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La Meute
Date de parution : 14/02/2019
Éditeurs :
Plon

La Meute

Date de parution : 14/02/2019
Vous allez les aimer. Vous allez les détester. C'est LA MEUTE.
Elles n'ont ni le même âge, ni les mêmes passions – si ce n'est la musique des années 80. Elles n'ont rien à faire ensemble. Et pourtant, elles traversent les... Elles n'ont ni le même âge, ni les mêmes passions – si ce n'est la musique des années 80. Elles n'ont rien à faire ensemble. Et pourtant, elles traversent les décennies côte à côte, chacune à son rythme. Elles ont dû se résoudre à admettre que leur amitié n'est ni... Elles n'ont ni le même âge, ni les mêmes passions – si ce n'est la musique des années 80. Elles n'ont rien à faire ensemble. Et pourtant, elles traversent les décennies côte à côte, chacune à son rythme. Elles ont dû se résoudre à admettre que leur amitié n'est ni évidente, ni facile mais qu'en bien des points, elle surpasse toute les histoires d'amour. Elles sont six : Olivia, Romane, Elly, Isadora, Louise et Rosalie. Vous allez les aimer. Vous allez les détester. C'est LA MEUTE.
 
D’une plume acerbe et sans concession, Sarah Koskievic campe des héroïnes entières aux prises avec les questions du quotidien sur le couple et le désir d’enfant, où légèreté rime souvent avec cruauté. Un roman cru et rock.
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EAN : 9782259277020
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782259277020
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Feartheworld 05/05/2019
    Nous découvrons des meufs aussi bien déjantées qu’imprévisibles tout en étant attachiantes, vivant seulement pour la devise “sex, drugs and rock’n roll”. Elles sont six, mais pourtant elles n’ont rien en commun, à part cette amitié inimaginable qui les unit. Nous les suivons à travers leur rencontre, leur évolution, leur chute, leur désespoir, leur rupture, leur amitié, leur amour, leur vie quoi. Je reste sur un avis mitigé car pour ma part, j’ai trouvé le roman assez compliqué à lire et à s’y retrouver dans les années que l’auteure souhaite décrire d’une façon chronologique. Mais j’ai trouvé cependant l’histoire intéressante (bien que parfois ennuyante avec des phrases longues et sans intérêt). Je suis restée littéralement scotché par la fin, une chute tellement brutale, tellement vraie pour certaines personnes, que j’en ai eu des frissons.
  • Root 22/04/2019
    Elles ont le verbe haut, et les idées larges. Leurs désirs en étendard, elles refoulent leur sentimentalisme et sortent vite les griffes. Elles ne sont pas toujours tendres entre elles, unies dans l’amour vache, mais savent où trouver une épaule si besoin est. Féministes à leur sauce, elles ont leurs entrées dans les bars à la mode de la Rive droite et ne se privent d’aucun plaisir interdit : drogues, alcool, aventures d’un soir, elles ne rendent ni ne demandent de comptes. Elles s’appellent Liv, Isadora, Elly, Romane, Louise, que doit rejoindre l’excessive Rosalie, qui n’a pas pointé le bout de ses talons depuis quelque temps. Enfants, mari, carrière, les années passant, chacune a tenté de faire sa vie, se retirant parfois du groupe sans jamais s’en extraire totalement. Par et par-delà les emmerdes, la Meute est leur autre famille, celle qu’elles se sont choisie, celle auprès de qui Liv se réfugie quand son mec la quitte, un SMS en guise d’au revoir. C’est sur ce fond d’échec amoureux qu’à travers une décennie à la chronologie bousculée, par la voix de Liv, on revit les rencontres, la naissance des amitiés, des rivalités vite balayées. On remonte le cours de ces six existences mêlées dans une débauche décomplexée et qui, ensemble, ont toujours la force de surmonter. Des personnages que n’aurait pas renié Jacqueline Susann, une insolence à la Lolita Pille, un désenchantement à la Ann Scott : j’ai adoré ce bouquin. Je l’ai lu d’une traite, entraînée par les états d’âme de la narratrice. Ces personnages amochés par la vie, fragiles et forts, réfugiés dans les bonheurs artificiels à défaut de rêves qui n’existent plus sitôt qu’on les a avoués, sont tellement intéressants, livrés par qui sait les dessiner. J’étais déjà conquise par le style, libre et libéré, puis la fin m’a laissée sans voix. Une claque sonnante. Sarah Koskievic signe là le portrait nécessaire d’une génération. Un roman réaliste comme il y en a trop peu – je ne l’ai que plus apprécié. À lire absolument. Elles ont le verbe haut, et les idées larges. Leurs désirs en étendard, elles refoulent leur sentimentalisme et sortent vite les griffes. Elles ne sont pas toujours tendres entre elles, unies dans l’amour vache, mais savent où trouver une épaule si besoin est. Féministes à leur sauce, elles ont leurs entrées dans les bars à la mode de la Rive droite et ne se privent d’aucun plaisir interdit : drogues, alcool, aventures d’un soir, elles ne rendent ni ne demandent de comptes. Elles s’appellent Liv, Isadora, Elly, Romane, Louise, que doit rejoindre l’excessive Rosalie, qui n’a pas pointé le bout de ses talons depuis quelque temps. Enfants, mari, carrière, les années passant, chacune a tenté de faire sa vie, se retirant parfois du groupe sans jamais s’en extraire totalement. Par et par-delà les emmerdes, la Meute est leur autre famille, celle qu’elles se sont choisie, celle auprès de qui Liv se réfugie quand son mec la quitte, un SMS en guise d’au revoir. C’est sur ce fond d’échec amoureux qu’à travers une décennie à la chronologie bousculée, par la voix de Liv, on revit les rencontres, la naissance des amitiés, des rivalités vite balayées. On remonte le cours de ces six...
