à sa première parution, ce roman, premier tome d'une trilogie, a fait la notoriété de Patrick Pesnot.
1492. La foudre s’abat sur Florence. Savonarole, le moine fanatique, a vu le glaive de Dieu déchirer le ciel toscan. La ville expie pour les péchés du Magnifique. Lorenzo se... 1492. La foudre s’abat sur Florence. Savonarole, le moine fanatique, a vu le glaive de Dieu déchirer le ciel toscan. La ville expie pour les péchés du Magnifique. Lorenzo se meurt. Le premier des Florentins se retourne une dernière fois sur son flamboyant passé.Maître de la ville-lumière de son époque,... 1492. La foudre s’abat sur Florence. Savonarole, le moine fanatique, a vu le glaive de Dieu déchirer le ciel toscan. La ville expie pour les péchés du Magnifique. Lorenzo se meurt. Le premier des Florentins se retourne une dernière fois sur son flamboyant passé.Maître de la ville-lumière de son époque, il revoit les êtres qui ont peuplé son existence : ses ancêtres qui ont contribué à le hisser au faîte du pouvoir, ses ennemis qu’il a affrontés l’épée à la main, le pape qui a tenté de le faire assassiner, les illustres peintres, sculpteurs, poètes et philosophes, amis et protégés, qui ont fait de Florence un joyau incomparable.Et les femmes, qu’il a aimées avec autant de fureur que de tendresse. Muses et amantes. Les plus humbles comme les plus célèbres. Lucrezia, Simonetta, Bartolomea...Le Magnifique ferme les yeux. Pourquoi meurt-il si tôt ? Nul ne pourra effacer la trace du plus grand mécène de tous les temps, l’homme qui a inventé la Renaissance. Une épopée, dont l’éclat illumine le roman de Patrick Pesnot, premier volet d’une trilogie haute en couleur.
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EAN : 9782377352050
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 261
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782377352050
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 261
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JeanLibremont 19/08/2022
    C'est le type meme du roman historique a prendre en vacances, tres agréable a lire et, en meme temps, collant de pres a ce que l'on sait de ce célébrissime Medicis que tous connaissent sous le nom de "Lorenzo le Magnifique" et cela surtout depuis la superbe série tv sur l'épopée des Medicis. Il devait son surnom de "Magnifique" a son exceptionnelle prodigalité envers les grands artistes florentins dont les créations et la compagnie lui procuraient un grand plaisir. C'est un personnage que l'auteur n'a pas grand mal a nous rendre sympathique et que je rangerais pour ma part volontiers dans la catégorie des grands baiseurs de l'Histoire avec en sus la qualité d'avoir été aussi l'un des grands mécenes de la Renaissance italienne. Lorenzo est probablement ce qui s'est fait de mieux en matiere de grand bourgeois éclairé et flamboyant de la Renaissance italienne, période "Quattrocento". Né dans une famille a la fois riche, puissante, raffinée et, last but not least, aimante envers ses enfants, Lorenzo est d'excellente constitution (jamais malade), intelligent, curieux d'esprit, pas méchant mais trop préoccupé des plaisirs des sens et de l'esprit pour se soucier vraiment des autres, croyant en Dieu (du moins, le croit-il) mais peu préoccupé de morale chrétienne - ce qui se concoit étant donné l'immoralité ostentatoire du haut clergé de son époque - il est avant tout tres sensuel et ultra sensible au charme des jolies filles. le fait qu'il ait "une gueule" comme on dit, avec son long nez et son prognatisme mandibulaire (machoire inférieure avancée), ne l'empeche nullement de conquérir le coeur des dames, bagout (il leur compose des vers de circonstance), prestance physique et fortune obligent. le roman n'en parle pas, mais Lorenzo était aussi - semble-t-il - myope, ce qui expliquerait en partie son caractere plutot pacifique, en contraste avec celui habituel des puissants males de son temps. Lorenzo n'aura donc pas été homme d'épée ni meme particulierement doué pour les affaires, mais son héritage intellectuel, physique et matériel, combiné avec une bonne étoile lui ayant permis de survivre a tous les mauvais coups dont était prodigue cette époque de conspirateurs et de spadassins, lui ont permis de traverser la vie comme un météore... jusqu'a ce que le destin lui présente la facture. Celle-ci, sous la forme d'une sale maladie auto-immune, elle aussi héritée helas - la "malédiction des Médicis" -, a transformé en calvaire ses dernieres années avant qu'il ne rende son ame au Créateur a l'age de quarante-trois ans. Lorenzo n'aura finalement pas laissé une grande trace dans l'histoire et aura meme, du fait de son désintéret relatif pour les affaires, un peu contribué a amorcer le déclin de la dynastie des Medicis, mais nul doute que sa sensualité débridée a généreusement répandu ses flamboyants genes parmi la population de la douce toscane.C'est le type meme du roman historique a prendre en vacances, tres agréable a lire et, en meme temps, collant de pres a ce que l'on sait de ce célébrissime Medicis que tous connaissent sous le nom de "Lorenzo le Magnifique" et cela surtout depuis la superbe série tv sur l'épopée des Medicis. Il devait son surnom de "Magnifique" a son exceptionnelle prodigalité envers les grands artistes florentins dont les créations et la compagnie lui procuraient un grand plaisir. C'est un personnage que l'auteur n'a pas grand mal a nous rendre sympathique et que je rangerais pour ma part volontiers dans la catégorie des grands baiseurs de l'Histoire avec en sus la qualité d'avoir été aussi l'un des grands mécenes de la Renaissance italienne. Lorenzo est probablement ce qui s'est fait de mieux en matiere de grand bourgeois éclairé et flamboyant de la Renaissance italienne, période "Quattrocento". Né dans une famille a la fois riche, puissante, raffinée et, last but not least, aimante envers ses enfants, Lorenzo est d'excellente constitution (jamais malade), intelligent, curieux d'esprit, pas méchant mais trop préoccupé des plaisirs des sens et de l'esprit pour se soucier vraiment des autres, croyant en Dieu (du moins, le croit-il) mais...
