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La Naissance du sentiment
Date de parution : 05/01/2017
Éditeurs :
Robert Laffont

La Naissance du sentiment

Date de parution : 05/01/2017

Nous sommes avant Socrate, Platon, Aristote et dans la Grèce du Ve siècle avant J.-C. À Sparte, la citoyenne Carthas, veuve de grand guerrier, met au monde un fils, Aphranax....

Nous sommes avant Socrate, Platon, Aristote et dans la Grèce du Ve siècle avant J.-C. À Sparte, la citoyenne Carthas, veuve de grand guerrier, met au monde un fils, Aphranax. L’enfant présente une malformation invisible, dans une société qui élimine les faibles. Victime d’un sentiment maternel interdit chez les siens,...

Nous sommes avant Socrate, Platon, Aristote et dans la Grèce du Ve siècle avant J.-C. À Sparte, la citoyenne Carthas, veuve de grand guerrier, met au monde un fils, Aphranax. L’enfant présente une malformation invisible, dans une société qui élimine les faibles. Victime d’un sentiment maternel interdit chez les siens, la veuve Carthas va dissimuler cette faille. Sa conduite hors la loi provoque le Destin. Le vieux monde vacille : Athènes poursuit son envol démocratique, les cités doivent s’unir face à l’envahisseur perse, les Dieux semblent lâcher les Grecs. Les rois, les peuples, les Pythies, la pensée basculent vers les temps nouveaux…
Un roman à la fois érudit, drôle et poignant, dont le souffle nous emporte aux origines des valeurs de l’Occident. Cette épopée n’a pas pris une ride. Elle réveillera chez le lecteur « le goût âcre de la Liberté qui enivrera toujours le coeur des mortels ». Bon et beau voyage !

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EAN : 9782221196007
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221196007
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • luocine 28/11/2020
    Si, comme moi, vous avez gardé, grâce à vos cours sur l’antiquité grecque, une image assez positive de cette période de l’histoire, avec, peut-être une petite préférence pour Spartes qui semblait plus guerrière et plus héroïque qu’Athènes, lisez vite ce roman , cela vous redonnera des idées un peu moins romantiques de la réalité spartiate . Bien sûr, vous vous souvenez de cet enfant spartiate qui avait préféré se faire dévorer les entrailles par un petit renardeau plutôt que d’avouer qu’il le cachait sous sa tunique. Mais si c’est votre seul souvenir, je vous promets quelques découvertes bien au-delà de cette anecdote. Si les Spartiates étaient invincibles, ils le doivent à des pratiques très particulières. Dès la naissance, à la moindre « tare », on éliminait les bébés, mais cela ne suffisait pas, vers deux ans on présentait l’enfant à un conseil de sages qui jetait dans un précipice tout enfant un peu bossu, ou ayant des jambes tordues ou qui semblait ne pas bien voir, ne pas entendre correctement, ou déficient intellectuellement … À contrario, tous les ans on pratiquait la nuit de la Cryptie, c’est à dire que durant une nuit entière les citoyens de Spartes avaient le droit de tuer tous les Hilotes (c’est à dire leurs esclaves) qu’ils voulaient . Si j’ai dit « à contrario » c’est que cette fois les Spartiates choisissaient de préférence les hilotes les plus courageux et les plus intelligents de façon à tenir en respect une population beaucoup, beaucoup plus nombreuse qu’eux. Jean-François Kervéan sait nous faire revivre ces meurtres avec force détails, j’ai rapidement été submergée par une impression de dégoût . Comment