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  • lettres_et_caracteres 22/03/2019
    Elles ont quelques heures de vol au compteur mais se conduisent toujours comme des adolescentes décérébrées. Au lieu de construire leur plan de carrière, elles noient leurs soirées dans la vodka pour mieux la gerber dans des toilettes miteuses. Ne leur parlez pas de gentil mari alors qu’elles n’ont qu’une envie : se faire sauter par un parfait inconnu qui aura le bon goût de le rester. Elles pourraient être élégantes en talons hauts, elles sont juste vulgaires perchées sur leurs 12 cm. Elles ne veulent pas être des femmes mais des meufs, de la trempe de celles qui ont du caractère et en imposent. Oubliez Sex and the city et la bande de copines romantiques, ici c’est sexe, drogue et rock’n roll et une meute déchaînée à la sauce Virginie Despentes. Elly, Isadora, Olivia, Romane, Isa, Lou - et j’en oublie certainement - : ne me demandez pas qui est qui, je n’en sais fichtre rien tellement ces nanas sont inintéressantes et facilement interchangeables. Ça tient à peine debout, ça a trois mots de vocabulaire en dehors du « meuf » qui leur sert de ponctuation, ça a la joie de vivre et l’espoir en l’avenir d’un condamné à mort le jour de son exécution et ça se croit branché parce que ça vit dans une poignée de mètres carrés sur la bonne rive. Heureusement les tribulations des bécasses se lisent très vite, en même temps avec de telles vies, il n’y a pas matière à nous pondre Le chant du bourreau non plus. Je ne compte pas le nombre de paires de gifles que j’aurais aimé distribuer à ces « meufs ». Mais aussi antipathiques qu’elles me soient apparues, pour rien au monde je leur aurais souhaité ce qui leur est arrivé. Personne ne mérite ça. Quel mal y a-t-il finalement à vouloir retenir le temps de toutes ses forces et refuser de vieillir et d’endosser le rôle que d’autres ont taillé pour nous ? Elles ont 20 ans dans leur tête et pas grand chose d'autre dedans. Et alors ? Pourquoi la vie ne pourrait pas être légèreté et insouciance après tout ? Pour tout vous dire, je me sens un peu con en refermant ce livre. Je m'en veux d'avoir autant détesté ces personnages, de les avoir pris de haut et de m'être moquée de leur sens des priorités. J'aimerais finalement remonter le temps pour leur offrir encore quelques shoots de vodka et quelques coups d'un soir. J'aimerais leur offrir un supplément de vie. J'aimerais leur dire qu'elles ont mille fois raison de vivre avec légèreté et insouciance, que c'est elles qui ont raison de ne pas prendre la vie plus au sérieux qu'elle ne le mérite. Je ne les aime pas plus à la fin de ce roman mais je les comprends mieux et c'est déjà beaucoup. Elles ont quelques heures de vol au compteur mais se conduisent toujours comme des adolescentes décérébrées. Au lieu de construire leur plan de carrière, elles noient leurs soirées dans la vodka pour mieux la gerber dans des toilettes miteuses. Ne leur parlez pas de gentil mari alors qu’elles n’ont qu’une envie : se faire sauter par un parfait inconnu qui aura le bon goût de le rester. Elles pourraient être élégantes en talons hauts, elles sont juste vulgaires perchées sur leurs 12 cm. Elles ne veulent pas être des femmes mais des meufs, de la trempe de celles qui ont du caractère et en imposent. Oubliez Sex and the city et la bande de copines romantiques, ici c’est sexe, drogue et rock’n roll et une meute déchaînée à la sauce Virginie Despentes. Elly, Isadora, Olivia, Romane, Isa, Lou - et j’en oublie certainement - : ne me demandez pas qui est qui, je n’en sais fichtre rien tellement ces nanas sont inintéressantes et facilement interchangeables. Ça tient à peine debout, ça a trois mots de vocabulaire en dehors du « meuf » qui leur sert de ponctuation, ça a la joie de vivre et l’espoir en l’avenir d’un condamné à mort...
