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La patience de l'araignée
Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 31/01/2013
Éditeurs :
12-21

La patience de l'araignée

Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 31/01/2013

Elle est là qui patiente, tapie dans l'ombre. Elle a minutieusement tendue son piège, fil après fil. Qu'attrapera-t-elle cette fois ? Une grosse mouche ? Un papillon ? Un promoteur...

Elle est là qui patiente, tapie dans l'ombre. Elle a minutieusement tendue son piège, fil après fil. Qu'attrapera-t-elle cette fois ? Une grosse mouche ? Un papillon ? Un promoteur immobilier véreux ? Rien n'est à exclure, dans cette campagne sicilienne où l'on croise de bien drôles d'insectes. Une jeune...

Elle est là qui patiente, tapie dans l'ombre. Elle a minutieusement tendue son piège, fil après fil. Qu'attrapera-t-elle cette fois ? Une grosse mouche ? Un papillon ? Un promoteur immobilier véreux ? Rien n'est à exclure, dans cette campagne sicilienne où l'on croise de bien drôles d'insectes. Une jeune fille qui disparaît et, soudain, c'est l'île entière qui se révèle être une immense toile.  Une toile de cousins, de frères, de soeurs, d'oncles et de tantes aux intérêts entremêlés. Une toile de on-dit, de calomnies, de vraies fausses vérités et de faux vrais mensonges. Pirsonne n'a vu pirsonne, évidemment. Mais ti le monde a une petite idée. Au commissaire Montalbano, une fois de plus de faire la part des choses. De marchandes d'oeufs à la cuisse légère en journalistes assoiffés de ragots et de rougets grillés en petits verres de gnôle, l'enquête s'annonce relevée à la sauce locale. Un juge par-ci, un avocat par-là, des liasses de billets dans un sac de sport... Et les fils de la toile qui ondulent doucement sous la brise marine. Bien sûr que l'araignée est là, tapie dans l'ombre. Mais qui est-elle ? Et qui veut-elle croquer ?