cette antiquité grecque qui était pour moi un bon souvenir a pu générer autant d’horreurs ? La partie consacrée à la formation du jeune Spartiate (Agogée) est de loin ce qui m’a le plus intéressée, car pour ceux qui ont survécu à la naissance puis à la présentation, il reste une épreuve , celle de « L’Errance ». Avant de devenir adulte un jeune doit rester une année entière à survivre dans la nature sans l’aide de quiconque. Il doit chasser et se nourrir de ce que la nature peut lui offrir à moins qu’il soit lui-même la proie de prédateurs plus forts que lui. Ensuite, il sera citoyen de Spartes et fera partie de l’armée invincible. L’organisation de la vie de la cité est aussi originale et plus sympathique. Tous les Spartiates sont égaux et ont tous les mêmes droits. Bien sûr, il y a les esclaves pris dans les populations vaincues et asservies mais sinon l’égalité est parfaite. Il y a deux corps de dirigeants les « gérontes » des hommes âgés qui resteront jusqu’à leur mort dans une fonction de conseil et cinq « éphores » élu pour un an au sein de l’assemblée. Tous les Spartiates peuvent appartenir à l’assemblée et y prendre la parole. Le roi n’a pas plus d’importance qu’un autre citoyen. Le roman se situe lors des guerres Médiques contre le roi de Perse, Xerxès 1°. La description de l’opposition entre les deux civilisations et de la guerre m’a moins passionnée. Et puis, il est grand temps que je parle du style de cet auteur. Je ne comprends pas toujours le pourquoi de ses formules. Je sens bien qu’il a voulu désacraliser une certaine représentations de l’antiquité grecque mais parfois, je ne le suis pas dans ses descriptions de héros presque toujours ivres ou drogués qui pètent et « s’enculent » à qui mieux mieux . Cette réserve ne m’a empêchée d’apprécier toutes les réflexions qui sous-tendent ce projet de livre : Pourquoi finalement c’est la royauté qui a perduré pendant deux millénaires et pas la démocratie, Pourquoi toutes les tyrannies ont-elles adulé Spartes ? Est ce que ce système pouvait durer ? Pourquoi les sentiments ne sont pas compatibles dans un tel système. Mes réserves viennent du style de l’auteur mais je suis ravie d’avoir lu ce roman car j’ai vraiment beaucoup appris sur cette période et surtout corrigé beaucoup d’idées fausses .Si, comme moi, vous avez gardé, grâce à vos cours sur l’antiquité grecque, une image assez positive de cette période de l’histoire, avec, peut-être une petite préférence pour Spartes qui semblait plus guerrière et plus héroïque qu’Athènes, lisez vite ce roman , cela vous redonnera des idées un peu moins romantiques de la réalité spartiate . Bien sûr, vous vous souvenez de cet enfant spartiate qui avait préféré se faire dévorer les entrailles par un petit renardeau plutôt que d’avouer qu’il le cachait sous sa tunique. Mais si c’est votre seul souvenir, je vous promets quelques découvertes bien au-delà de cette anecdote. Si les Spartiates étaient invincibles, ils le doivent à des pratiques très particulières. Dès la naissance, à la moindre « tare », on éliminait les bébés, mais cela ne suffisait pas, vers deux ans on présentait l’enfant à un conseil de sages qui jetait dans un précipice tout enfant un peu bossu, ou ayant des jambes tordues ou qui semblait ne pas bien voir, ne pas entendre correctement, ou déficient intellectuellement … À contrario, tous les ans on pratiquait la nuit de la Cryptie, c’est à dire que durant une nuit entière les citoyens de Spartes avaient le...
