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La Petite Sonneuse de cloches
Date de parution : 22/08/2019
Éditeurs :
Robert Laffont

La Petite Sonneuse de cloches

Date de parution : 22/08/2019
Deux époques entrelacées, deux histoires d’amour qui se confondent en une chasse au trésor fiévreuse et romantique dans les rues de Londres.

1793. Le jeune Chateaubriand s’est exilé à Londres pour échapper à la Terreur. Sans argent, l’estomac vide, il tente de survivre tout en poursuivant son rêve de devenir écrivain. Un...

1793. Le jeune Chateaubriand s’est exilé à Londres pour échapper à la Terreur. Sans argent, l’estomac vide, il tente de survivre tout en poursuivant son rêve de devenir écrivain. Un soir, tandis qu’il visite l’abbaye de Westminster, il se retrouve enfermé parmi les sépultures royales. Il y fera une rencontre...

1793. Le jeune Chateaubriand s’est exilé à Londres pour échapper à la Terreur. Sans argent, l’estomac vide, il tente de survivre tout en poursuivant son rêve de devenir écrivain. Un soir, tandis qu’il visite l’abbaye de Westminster, il se retrouve enfermé parmi les sépultures royales. Il y fera une rencontre inattendue : une jeune fille venue sonner les cloches de l’abbaye. Des décennies plus tard, dans ses Mémoires d’outre-tombe, il évoquera le tintement d’un baiser.
De nos jours, le vénérable professeur de littérature française Joe J. Stockholm travaille à l’écriture d’un livre sur les amours de l’écrivain. Quand il meurt, il laisse en friche un chapitre consacré à cette petite sonneuse de cloches. Joachim, son fils, décide alors de partir à Londres afin de poursuivre ses investigations.
Qui est la petite sonneuse de cloches ? A-t-elle laissé dans la vie du grand homme une empreinte plus profonde que les quelques lignes énigmatiques qu’il lui a consacrées ? Quelles amours plus fortes que tout se terrent dans les livres, qui brûlent d’un feu inextinguible le coeur de ceux qui les écrivent ?