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  • manueandre 22/03/2020
    J ai pris beaucoup de plaisirs avec ce roman. J!ai marché dans les rues de Florence au fur et à mesure que je tournais les'pages et je me suis promener en Toscane. La plume est fournie , documentée mais en même temps lisible et pédagogue. J'ai hâte d'entamer le deuxième tome....Merci M Pesnot, j'ai retrouvé le même plaisir que lorsque je lisais les Fortune de France...
  • melodbellaisa 15/02/2020
    1492. La foudre s'abat sur Florence. Savonarole, le moine fanatique, a vu le glaive de Dieu déchirer le ciel toscan. La ville expie pour les péchés du Magnifique. Lorenzo se meurt. Le premier des Florentins se retourne une dernière fois sur son flamboyant passé.
  • Charliebbtl 14/03/2019
    Alors si vous connaissez uniquement de Patrick Pesnot "La Rose et le Bourreau", il vous faudra faire table rase de tout ce que vous y avez aimé avant de vous plonger dans ce début de saga. En effet, ici, pas de roman historique mais plutôt un récit historique. En effet, Patrick Pesnot nous livre l'histoire de Lorenzo de Médicis, depuis son enfance jusqu'à sa mort. Là encore, pour les allergiques aux biographies, vous ne serez pas déçu car l'auteur a un talent de conteur indéniable et sait faire la part des choses entre l'historique et le poétique. Son ambition n'a pas été de rédiger un ouvrage historique stricto senso mais de brosser l'histoire d'un homme hors du commun dont le destin n'a rien à envier à certains films d'action. Ce qui est intéressant dans ce roman, c'est de voir comment un enfant, idolâtré par son grand-père, Cosimo de Médicis (le premier des Médicis à avoir réussir à créer un empire à la fois financier et politique à Florence), se retrouve petit à petit formé pour devenir le futur maître de la ville. On parlerait presque d'une sorte de roman d'apprentissage où le héros fait son expérience politique mais aussi sentimentale avant de devenir l'un des personnages les plus puissants du pays. On assiste ainsi à cette éducation et cette période de formation qui ne laisse rien au hasard, même en ce qui concerne les sentiments entre frères lorsque Lorenzo tombe amoureux de la même femme que son cadet Giuliano et que ce dernier se résigne par amour fraternel et soumission politique. C'est parfois cruel mais une chose se dégage de cette famille, c'est ce sentiment impérieux qui consiste à garder toujours en tête l'unique chose importante et qui mérite qu'on lui sacrifie tout : l'aura de Florence. Tout tourne autour de cette ville que Lorenzo va s'évertuer à protéger des attaques des puissances voisines et surtout de celles du Pape qui lui voue une haine farouche. Là encore, le clergé n'en sort pas grandi : un pape débauché, autoritaire et prêt à tout même au meurtre pour parvenir à ses fins ou au recours à des mercenaires pour mener ses armées... Une des scènes les plus réussies du roman restera à mes yeux celle se déroulant dans une église où Lorenzo échappe de peu à un assassinat mais y perd un être proche. C'est d'ailleurs étonnant car cette scène digne des plus grands romans de Dumas rappelle également une scène très réussie d'un ouvrage de fantasy que j'ai lu l'an dernier, "Reine de cendres" d'Erika Johansen. Comme quoi, il se passait bien plus de choses trépidantes dans les églises autrefois qu'aujourd'hui. Les conséquences seront d'ailleurs terribles avec des scènes d'exhibitions ou de vengeances morbides dignes des pires films d'horreur. Un autre intérêt du roman, c'est de voir comment Lorenzo va offrir un prestige artistique à Florence en devenant sans doute l'un des plus grands mécènes de la Renaissance dans la mesure où il saura mettre en avant des artistes comme Botticelli, Verrochio ou même De Vinci dont il sauvera la tête quand ce dernier se retrouvera piégé pour une affaire de mœurs. Cet amoureux des lettres (il est poète lui-même à ses heures perdues) et des arts en tous genres gardera d'ailleurs cette ambition jusqu'à son dernier souffle malgré les soucis financiers que cela impliquera pour sa propre bourse et celle de sa ville-état. Rien que pour cet aspect du personnage, ce