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EAN : 9782823803525
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823803525
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • zakfm 10/01/2024
    Lu dans les éditions Pocket, j'ai constaté de nombreuses fautes de frappe ou des non-sens. Ajoutées à la traduction particulière adaptée au dialecte sicilien, ces erreurs peuvent embrouiller les esprits. Ceci dit, je me suis régalé comme toujours à lire cet auteur. Son écriture est subtile, humoristique, pittoresque et les intrigues policières souvent très simples ne sont qu'un prétexte à faire vivre des personnages très complexes et passionnants.
  • elisecorbani 04/09/2022
    A la fin du précédent épisode, le tour de la bouée, nous avions laissé notre héros blessé après un assaut particulièrement sportif sur la villa QG du réseau de trafiquants d'enfants clandestins. Alors que Ingrid avait une nouvelle fois tenu un rôle décisif dans l'intrigue, Salvo retrouve Livia venue en urgence le retrouver. Cette nouvelle enquête s'inscrit donc dans une ambiance de convalescence et de vie commune, toujours ambivalente et chaotique, entre Salvo et Livia. Alors qu'une jeune fille disparaît et que tout semble orienter vers un rapt, Montalbano met au jour la vérité grâce à la finesse de son intuition. Andrea Camilleri s'est amusé à parsemer la narration d'indications qui permettent au lecteur de facilement découvrir le nœud de l'intrigue. Résulte de cette lecture un grand plaisir sans suspense ni tension dramatique, avec toujours la dose d'humour et de satire qu'on apprécie chez l'auteur. Un épisode très réussi à mon sens.
  • jcjc352 05/02/2021
    Voilà le dottore Montalbano reparti à l’assaut du crime Enfin assaut n’est pas vraiment le terme adéquat car convalescent encore il est, il se contente d’assauts amoureux sur sa Livia et sur les simples pâtes à l’ail préparé certes avec amour par cette dernière mais l’amour ne fait pas forcement des grandes maître queux « C’est pas qu’elle cuisinait très mal Livia , mais elle avait tendance à tomber dans l’insipide, dans le peu d’assaisonnement, dans le très léger, dans le goût qui est là sans y être. Plutôt que cuisiner, Livia évoquait la cuisine. » (Il y a de l’Audiard là-derrière ou du Boudard ou Blondin n’est-ce pas ?) En clair Livia est un gâte-sauce ! Ensuite entre émois amoureux et pâtes, prit en sandwich entre Livia et sa bonne , ses futures obligations de parrains ( de famille il s’entend) il réfléchit Il n’empêche qu’ à partir d’un kidnapping de motocyclette le dottore va tomber sur une araignée et pour sa convalescence la, passer à suivre tous les fils de sa toile. Et détricoter l’intrigue. Toujours fidèlement servi au poste par Catarella dont la cousine régalera Montalbano de cavatuna, de caponata et de lapin à l’aigre-doux il avancera tant bien que mal à travers les agissements maffieux d’un oncle et les soins d’un autre, la disparition d’une nièce, les milliards de lires de rançon a verser, d’avocat tordu, à se faire une idée de qui à fait quoi (là l’éditeur m’a demandé de rester discret donc … je ne ferai pas le quaraquaqua, dixit Camilleri : un bavard impénitent) Sa prose vernaculaire et ses participes passés auquels on ne se fait pas, toujours très alertes, ses noms qui sentent bon le Sud : Piripipo, Pippina et autres Pippo on croirait entendre zinzinuler les fauvettes siciliennes nous transportent immédiatement au soleil. Ses remarques désabusées « Il suffisait qu’un type soit chinois pour s’y connaître en fièvre jaune ! » ses appréciations professionnelles de Catarella «... L’orgueil de partager un secret avec son chef le (Catarella) faisait passer de l’état canin à celui du paon qui fait la roue. » Enfin Montalbano fidèle à lui-même va administrer une justice conviviale. Ne l’oublions pas on est en Sicile. Voilà le dottore Montalbano reparti à l’assaut du crime Enfin assaut n’est pas vraiment le terme adéquat car convalescent encore il est, il se contente d’assauts amoureux sur sa Livia et sur les simples pâtes à l’ail préparé certes avec amour par cette dernière mais l’amour ne fait pas forcement des grandes maître queux « C’est pas qu’elle cuisinait très mal Livia , mais elle avait tendance à tomber dans l’insipide, dans le peu d’assaisonnement, dans le très léger, dans le goût qui est là sans y être. Plutôt que cuisiner, Livia évoquait la cuisine. » (Il y a de l’Audiard là-derrière ou du Boudard ou Blondin n’est-ce pas ?) En clair Livia est un gâte-sauce ! Ensuite entre émois amoureux et pâtes, prit en sandwich entre Livia et sa bonne , ses futures obligations de parrains ( de famille il s’entend) il réfléchit Il n’empêche qu’ à partir d’un kidnapping de motocyclette le dottore va tomber sur une araignée et pour sa convalescence la, passer à suivre tous les fils de sa toile. Et détricoter l’intrigue. Toujours fidèlement servi au poste par Catarella dont la cousine régalera Montalbano de cavatuna, de caponata et de lapin à l’aigre-doux il avancera tant bien que mal à...
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  • Baluzo 24/12/2020
    Encore une belle intrigue bien complexe et démêlée par notre commissaire favori en toute fin de livre . Au dela de l'histoire et comme d'habitude, on goute en particulier aux rapports humains parfois complexes que ce commissaire entretient avec ses proches, compagne, cuisinière, collègues, compatriotes,....un vrai bonheur
  • Melcleon 10/08/2020
    Le commissaire Montalbano est en arrêt de travail depuis qu'on lui a extrait de l'épaule une balle reçue lors de sa précédente enquête, racontée dans "Le tour de la bouée". Du coup Livia, sa bien-aimée génoise, a pris quelques jours de congé pour le rejoindre et l'accompagner durant sa convalescence. Théoriquement hors circuit, il est pourtant associé par le juge, en tant qu'observateur et conseiller, à une nouvelle enquête ouverte à la suite de l'enlèvement d'une jeune fille, Susanna. Comme on peut s'y attendre, Montalbano ne va pas se contenter de suivre le déroulement des opérations de recherche depuis sa maison de Marinella. D'ailleurs il n'est pas cloué dans son fauteuil, son épaule ne le fait souffrir que par intermittence (elle le réveille systématiquement, au milieu de la nuit, à l'heure exacte du tir de revolver qui l'a atteint) et le fonctionnement de sa "coucourde" est intact. Divers petits faits anodins, sans rapport avec l'enquête, le font douter de la conformité de cet enlèvement avec le "modèle" classique. Déjà, chose surprenante, les parents de Susanna ne roulent pas sur l'or, ils n'ont pas les moyens de payer une rançon que les ravisseurs, du reste, tardent à réclamer. À moins qu'intervienne un oncle qui a fait fortune en tutoyant l'illégalité... Dans cet épisode, le commissaire sicilien se montre, encore plus que d'ordinaire, à l'écoute de son instinct et de sensations fugitives mais il a de bonne raisons pour cela : officiellement déchargé de l'enquête pour raisons médicales, il peut se permettre de faire passer ses sentiments personnels avant la stricte observation du formalisme juridique qu'il peine de toute façon à respecter en temps normal. Le commissaire Montalbano est en arrêt de travail depuis qu'on lui a extrait de l'épaule une balle reçue lors de sa précédente enquête, racontée dans "Le tour de la bouée". Du coup Livia, sa bien-aimée génoise, a pris quelques jours de congé pour le rejoindre et l'accompagner durant sa convalescence. Théoriquement hors circuit, il est pourtant associé par le juge, en tant qu'observateur et conseiller, à une nouvelle enquête ouverte à la suite de l'enlèvement d'une jeune fille, Susanna. Comme on peut s'y attendre, Montalbano ne va pas se contenter de suivre le déroulement des opérations de recherche depuis sa maison de Marinella. D'ailleurs il n'est pas cloué dans son fauteuil, son épaule ne le fait souffrir que par intermittence (elle le réveille systématiquement, au milieu de la nuit, à l'heure exacte du tir de revolver qui l'a atteint) et le fonctionnement de sa "coucourde" est intact. Divers petits faits anodins, sans rapport avec l'enquête, le font douter de la conformité de cet enlèvement avec le "modèle" classique. Déjà, chose surprenante, les parents de Susanna ne roulent pas sur l'or, ils n'ont pas les moyens de payer une rançon que les ravisseurs, du reste, tardent à réclamer. À moins qu'intervienne...
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