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EAN : 9782221245675
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221245675
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Mareteint 28/02/2024
    L'amour sonne toujours deux fois Préparez vos valises. L'eurostar vous attend. Direction Londres. Vous allez accompagner Joachim dans une enquête qui lui tient à coeur. Son père, un grand professeur de littérature française, a laissé à sa mort un carnet dans lequel il a jeté les premières esquisses d'un projet d'écriture sur les amours de Chateaubriand. Un chapitre qui se résume à une question énigmatique dédiée à une sonneuse de cloches de l'abbaye de Westminster attire alors son attention. Une jeune fille dont Chateaubriand évoquera le tintement d'un baiser dans ses "Mémoires d'outre-tombe " quelques décennies plus tard. Les investigations de Joachim nous emmeneront dans les rues de Londres à la recherche de l'identité de cette mystérieuse sonneuse et nous permettront peut-être de savoir à quel point ce baiser qui résonne encore a pu embraser le coeur de l'écrivain...ou de manière beaucoup plus surprenante le sien ... Un petit vent londonien rafraîchissant nous pousse à tourner les pages de ce roman qui pétille d'humour et de beaux sentiments. Une fiction originale, tour de passe-passe magique, qui n'hésite pas à solliciter l'imagination du lecteur pour donner à la réalité un air de légèreté revigorant.
  • Christlbouquine 26/12/2022
    Professeur de littérature française, Joe J. Stockholm travaillait à un livre sur les amours de Chateaubriand lorsqu’il est décédé. Son fils, Joachim, retrouve cette œuvre inachevée que son père a laissé alors qu’il évoquait une petite sonneuse de cloche rencontrée par Chateaubriand au moment où il était en exil à Londres en 1793. Joachim décide alors de reprendre l’histoire là où son père l’a arrêtée et d’aller enquêter sur cette petite sonneuse de cloche pour savoir qui elle était et qu’elle a été sa place dans le cœur et la vie de Chateaubriand. Jérôme Attal part d’un détail minuscule, qui aura sans doute échappé à bons nombres de lecteurs de Chateaubriand, pour nous raconter une double histoire. Ce détail figure dans les Mémoires d’Outre-Tombe à l’issue d’un chapitre où l’auteur évoque un baiser donné dans l’Abbaye de Westminster par une jeune sonneuse de cloche. Sur cette base qui peut paraître bien anecdotique, Jérôme Attal va nous entraîner à Londres dans les pas, à la fois de Joachim et du jeune Chateaubriand. Ce double récit va ainsi entremêler ses fils pour tisser une intrigue assez captivante. Les deux époques se répondent, dans un jeu de miroir habilement construit qui met en parallèle le séjour de Joachim et ses rencontres avec les aventures du Chateaubriand de 1793. L’ensemble est très original, très vivant et plein d’humour. On est très intrigué par cette petite sonneuse de cloche et par l’enquête de Joachim et on espère bien découvrir avec lui le fin mot de l’histoire. Toutefois, le roman s’estompe assez vite de la mémoire du lecteur même s’il a passé un bon moment lors de la lecture. Il manque quelques aspérités auxquelles s’accrocher pour que le récit reste ancré sur la durée. A recommander pour la balade Londonienne et l’évocation pleine de vie d’un Chateaubriand exilé, en proie à une rage de dents et à la poursuite de l’image d’une jeune fille entraperçue comme dans un songe. Professeur de littérature française, Joe J. Stockholm travaillait à un livre sur les amours de Chateaubriand lorsqu’il est décédé. Son fils, Joachim, retrouve cette œuvre inachevée que son père a laissé alors qu’il évoquait une petite sonneuse de cloche rencontrée par Chateaubriand au moment où il était en exil à Londres en 1793. Joachim décide alors de reprendre l’histoire là où son père l’a arrêtée et d’aller enquêter sur cette petite sonneuse de cloche pour savoir qui elle était et qu’elle a été sa place dans le cœur et la vie de Chateaubriand. Jérôme Attal part d’un détail minuscule, qui aura sans doute échappé à bons nombres de lecteurs de Chateaubriand, pour nous raconter une double histoire. Ce détail figure dans les Mémoires d’Outre-Tombe à l’issue d’un chapitre où l’auteur évoque un baiser donné dans l’Abbaye de Westminster par une jeune sonneuse de cloche. Sur cette base qui peut paraître bien anecdotique, Jérôme Attal va nous entraîner à Londres dans les pas, à la fois de Joachim et du jeune Chateaubriand. Ce double récit va ainsi entremêler ses fils pour tisser une intrigue assez captivante. Les deux époques se répondent, dans un jeu de miroir habilement construit...
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  • MilleCab 28/09/2021