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  • Maelhy 15/03/2017
    La naissance du sentiment de Jean-François Kervéan est un livre que j'ai obtenu lors d'une masse critique Babelio, que je remercie énormément pour cette très très belle découverte. Publié chez Robert Laffont, c'est un super auteur que j'ai découvert ici ! Ainsi, Nous nous retrouvons plongé au milieu de la Grèce antique, à l'ère où la grande Sparte concurrençait la belle Athènes, peu avant la campagne de conquête de Xerxès. A cette époque, en Lacédémonie, seuls les plus méritants gagneront leur place parmi les héros de ce peuple. Dès leur plus jeune âge, les garçons sont séparés en deux groupes : les plus faibles mourront, les plus fort vivront. Dans cette société qui ne laisse aucune place pour l'attachement familiale, mais qui privilégie la bravoure et l'honneur gagné au combat, naît Aphranax, fils d'Artys et de Gorgophonée Carthas. Le jeune enfant souffre d'une maladie cardiaque/respiratoire, qui le condamne immédiatement à la mort dès les premiers tests. Mais c'est sans compter sur sa mère, s'attachant à lui contre les règles, qui tente de le soigner, d'atténuer ses souffrances et leurs symptômes. Aphranax grandit, et fait la connaissance de Léonidas, le célèbre roi de Sparte qui s'illustrera dans la fameuse bataille des Thermopyles (si si, celle du film 300!). Ils vont partager un bout de chemin, entre les complots politiciens d'une ville qui bascule peu à peu dans la guerre, les croyances et secrets des uns et des autres, les révoltes des esclaves, la naissance de l'amour malgré les interdictions… Bref, j'en parlerai des heures. J'ai énormément aimé la plume de l'auteur. Simple et précis, il nous emmène où il veut, n'hésitant pas à utiliser termes grecs et perses, avec une traduction ou des annotations, ce qui apporte une exactitude que j'ai apprécié retrouver, ce n'est parfois pas le cas dans d'autres romans (Quand on a étudié les langues anciennes, on aime d'autant plus retrouver les termes exacts!). L'auteur n'hésite pas non plus à user de jeux de mots (coucou les chocolats Léonidas), qui m'ont fait beaucoup rire, mais qui permettent au roman de se placer dans un récit contemporain, de se rattacher à notre époque : on ne reste pas coincé avec les héros dans la ville de Sparte il y a près de...2600 ans. Je reconnais que le livre a été long à lire. Par moment, je ne voyais plus la fin des pages, j'avais vraiment l'impression de ne pas avancer, même si ce livre m'a énormément plu. Il a fallut attendre les 60 dernières pages, que tout s'accélère, pour que je referme le livre sans m'en rendre compte. Au niveau des personnages, j'ai A.D.O.R.E Saad, le petit esclave analphabète. Même si son évolution m'a paru illogique, sa personnalité m'a beaucoup plu, il est loyal, n'a d'yeux que pour son maître, et malgré les coups durs, est toujours disposé à servir (bon ok, il n'a rien dans le crâne, mais je l'ai trouvé tellement chou!). Grâce à la masse critique Babelio, j'ai pu retracer un bout de l'histoire de Sparte, pour quelqu'un qui aime l'histoire antique, lire ce livre fut un privilège ! Et l'auteur consacre aussi une grande partie de l'histoire à l'importance du rôle des femmes dans les tournants importants de notre passé : j'ai apprécié ces précisions trop souvent passées sous silence.Une très très belle découverte pour cette première édition de la masse critique à laquelle je participai. Pour retracer l'histoire des sentiments qui peuvent habiter tout un peuple, dévorez ce livre, vous ne serez pas déçus ! ❣ Tout simplement : MERCI Monsieur Kervéan. ❣La naissance du sentiment de Jean-François Kervéan est un livre que j'ai obtenu lors d'une masse critique Babelio, que je remercie énormément pour cette très très belle découverte. Publié chez Robert Laffont, c'est un super auteur que j'ai découvert ici ! Ainsi, Nous nous retrouvons plongé au milieu de la Grèce antique, à l'ère où la grande Sparte concurrençait la belle Athènes, peu avant la campagne de conquête de Xerxès. A cette époque, en Lacédémonie, seuls les plus méritants gagneront leur place parmi les héros de ce peuple. Dès leur plus jeune âge, les garçons sont séparés en deux groupes : les plus faibles mourront, les plus fort vivront. Dans cette société qui ne laisse aucune place pour l'attachement familiale, mais qui privilégie la bravoure et l'honneur gagné au combat, naît Aphranax, fils d'Artys et de Gorgophonée Carthas. Le jeune enfant souffre d'une maladie cardiaque/respiratoire, qui le condamne immédiatement à la mort dès les premiers tests. Mais c'est sans compter sur sa mère, s'attachant à lui contre les règles, qui tente de le soigner, d'atténuer ses souffrances et leurs symptômes. Aphranax grandit, et fait la connaissance de Léonidas, le célèbre roi de Sparte qui s'illustrera dans la fameuse bataille des Thermopyles...