roman vaut la peine d'être découvert. Pour les amateurs d'Histoire teintée d'une pointe de romanesque, ce roman est fait pour vous d'autant que la plume de Patrick Pesnot y témoigne encore une fois d'un amour pour notre langue et de son vocabulaire d'une richesse infinie. Alors si vous connaissez uniquement de Patrick Pesnot "La Rose et le Bourreau", il vous faudra faire table rase de tout ce que vous y avez aimé avant de vous plonger dans ce début de saga. En effet, ici, pas de roman historique mais plutôt un récit historique. En effet, Patrick Pesnot nous livre l'histoire de Lorenzo de Médicis, depuis son enfance jusqu'à sa mort. Là encore, pour les allergiques aux biographies, vous ne serez pas déçu car l'auteur a un talent de conteur indéniable et sait faire la part des choses entre l'historique et le poétique. Son ambition n'a pas été de rédiger un ouvrage historique stricto senso mais de brosser l'histoire d'un homme hors du commun dont le destin n'a rien à envier à certains films d'action. Ce qui est intéressant dans ce roman, c'est de voir comment un enfant, idolâtré par son grand-père, Cosimo de Médicis (le premier des Médicis à avoir réussir à créer un empire à la fois financier et politique à Florence), se retrouve petit à petit formé pour devenir le futur maître de la ville. On parlerait presque d'une sorte de roman d'apprentissage où le héros fait son expérience politique mais aussi sentimentale avant...
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  • lechristophe 12/02/2019
    "Le prince sans couronne" est un roman historique dans lequel j'ai eu du mal à rentrer. Quelque chose dans le ton, le style m'a plus fait penser à un récit documentaire qu'à une fiction. Mais, passés le prologue et le premier chapitre, je m'y suis fait et, en fait, j'ai été plutôt intéressé par ce premier tome de la trilogie "La malédiction des Médicis". Patrick Pesnot y relate la vie romancée de Laurent de Médicis, dit le Magnifique, héritier de la fortune de deux générations de banquiers florentins prospères, mécène des artistes italiens de ce XVe siècle et, de ce fait, initiateur de la Renaissance. A la tête de la famille la plus puissante de Florence, il est également un des membres actifs de la politique si particulière de la péninsule italienne de l'époque. Celle-ci se compose d'alliances entre familles dirigeantes des villes-états (Florence, Milan, Venise, Naples), et de guerres civiles menées par des armées de mercenaires dirigées par des condottieres ; sans compter les menées des papes qui essayent d'agrandir les états pontificaux. Au final, j'ai apprécié cette plongée dans la Florence du XVe siècle qui m'a donné envie de m'intéresser plus en profondeur à Laurent le Magnifique. Je remercie donc la Masse Critique de Babelio de m'avoir choisi et les éditions Archipoche de m'avoir offert ce livre."Le prince sans couronne" est un roman historique dans lequel j'ai eu du mal à rentrer. Quelque chose dans le ton, le style m'a plus fait penser à un récit documentaire qu'à une fiction. Mais, passés le prologue et le premier chapitre, je m'y suis fait et, en fait, j'ai été plutôt intéressé par ce premier tome de la trilogie "La malédiction des Médicis". Patrick Pesnot y relate la vie romancée de Laurent de Médicis, dit le Magnifique, héritier de la fortune de deux générations de banquiers florentins prospères, mécène des artistes italiens de ce XVe siècle et, de ce fait, initiateur de la Renaissance. A la tête de la famille la plus puissante de Florence, il est également un des membres actifs de la politique si particulière de la péninsule italienne de l'époque. Celle-ci se compose d'alliances entre familles dirigeantes des villes-états (Florence, Milan, Venise, Naples), et de guerres civiles menées par des armées de mercenaires dirigées par des condottieres ; sans compter les menées des papes qui essayent d'agrandir les états pontificaux. Au final, j'ai apprécié cette plongée dans la Florence du XVe siècle qui m'a donné envie de m'intéresser plus en profondeur à Laurent le Magnifique. Je remercie donc la...
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