    Une jolie histoire qui laisse un léger sentiment d'inachevé. La prose de l'auteur est très agréable, poétique, et j'ai apprécié de lire deux intrigues se passant dans deux époques différentes, on suit le personnage principale à notre époque, dans sa quête pour découvrir la vérité, et le personnage de Châteaubriand au XVIII siècle, en exil alors que la France est à feu et à sang. J'ai été un peu agacée par les deux personnages, dont on ne sait pas grand chose au final, l'attention est exclusivement portée sur leurs obsessions. Ils sont tous deux obsédés par l'objet de leur désir, portés par un romantisme un peu cliché, et une certaine possessivité. Certains passages qui relatent la vie à Londres à l'époque de l'écrivain dont on suit les aventures m'ont cependant beaucoup plu, et c'est ce que j'ai le plus apprécié, le côté historique de ce roman.
  • luocine 18/01/2021
    ’ai commencé ce roman avec un grand plaisir qui s’est émoussé au fil des pages. Deux trames romanesques s’entrecroisent : celle qui décrit François-René de Chateaubriand qui connaît la dure loi de l’immigration et de la misère en Angleterre pour échapper à l’échafaud, et le père du narrateur, grand universitaire parisien qui, à la fin de sa vie, a voulu retrouver, pour en faire un livre, toutes les femmes aimées par ce grand romantique dont une « petite sonneuse de cloches » de l’abbaye de Westmisnter qui a réveillé d’un baiser Chateaubriand presque mort de froid et de faim et qui, pour ce haut fait, mérite une ligne dans ses mémoires. Le narrateur part donc à la recherche dans les documents d’archives de cette inconnue, il est,alors, entraîné dans une histoire fantastique où François-René joue encore un rôle. Je ne peux en dire plus, car je ménage toutes celles et tous ceux qui aiment le suspens et ne veulent pas savoir la fin des romans avant de la commencer – contrairement à moi ! Le charme du roman vient de l’humour que Jerôme Atttal manie avec finesse et légèreté. Tous les chapitres concernant la vie des émigrés à Londres sont à la fois instructifs et assez cocasses. Ces gens sans argent et qui ne savent rien faire ont dû beaucoup amuser les Britanniques qui comme le dit un des personnages semblent faire « du travail une valeur » . La partie sur la vie moderne est aussi pleine d’observations assez amusantes, entre son père grand universitaire qui se battrait bien en duel sur l’oeuvre de Marguerite Duras et qui écrit des livres que seules des étudiantes amoureuses du grand professeur sont capables de lire. Mais au bout de la moitié du roman, je me suis un peu ennuyée et je dois avouer que j’ai plus parcouru ce livre que réellement lu. Je pense que des lectrrices ou lecteurs plus attentifs que moi pourront en donner une bien meilleure impression.’ai commencé ce roman avec un grand plaisir qui s’est émoussé au fil des pages. Deux trames romanesques s’entrecroisent : celle qui décrit François-René de Chateaubriand qui connaît la dure loi de l’immigration et de la misère en Angleterre pour échapper à l’échafaud, et le père du narrateur, grand universitaire parisien qui, à la fin de sa vie, a voulu retrouver, pour en faire un livre, toutes les femmes aimées par ce grand romantique dont une « petite sonneuse de cloches » de l’abbaye de Westmisnter qui a réveillé d’un baiser Chateaubriand presque mort de froid et de faim et qui, pour ce haut fait, mérite une ligne dans ses mémoires. Le narrateur part donc à la recherche dans les documents d’archives de cette inconnue, il est,alors, entraîné dans une histoire fantastique où François-René joue encore un rôle. Je ne peux en dire plus, car je ménage toutes celles et tous ceux qui aiment le suspens et ne veulent pas savoir la fin des romans avant de la commencer – contrairement à moi ! Le charme du roman vient de l’humour que Jerôme Atttal manie avec finesse et légèreté. Tous les chapitres concernant la vie des émigrés à Londres sont à...
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  • paroles 05/01/2021
    J’aurais aimé me perdre dans les rues de Londres, me cacher dans ce brouillard si propice aux rencontres, aux intrigues, mais le fog londonien ne m’a pas enveloppée de son étrange sensation. Je suis restée hors de sa portée et je le regrette. Oui, je le regrette car cette petite histoire entre François-René de Chateaubriand et cette sonneuse de cloches qui lui aurait donné un baiser dans l’abbaye de Westminster, avait quelque chose de romantique, de doux, de surnaturel... « J’entendis le bruit d'un baiser, et la cloche tinta le point du jour ». Quelle belle idée de développer une accroche des Mémoires d’Outre-Tombe ! Rien qu’un détail pourtant, mais une fiévreuse recherche de l’amour, la nostalgie d’un bref moment partagé. Une construction de roman originale aussi : deux histoires construites en parallèle, celle du Chevalier exilé à Londres en 1793 (fuyant la Terreur qui sévit en France) et celle du narrateur en 2003. Une écriture soignée, riche de mille tournures, parfois teintées d’humour... Tout cela est très bien, rien à dire. Mais je ne ressens pas ce sentiment de plénitude qui me traverse quand j’ai terminé un bon roman. Il me manque quelque chose que je ne sais définir... Peut-être faut-il laisser les fantômes dormir.
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