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  • Elamia 05/03/2017
    La quatrième de couverture nous le précise, mais je peux désormais le confirmer, La naissance du sentiment est bien un roman érudit. La plume de Jean-François Kerveant est distinguée, parfois crûe, mais surtout pleine de sagesse. Le scénario en devient presque secondaire, tant ce sont les mots qui décrivent les situations qui prennent le pas sur tout le reste. D'ailleurs, il n'y a pas vraiment d'action, ce sont principalement les relations entre les personnages qui sont mises en lumière ici. Principalement la relation entre Gorgophonée et son fils Aphranax qui, séparés par la distance, sont unis par un lourd secret pouvant à tout moment faire basculer la vie du jeune homme. J'ai appris énormément de choses sur la vie à Sparte, notamment ce côté impitoyable envers les enfants jugés trop faibles. On vise la perfection, la force, la beauté, tout le reste est déprécié et jugé hors-norme. C'est une société très dure, dans laquelle Gorgophonée, qui a perdu son époux à la guerre, doit vivre également loin de son fils. Malgré ses soucis respiratoires, Aphranax souhaite intégrer la prestigieuse armée des 300. Mais très vite, un autre objectif va s'imposer à lui : tuer son rival, qui n'est autre que l'arrogant prince Léonidas. Nous suivons donc par les yeux d'un narrateur omniscient, la vie de Gorgophonée qui tente de gérer sa solitude, et l'apprentissage d'Aphranax. La veuve profite de la compagnie et des conseils avisés d'un vieux diplomate nommé Hypocoon, dont elle repousse incessamment les avances tandis que son fils poursuit ses classes. Malgré un style complexe, l'humour est au rendez-vous. Mais attention c'est une lecture ardue qui demande énormément de concentration pour être appréciée à sa juste valeur. Je suis contente d'avoir découvert ce roman, même s'il s'éloigne de mes lectures habituelles, les ouvrages romancés sur la Grèce antique sont si rares qu'il serait bête de passer à côté. La quatrième de couverture nous le précise, mais je peux désormais le confirmer, La naissance du sentiment est bien un roman érudit. La plume de Jean-François Kerveant est distinguée, parfois crûe, mais surtout pleine de sagesse. Le scénario en devient presque secondaire, tant ce sont les mots qui décrivent les situations qui prennent le pas sur tout le reste. D'ailleurs, il n'y a pas vraiment d'action, ce sont principalement les relations entre les personnages qui sont mises en lumière ici. Principalement la relation entre Gorgophonée et son fils Aphranax qui, séparés par la distance, sont unis par un lourd secret pouvant à tout moment faire basculer la vie du jeune homme. J'ai appris énormément de choses sur la vie à Sparte, notamment ce côté impitoyable envers les enfants jugés trop faibles. On vise la perfection, la force, la beauté, tout le reste est déprécié et jugé hors-norme. C'est une société très dure, dans laquelle Gorgophonée, qui a perdu son époux à la guerre, doit vivre également loin de son fils. Malgré ses soucis respiratoires, Aphranax souhaite intégrer la prestigieuse armée des 300. Mais très vite, un autre objectif va s'imposer à lui : tuer son rival, qui n'est autre que l'arrogant prince...