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  • ElodieLaLectrice 26/02/2019
    Pour son premier livre, Sarah Koskievic nous livre ici l'histoire de Liv (Olivia) et sa meute. Tout commence avec une joyeuse bande de copines déjantés, adeptes des excès en tout genres et fleurtant dangereusement avec la mort. Six meufs, six copines, six hyènes, six parisiennes sans langue de bois, constituent "la meute". Elles vont traverser les épreuves de la vie appuyées les unes sur les autres. Elles vont pleurer, elles vont rire, parfois même pleurer de rire ; mais aussi se disputer ou tout plaquer pour tout recommencer. Chacune avec ses névroses, ses faiblesses et ses doutes va se laisser embarquer dans le tourbillon de la vie et son lot d'emmerdes. Avec une chronologie alternant les retours en arrière et l'histoire d'aujourd'hui, le texte se veut brut et rythmé. Non, ce n'est pas qu'un roman feel good avec une bande copines fêtards, c'est bien plus sombre et plus profond. On y trouve le mal-être d'une jeunesse en proie aux excès, la difficulté d'être une femme totalement libre de ses choix, la dangerosité des addictions, mais aussi l'amitié plus forte que tout. A lire jusqu'au bout avec une fin totalement inattendue.
  • Sharon 25/02/2019
    Un livre dur, finalement, parce qu'il faut vraiment le lire jusqu'au bout. Je me suis totalement perdue dans sa chronologie. Nous nous perdons sur une dizaine d'années, au fur et à mesure que les membres de cette meute se sont connues, sont devenues amies, avec Liv (diminutif d'Olivia, elle n'allait tout de même pas s'appeler Olive, comme l'épouse de Popeye). Je me suis aussi perdue avec ses nombreux personnages, toutes connaissant Paris sous le bout des doigts, détestant ma station de métro préférée (Cluny-Sorbonne !). Elles boivent, elles fument, elles se droguent, elles traversent la vie uniquement reliées par leur amitié, par le fait qu'elles espèrent pouvoir toujours s'appuyer les unes sur les autres en cas de coups durs, qui peuvent arriver, justement. Elles finissent par se ranger, parfois, avoir un enfant, par accident, un vrai métier, professeur des écoles, tout plaquer, tout recommencer ailleurs. Avec elles, on est dans un tourbillon, et parfois, franchement, je me suis désintéressée de leurs problèmes, de leurs états d'âme, de leur amour des fringues et du maquillage, du règne de l'apparence parce que le monde est dur, pour les femmes, plus dur aussi pour celles qui s'affirment et veulent vraiment mettre à exécution ce qu'elles veulent faire. Un roman qui se lit à cent à l'heure, comme le rythme de l'écriture, et qui se referme, sonné. Un livre dur, finalement, parce qu'il faut vraiment le lire jusqu'au bout. Je me suis totalement perdue dans sa chronologie. Nous nous perdons sur une dizaine d'années, au fur et à mesure que les membres de cette meute se sont connues, sont devenues amies, avec Liv (diminutif d'Olivia, elle n'allait tout de même pas s'appeler Olive, comme l'épouse de Popeye). Je me suis aussi perdue avec ses nombreux personnages, toutes connaissant Paris sous le bout des doigts, détestant ma station de métro préférée (Cluny-Sorbonne !). Elles boivent, elles fument, elles se droguent, elles traversent la vie uniquement reliées par leur amitié, par le fait qu'elles espèrent pouvoir toujours s'appuyer les unes sur les autres en cas de coups durs, qui peuvent arriver, justement. Elles finissent par se ranger, parfois, avoir un enfant, par accident, un vrai métier, professeur des écoles, tout plaquer, tout recommencer ailleurs. Avec elles, on est dans un tourbillon, et parfois, franchement, je me suis désintéressée de leurs problèmes, de leurs états d'âme, de leur amour des fringues et du maquillage, du règne de l'apparence parce que le monde est dur, pour les femmes, plus dur aussi pour celles qui s'affirment et veulent vraiment mettre à exécution ce...
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