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  • LeaTouchBook 05/02/2017
    Chronique de Scarlett (Chroniqueuse sur le blog Léa Touch Book) Lorsque j’ai un coup de cœur pour un livre, je suis attentive aux futures parutions de l’auteur. Alors comme j’avais totalement « flashé » sur Animarex de Monsieur Kervéan , me voici , me voilà de retour après la lecture de son nouveau roman : La naissance du sentiment. Et oh bonheur suprême ! J’ai à nouveau été emportée, émue et enthousiasmée par son nouveau récit. Ce livre nous transporte dans la Sparte antique, en Grèce, à l’époque des guerres médiques contre la Perse. A Sparte on rencontre la famille Carthas , Gorgophonée la veuve altière d’un héroïque guerrier , donne naissance à un fils Aphranax. Celui-ci est souffreteux, on découvrira au fil de la lecture qu’il est asthmatique. Mais à Sparte, cité guerrière, les jeunes garçons à l’âge de sept ans subissent un rite de passage afin de déceler les enfants handicapés. Et ceux qui ne correspondent pas aux attentes de la Cité meurent. Les autres sont pris en main par des éducateurs afin d’être formé à devenir des êtres forts et courageux dans une ville qui prône l’égalité de tous. Si Sparte est comme Athènes le berceau de la Démocratie occidentale, elle est plus rigide et rigoureuse que sa consœur dans ses us et coutumes. Gorgophonée n’aura de cesse de protéger son enfant et celui-ci passera donc le test maudit avec succès et deviendra un valeureux soldat de l’élite spartiate. Son destin et notre lecture croiseront les chemins de noms illustres durant cette période de l’invasion Perse. On côtoie Léonidas le roi fratricide, célèbre pour son combat héroïque et mythique contre les Perses au défilé des Thermopyles avec ses valeureux 300. On chemine aussi avec le Roi des Rois Xerxès le Perse, et on perçoit en lisant ses propos, ses pensées de fortes similitudes avec un autre roi qui fera aussi l’Histoire (clin d’œil de Monsieur Kervéan à Louis le grand peut-être…) On lit avec plaisir leurs aventures dans cette Histoire, dans notre Histoire. On apprend, on se cultive sur une civilisation ancestrale dont nous avons hérité le modèle politique : La Démocratie. On aime, on souffre, on vit, on passe aussi dans ce roman. On apprend, qui étaient Démarate, Solon d’Athènes, Lycurgue de Sparte ; ce que sont la ligue hellénique, l’ agögé , l’isonomie et l’errance (ce passage sur l’errance d’Aphranax !!!). Et ces dialogues savoureux entre les uns et les autres, celui notamment entre Xerxès et Démarate sur la vision géopolitique de tel ou tel souverain, sur la liberté ou la féodalité des peuples est un discours éternel qui fait réfléchir. Ps : il y a un petit lexique en fin de livre bien utile . Et toujours ce même plaisir de lecture. Jean-François Kervéan sublime et transcende des instants de l’Histoire, des personnages mythiques avec une plume habile, fluide et qui joue avec les mots et avec le temps mélangeant parfois un ton volontairement moderne, insolent et drôle au rythme plus ancien de l’histoire. « et de l’Inconnu arrivent les emmerdes d’où nait la métamorphose. Si les métamorphoses venaient en mangeant du melon, ça se saurait ». Parfois décalé et plein d’humour mais jamais au détriment de l’histoire, le ton, l’écriture est un régal je vous dis ! C’est une merveilleuse histoire à lire, qui va vous permettre de mieux connaître la grande Histoire, l’origine de la Démocratie, des lois qui furent le fondement du mieux vivre ensemble. Sans que cela ne soit barbant un seul instant. Et c’est tellement d’actualité… Alors n’hésitez pas, si vous aimez être surpris, sourire, apprendre, être ému en lisant foncez….Chronique de Scarlett (Chroniqueuse sur le blog Léa Touch Book) Lorsque j’ai un coup de cœur pour un livre, je suis attentive aux futures parutions de l’auteur. Alors comme j’avais totalement « flashé » sur Animarex de Monsieur Kervéan , me voici , me voilà de retour après la lecture de son nouveau roman : La naissance du sentiment. Et oh bonheur suprême ! J’ai à nouveau été emportée, émue et enthousiasmée par son nouveau récit. Ce livre nous transporte dans la Sparte antique, en Grèce, à l’époque des guerres médiques contre la Perse. A Sparte on rencontre la famille Carthas , Gorgophonée la veuve altière d’un héroïque guerrier , donne naissance à un fils Aphranax. Celui-ci est souffreteux, on découvrira au fil de la lecture qu’il est asthmatique. Mais à Sparte, cité guerrière, les jeunes garçons à l’âge de sept ans subissent un rite de passage afin de déceler les enfants handicapés. Et ceux qui ne correspondent pas aux attentes de la Cité meurent. Les autres sont pris en main par des éducateurs afin d’être formé à devenir des êtres forts et courageux dans une ville qui prône l’égalité de tous. Si Sparte est comme Athènes le berceau...
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